Damien 60 - Hamid
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le samedi j'étais seul chez moi.
Je décidai d'aller chez le voisin, qui était un ami qui travaillait à lambassade du Maroc, emprunter quelques disques.
Comme j'avais la clé je pus entrer alors que l'occupant des lieux était absent.
Au moment où je passais la porte j'entendis comme un gémissement.
Curieux je marchai vers ce bruit feutré et en entrant dans le salon ce que je vis me laissa bouche bée.
Le gardien de la maison, prénommé Mohamed mais que tout le monde appelait Hamid, était nu et se branlait lentement en regardant une revue pornographique.
Quand il m'aperçut il arrêta ses mouvements et tenta de se cacher.
Je dois dire que j'étais totalement abasourdi par ce que je voyais, Hamid avait le pubis rasé et possédait un sexe noir d'une taille bien supérieure à la moyenne.
Je fus tout de suite convaincu qu'il me fallait cette bite, rien que la regarder m'excitait, je questionnai "Mais qu'est
ce que tu fais Hamid ?
- Je t'en supplie ne dis rien au patron.
- Ne t'en fais pas, mais tu ne crois pas que tu pourrais
faire autre chose que te branler, surtout sans fermer la
porte.
- Il y a longtemps que je n'ai pas baisé et j'avais très
envie, comme je n'ai pas de fille ici alors j'ai pris ce
livre dans la chambre du patron.
- Je comprends mais ce n'est pas parce quil n'y a pas de
filles qu'il faut se branler.
- Que veux-tu que je fasse, il n'y a même pas un zamel.
- Est-ce que tu es sur ?
- Oui je suis sur.
- Vraiment ?
- Oui".
Pendant notre discussion le pénis n'avait pas débandé et j'avoue que je devais me retenir pour ne pas tomber à genoux et le prendre dans ma bouche, me tournant vers la sortie je dis au gardien. "Bon et bien je vais aller prendre des disques
et te laisser à ta branlette mais tu ne sais pas ce que tu
as perdu.
- Attends Damien, tu veux dire que tu es zamel ?
- Ca te dérange ?
- Non mais je ne le crois pas, je t'ai vu déjà avec des
putes.
- Et alors ?
- Je croyais que tu aimais baiser les putes.
- Bien sur mais j'aime aussi me faire baiser.
- C'est pas vrai ?
- Si et si tu veux je vais te le prouver".
Je me mis à genoux et prenant le priape entre mes mains je portai un coup de langue sur le gland au bout duquel perlait une goutte de sperme translucide que j'avalai avec délice.
Puis j'ouvris tout grand la bouche et j'entrepris une lente fellation.
Hamid se retira et m'a dit "Non.
- Pourquoi tu n'aimes pas la sucette ?
- Non moi je suis un homme et je baise.
- Mais tu sais que l'un n'empêche l'autre.
- Peut-être mais moi je n'aime pas la bouche, quand je suis
avec un zamel c'est son cul qui m'intéresse.
- Mais
.
- Ecoute c'est simple ou tu me donnes ton cul ou tu rentres
chez toi.
- Bon si tu veux simplement baiser, alors baisons.
- Bien alors enlève ton pantalon et mets-toi à quatre pattes
sur le tapis".
Un peu surpris mais toujours excité par ce membre énorme je commençai à me déshabiller.
Après avoir enlevé mes chaussures j'entrepris de déboutonner ma chemise.
Le gardien m'arrêta en disant "Non c'est pas la peine de te
mettre nu, ce qui m'intéresse c'est ton cul pas le reste
alors dépêche toi baisse ton pantalon que je te baise".
Je compris qu'avec lui ce ne serait pas dans la douceur.
Hamid était un être frustre et je voyais bien que la seule chose qui comptait pour lui en ce moment c'était de m'enfoncer sa pine dans le cul.
A ce moment précis il ne voyait en moi qu'un pédé, c'est à dire une possibilité de se soulager de manière plus agréable qu'avec sa main.
C'est à cet instant, en faisant descendre mon pantalon et mon slip, que je me dis qu'étant donné la taille de la queue de cet homme j'avais peut-être été imprudent car je ne le voyais pas me prendre avec précaution.
Je me mis à quatre pattes et Hamid se mit à genoux derrière moi, il fit glisser son majeur dans ma raie et dit "Voilà
comme ça c'est bien.
