Charlotte (Xiii)

- Je t'ai fait peur ?
- tu m'as terrifié et j'ai encore peur de toi.
- il ne faut vraiment pas, ce n'était qu'un jeu. Un jour, si tu en as l'occasion,
n'hésite pas à en faire autant avec moi, j'aime aussi obéir.
- hmmm, faut pas me donner des idées comme ça.
- j'adore ton côté cochon, en fait.
- alors tu vas morfler, ma...
- ...
- ma... non, j'y arrive pas.
- ma petite salope ? vas-y, dis-le, ça m'excite de l'entendre.
- tu vas morfler ma petite salope.
- [grand sourire]"

. . .

Dix heures moins cinq, samedi matin, nous sonnons chez Julie :

- prête ?
- prête !"

Elle porte un débardeur, un petit short et des sandalettes. Plus mignonne que jamais.
Vingt-cinq minutes plus tard, Fabrice nous accueille et lui souhaite la bienvenue, le
temps est radieux, tout le monde de bonne humeur, un grand week-end s'annonce.

Nous avons le temps de plonger dans la piscine avant le déjeuner. Comme promis, tout
le monde est en maillot mais Julie nous fait la surprise de ne porter qu'un bas. Les
seins nus ne choquent plus personne, les plages en sont remplies. Les siens sont comme
on pouvait s'y attendre splendides : 85 C environ, bien ronds, un peu écartés, des
tétons hauts au centre d'étroites aréoles rose clair.

Charlotte se retrouve en quelque sorte prise à son propre piège – mais va s'en servir
– puisque par maillot, elle entendait haut et bas, ce qu'elle porte. Voyant Julie
seins nus, elle enlève son petit haut sur le champs, dévoilant ses seins légèrement en
poire mais fermes, un peu plus gros que ceux de Julie.

- comme ça, on est pareilles !"

Le bas de Julie est un slip vert pomme plutôt mini mais pas provoquant, au contraire
de celui de Charlotte, noir et plus proche du string. Fabrice et moi portons
l'habituel boxer alors à la mode partout.

Nous nous ébattons sans arrière-pensée
pendant une petite heure dans la piscine avant de nous mettre à table. Alors que nous
commençons à manger, Julie, très souriante comme à son habitude, nous remercie encore
de l'avoir invitée et Fabrice de la recevoir.

- [Fabrice] il n'y a vraiment par de problème, c'est au contraire un plaisir que tu
sois là.
- [moi] on est quand même mieux ici qu'en appartement.
- [Julie] quand je pense à tous ces week-ends passés chez moi à attendre le lundi
matin.
- [Charlotte] oublie tout ça Julie. Au fait, on doit aller faire des courses après le
déjeuner, tu auras la piscine pour toi toute seule.
- [Julie] non, c'est plus la peine, je vais le faire, vous m'avez mise en confiance et
j'en avais envie de toute façon."

Elle se lève, baisse son slip et l'enlève, nous laissant admirer son sexe parfaitement
lisse.

- en fait, continue-t-elle, je voulais aussi vous remercier pour ça. J'avais
énormément envie de le faire et vous m'en avez donné l'occasion. C'est le genre de
chose dont on ne parle pas facilement. Hier soir, je vous ai dit que je ne voulais pas
mais c'est le contraire, j'en rêve depuis longtemps. Je n'osais pas le dire, je
n'avais personne à qui l'avouer, personne avec qui faire l'expérience, personne pour
m'encourager à le faire en douceur.
- [Charlotte] bravo Julie, moi je t'applaudis.

Nous la suivons et enlevons tous nos maillots pour être nus avec elle.

- [moi] on dit toujours que c'est facile une fois qu'on l'a fait mais se mettre nu
pour la première fois devant d'autres, en public, ça peut ressembler à une montagne.
- [Julie] et je savais que c'était bête, je savais que je me privais de quelque chose.
Et puis comme tu dis, la montagne qu'on s'en fait, c'est pas croyable. Au milieu
d'autres naturistes comme vous, c'est beaucoup plus facile.
Merci, vraiment !
- [Charlotte] en plus, vous avez vu, on est tous rasés.
- [moi] les grands esprits se rencontrent !"

Dans un éclat de rire général, nous nous rasseyons pour déjeuner.

Julie est immédiatement à l'aise, visiblement très heureuse d'être nue. La voir dans
cette non tenue m'enchante, non sans réveiller ma libido. Son corps est réellement
magnifique et sa nudité éclatante, cette fille ne peut pas ne pas susciter du désir.
Sentant ma trique venir, j'essaye de penser à autre chose : peine perdue, chaque
vision d'elle me rapproche de l'incontrôlable.

