Ann
Quand nos regards se croisent, nous ne nous quittons plus de yeux. Je la trouve très
belle, disons en dessous de miss France. Son corps est souple puisqu'elle arrive à se
plier en deux facilement pour ramasser son mouchoir tombé sur le sol. C'est une
quarteronne avec un quart de sang asiatique. Je ne le remarque que plus tard en voyant
des yeux légèrement bridés qui ajoute à son charme.
En venant vers elle, j'espère qu'elle ne partira pas. Je prends mon courage à deux
mains étant assez timide avec les filles. Que lui dire, qu'elle est belle : elle le
sait, qu'elle me plaît, elle s'en doute. J'allais lui dire qu'elle était charmante
alors qu'elle me demande son chemin.
Le premier pas est fait. J'accepte avec un grand plaisir des la conduire dans les
ruelles de la ville. Elle s'arrête souvent pour regarder les vitrines de vêtements
féminins en me donnant son avis et curieusement me demande le mien. Pour moi la mode
féminine passe à des kilomètres de ma tête. Pour ne pas paraître idiot je lui dit ce
que j'en pense sans trop me tromper. Après un long arrêt devant une boutique elle me
prend le bras pour que je l'emmène là où elle veut. Puis ma main pend la sienne sans
qu'elle proteste. Nos doigts se croisent lentement.
Bloqués par un feu rouge, je me penche sur elle. Mes lèvres entament un des plus longs
baisers que j'ai fait à une inconnue. Nos langues s'accordent bien quand elle
fouillent la bouche de l'autre. Les gens s'arrêtent instant pour nous regarder : les
feux sont plus rapides que nous qui restons collés. C'est moi qui cesse pour ne pas
encombrer le passage. Nous reprenons le baiser dès la rue traversée.
Nous arrivons enfin dans le rue recherchée. Je pense que c'est trop tôt, je veux
encore l'embrasser et plus si affinité. Nous allons nous quitter quand elle me demande
de la mener jusqu'au numéro 58.
en face l'immeuble qu'elle cherchait. Mince, alors pas de chance, adieu ses lèvres
douces son allure de déesse son bavardage de jeune femme.
Elle m'embrasse encore une fois avant de parler :
Je m'appelle Annette. Mes amis me prénomment Ann. Et toi ?
Pierre. Comme mon grand père.
C'est joli Pierre.
C'est joli Ann.
On peut se voir tout à l'heure. Je n'en ai pas pour longtemps, juste le temps de
déposer un paquet. Je reviens de suite, attends moi.
Je reste devant l'immeuble qui me semble être de bureau. Je dois avoir l'air fin en
attendant une fille que je suis seul à connaître. Je n'attends pas longtemps, Ann
ressort. Elle m'embrasse longuement comme si nous ne nous étions pas vu depuis une
éternité. Sa bouche me semble plus douce que tout à l'heure.
Où allons nous maintenant.
Ça dépends de ce que tu veut faire.
Être avec toi.
Cette fois nous partons en nous tenant par la taille quand nous ne nous embrassons
pas, ce qui est rare : nous mettons bien un quart d'heure pour faire cent mètres. Nous
passons devant un petit hôtel que je connais vaguement pour abriter les amours
clandestines.
Tu veux aller là.
J'aimerais bien si tu es d'accord.
Tu sais pourquoi faire. ?
Je ne suis pas une gourde. J'ai autant envie de toi que toi de moi. Allons sous aimer.
Le tenancier ne demande rien, il sait que nous allons baiser. Ann est toujours serrée
contre moi quand nous montons dans une chambre. Finalement je ne la connais presque
pas. Je vais la découvrir dans les deux sens du terme. Ma tête dans son cou, je
caresse déjà sa poitrine. Ses seins sont durs, est ce l'excitation ou la nature, je
n'en sais rien. Elle déboutonne son chemisier, elle le fait tomber au sol, me laissant
le soin de dégrafer son soutiens gorge. Ses seins sautent vers moi tellement ils sont
gonflés.
occupé quand elle aussi enlève ma chemise. Elle s'attaque déjà à ma ceinture. C'est
plus compliqué que prévu.
Moi aussi j'essaie de lui enlever la jupe. J'ai plus de succès qu'elle. Elle ne garde
pour le moment qu'une belle culotte pleine de dentelles. Je la laisse en place pendant
qu'un main passe dessous pour chercher ses secrets nombreux de son sexe. Je bande,
elle mouille comme une fontaine. Elle arrive finalement à faire tomber et mon pantalon
et mon slip.
Ann prend ma queue dans sa main pour me branler. Elle n'en est pas à son coup d'essai.
Sa main entière entoure ma queue, elle fait des vas-et-vient qui montrent qu'elle ne
débute pas. Elle passe son autre main sur les couilles qu'elle caresse. J'ai trouvé
son bouton. Elle tend son ventre vers moi. Je la branle moi aussi : je sais, dit-on,
parfaitement faire jouir les nanas, même si je ne sais toujours pas les aborder. Ses
gémissements montre qu'elle apprécie ce que je fais.