- Fais doucement Hamid, tu as une très grosse bite.
- Bien sur petit zamel".
Positionnant son énorme hampe contre mon illet Hamid me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins sans aucune préparation.
Je crus que j'allais mourir, la douleur fut telle que ma respiration se bloqua.
J'avais l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux, quand l'air revint dans mes poumons je poussai un hurlement déchirant et me mis à pleurer à chaudes larmes tant j'avais mal.
Sans aucune considération pour moi Hamid se mit à me besogner à une vitesse folle m'arrachant à chaque fois des cris de souffrance.
Hamid me baisait avec une telle violence que j'avais peur qu'il me déchire complètement.
au bout de quelques instants il plaqua son ventre contre mes fesses et éjacula en râlant.
C'est la première fois depuis longtemps où je ne ressentais aucune plaisir, il faut dire qu'il m'avait pris comme une bête cherchant simplement son plaisir.
Toujours fiché entre mes reins Hamid me dit en me mettant une claque sur les fesses "Alors zamel tu vois que c'était pas la
peine de faire doucement, tu as un bon zouk mon zob est
rentré comme dans du beurre.
- Mais tu m'as fait mal et d'ailleurs j'ai toujours mal.
- Ca je m'en fous tapette, moi par contre ça m'a fait du bien
au zob, mais tu sais mon zob est toujours dur et il est
toujours dans ton cul alors je vais encore te baiser zamel.
- Je t'en prie fais doucement, c
.
- Ecoute zamel je fais comme je veux avec ton cul, c'est moi
l'homme toi tu es la pute alors je te baise comme je veux
si je veux faire doucement je fais doucement si je veux
faire vite je fais vite. Tu as compris sale pédé ?
- Oui Hamid.
- Tu dois dire `oui mon homme`.
- Oui mon homme.
- Bien petit pédé et écoute moi je ne t'ai rien demandé,
c'est toi qui est venu me donner ton cul alors je vais te
baiser jusqu'à ce que ma bite soit vide, pour moi que c'est
mieux que la sucette. Allez arrête de pleurer comme une
pute tu vas voir ton cul va s'ouvrir à force que je le
baise".
Posant ses mains sur mes hanches Hamid commença à aller et venir vivement en moi.
Il me possédait de toute la longueur de son fabuleux phallus, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au tréfonds de mon cul la seconde suivante.
Au début chaque poussée me faisait crier de douleur mais peu à peu, sous les coups de boutoir redoublés, mon anneau céda et la bite turgescente put coulisser entre mes fesses sans gène aucune.
Sous les puissants assauts répétés de mon amant le plaisir commença à s'insinuer en moi et je me mis à gémir.
Hamid s'en aperçut et me dit "Alors tu vois tapette, tu aimes
bien que ma bite t'encule, t'inquiète pas je vais te donner
ta mère tu vas voir".
Me prenant aux épaules mon homme se mit à me sodomiser encore plus violemment, son ventre musclé claquait contre mes miches portées au rouge à me faire mal.
Chaque coups de reins était ponctué de "Tiens sale tapette,
prends ça dans ton cul".
Je ne sais combien de temps mon mec m'encula de la sorte.
J'avais l'anus complètement éclaté et dans la pièce en dehors de mes râles langoureux on entendait les bruits de succion que faisait mon trou du cul lubrifié par la précédente enculade chaque fois qu'il avalait le priape distendu.
Sous cette rude possession je me sentis partir.
J'avais de plus en plus de mal à garder les sens des réalités et je me mis à crier de bonheur chaque fois que Hamid s'enfonçait en moi jusqu'à la garde.
Les coups de bite que je recevais étaient si violents que j'avançais sur le tapis à chaque poussée.
Je planais littéralement sous les rapides va et viens que je recevais, je ne vivais plus que par et pour le pénis qui me forait les reins.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui m'envahissait.
J'avais atteint la plénitude rectale et pour moi seul comptait le fabuleux membre qui m'ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu'il plongeait dans mon intimité en fusion.
Les doigts crispés dans la chair de mes épaules Hamid me pilonnait l'arrière-train avec des "HANS" de bûcherons, j'avais atteint le point de non-retour et je me suis mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon cul Hamid explosa en feulant.
Ses jets de sperme crémeux m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur.
