La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°195)
SoumiseDarlaMDE conte son séjour au château :
Le lendemain matin, Mon Maître, le Marquis dEvans me réveille en mordonnant sur un ton à la fois doucereux et directif : « Darla, lève-toi ! ». Il doit le répéter car je suis en train de rêver et je suis toute étourdie. Je massois et mon Maître me donne 10 secondes pour me mettre buste droit, tête baissée et mains derrière le dos, en position agenouillée au pied du lit. Je mexécute prestement. Ensuite, Il me dit alors de lattendre accoudée, penchée en avant sur le plateau de son meuble bureau-secrétaire flanqué dans un angle de Sa chambre. Mon Maître madmire positionnée ainsi, cul bien offert aux fesses si arrondies et au bout dun moment de silence, Il mordonne daller chercher mes talons. Je souhaite me replacer dès que je reviens mais je reçois une bonne fessée car jai mis plus de temps que prévu pour revenir avec mes chaussures car celles-ci ont été déposées dans le couloir, comme il men avait informé préalablement. Je me penche à nouveau sur la table-bureau, jambes le plus écartées possible et je sens le corps de mon Maître sur mon dos. Sans préambule, Il me pénètre le sexe et dès que je le sens tout au fond à lintérieur de moi, je me sens soulagée, apaisée car la situation me fait mouiller énormément dêtre réveillée ainsi. Mon Maître commence à faire des vas et viens et mon plaisir augmente à la mesure de mes ressentis voluptueux. Je gémis et je lexprime à mon Maître tout le plaisir et lhonneur que jai à Le recevoir en moi de si bon matin. Il me baise toujours avec une régularité de métronome
Mon Maître, le Marquis, nous déplace devant le grand miroir de la belle double porte vitrée de larmoire en merisier massif et il mordonne de nous regarder en train de forniquer. Il me prend par derrière comme une petite chienne. Jaime nous voir quand Il me baise, oui car je me vois étant sa chose, sa poupée, son objet. Cette vision ne mempêche pas pour autant de pleinement ressentir le plaisir physique et donc psychologique dêtre limée par mon Maître Vénéré.
Le Marquis dEvans mamène vers la banquette. Il me fait mettre à quatre pattes et commence alors une levrette pendant laquelle mon Maître me donne de grands coups de bite qui mexcitent beaucoup. Après chaque coup, jentends un han ! sortir de la bouche de mon Maître puis des râles de jouissance en déchargeant sa semence en mon bas ventre. Moi, cest dêtre si bien remplie qui me libère dun orgasme puissant. Après avoir laissé nos spasmes de plaisirs se calmer, Il mempoigne par les cheveux et me force à le suivre jusquau lit et Il mordonne de le nettoyer et de le sucer tant quil naura pas repris de la vigueur. Au bout dune dizaine de minutes de succions et sous mes divins coups de langues, mon Maître se remet à bander tel un taureau en rut. Alors, nous revenons sur la table de Son bureau et le Marquis me prend encore le sexe largement offert alors que je suis sur le dos. Je me tiens fort sur le bord de la table pour ne pas glisser. Ses coups sont tantôt durs, tantôt plus doux. Mon Maître met mes jambes sur le côté et en tenant mes hanches plus tendrement, il me baise plus doucement. Ensuite, il me retourne à nouveau, jambes tendues posées par terre, et sans préambule, Il mannonce quil va me sodomiser. Mon excitation me permet daccepter sans rébellion sa pénétration anale. Dailleurs je nai rien à lui refuser, car Il est mon Maître. Mais quand il force mon anus de Sa queue bien dure, jai mal et je crie de douleur, sa queue entre à moitié. Le Marquis reste sans mouvement quelques secondes, le temps que mon anus se dilate progressivement. Après un bref temps dattente, où Il en profite pour masturber mon clitoris, il commence à faire des vas et vient. Je me sens mieux même si la douleur est encore un peu présente. Mon Maître me bourrine assez durement le cul, je suis à demi allongée sur le ventre, étendue sur cette large table, les bras en croix, offerte, remplie, bien remplie ...
Là encore, au bout dun certain temps, mon Maître nous déplace vers le miroir de larmoire pour me montrer sa queue qui rentre et sort de mon cul.
