Abusé Par Roger, Un Ami De Mon Père (2)
Après la fameuse première fois avec Roger, rien na plus été comme avant. Cette étrange mésaventure a complètement brouillé lidée que je me faisais de ma personnalité, de ma sexualité
A la fois javais honte et je ne me reconnaissais pas dans ce « garçon » traité comme une fille, et à la soumission. Et dun autre côté, je navais jamais eu autant de plaisir. Bien sûr, je me répétais que je ne rêvais que de pouvoir enfin faire lamour avec une fille. Mais les nuits suivantes, lorsque je glissais nu dans mon lit, la caresse du drap sur mes fesses mexcitait. Jimaginais que cétait les mains de Roger. Je me caressais alors moi-même les fesses, puis mon petit trou
et invariablement, je finissais par me branler, en me ramonant lanus avec un ou deux doigts, et en me représentant Roger en train de me défoncer tout en minsultant.
Bien sûr, je me suis arrangé pour ne plus croiser Roger : je ne quittais plus ma chambre dès que je lentendais rentrer, sauf nécessité, pour aller aux toilettes, et je ne manquais pas de fermer le verrou intérieur, pour « conserver mon intimité ».
Mais une semaine jour pour jour après que Roger a abusé de moi, jai entendu des pas lourds sapprocher de la porte de ma chambre, et jai vu la poignée tourner. La voix de Roger retentit alors, rythmée par des coups de poings sur la porte :
-Ouvre Ptite pute, jai à te parler !
-De quoi ?
-Toccupes, je suis ici chez moi et je vais où je veux tu mentends.
Sa voix était si autoritaire, que je me suis immédiatement dirigé vers la porte, les jambes flageolantes, et jai retiré le verrou. La porte sest immédiatement ouverte sur un Roger tout énervé.
-Bon jai réfléchi après à propos de lautre fois.
-Mais
-Ta gueule, ne minterrompt pas ! Tu ne crois tout e même pas que je vais laisser une tafiole faire la loi chez moi ! Jai réfléchi, je veux bien te garder, mais il va falloir que tu règles une sorte de loyer !
-Quoi ?
-Oui, ce sera, comme qui dirait, un loyer hebdomadaire : Tous les jeudis, à partir daujourdhui, tu seras la petite pute de tonton Roger, tas compris ?
-Mais.
-Ta gueule ! On est jeudi justement, alors tu vas commencer aujourdhui. Et comme je suis quand même gentil, regarde, je tai apporté une tenue de travail !
Il jeta sur mon lit la pile de vêtements quil avait sur le bras.
-Je te donne 20mn pour te préparer ! Et tas intérêt de te faire jolie sinon gare !
Je restais devant lui, abasourdi.
-Ah oui au fait, je veux aussi que tu sois propre ! Je tai laissé une poire à lavement dans les toilettes, tu sais ten servir ?
-Euh, oui je crois
-Bon très bien, dépêches toi ! Et quand tu es prête, tu me rejoins au salon.
Encore une fois je me retrouvais désemparé, jai fait ce quil ma demandé, je suis passé sous la douche, et jai mis les vêtements quil avait apportés. En fait de vêtements, il y avait un porte-jarretelles noir, et des bas, que jai enfilés. Cela me faisait un drôle deffet la caresse de ces bas sur mes cuisses. Je me disais que les femmes devaient se préparer ainsi avent les rendez-vous galants. Jai enfilé le slip noir en dentelles : cétait un string. Je me suis contemplé devant le miroir, cest vrai que mes petites fesses étaient belles, soulignées par ce petit triangle de dentelle, qui pointait vers ma raie, semblant indiquer : « cest là que cela se passe ! ». Jai ensuite mis la robe en satin (ou était-ce une nuisette ?), qui me caressait agréablement la peau. Et jai compléter ma tenue par la perruque blonde quil avait joint au « déguisement ». Et là, il se produisit quelque chose de bizarre : la silhouette que je contemplais dans la glace nétait plus moi. Je me suis amusé à me trémousser au son de la musique devant la glace, cette blonde était gracile et sensuelle. Je me suis caressé les seins, ma peau était douce, je mexcitais moi-même. Je pouvais le constater en passant une main sur mon micro-slip, il était tendu comme un arc tellement que je me faisais moi-même bander.