- tu veux que je te branle ?" me murmure Charlotte à l'oreille.
- arrête.
- je suis sûre que tu bandes". Elle passe une main sous la table : "et pas qu'un peu
en plus".
- s'il-te-plaît Charlotte, c'est pas le moment.
- au contraire". Elle commence à me branler de sa main gauche tout en continuant à
manger avec la droite comme si de rien n'était.
- arrête s'te plaît.
- bon, d'accord". Elle s'arrête en prenant soin de tirer au maximum sur ma verge,
laissant ma queue décalottée au maximum.
- garce.
- mais non, tu adores ça. Laisse-la comme ça pour qu'elle voit ton gland.
- tu vas me payer ça.
- hmmm, j'ai peur."

- qu'est-ce vous marmonnez tous les deux ?" demande Fabrice.
- [Charlotte] on était en train de parler des équipes.
- des équipes ?!
- pour la partie de volley dans la piscine. Tu te mets avec moi Fabrice ? Julie avec
Sylvain ?
- ça me va !", dit-elle.

À la fin du déjeuner, tous se lèvent pour débarrasser sauf moi qui traîne sciemment
devant mes fraises, voulant éviter de déambuler devant Julie la queue à demi raide et
décalottée. Charlotte aurait mieux fait de me branler jusqu'au bout, au moins ça
m'aurait calmé alors que là, je n'arrive pas à me défaire de mon excitation.

- [Julie] tu finis pas ?
- si si.
"

Elle chipe une fraise dans mon assiette, puis deux, me mettant par la même occasion sa
chatte quasiment sous le nez. Je ne peux plus attendre sinon je vais bander de plus
belle et ce sera pire, il faut que je me lève. "Et merde", me dis-je : je me lève d'un
bond, tant pis si elle voit ma queue dans cette état. Elle ne dit rien, je ne sais
même pas si elle a remarqué, prend mon assiette et se dirige vers la maison, ses
sublimes petites fesses à l'air. Sans attendre le café, je me précipite dans la
piscine. L'eau, ça va me calmer.

Ça marche, je débande complètement, même si mon gland est encore à moitié sorti
tellement Charlotte a tiré sur ma bite. À la vérité, j'aime beaucoup, il m'arrive
souvent de me décalotter juste pour le plaisir et les sensations que ça procure.

- tu ne prends pas de café Sylvain ?
- si, j'arrive !"

Je sors de la piscine complètement débandé, le gland à moitié à l'air, sans complexe,
m'essuie sommairement devant eux puis les rejoins à table. Charlotte me sourit du coin
de l'oeil, je sais à quoi elle pense.

Après le café, la partie de volley qui durera une bonne heure démarre dans la piscine.
Bien que peu académique et sans filet, le jeu est très sérieux et les deux équipes
font tout pour gagner : Fabrice est plus grand et frappe plus fort que moi mais je le
bats d'une courte tête sur le plan de l'agilité ; Charlotte a plus de détente mais la
rapidité de Julie fait la différence. C'est un peu la force contre la souplesse et la
ruse.

En tant que petite dernière et cadette du groupe, Julie est souvent chargée d'aller
chercher le ballon quand il sort de la piscine, un gentil gage qu'elle accepte avec le
sourire et on dirait même un certain plaisir. Bien sûr, nous ne manquons jamais de la
regarder sortir et à nouveau rentrer dans l'eau sans la moindre gêne, que ce soit pour
nous montrer ses adorables fesses ou son bel abricot parfaitement lisse.
Sa poitrine
est remarquablement ferme, ses seins ballottent à peine quand elle saute en l'air ou
frappe la balle. Plus encore qu'excité sexuellement, je suis vraiment admiratif de ce
corps touchant à la perfection. Elle aurait tort de ne pas être naturiste.

Le plus troublant est sa fraîcheur permanente, son innocence et sa totale ingénuité
quand elle déambule entièrement nue devant deux hommes et une femme qui hier encore –
pour deux d'entre eux seulement – ne la connaissaient qu'habillée.

Après la partie, que nous avons gagnée de justesse elle et moi, nous allons nous
balader dans le jardin. Tous la complimentons pour sa bonne humeur, je ne peux
m'empêcher de lui dire :

- on a du mal à croire que c'est ton premier jour de naturisme, on dirait que tu es
naturiste depuis toujours.
- j'ai du mal à y croire moi-même (sourire). Maintenant je réalise que j'en avais
vraiment très envie, j'adore être nue parmi vous.
- [Fabrice] et nous adorons te voir nue aussi, tu es un ravissement pour les yeux.
- [Charlotte] j'ai vu très peu de filles aussi bien faites que toi.
- [Julie] pour être tout à fait sincère, j'ai du plaisir à vous regarder aussi."

