Carnet De Famille 3

C’est moi, Marie qui reprend le carnet de ma mère, il y a huit mois de ça, alors
qu’elle venait me voir à Paris, elle s’est accidentellement fait écraser par une
voiture qui a pris la fuite. Tout de suite après La police a perquisitionné dans
notre appartement et au manoir, et ils sont partis avec tous les dossiers de ma mère.
Je viens juste de retrouver son carnet, il été caché dans sa chambre derrière un
tableau. En le lisant, j’ai appris beaucoup sur ma grand- mère et sur ma mère. Moi,
qui a dix sept ans n’ai pas encore embrassé un garçon, je découvre que ma grand mère
était une pute et ma mère une proxénète notoire qui s’est fait éliminer par ses amis
politiciens. Il me faut briser cette spirale infernale, de mère célibataire, c’est
décidé, j’arrête mes études et je pars en chasse, il me faut trouver un mari.
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Hier, je suis sortie au bal du village, j’ai rencontré un garçon très gentil, il m’a
fait danser toute la soirée et alors que j’étais prête à tout accepter de lui, il n’a
même pas essayé de m’embrasser. Il me plaie bien, il est beau, instruit, il est en fac
de médecine, il est juste un peu plus vieux que moi, il est célibataire, il a vraiment
tout ce qu’il faut pour être mon mari. A la fin du bal nous nous sommes quittés bon
amis avec juste une petite bise sur la joue. Toute la semaine suivante, il y a eut
comme un jeux de cache-cache entre nous, je le retrouvais entrain de faire des
courses, il me retrouvais pendant ma promenade, a chaque foi « par hasard » a chaque
rencontre nous discutions de choses et d’autre comme deux vieux copains puis nous nous
quittions avec une petite bise.
Je commence à désespérer, j’ai envie de beaucoup plus.
Dimanche, je le retrouverais au repas du village, j’espère qu’il sera plus empressé et
qu’il m’embrassera voir plus.



Le repas s’est très bien passé, il est très attentionné, il m’a présenté à sa famille
comme étant une copine sans plus. Je suis un peu déçue, il n’a pas essayé une seule
foi de m’embrasser ni de me toucher, il est bouché ou quoi, je n’attend que ça, j’ai
envie que ce soit lui mon premier, et je n’arrive pas a lui faire comprendre. C’est
impensable, je pense être une belle fille, je fais tout pour lui faire comprendre que
j’ai envie de lui et il ne réagit pas. Nous nous sommes quitté en fin d’après midi
avec une simple bise sur la joue.
La semaine suivante ce fut pareil, pourtant, je n’arrêtais pas de me coller contre
lui des que j’en avais l’occasion, je ne suis pas folle, j’ai bien senti que je lui
faisais de l’effet, plusieurs fois j’ai remarqué qu’il bandait.
Samedi soir il y a un spectacle de cirque, j’espère qu’il sera plus entreprenant.
Le soir nous nous sommes retrouvé a l’entrée du cirque, pendant tout le début du
spectacle je suis restée colée a lui pour bien lui faire comprendre qu’il me plaisait
et que j’avais envie d’être câlinée.
A un moment quand la lumière s’est éteinte à la fin d’un numéro, sa bouche est enfin
venue contre la mienne, c’étais merveilleux, nous nous sommes embrassé et caressé
jusqu'à la fin du spectacle. Pendant tout le trajet en me raccompagnant, nous nous
sommes embrassé. En arrivant a la hauteur de la grange, une idée folle m’a traversée
l’esprit, « je vais faire comme mes ancêtres, perdre mon pucelage dans la paille de
cette grange » je l’ai poussé a l’intérieur et tout en s’embrassant, nous nous sommes
couché dans la paille. Pris par une étrange frénésie, nous nous sommes mutuellement
caressé en nous déshabillant puis il m’a avoué
- je t’aime beaucoup, mais je n’osais pas parce que tu es la première fille
avec qui je vais si loin.
- Je te rassure, pour moi aussi tu es le premier
Nous avons continué de nous embrasser et caresser puis il est venu sur moi et m’a tout
doucement pénétré.
J’étais tellement excité que j’ai a peine sentie une petite douleur
quand il a déchiré mon hymen puis le plaisir m’a envahie complètement, nous n’étions
plus que deux bêtes à la poursuite de l’orgasme.
Assez rapidement j’ai senti la brûlure de son sperme contre la bouche de mon utérus
mais sa cavalcade ne s’est pas arrêté, il a continué à me pilonner comme un fou, je ne
sais pas combien de foies j’ai jouis mais c’étais merveilleux.
Au bout d’un long moment il s’est mis à râler et m’a inondé une deuxième foi puis il
s’est écroulé sur moi. Nous sommes restés très longtemps sans bouger l’un sur l’autre
pour reprendre notre souffle, je le sentais tout doucement débander en moi et c’était
très bon.
Sans changer de position nous nous sommes a nouveau embrassé et caressé, rapidement
j’ai senti son sexe regonfler et comme il n’était pas sorti entièrement de moi il me
remplissait a nouveau complètement. Je me suis mise à faire onduler mon bassin en
relevant mes jambes pour les nouer dans son dos. Il est venu au plus profond de mon
intimité mais il ne bougeait pas, c’est moi qui par les contractions de mon vagin le
faisait monter vars l’orgasme. Au bout d’un petit moment il a commencé à s’activer et
tout doucement nous avons recommencé notre course au plaisir. Nous l’avons atteint
tous les deux en même temps. C’était tellement fort que nous nous sommes endormis
l’un dans l’autre.
A notre réveil il faisait déjà bien jour, nous nous sommes a nouveau passionnément
embrassé il s’est remis a bander je suis passée sur lui, je l’ai chevauché, et me suis
empalée sur son chibre, la course au plaisir a recommencé. Après une nouvelle folle
jouissance, nous nous sommes rhabillés, il m’a raccompagné jusqu'à la porte de ma
maison et m’a quitté après un fougueux baiser j’étais sure d’avoir trouvé le mari
idéal.

