Mon Bon Et Vieux Client

Comme vous le savez, nous sommes un couple candauliste. Parfois ma femme se trouve un amant avec lequel elle va à l'hôtel, ou chez lui, ou (le mieux) elle l'invite chez nous et je partage visuellement leurs ébats. Certaines fois c'est moi qui lui offre de quoi s'amuser, mais uniquement des messieurs très très âgés. La fois que je vais vous narrer a dépassé ce à quoi nous nous attendions, je vous explique:
Pour augmenter nos revenus, je suis représentant en vins et spiritueux pour un grand négociant. J'ai beaucoup de clients, des couples, des hommes ou des femmes seul(e)s, mais notamment un vieux monsieur chez qui je vais 2 fois par an. Au fil du temps il s'est ouvert à moi, il me parle de sa solitude depuis son veuvage. Lorsque je lui ai, délicatement, demandé si il avait une petite amie ou faisait parfois des rencontres, il m'avait répondu que malheureusement non, "juste le plaisir des yeux en été avec des jeunes femmes court vêtues". Naturellement ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd, j'y ai repensé tout le long du retour chez moi. J'en avais parlé à ma chérie qui avait accepté mon idée pour ma prochaine visite chez l'homme. Celle-ci eut lieu presque 6 mois plus tard, en plein hiver. Quelle était cette idée ? D'emmener ma chérie avec moi, très court vêtue, en la faisant passer pour mon assistante à qui je voulais apprendre le métier. Elle en profiterait pour le régaler en n'hésitant pas à lui dévoiler un maximum de ses jambes.
Même si cela était déjà arrivé lors d'une de mes visites professionnelles chez lui, j'ai (nous) été très surpris en entrant. Pourquoi ? Parce-qu'il n'était pas seul, son voisin était venu pour profiter de la dégustation offerte de mes vins de Bordeaux. A la vue de ces 2 hommes ma chérie fut radieuse, elle allait pouvoir allécher 2 papys.
Assis tous les 4 autour de la table, mais ma chérie à côté de mon client, j'ai commencé à leur faire goûter différents crus. Déjà, m'avait-il semblé, un peu enivrés, les 2 compères devinrent rapidement fort joyeux.


L'hôte ne se gêna pas pour faire des compliments à ma coquine et, reculant sa chaise, plongea sans complexe les yeux sur les cuisses peu dissimulées et à quelques centimètres de lui. Tout ça plu énormément à ma douce qui, loin de calmer les ardeurs du coquin, s'amusa à écarter les cuisses. Son mouvement eut pour effet d'encore retrousser la jupette qui ne cacha même plus sa petite culotte. Quand il me regarda je lui ai souri, d'ailleurs que faire d'autre puisque notre intention avait été de lui donner ce spectacle. Est-ce cela qui l'a encouragé ?
Toujours est-il qu'il invita son complice à le rejoindre et lui montra l'objet de son attention. L'ami fut encore plus hardi et (je m'en souviens comme si c'était hier) confirma de la beauté de ce qu'il voyait en ajoutant que la "petite chose rouge" (la petite culotte) devait cacher de plus belles choses encore. Ma femme était aux anges, fatalement puisqu'elle était la cible de 2 vieux cochons. Mon client s'adressa à moi en ces termes tout en la regardant: "combien de cartons dois-je acheter pour voir ce qui se cache ?". J'ai voulu lui répondre que comme toujours il n'y avait pas d'obligation d'achat, mais son ami a devancé ce que j'allais dire et avait plaqué une main sur l'entrejambes de ma soi-disant assistante. Je ne suis pas certain que si il n'avait pas bu autant il aurait osé faire ça, donc vive l'alcool (avec modération, Lol).
Vu que ma femme n'avait aucune mauvaise réaction à ce geste, mon client osa à son tour. Alors que son ami s'amusait dans la culotte, lui se mit à caresser cette poitrine qui lui faisait fort envie. Ce jeu dura plusieurs minutes pendant lesquelles leurs 4 mains se promenèrent allègrement sur ma femme. "On peut ?" me demanda mon client tout en levant ma femme de sa chaise. "Bien sûr" répondis-je en comprenant qu'elle serait la seule à boire au goulot ce soir-là. Elle était debout et pendant que un l'embrassait sauvagement l'autre se mit à la déshabiller.
Mon client lui fit poser un pied sur la chaise et entreprit de la masturber, l'autre tenta de lui mettre un doigt dans l'anus mais n'y parvint pas (la position n'était pas adéquate à ce moment-là), alors il s'agenouilla et écarta le fessier pour y plonger la langue.
Discrètement, alors qu'ils étaient bien occupés, j'ai débarrassé la table des verres posés dessus et ai rangé mes bouteilles dans ma mallette car je sais que ma chérie n'aime pas d'aller dans un lit dont elle n'a su constater la propreté. Ensuite je me suis approché de mon client et lui ai murmuré qu'ils devraient la prendre sur la table ou sur le canapé, qu'elle ne voudrait pas aller dans la chambre. Il m'a fait un clin d'oeil et s'est adressé à ma coquine: "Allez salope, allonge-toi sur la table, on va te baiser devant ton patron". J'ai vite pris les préservatifs dans le sac de ma chérie et en ai donné un à chacun. L'ami m'a demandé si il devait le mettre pour se faire sucer et j'ai répondu oui (je ne le connaissais pas du tout, alors pas confiance).
Les jambes pendantes et écartées elle subissait les assauts du client tout en suçant son ami. L'ami était déchaîné, il lui pinçait les tétons tout en les étirant fortement, j'ai laissé faire car je sais qu'elle accepte et aime la douleur, d'ailleurs on s'en est tous rendus compte aux gémissements dont elle fit preuve. Elle était toujours en pleine fellation quand mon client se retira d'elle, il venait d'éjaculer. Il ôta le préservatif et lui en versa le contenu sur le ventre. Son ami vint alors le remplacer entre les cuisses de ma coquine, mais se ravisant il s'empara d'un peu du sperme de mon client et ordonna (oui oui, ORDONNA !) à ma vicieuse de se retourner en spécifiant qu'il allait lui "défoncer le cul". Couchée sur le ventre, jambes bien écartées, anus offert, elle (je la connais tellement bien) s'excitait d'autant plus grâce à ce vocabulaire grossier. Il se servit du sperme récolté pour oindre cet endroit magique qu'il tenait à "défoncer". Il y alla comme un baroudeur, 2 ou 3 allers et retours de l'index qu'il remplaça aussitôt par son membre chapeauté. "Douceur" ? Ce mot ne fait apparemment pas partie des connaissances de ce gars ! D'un seul mouvement il enfonça la totalité de ses X cm, il tapait dans le mille comme si il voulait creuser une galerie.
Ma coquine poussait de grands cris à chaque fois et son plaisir était tellement énorme qu'elle urina ainsi possédée. Par contre, ce que je vis tout à coup ne me plu pas vraiment, mon client lui avait fourré la bouche et elle le suçait comme elle le pouvait malgré le pilonnage arrière qu'elle subissait. J'avais été choqué car elle suçait "nature". Qu'elle suce sans capote, ok, mais juste quand on est sûrs du partenaire !
C'est non relavée qu'elle s'est rhabillée et que nous sommes partis non sans avoir reçu une belle commande.
Peut-être devrions-nous aller plus souvent ensemble chez des clients célibataires ? Non, je plaisante, ma chérie n'est pas une prostituée, juste une folle du sexe dont je suis amoureux.

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