C'est un miracle que je ne me remette pas à bander. Mais ça ne dure pas longtemps, et
ils s'en aperçoivent :

- [Charlotte] c'est un peu le problème des hommes dans le naturisme...
- [Julie] je me doutais que ça pouvait arriver. Après tout c'est pas bien grave, c'est
humain, naturel.
- [Fabrice] le problème avec Sylvain, c'est qu'il est souvent naturel ! (éclat de
rire)
- [moi] désolé...
- [Julie] mais non, ne t'excuse pas.
- merci Julie, toi au moins t'es sympa. Les autres c'est rien que des méchants."
(rires)

Nous sommes assis sur l'herbe, en cercle, tous très à l'aise. Charlotte les avant-bras
sur les genoux, jambes entrouvertes ; Fabrice à moitié allongé, nonchalant, son membre
toujours aussi impressionnant reposant sur sa cuisse droite ; Julie en tailleur, son
sexe bien en évidence ; moi jambes allongées, accoudé en arrière sur l'herbe.

Sans rien dire, Charlotte commence à se caresser doucement.

- [moi] et ça, ça arrive souvent à Charlotte.
- c'est vrai, dit-elle, dès que je me sens bien."

Julie la regarde, sans broncher. Soudainement, le silence se fait plus fort. En roue
libre totale, Charlotte se laisse aller à des caresses plus appuyées et comme à son
habitude, se met à mouiller abondamment. Nous la regardons tous les trois, captivés :
c'est beau. Bien sûr, c'est sexuel, "ça se fait pas", mais elle peut se le permettre
tant elle se masturbe avec élégance et distinction, sans une once de vulgarité. Elle
ne gémit pas, lève les yeux vers le ciel comme elle l'avait fait quand elle s'est
masturbée jusqu'à une profonde jouissance chez moi il y a un mois, se mord le bout des
lèvres et respire profondément.

Je ne suis plus du tout gêné de bander, surtout quand je vois la queue de Fabrice
prendre le même chemin. Julie quant à elle hésite, puis se lève et s'approche de
Charlotte :

- je... je peux ?
- bien sûr, je t'attendais."

Elle approche sa main presque tremblante de sa vulve luisante, Charlotte prend cette
main dans la sienne et la place sur ses lèvres :

- viens ma belle, j'en ai très envie.
- moi aussi..."

Sans se préoccuper de nous, Julie caresse à son tour le sexe de Charlotte puis
introduit son index dans son vagin dégoulinant : premier petit gémissement de ma
mouilleuse qui à l'évidence s'apprête à prendre un pied d'anthologie.

Je n'ose pas me branler, Fabrice lui n'hésite pas une seconde, se rapprochant même des
deux beautés pour les contempler d'encore plus près. Charlotte se couche dans l'herbe
en ouvrant complètement les cuisses face à Julie qui y plonge la tête pour goûter son
nectar. À quatre pattes, les fesses en l'air, ne nous cachant plus rien de son
intimité, elle lèche consciencieusement sa nouvelle partenaire de jeu.

"Si j'osais..."

N'y tenant plus, je m'approche de l'irrésistible petit cul de Julie et caresse
timidement sa vulve. Pas de réaction de rejet, elle se cambre au contraire pour me
l'offrir encore mieux. J'imprègne mon index et mon majeur de sa cyprine pour aussitôt
la goûter : délicieuse, un tantinet plus fruitée et douce que celle de Charlotte.
Voyant qu'elle semble se laisser aller, et faire, je m'enhardis à la doigter très
délicatement :

- oui !"

Pas un "oui ! Vas-y défonce-moi !" mais un petit oui discret, prononcé dans un souffle
et de sa petit voix sucrée. Un petit oui adorable, comme elle. Inutile probablement de
lui demander si ma langue la gênerait, et celle-ci de s'aventurer au bord de son vagin
puis d'y pénétrer. Je me permets même d'écarter ses fesses en douceur, ce à quoi elle
ne fait toujours pas d'objection. Il va sans dire que mon envie de la pénétrer est
immense, gigantesque, monumentale, mais un tel acte ne se fait pas sans un minimum de
concertation et même si je n'avais pas signé un pacte de fidélité éternelle avec
Charlotte, j'étais quand même un tout petit peu avec elle.

Fabrice ne sait plus où donner de la tête, bien que le gouinage des deux princesses
ait visiblement sa préférence. J'aperçois furtivement son membre de cheval qu'il
branle avec ardeur, où va-t-il se vider ? Soudain, une envie fulgurante me prend :
j'ai envie qu'il m'encule, là, maintenant.

- tu as des préservatifs ?
- ils sont à la maison."

Dommage.