Le lendemain, il est arrivé chez moi vers quatorze heure pour n’en repartir que vers
vingt heures et nous avons fait l’amour passionnément dans ma chambre tout le temps.

Les jours suivants ce fut tout aussi merveilleux, nous avons essayé toutes les
positions possibles ainsi que tous les coins de la maison.
La semaine suivante, nous avons décidé de profiter du beau temps et nous sommes partis
en promenade. Pendant nos promenades il me faisait des surprises, il me possédait soit
contre un arbre dans le parc, ou sous le porche de l’église. Pour lui faciliter la
tache, je ne mettais plus de culotte et portais toujours des petites jupes très
amples.
Un après midi, alors qu’il venait d’arriver, en m’embrassant il a cassé mon collier
et les perles se sont éparpillées par terre. Je me suis prestement mise à quatre
pattes pour les ramasser, il en a profité pour retrousser ma jupe et me prendre en
levrette.
Une autre foi, nous avons fait l’amour à la terrasse du café du village. Quand Nous
nous sommes installé, la terrasse était presque vide nous avons commandé puis après
avoir été servi alors que nous buvions tranquillement, un groupe de bouliste est
arrivé, comme ils n’avaient pas assez de siéges, j’ai laissé ma chaise et je suis
partie m’asseoir sur ses genoux. Je ne sais pas comment il s’y est pris mais a un
moment, il m’a fait me relever pour passer a califourchon sur ses jambes.
Tout en buvant nos verres et en nous embrassant, caché par ma jupe, il a sorti son
sexe et m’a tout doucement pénétré en me caressant de sa main le pubis, c’étais
merveilleux j’ai éprouvé un plaisir comme jamais, faire l’amour au milieu de plein de
monde sans que personne ne s’en rende compte m’a fait avoir un orgasme monstrueux. Le
plus dur pour moi a été de ne pas crier mon bonheur. Après qu’il ait abondamment
jouis nous sommes partis. En marchant, je sentais ma jouissance mêlée a son sperme
dégouliner le long de mes jambes ça me procurait des frissons terribles. Jamais je
n’avais eut de telles sensations.

