Carnet De Famille 2

Je reprends la suite du carnet de ma mère car elle est morte il y a trois mois dans un
accident de train, ce n’est qu’en découvrant ce carnet que je sais la vie qu’elle a
mené pour me permettre de vivre comme j’ai vécue jusqu'à présent.
Avec l’enseignement que j’ai reçu chez les sœurs et tout ce qu’elles m’ont inculqué je
ne sais pas si je serais a la hauteur pour continuer à faire fonctionner ses centres
de détente dont j’ai hérité. Je reconnais que ces centres rapportent beaucoup d’argent
et j’aimerais que ça continue mais je n’ai jamais connu d’hommes et je ne sais pas du
tout commet les prendre. Bien sur il y a les gérantes qui savent ce qu’elles font mais
c’étais des copines a ma mère et je ne sais pas si avec moi, elles travailleront aussi
bien.
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Marina qui s’occupe de la maison de Paris et Gertrude qui s’occupe de celle du village
sont venues me voir et m’ont certifié que ce n’était pas digne d’une fille de mon rang
de m’occuper de ces maisons, elles s’engageaient a me verser un loyer en rapport a
l’activité tous les mois et je n’avais pas a m’occuper d’autre chose. J’ai acceptée,
ravie.
Le notaire lui, s’occupe de gérer tout l’immobilier : les appartements, les villas et
les fermages. Il gère l’argent pour moi et me donne ce que je lui demande pour vivre.
C’était parfait grâce au dur labeur de ma mère, je suis rentière à seize ans et demi.
Après quelques semaines à tourner en rond au manoir j’ai commencé à m’ennuyer, j’ai
donc décidé de sortir un peu dans le village. C’étais le début de l’été il faisait
bon, je me suis longuement promenée, ce village est très joli. Pendant que je
revenais vers mon manoir, j’ai été abordé par une bande de jeune gent, au début ils
ont cru que j’étais une touriste et m’ont chahuté un peu et quand je leur ai dit que
j’habitais dans le village, ils ont été beaucoup moins sympas et sont devenus presque
agressif.


- Et les mecs, c’est une des putes de la maison qui est de sortie sans son chien
de garde
- On en profite un peu ?
- Pourquoi pas de toute manière, elle aime ça la pute.
Ils se sont mis à me coller, me toucher les fesses et la poitrine, j’avais beau leur
demander d’arrêter, ils insistaient en me poussant vers une vieille grange. La, malgré
mes protestations, ils ont entrepris de me déshabiller, comme je me débattais
énergiquement, deux garçons m’ont maintenu les bras pendant qu’un autre s’activait
pour me mettre complètement nue.
- Putain, elle est bien foutue la chienne !
- Profitons en, c’est gratis aujourd’hui

Après tout s’est précipité, ils m’ont couchée dans la paille, un des garçons me tenait
les bras au dessus de la tête deux autre me tenaient les jambes écartées et relevées
un autre est venu entre mes jambes et malgré mes protestations et mes cris, il m’a
pénétré d’un coup, la douleur a été si intense que j’ai perdue connaissance.
A mon réveil ils étaient tous autour de moi en me regardant ils m’ont dit
- On est désolé, nous ne savions pas que tu n’étais pas une d’elles, c’est en te
pénétrant que je me suis rendue compte que tu étais vierge mais une foi en toi, j ‘ai
tellement pris mon pied que je n’ai pas pu m’arrêter, c’étais trop bon. Pour nous
faire pardonner, Marie va te faire connaître le vrai plaisir.
La nommée Marie est venue entre mes jambes et s’est mise à lécher le sang et le sperme
qui s’écoulait de mon sexe. C’est vrai, c’était très agréable, un peu comme quand nous
nous touchions dans le dortoir au pensionnat. Mai la, le plaisir ne s’arrêtait pas de
monter jusqu’au moment ou un orgasme monstrueux m’a envahie et j’ai crié de joie.