-Eh bien, elle samuse toute seule la petite salope !
Roger venait de rentrer dans ma chambre.
-Hmmm, tes belle comme cela tu sais ! Mais vas-y ne te dérange pas pour moi, continue à danser.
Je neus pas le temps de réagir, Roger était déjà derrière moi, métreignant tout en contemplant mon visage en regardant dans le miroir au-dessus de mon épaule. Il me plaqua une main sur un sein, et lautre sur le sexe quil caressa de la paume à travers la mince étoffe.
-Oui vas-y, danse, remue tes petites fesses ma belle.
Pour une fois, il était assez doux, et mon déguisement semblait lever mon inhibition. Je devenais une autre, une qui était terriblement excitée par le sexe quelle sentait grossir contre ses fesses. Je me mis à onduler de la croupe, et à monter et descendre mon petit cul le long du sexe de Roger, comme si je voulais le branler avec mes petites fesses. Je voyais dans la glace une gogo danseuse sensuelle, sadonnant à la pole danse sur la barre de Roger. Et cette danseuse me faisait bander à en faire craquer ce petit slip qui menserrait le sexe. Roger passa sa main sous ma robe pour remonter à nouveau vers mon sexe.
-Oui, tes très excitante ma petite chérie comme cela. Tu sens comme tu me fais bander ma petite cochonne.
Cela je ne pouvais pas lignorer ! Pas plus que la caresse des mains de Roger, lune sur mon mamelon gauche, devenu dur comme de la pierre, et lautre qui poursuivait sa caresse le long de ma tige. Cétait insupportablement bon. Je tentais de retenir le désir qui montait le long de ma queue, inexorablement, comme tirer par la main experte de Roger. Mais rien ny fit, je sentis un jet gluant maculer ma culotte au moment même où la main se posa sur mon gland.
-Mais cest quelle mouille la petite salope, regarde-moi cela comme cest tout gluant !
Roger, se frottait à mes fesses de plus belle, en massant mon gland gluant à travers mon slip. La caresse devenait insoutenable, dautant plus que ses amples mouvements entrainaient la ficelle du string. Celle-ci allait et venait entre mes fesses, lubrifiée par ma propre mouille.
-Tes belle quand tu jouis ma petite salope ! Et tu mexcite aussi avec ton petit cul tout dur, tu sais !
Il remonta plus haut ma robe pour découvrir mes hanches.
-Cest la grosse bite de Roger dans ton petit cul que tu veux hein ? Attends, je vais te prendre sur ton bureau !
Dun geste puissant, il me poussa entre les omoplates, tout en maintenant mon petit cul collé à sa bite. Mon buste saffala sur mon bureau.
-Oh oui je vais te le prendre ton petit cul ma belle salope.
Il approcha la chaise, et me posa un pied dessus. Jétais manipulée comme une poupée, mais cela me plaisait assez. En jetant un il au miroir légèrement derrière moi : Je vis un petit cul de rêve découvert par une robe relevée jusquaux hanches . Me voir ainsi me faisait bander encore plus. Jaurais presque aimé être à la place de Roger pour pouvoir enfoncer ma bite entre ces fesses magnifiques ! Mais à vrai dire, cela, cest ce que réclamait ma queue, parce que mon petit cul, lui, désirait toute autre chose. Et je sentais que ce vieux vicieux de Roger allait me le donner ;
Je le vis descendre le zip de sa braguette, sa belle verge jaillit, toute raide. Il écarta la ficelle de mon string. Ma position ouvrait mes fesses et découvrait complètement mon petit trou. Il le caressa de son pouce, en utilisant ma mouille pour le lubrifier.
-Ah, si tu voyais ton petit illet en étoile, cest pas possible, il a été fait pour accueillir des bites !
Sa caresse mexcitait terriblement, je me cambrai davantage, offrant complètement mon trou à son pouce quil fit rentrer sans difficulté.
-Hmmmm, ouiii, oh ouiii !
-Tu es chaude toi ! Regarde-moi cela comme tu tagites tes petites fesses sur le gros doigt de Roger. Cest bon ça hein !