Je suis sur le point de jouir. J'arrête sa main, même si j'aurais bien aimer avoir un
orgasme ainsi. Je la fait coucher à moitié sur le lit : seules ses jambes débordent.
Dès qu'elle écarte ses cuisses, elle pose sa main sur le bouton pour se branler. Je la
laisse faire puisqu'elle aime ça. Elle me regarde d'un air de défit.
Tu sais j'aime me branler avant de baiser.
J'aime voir les filles se masturber, continue Je vais aussi me branler devant toi .
Oui, fais le, j'aime voir un homme se donner du plaisir. Tapes toi une queue,
j'adore.
C'est certain maintenant, c'est une bonne baiseuse. Si j'arrête souvent ma main autour
de ma bite, elle ne stoppe pas. Sa main est de plus en plus rapide. Je vois le bouton
martyrisé par ses deux doigts qui devient rouge. Elle pousse un léger cri en
jouissant. Au moment de l'orgasme, elle pose ses deux mains sur le con.
Elle reste toujours dans la même position. Elle veut ce que je veux : un cunnilingus.
J'aime le jus des femmes, ma langue s'en régale. Elle a raison de me donner son con.
Ma langue plonge dans son intimité. Je la fais bouger en commençant par l'anus. Elle
aime ça puisqu'elle arrive à l'entrouvrir. Je ne fais que le lécher au début avant
d'essayer d'y mettre ma langue. J'arrive sans trop, forcer à la mettre en entier. En
la faisant aller et venir je lui donne ce qu'elle cherchait : un bel orgasme. Enfin
elle parle :
Oui, j'aime ça, encules moi, baises moi, fais moi jouir encore.
Tu es une véritable pute.
Oui, je suis ta pute, vends moi à qui te veux, sauf à une fille.
Tu n'aime pas les filles ?
Si mais pas aujourd'hui. Je veux une queue pas une seule langue.
Et mes mains tu les veux où ?
N'importe où. Pendant que ta langue est dans mon cul, mets moi trois doigts dans le
con et si tu peux branles moi le bouton d'or.
Je reprends la sodomie particulière, je regroupe trois doigts , les lui entre
doucement dans son vagin écarté. Mon autre main peut heureusement caresser le
clitoris. Là elle gémit comme si je la suppliciais. Quand elle jouit je ne peux rester
dans le rectum tellement ses spasme sont violents.
Je reste la queue bandée quand je me relève. J'ai même mal aux genoux. Elle s'assoie
sur le bord du lit, prend ma bite dans la bouche. Sa langue est rapidement sur le
frein. Elle déguste la petite goûte qui s'écoule de ma queue. Puis elle me prend dans
sa bouche entre ses joues et la langue. Sa tête fait les mouvements qui m'emmènent
vers la jouissance. Pourtant juste un peu avant que je crache ma semence, elle arrête
tout : elle se couche enfin sur le dos. Je peux l'embrasser à nouveau. Nous échangeons
le goût de nos sexes. Pendant qu'elle prend ma bite pour la branler encore un peu
avant que j'entre dans son antre.
Quel plaisir sans nom que d'être dans le ventre d'un fille qui aime se faire mettre.
Nos jambes sont emmêlées, mon sexe coulisse parfaitement dans son vagin qui semble
avoir été fait pour moi. Mon gland entre et sort en parti. Elle gémit d'être prise
ainsi. Je la sens jouir deux ou trois fois.
Encules moi maintenant.
Déjà ?
Oui, mets moi la au cul, j'aime.
Je sors de son con pour changer d'endroit : elle reste couchée sur le dos. Elle ne
fais que lever un peu ses fesses. Quand je suis sur l'anus, je comprend pourquoi elle
ne se mouille pas. Sa cyprine a coulé plus loin encore que son cul. Je fais quand même
attention à ne pas lui faire de mal. Pourtant j'entre facilement dans sa sortie de
service.
Oui, comme ça, plus profond. Encore. Encules moi bien, met moi la jusqu'au bout.
Je fais du mieux possible pour l'envoyer dans son ciel.Je sens encore je ne sais
combien de spasme. Pas possible de trouver une fille pareille. Elle serre tellement
son cul en jouissant que je ne peux pas faire autrement que juter dans son ventre.
Enfin nous sommes calmés. Pour finir la journée je l'invite chez moi où elle
s'incruste deux jours, le week-end entier. Elle n'habite qu'à 90 kilomètres. Un fois
sur deux je vais chez elle, les autres fois nous baisons chez moi. Il est question
qu'elle obtienne une mutation dans la boite où je l'ai emmené. Elle avoue un jour
qu'il lui arrive de jouir avec une copine qu'elle me présentera pour un trio.
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