- Arrête Marie, tu va faire d’elle une lesbienne comme toi.
- Non, je me contente de lui donner un peu de bonheur, ce que tu as été
incapable de faire.

- Te fous pas de moi, je ne savais pas qu’elle était vierge, je la prenait pour
une des putes de la ferme.
- C’est bien ce que je dis, tu te contente de prendre ton pied sans penser au
plaisir de ta partenaire.
- Pousse-toi, tu va voir si je ne sais pas la faire jouir.
Elle s’est poussée pendant que je reprenais mon souffle après l’orgasme monstrueux que
je venais d’avoir.
Il a pris sa place et s’est mis à me lécher le minou en me caressant la poitrine.
J’ai senti le plaisir remonter en moi et quand j’ai commencé à gémir, il m’a, a
nouveau pénétré, tout doucement cette foi, tellement doucement que c’est moi qui me
suis cambrée pour qu’il s’enfonce plus profondément en moi. Le plaisir que je
ressentais était nouveau, différent de celui que m’avait donné Marie. C’était
tellement bon que je n’ai pas pu m’empêcher de nouer mes jambes dans son dos en me
cambrant pour qu’il vienne encore plus profondément en moi. Le plaisir n’a pas cessé
de monter jusqu’au moment ou il a explosé pendant que mon partenaire se vidait au fond
de mon ventre. Nous sommes resté un long moment immobile à reprendre notre souffle
puis il m’a demandé :
- alors qu’est-ce que tu préfère, Marie ou moi ?
- je ne sais pas, c’est différent mais très agréable, pour moi, il y a égalité.
Il n’a pas su quoi me répondre, Marie est revenue entre mes jambes pour me nettoyer le
sexe avec sa langue et m’a fait avoir un nouvel orgasme.
Comme il était tard, je me suis rhabillée et je suis rentrée chez moi, ravie de m’être
fait des copains. En entrant dans le parc du manoir, j’ai éclaté de rire en pensant
que c’étais peut être dans la même grange que ma mère avait elle aussi perdue son
pucelage.
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Jje ne comprend pas, j’ai pas encore mes règles pourtant d’habitude elles sont très
régulières. Je ne peu pas être enceinte, Marie a bien retiré le sperme qu’il avait mis
en moi.
Et en plus, j’ai utilisé la vieille poire qui était avec le carnet Il va
falloir que j’aille voir un médecin.
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Je suis allé voir un médecin et il a confirmé mes doutes je suis bien enceinte. C’est
bizarre la vie, je me suis faite engrosser dans la même grange que ma mère à peu prés
au même age. Maintenant je sais que je ne risque plus rien il me faut essayer de
découvrir tous les plaisirs que peu me procurer l’amour avec d’autres partenaires et
aussi essayer pour voir ce qu’a subit ma mère presque toute sa vie. Je décide de faire
un petit stage dans la maison de Paris, la bas, personne ne me connaît.
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Je suis bien arrivé a paris en train, un taxi m’a déposé devant la maison, j’ai
demandé à voir Marina, elle m’a très bien reçu. Je lui ai expliqué mon aventure et mes
désirs, nous avons convenu qu’elle me présenterait aux autres filles comme une
nouvelle qu’il faut former pour la maison de la campagne.
Elle m’a présenté à toutes les filles et m’a fait visiter la maison. Ensuite le
médecin m’a ausculté rapidement puis elles m’ont affectée à une chambre. La fin de
matinée et le début de l’après midi ont été très calme, puis les premiers clients ont
commencé à arriver. D’abord des habitués toujours fidèles aux mêmes filles. Je me
sentais assez mal à l’aise en petite tenue au milieu de ce grand salon. Pour me
donner un peu de courage Marina m’a proposé de boire un petit coup. C’est vrai
qu’après ça je me suis sentie un peu mieux. Au bout d’un moment Marina m’a présenté a
un militaire en lui conseillant d’être très doux avec moi elle lui a expliqué qu’il