Le dimanche soir suivant quand il est parti après un fougueux baiser il n’a rien dit
de particulier, je m’attendais à le revoir le lendemain mai il n’est pas venu, c’était
la dernière foi que je l’ai vu. J’ai essayé de le retrouver, rien, comme s’il n’avait
jamais exister.
Ça n’arrangeait pas mes affaires, j’avais du retard dans mes règles, je pensais être
enceinte et voulais justement lui en parler. Comme je veux que mon ait un
père, j’ai continué à le chercher pendant plus d’un mois puis je me suis fait une
raison, ce doit être une malédiction qui pèse sur ma famille, j’élèverais mon
toute seule.
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Ça fait six mois que je suis seule dans le manoir, j’ai beau avoir bien grossi, j’ai
toujours des envies et je me caresse jusqu'à l’orgasme en pensant a mon bel étalon. Il
faudra que je trouve une solution, les caresses c’est bien un bel étalon, c’est mieux.
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Ça y est, j’ai accouché, c’est une belle petite fille, J’ai décidé de l’appeler
Christelle,
J’espère qu’elle aura plus de chance dans la vie que toutes les femmes de la famille.
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Maintenant que je suis a nouveau présentable, il me faut trouver un beau male qui
sache bien me faire jouir. Et peut être qui m’épousera qui sais.
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Ça va bientôt faire dix ans que je n’ai rien noté dans ce carnet il faut dire que je
n’ai pas eut beaucoup de temps. En plus, j’avais complètement oublié ou je l’avais
mis.
Il s’est passé pas mal de choses en dix ans, j’ai été marié trois foies, la première,
c’était avec Marc, pour lui une seule chose comptait : baiser c’est tout. Conversation
: nul comportement avec moi : nul. Je ne sais pas pourquoi je l’ai épousé, enfin si,
il me faisait l’amour comme un dieu et je venais de passer une longue période
d’abstinence.
Après un an de mariage, je l’ai surpris entrain de baiser la bonne. Je l’ai tout de
suite viré.
Le suivant, c’étais un homme normal, trop normal pour moi, un employé de banque, au
début cette vie pépère qu’il me faisait mener m’a plue, tout été planifié, même nos
séances de jambes en l’air. J’ai tenue deux ans puis j’ai craquée, il n’a pas du tout
aimé que je le viole presque a l’heure ou il regardait son jeux télévisé, il m’en a
voulu et s’est abstenu de me faire le moindre câlin pendant trois mois.
J’ai appelé une ancienne copine et je me suis arrangée pour qu’il tombe dans ses
griffes. Six mois plus tard j’étais a nouveau libre, j’ai divorcé pour faute avec de
nombreuses photos à l’appui. Le pire c’est qu’il a épousé ma copine dans la foulée.
Le troisième, je ne sais pas si il compte vraiment, c’étais pendant mon voyage au tour
du monde, un mariage de trois jours a Las-Vegas
C’était un très beau mec, il me plaisait beaucoup, je l’ai rencontré le jour de mon
arrivée, en plus j’étais bien en manque, nous avons très vite sympathisé, le seul
problème c’est qu’il était tellement pris par la religion qu’il ne voulait rien me
faire si nous n’étions pas marié. J’avais tellement envie qu’il me baise que nous
sommes partis voir dans une chapelle de mariage. A la sortie, nous étions mariés.
Direction l’hôtel. Il m’a fait l’amour pendant trois jours et trois nuits, nous ne
prenions que de petites poses pour manger et dormir un peu. A la fin des trois jours,
nous sommes repartis à la chapelle pour faire annuler le mariage.
C’est quand même lui, le mari que je regrette le plus.

A mon retour de voyage, j’ai eut une très mauvaise surprise, le notaire qui gérait mes
affaires avait pris sa retraite et c’est un fruit pourri qui l’a remplacé. En l’espace
d’un an il a failli me faire perdre tout mes avoirs. Heureusement notre ancien notaire
a pris ma défense et j’ai pu récupérer une grosse partie de mon héritage. Maintenant
c’est un centre de gestion agréé qui s’en occupe. Enfin je note tout ça pour expliquer
pourquoi je laisse ma fille dans des pensionnats et des instituts. Je n’ai pas
matériellement le temps de m’occuper d’elle. Ce soir, je repars pour assister a une
grande course automobile, un de mes amis est pilote, s’il gagne, nous ferons la fête
pendant au moins quatre ou cinq jours, alors ma fille, elle n’a pas encore sa place
dans ce milieu, elle est beaucoup trop jeune.

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