-ouiii, ouiii, cest bon !
Je me trémoussais pour quil enfonce son doigt au plus profond de moi. Ce quil faisait maintenant sans ménagement. Mon trou était tellement ouvert et lubrifié que son gros pouce coulissait sans problème. Cétait bon ! Il y mettait tellement dardeur, que parfois, la pince de sa main puissante me soulevait du sol, mobligeant à me cramponner à ma table de travail. Mais même cette brutalité me plaisait ; cette impression fugace de tomber, de mabandonner totalement à la force brutale de Roger, qui me ramonait de main de maitre. Mais, jétais tellement ouvert, offert, que jen voulais plus. Ma croupe projetée vers larrière réclamait plus gros, plus profond.
-Oui, tas le trou bien ouvert ma petite salope !
-Ouiii !
-Cest la grosse bite de Roger que tu veux hein ?
-Ouiii !
- Vas- y ! Réclame la !
- Ouii, sil te plait, prends moi !
- Dis ce que tu veux !
- Ta grosse bite !
- Où ça ?
- Dans mon petit cul ! Sil-te-plait, vas-y, prends-moi comme une chienne !
Décidément, mon travestissement me poussait à me lâcher complètement !
- Oui ma jolie, je vais te le défoncer ton petit cul, tu vas voir !
Il retira son pouce de mon anus, et magrippant fermement les hanches, menfonça violemment son pieu jusquà la garde.
-HHHannnn !
-OOOh !
Son bas-ventre heurta si violemment mes fesses, que mes pieds décolèrent du sol ! Mais cette fois mon corps nétait pas retenu par sa main en pinces, mais par son braquemart puissant, qui mécartelait complètement !
Et à ma grande surprise, je ne ressentais pourtant aucune douleur, mon cri était un cri de plaisir et de stupéfaction. Je nen revenais pas quil ait pu me prendre aussi violemment sans me déchirer, sans même me faire mal ! Dun seul coup, il mavait complétement rempli !
-Tétais bien ouverte ma salope, cest rentré comme dans du beurre !
Roger me pilonnait comme sil sapprêtait à mourir, il sétait peut-être retenu trop longtemps, et sentait quil devait se dépêcher den profiter. Mais je men foutais, jétais tout à mon plaisir : agité et brinquebalé sur la queue de Roger qui me propulsait au septième ciel à chacun de ses coups de reins puissants.
-Ouuii, cest bon, oh cest bon.
-Tien régale-toi ma petite pute, je vais te casser le cul, tu vas voir !
Parfois il relâchait une de mes hanches, pour madministrer une claque sonore sur la fesse. Mais cela mexcitait encore plus. Je me cabrais de plaisir, tel une jument sous la saillie.
- Hmmm ! Ouiii ! encore !
- Tiens , hhan ! hhan !
Au moment où Roger madministra lultime assaut, le plus puissant, il se figea au plus profond de moi, en mempoignant par un sein et par mon sexe. Le contact de cette main se crispant sur mon gland fut insupportable: Je jouis instantanément ! Mais aux longs jets maculant les doigts de Roger à travers la fine étoffe, répondirent le tressaillement de la queue dans mes entrailles : Roger me remplissait de son sperme. Et comme déjà sa queue occupait toute la place, je sentais les pressions produites par ses jets. Elles manimaient de spasmes insoutenables. Pendant un temps qui me sembla une éternité, Roger se vida ainsi complétement, en moi, sa femelle. Ses mains et ses bras puissants comprimaient mon corps entier. Je nétais plus que le réceptacle de sa semence, mais cette déchéance me comblait de plaisir.
Quand enfin son étreinte se relâche, il se retira, en sessuyant la main sur mes vêtements.
Il rabattit ma robe, après mavoir donné une claque affectueuse sur une fesse.
-Cétait bon ma puce, tu mas bien fait jouir tu sais ! Allez, vas te laver !
-Oui.
-Eh noublie pas, jeudi prochain, on remet cela !
-Oui.
Je métais à prendre un air résigné et fataliste pour répondre, mais en vérité, il me tardait dêtre à nouveau jeudi !
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