Envie De Star (2° Partie)
Envie de star (2)
Pourtant avant que je sois prête à tenir un rôle quelconque ; Piotr me présentait un
réalisateur qui m'invitait à venir avec lui pour assister à une matinée de tournage.
Je ne m'attendais pas à ça :
Nous étions dans un salon plein du matériel nécessaire : caméras, bien sur, perche de
prise de son, projecteurs de lumière. Mise à part le réalisateur que connaissait bien
Piotr, personne d'autre. Pourtant arrivait une jeune femme bien roulée, avec un
« book » qui indiquait les scènes à venir.
Elle nous expliquait qu'un jeune femme trompait son mari dans le salon, que le mari
arrivait, qu'il était excité de voir sa femme se faire mettre devant lui, il se
mettait nu, bandait pour participer lui aussi à la baise. Ça me paraissait léger et
usé comme scène.
Le réalisateur appelait les acteurs, la femme et l'amant. Ils étaient nus. Je
regardais la fille à peine un peu plus âgée que moi, bien faite, le sexe rasé. Lui
aussi me plaisait bien, pourtant il ne bandait pas.
Alors vous allez commencer par une fellation, tu aimes sucer, je le sais, alors ne le
fait pas jouir dans ta bouche, attends que ton mari arrive.
D'accord, je suce. Il ne me la mets pas.
Non après avec ton mari.
Dialogue de professionnels certainement, mais peu propice à une baise et au plaisir.
J'écoutais distraitement, branchée sur la queue de l'acteur que branlait lentement sa
compagne. Il devenait plus gros que je l'imaginais. Je me prenais à l'imager dans mon
sexe. J'en mouillais pas mal. Piotr restait près de moi, comme pour me protéger.
Quand l'homme bandait convenablement le réalisateur criait : Moteur, allez commencez à
baiser. Comme une chose naturelle la fille se mettait à genoux, prenait lentement la
queue tendue dans sa bouche, faisait descendre le prépuce avec ses lèvres, tenait la
base de la bite avec une main, caressait les couilles.
sa tête pourtant se penchait pour regarder sa bite avalée par la partenaire. Je
regardait comme si c'était moi qui suçais Piotr. Quand le mari arrivait il se mettait
nu devant une caméra pour rejoindre le couple. Sans se démonter la fille changeait de
bite pour la fellation. Elle branlait l'autre avec conviction.
Je me surprenais à jouir sans que je me touche. J'étais gênée, alors que j'aurais bien
voulu être à la place de la fille.
Le trio changeait de place pour aller sur un canapé. La fille suçais l'amant pendant
que le mari lui mettait la queue dans le vagin. Je regardait ce con pénétré comme
j'aurais voulu que le mien le soit à cet instant. La fille recevait une bonne dose de
sperme dans la bouche : elle se léchait à peine les lèvres avant d'avaler la semence.
Pendant que l'équipe changeait de lieu:elle allait dans une chambre, j'allais aux
toilettes pour me branler. J'en avait oublié de fermer la porte quand le réalisateur
venait lui aussi mais pour pisser. Me voyant, il changeait d'avis pour me baiser.
Sa queue n'était pas grosse comme ses acteurs. Il savait bien s'en servir. Il me la
mise au cul sans autre forme de procès. Je ne sais où il avait appris à sodomiser,
mais quel pied et pour lui et pour moi, surtout quand je sentais son jet dans mes
boyaux.
Il me faisait venir avec lui pour la suite. Là, les deux hommes avaient changé. La
fille avec un déshabillé transparent sur elle se donnait à deux hommes. Ils étaient
libres de baiser comme ils voulaient. J'assistais à un simple partie à trois. Elle se
laissait mettre nue, branlée par deux mains, une sur l'anus, l'autre sur le clitoris
que je voyais clairement. Elle tenait les deux bites en les branlant mieux que ce que
je faisais. D'elle même elle venait se faire baiser en venant sur la bite de son amant
de droite, une fois bien baisée, elle demandait à l'autre de venir l'enculer.
remarquais qu'à cet instant que les bites étaient toutes habillées de préservatifs.
Il faut croire que la double pénétration était efficace : elle jouissait plusieurs
fois alors que les amants étaient encore dans son corps. Elle ne simulait pas ses
orgasmes. J'étais encore mouillée de ma sodomie, j'en rajoutais encore un peu plus. Je
demandais à Piotr de me branler. Il ne pouvait pas le faire à ce moment : plus tard en
partant. J'étais comme une gamine qui veut son bonbon de suite.
Les prises de vues terminées pour la matinée, le réalisateur me demandait de venir le
voir au bureau pour me proposer une rôle : il avait vu le site où je me branlais.
J'hésitais encore beaucoup. Et si quelqu'un de la fac ou mes parents me voyaient dans
un film porno ? Et si Piotr ne voulais plus de moi. Et si je devenais une pute ou une
call-girl.
Et puis tant pis j'irais le voir, même s'il m'avait enculé et fait jouir, je l'avais
fait jouir moi aussi. Dans ce milieu, tirer un coup n'est pas grave, c'est même
l'essence même du métier. J'en parlais à Piotr. Il me traitait d'imbécile de refuser
ce genre d'offre : j'étais douée pour la baise, je le serais encore plus devant une
caméra. J'aurais une belle carrière bien rémunérée. Lui, il resterait avec moi tant
que je le voudrais. Il aimait trop baiser avec moi, alors même si je baisais avec
d'autres dans la journée, il lui restait la nuit. C'est long une nuit, et en plus, je
ne tournerais pas tous les jours. Sa queue restait à ma disposition où je voulais la
mettre.
Cette nuit était des plus agitées : nous regardions ce qu'il avait tourné avec moi,
nous nous branlions avant que j'ai besoin de lui dans ma chatte et surtout mon cul. Il
innovait un peu en mettant sa langue sur le rectum. Mon cul si réceptif commençait à
s'échauffer. Il entrais sa langue profondément : je lui mordais la queue.
prisonnier de ma bouche ne pouvait sortir. Je le trayais comme un pis de vache. Il me
semblait avoir froid alors que nous étions en plein été. Lui suait comme une bête de
somme qu'on maltraite. J'avais plein d'orgasmes en retard à cause de ma visite du
tournage porno. Je lui avouais que je m'étais faire volontairement sodomisée par le
réalisateur. J'étais d'avance pardonnée puisque j'avais joui.
La prochaine fois nous verrons comment je suis devenue une star.
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