En Panne Chez Un Paysan
Un soir dhivers, je rentrais dun dîner en voiture et au bout de quelques kilomètres il fallait que je prenne un long chemin de campagne pour pouvoir rejoindre la nationale. Sous mon manteau ouvert, je portais une longue robe noire près du corps, fendu sur le côté gauche et des escarpins à talons hauts. Je navais pas de soutien gorge et mes jambes étaient galbées par mes bas noirs qui remontaient jusquà la naissance de mon string ficelle. Il faisait froid, il pleuvait et je pouvais à peine voir le chemin boueux.
Soudain, ma voiture a cessé davancer et sest embourbée. Jessayais à plusieurs reprises daccélérer mais sans succès. Je pris mon téléphone portable, mais aucun réseau
Quand tout à coup je vis surgir une ombre dans les phares de ma voiture. Jouvris la fenêtre et là un paysan se mit à me parler avec laccent du coin. Vu lheure tardive, les garages étaient fermés, et il me proposa alors de mhéberger jusquau lendemain matin.
Après une courte hésitation je me rendis vite compte que son hospitalité était indispensable et que je me trouvais dans une impasse. Je sortis alors de la voiture en ouvrant mon manteau pour passer mes jambes en dehors et en descendant ma robe fendu laissa apparaître la naissance de mes bas. Le paysan me tendit la main et je mappuyais alors sur son épaule pour avancer dans la boue. Il était plutôt grand et charpenté avec des trait assez grossiers, et il me fit entrer dans sa maison.
Trempée par la pluie jenlevais aussitôt mon manteau, ma robe moulante laissait apparaître mes tétons durcit par le froid et je vis que le paysan ne manqua pas de les voir. Puis il me dirigea vers une grande pièce meublée dune table rustique, de 4 chaises et dun fauteuil à bascule. Et au fond de la pièce un feu rayonnait dans une grande et large cheminée. Le paysan me regarda marcher jusquà la cheminée sans oublier de reluquer ma croupe ! Je détachais mes cheveux et je restais là un instant face à la cheminée.
Le froid mavait envahi tout le corps et ce feu était une véritable aubaine. La soirée avait été bonne et bien arrosée, je me sentais dhumeur joyeuse et malgré lincident javais une folle envie de profiter de cet instant de chaleur. Je décidais alors de retirer ma robe pour la faire sécher sur une chaise en attendant que le paysan revienne.
Ma robe glissa le long de mon corps et la caresse de létoffe me fit frissonner. Je gardais mes bas et mon string ficelle ainsi que mes chaussures à talons, et je me rapprochais alors un peu plus du feu. Puis jécartais légèrement mes cuisses pour profiter pleinement du foyer. La chaleur des flammes menvahissait doucement.
Pendant que je décidais de retirer mon string pour profiter davantage de ce plaisir inattendu le paysan était revenu et se tenait à lentrée de la pièce. Je ne lavais pas remarqué, je fis glisser ma main sur ma mince toison et mes doigts effleurèrent mon clitoris gonflé par la chaleur et lexcitation de linstant. Puis je retirais mon string en me penchant en avant et en exposant généreusement ma croupe qui sécartait au fur et à mesure que je me baissais.
A cet instant le paysan sentit son sexe se durcir dun seul coup et ses joues devenaient rouges. Il était ébahi par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Lhomme un peu bourru ne tenait plus, le pantalon déformé par la tension et les yeux écarquillé et navait quune envie, venir explorer ma chatte chaude et humide.
Alors, jentendis des pas lourds se rapprocher de moi. Je ne me retournais pas et je fis mine de ne rien remarquer
Le paysan sapprochait de moi par derrière et je frémissais dexcitation. Quallait-il se passer ? Comment allait-il maborder ?
Brusquement il se colla à moi et instantanément Jai glissé ma main hardiment sur son corps jusquà ce que jatteigne sa bite, et je pu sentir sa force.
Puis il se détacha et mallongea sur la table sur le dos. Il tira mes jambes vers lui en les écartant et enfouie sa tête entre mes cuisses. Le moment où il inséra sa langue dans ma fente était le moment de libération. Un simple effleurement suffisait à me faire pousser des cris dextase. Il a plongé sa langue au cur de ma chatte humide et a sucé mon jus. Comme je commençais à mextasier de nouveau, il glissa son doigt dans mon petit trou. Je me suis abandonné à ces plaisirs jusquà ce quil saisit sa queue et la mit à louverture de ma chatte. Il se laissa glisser doucement à lintérieur de moi, je gémis à nouveau. Avec une main, il ma caressé les fesses, et son autre main retenait ma main. Je cambrais le dos à la baisse des répercussions sur mes fesses pour monter plus haut et comme il était devenu plus ardent dans le rythme et la respiration il poussa un cri de satisfaction sans restriction. Je pensais que jallais exploser en mille morceaux et je frémissais de façon incontrôlable en raison de spasmes de plaisir.
Ensuite il me fit signe de venir à lui. Il sétait assis sur une chaise et guida ma bouche à son sexe. Alors je lengloutis goulument et le suça profondément. Jalternais le rythme pour faire durer le plaisir et ma langue jouais à de long vas et viens tout de long de sa verge.
Pendant ce temps là je navais pas remarqué que le jeune fils du paysan nous matait. Il sétait caché dans un coin de la pièce derrière moi et reluquais mes fesses bien ouvertes alors que jétais à genoux en train de sucer son père. Cest alors que je sentis 2 mains se poser sur mes hanches et le jeune menfourcha précipitamment par derrière avec hâte. Je fus prise par surprise et comme je ne pouvais pas bouger, les mains du paysan posées sur ma tête et celles du jeune sur mes hanches, je me laissais aller à cette cavalerie qui mexcitait au plus haut point.
Les gémissements de chacun nen finissaient pas jusquà ce que nous fassions un trio dextase ! Le paysan explosa dans ma bouche au même moment ou son fils jouit en moi et que jatteignais le 7è ciel.
La nuit fut bien méritée et cest abasourdit et satisfait que chacun regagna sa chambre sans dire un mot
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