était mon premier client. Je suis monté avec lui et comme je ne savais pas trop quoi
faire, c’est lui qui a pris l’initiative. Il s’est déshabillé, il est parti au lavabo
et s’est lavé son outil en me disant que c’étais a moi de le faire puis il m’a demandé
de me laver le minou.
J’étais toute intimidée par son ton autoritaire, il s’en est
rendu compte et en a un peu profité. Il donnait des ordres, je m’exécutais. A sa
demande, Je me suis mise sur le lit et je me suis caressé devant lui les jambes bien
écartées. Quand j’ai commencé à jouir il s’est approché puis a plongé en moi d’un
coup. Je le sentais buter au fond de mon vagin tout contre la bouche de mon utérus et
ça me procurait une jouissance particulière. Il m’a limé un bon moment puis il a jouis
en même temps que moi. C’étais merveilleux maintenant je me sentais devenir une vraie
professionnelle, je me faisais baiser pour de l’argent et j’aimais beaucoup ça. Je
l’ai sucé pour qu’il se remette à bander et au moment ou j’allais le chevaucher il m’a
arrêté, poussé a coté, a plat ventre sur le lit et il m’a sodomisé énergiquement. Pour
moi, c’étais la première foi mais je n’ai pas eut mal bien au contraire j’ai encore
jouis sous ses coups de bite pendant que ses doigts fouillaient mon minou. Quand j’ai
senti sa semence me remplir les tripes, j’ai eut un super orgasme.
Après un moment il m’a ordonné de me laver puis après m’avoir observé pendant que je
m’exécutais, il s’est rhabillé et il est parti. Un moment après un autre client est
entré dans la chambre, je lui ai lavé son truc et me suis couchée les jambes écartées
sur le lit. Il a plongé sur moi et m’a faite jouir une nouvelle foi.
En tout, pendant la soirée, j’ai été baisée par une dizaine de clients qui étaient
tous ravi de me faire jouir.
En peu de temps, je suis devenue la fille fétiche de la maison, je supportais entre
dix et quinze jouissances par soirée. J ‘ai tout essayé et a chaque foi, j’arrivais a
jouie j’ai été prise par trois et même quatre hommes en même temps et j’ai atteins
des orgasmes incomparables.
Au bout de cinq mois, ma grossesse commençait à trop se remarquer bien que des clients
se régalaient a caresser mon ventre rond. J’ai du rentrer chez moi. Je pense que
maintenant je sais tout sur le sexe.
Je suis rentrée depuis plus de trois mois, je continue de gonfler, je passe mon temps
a lire et a me promener dans le parc. Un jour, en contrôlant les comptes, j’ai
remarqué que pendant mon passage à paris le chiffre d’affaire avait presque doublé. Il
faudra que j’en parle à Marina.
J’ai embauché du personnel pour m’aider au manoir, Marie comme femme de chambre, sa
copine comme cuisinière, Marc comme maître d’hôtel et ses trois copains comme
jardiniers.
Après mon accouchement, j’ai pu profiter de leurs services et nous menions une vie
très heureuse.
Comme j’ai beaucoup de temps libre j’ai exploré le manoir et dans les caves, j’ai
découvert tout un ensemble de galeries qui partent vers le village. Il m’a fallu
presque un an pour toute les visiter, certaines étaient en partie effondrées et je
n’ai pas pu savoir ou elles débouchaient,
J’en ai emprunté une et au bout d’un bon quart d’heure de marche, je me suis
retrouvée dans le puis au centre du village. Une autre débouchait dans une grande
salle entièrement murée, d’après mes estimations je devais être sous l’église. En
empruntant un autre tunnel, je me suis retrouvée dans la cave de la ferme de ma mère
et c’est Gertrude qui fut très surprise de me voir sortir de la cave.
Par un autre tunnel je suis arrivée au pied du pont a l’entrée du village.
J’ai fait une carte de toutes des galeries puis je suis passé à une autre
occupation.