La mini partouze – eh oui, il n'y a pas d'autres mots [pour celles et ceux qui
suivraient mon histoire depuis le début] – dure environ une demi-heure. Après avoir
copieusement léché, sucé et branlée Charlotte, Julie a eu droit aux mêmes faveurs de
cette première, juste après les miennes. Elle nous offre maintenant une séance de
plaisir solitaire en public, se masturbant devant nous.

Elle ne va pas jusqu'à se doigter le cul – est-ce son truc ? nul ne le sait encore –
mais nous offre un spectacle inoubliable dont les acteurs sont ses doigts, son
clitoris, ses lèvres et son vagin. Elle se branle comme une petite fille, avec des
gestes courts, agiles et rapides. Hésitant entre sourires, espièglerie et honte
feinte, notre petite comédienne sait nous exciter en même temps que prendre son pied.

Fabrice n'a pas encore éjaculé, je le rejoins et me branle avec lui en regardant Julie
se donner du plaisir. Nous observant nous astiquer en silence, Charlotte fait la
remarque :

- j'espère que vous appréciez le cadeau que Julie vous fait.
- [moi] à un point que tu peux difficilement imaginer.
- [Fabrice] je vis un rêve éveillé."

Un petit rire secoue notre ravissante branleuse, toute occupée à sa tâche. L'air de
rien, elle ne perd pas une miette de notre masturbation que Charlotte stimule en nous
caressant les couilles :

- les garçons, soyez assez galants pour la laisser jouir la première.
- [moi] si elle tarde tôt, je ne suis pas sûr de pouvoir y arriver...", je suis en
effet dans un état d'excitation plus qu'avancé.
- je ne suis plus très loin", susurre la belle.

Accélérant encore le mouvement de ses doigts dans son orifice, elle se met à haleter
et... l'extraordinaire se produit : non seulement elle jouit mais de son vagin
jaillissent plusieurs flots de cyprine. Si son orgasme semble la terrasser par son
intensité, il nous met nous aussi dans un état indescriptible. J'avais déjà entendu
parler des femmes fontaine, j'en avais vues dans des films, mais jamais en action sous
mes yeux. Elle est en nage, les yeux fermés, les cuisses repliées puis ouvertes à
nouveau.

- ouille, je... euh, ça ne m'arrive pas souvent, désolée..."

Désolée ?!

- Julie, tu peux être tout sauf être désolée", lui dit Charlotte dans un grand
sourire. "C'était grandiose au contraire, tu es plus belle que jamais."
- merci, alors... À eux maintenant", murmure-t-elle en nous regardant.

J'éjacule le premier en la regardant droit dans les yeux. Mon sperme n'est pas très
abondant, j'en ai laissé beaucoup dans le bol hier soir et je me branle tous les
jours, parfois plusieurs fois, sans compter nos séances de baise avec Charlotte.
Pourvu qu'elle n'en conclue pas que je suis un mauvais coup, déjà que ma queue est
presque ridicule par rapport à celle de mon compagnon de branle, lequel en plus nous
impressionne par la puissance de ses giclées, très fournies, qu'il envoie à près d'un
demi-mètre pour les premières. Il ne débande pas tout de suite et continue à se
branler pour éjaculer une deuxième fois, moins fort quand même.

- une semaine que je n'ai pas joui", dit-il en souriant.
- [moi] ah d'accord, je me disais aussi." (rires)

Charlotte est attendue comme le bouquet final, elle veut...
- que vous me léchiez tous les trois."

Julie se lève et se joint à nous devant ma chère mouilleuse qui n'a jamais autant
mérité son nom. À tour de rôle, nous lapons sa fente baignée de mouille sans cacher
notre plaisir. Voir Julie s'acquitter de cette tâche m'électrise, je me remets à
bander. Le voyant, elle me sourit furtivement, je caresse sa vulve encore trempée sans
qu'elle me repousse.

Mais concentrons-nous sur Charlotte.

Sachant qu'elle n'a rien contre et que je n'ai plus de gants à prendre après ce
qu'elle m'a fait hier soir, je lui doigte vigoureusement le rectum, ce qui ajoute du
plaisir à celui que lui donne déjà sa chatte branlée par nos langues.

- Sylvain, tu triches", me dit-elle sur un ton faussement sévère.
- pas du tout : Julie, Fabrice, vous avez le droit d'en faire autant, elle adore ça."

Fabrice ne s'en prive pas alors que Julie, intimidée ou dégoûtée, n'ose pas.

- je t'apprendrai ma belle", lui dit Charlotte.

De doigts en langues, de caresses en pénétrations, nous déclenchons son orgasme :
intense et furieux. Elle reste debout devant nous, la tête haute et l'air comme
toujours fier, nous donnant à contempler son sexe comblé, rassasié, maculé de nos
salives et de sa cyprine encore ruisselante.


À suivre . . .

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