Après un long moment de câlins, Le Marquis dEvans regarde sa montre et me dit quon va descendre dans le grand salon et quil va me présenter à son compagnon, le bien aimé David, qui, si celui-ci est ponctuel devrait nous y attendre. Il mannonce que plusieurs personnes seront aussi présentes car Il tient à montrer sa nouvelle acquisition, sa Darla soumise comme il aime mappeler sa belle petite chienne. Il me met donc une laisse au cou accrochée à mon collier et me fait descendre létage à quatre pattes. Dans le couloir menant aux escaliers capitonnés de velours rouge, nous croisons esclave11299MDE en train de se faire sodomiser en bas des premières marches par un géant noir entièrement nu et au membre impressionnant, ce dernier tirant par derrière le collier de lesclave, ce qui fait relever la tête du soumis. Celui-ci transpire abondement et ses yeux ronds largement ouverts montrent la douleur de la sodomie mais aussi un certain plaisir dêtre pris comme un bon chien de rue à grands coups de boutoir.
Une fois arrivés au grand salon, japerçois une petite dizaine dhommes tous habillés avec goût et savourant un alcool léger vu lheure matinale. Tous se retournent et madmirent en silence en me dévisageant de la tête au pied ou plutôt vu ma position de quadrupède, de la tête devant aux orteils à larrière. Mon Maître montre mes seins à un homme venant à notre rencontre, tout en me les pelotant.
Maître me dire :
- Darla, je te présente David, mon compagnon. Tu seras à sa disposition comme tu les avec Moi.
Celui-ci sans dire mot continue à me tripoter et me malaxer le dos, et sattarde sur mes fesses et masturbe ma chatte déjà bien humide, je dois lavouer, puis je lentends me dire :
- Je suis certain que cette petite chienne à soif, tient va boire dans la gamelle là vers le grand buffet.
Alors je mexécute en commençant à avancer, au moment où il me donne une bonne tape sur mes fesses comme sil voulait faire avancer un cheval en le frappant sur sa croupe. Je dois traverser à 4 pattes toute la pièce pour accéder à la gamelle et cela sous tous les regards des hommes présents. Des mains en profitent pour me peloter au passage. Une fois arrivée devant le buffet, je trouve de leau dans une gamelle creuse et je me mets à laper à plusieurs reprises afin de boire dedans comme une chienne. Ma croupe est bien en vue et chacun des convives prend plaisir à me voir ainsi.
Le grand salon dans lequel nous nous trouvions était orné d'une immense cheminée qui réchauffait la pierre, et le sol était jonché de tapis afin d'accueillir les genoux des soumises. Jétais ravie : Les convives faisaient partie de l'élite du SM, respectueux et dont la compagnie me paraissait fort intéressante. Je ne craignais qu'une chose : Ne pas être à la hauteur de ces personnes qui me semblaient avoir tellement plus d'expérience que moi ! Mais lorsque jeu finit de laper mon eau dans la gamelle, en me retournant, japerçus le regard de mon Maître, le Marquis dEvans, regard qui me rassurait par son sourire attendri et à la fois assuré.
Soudain, un coup de gong retentit lourdement, sortit de je ne sais où. Et une soumise nue entra tête baissée, accompagnée et maintenue par les bras par deux esclaves mâles à la musculature virile.
La jeune soumise était solidement maintenue par des sangles et plusieurs autres soumises maintenaient ses cuisses largement écartées. Un des convives, qui devait être expert dans la pose danneau, préparait le matériel sur une table qui faisait guide détabli. Toutes sortes doutils y était entreposés. L'idée même de cette pose me faisait mal. Je m'imaginais à sa place et je tremblais de peur et paradoxalement d'envie à la fois. Le Maître expert se pencha vers son entrecuisse. Je ne voyais plus très bien ce qui se passait et le Marquis, qui souhaitait que je ne rate pas une minute du spectacle, m'ordonna dun claquement de doigts de me rapprocher. Déjà, la jeune soumise se cambrait sur son fauteuil, jusqu'à ce qu'un immense cri résonna dans la pièce. Elle semblait s'être évanouie mais je vis bientôt ses yeux se rouvrir et, au travers de ses larmes, un large sourire illuminer son visage et destiné à son (notre) Maître le Marquis dEvans. Elle semblait heureuse et fière d'avoir accompli ce merveilleux don d'elle-même. Après quelques minutes de caresses et de réconfort promulgués par le Maître, la jeune soumise fut détachée et les hôtes furent invités à rejoindre la salle où le repas allait être servi.
Le Marquis dEvans avait exigé notre présence près de lui. Je dis notre car il y avais aussi la soumise émeline (je sus après quelle sappelait ainsi) à avoir l'honneur de dîner avec moi sous la table comme notre Maître venait de nous lordonner. Les autres soumises étaient chargées du service et donc je notais dans ma tête que mon Maître avait du changer davis car je devais servir à table dès ce premier soir, je supposais donc que cela ne fut que reporté
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