Ça fait pratiquement cinq ans que je n’ai rien écrit dans ce carnet, il n’y avait rien
de spécial a y noter, ma fille grandie doucement, moi, je continue à m’éclater avec
mes employés. Si je reprends le carnet aujourd’hui c’est que notre vie tranquille est
bouleversée, Marc et ses copains ont été appelés sous le dau, c’est la guerre. Par
précaution, j’emmène ma fille dans une institution dans le midi, la, elle est loin de
cette guerre j’espère qu’elle s’y fera.
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Nous sommes sous l’occupation, la maison de Paris comme celle du village tournent au
ralentit, mon manoir a été réquisitionné pour un poste de commandement de l’armée
d’occupation, ils m’ont foutu dehors de chez moi. C’en est trop, je rejoins un groupe
de résistant.
Grâce à mes connaissances nous organisons un réseau d’évasion vers l’Espagne pour des
prisonniers qui se sont évadés et Grâce aux filles qui travaillent dans les maisons et
qui font parler les soldats et aux tunnels sous le village nous sommes devenus le
meilleur réseau d’espionnage du maquis. Avec nos renseignements, les coups portés par
les alliés font mouche à chaque foi. Notre groupe bien que très actif reste invisible
et indétectable ils nous cherchent dans toute la campagne environnante et nous sommes
dan la cave de la comandanture.
C’est pratiquement toujours caché sous terre que nous avons passée les quatre
années qui ont suivies.

Voilà, c’est la libération, la fête bat son plein, nous sommes tous très heureux de
nous en être sorti vivant. La vie reprend son cour normal. J’ai récupéré ma fille
Marie, elle est magnifique, déjà une jeune femme bien formée pourtant elle n’a que
onze ans. Tout se passe bien, les maisons tournent a plein régime.
D’un coup, patatras. Ces dégénérés qui nous gouvernent décident d’interdire nos
maisons de détente oubliant que c’est en partie grâce à elles que nous avons gagné. La
police se met à nous traquer comme des bandits.
Je ferme d’abord la maison de Paris pour la transformer en appartements puis viens le
tour de celle du village. La, je ne peu rien y faire, alors je la transforme en
centre de vacances.
Les filles qui travaillaient dans les maisons ont toutes disparues, certaines font le
trottoir pour subsister, d’autres sont parties a l’étranger.
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Il y a trois ans que j’ai fermé les maisons, c’est la crise, plusieurs filles sont
venu me demander de l’aide, et ça m’a donné une idée.
J’ai crée une agence matrimoniale. Grâce à cette agence je mets officiellement en
relation les clients et mes filles et tout se passe bien. Elles sont heureuses et moi
aussi.

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Ça fait deux ans que mon agence tourne et je gagne beaucoup d’argent, bien sur, je
suis obligée de payer grassement certains hommes influents de la police et de la
politique pour qu’on me foute la paix mais tout bien compté, je m’en sors bien.

Je quitte le manoir avec ma fille demain, nous allons vivre à Paris dans un des
appartements car ma chérie rentre à l’université, et elle se consacre pleinement à ses
études. Je l’accompagne pour la guider un peu dans cette grande ville.
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Je recommence a écrire dans ce carnet après six mois, je l’avais oublié au manoir. Ma
chérie s’est très bien habituée à la vie trépidante de Paris et je n’ai plus besoin
de l’encombrer. De plus mon agence me réclame, nous avons un contrôle et je dois être
présente pour donner des explications.

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Depuis plus d’un an, ces inspecteurs ne me lâchent pas, Les amis au pouvoir que
j’avais sont tous entrain de me lâcher, ils commencent à ne plus vouloir me protéger,
ils ont tous peur qu’on fasse le lien entre eux et mes filles avec lesquelles ils ont
passé des soirées torrides. Comme je sais que je risque la prison pour proxénétisme,
je vais les menacer de tout révéler, .peut être que la, ils vont bouger.
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