Mon corps se tendit comme un arc, je me cambrai au maximum tendant mon postérieur vers la bite qui continuait à couler en moi pour accen la pénétration.
De ma gorge pulsa un hurlement strident et je m'écroulai au sol entraînant celui qui me montait.
Quand je rouvris les yeux j'étais allongé à plat ventre sur le sol.
Hamid était toujours planté entre mes deux lobes charnus, je sentais palpiter en moi le sexe toujours en érection.
Mon amant me dit "Alors sale tapette, je vois que tu as aimé
que je te baise, mais ne t'en fais pas mon zob est toujours
dans ton cul bien dur et je vais continuer de te faire le
cul comme une pastèque".
Je tournai la tête pour répondre mais ce que je vis m'a glacé.
Hamid avait un regard de fou et je compris qu'il valait mieux ne rien dire et le laisser faire.
Il faut dire que bien qu'il ne soit pas très doux c'était quand même un drôle d'étalon.
Maintenant que j'avais le cul complètement éclaté il pouvait me prendre le plus violemment possible je n'aurais aucun mal.
Sans que nos corps ne se désunissent mon homme me souleva et me porta jusqu'à un fauteuil où il me déposa en travers de l'accoudoir.
Je me retrouvai le torse sur le siège et les jambes pendantes.
Me mettant une claque sur les fesses mon mec me dit "Voilà
petit pédé tu es en position, je vais te niquer comme
jamais on t'a niqué, tu vas voir ton cul va être bien
ouvert et tout cassé, ah tu voulais du zob et bien tu vas
avoir du zob, jamais tu ne vas oublier le zob de Hamid, ton
petit zouk tout chaud va toujours se souvenir
d'aujourd'hui".
Hamid me prit encore 7 fois sans jamais sortir de mon antre béante.
Quand il m'abandonna vers 7 heures du soir j'avais du sperme plein la raie et sur les cuisses.
Mon anus était douloureux et je devais garder les jambes écartées pour pouvoir marcher, mon mec me dit "Alors pédé ton
cul est bien rempli de jute, alors maintenant tu sais ce
que tu vas faire, tu vas ramasser tes affaires et rentrer
chez toi car j'ai du travail et je n'aime pas avoir une
pute autour de moi quand je travaille, écoute comme mon
patron est à l'étranger voilà ce qu'on va faire tu vas
aller laver ton cul sale et dans deux heures tu vas revenir
je vais encore bien te baiser.
- Ecoute Hamid, je suis fatigué et j'ai mal au cul, je ne
crois pas que je vais revenir.
- Tu fermes ta gueule pédé, tu vas revenir dans 2 heures et
c'est tout sinon c'est moi qui viens te chercher et je te
casse la gueule.
- Mais Hamid
.
- Il n'y a pas de Hamid qui tienne, tu vas revenir pour que
je profite encore de ton petit zouk cette nuit. Compris ?
- Mais
.
- Quoi mais pédé ? C'est moi qui commande ici et si je dis tu
viens et tu me donnes ton cul et bien tu obéis. Compris ?
Moi je m'en fous que tu as mal au cul, ce que je veux c'est
de m'amuser avec ton cul cette nuit. Allez va te laver et
reviens dans deux heures et surtout n'oublie pas d'emmener
avec toi une bouteille de whisky, allez dégage.
- Je
".
Sans me laisser finir ma phrase Hamid me gifla à toute volée, le coup fut si violent que je tombais à terre.
L'homme en profita pour me mettre quelques coups de pied dans le ventre.
Quand il s'arrêta j'étais couché en chien de fusil sanglotant.
Me prenant par les cheveux il me dit "J'espère que tu as bien
compris maintenant sinon je continue. hein ?
- Oui.
- Bien tapette je vois que tu deviens raisonnable, tu as
enfin mis dans ta tête que je suis le patron, allez fous le
camp et reviens tout à l'heure. au fait tout à l'heure
viens nu sous un manteau".
Sans dire un mot je me rhabillai et partis.
Une fois arrivé chez moi je remplis la baignoire et me mis dedans, le contact de l'eau sur ma peau me fit énormément de bien.
Je restai à peu près une heure en me disant que j'avais fait une grosse bêtise de provoquer Hamid.
Au-delà de cette nuit où je me demandai d'ailleurs comment ça allait finir étant donné l'état d'esprit de cet homme et sa puissance sexuelle.
Je ne savais pas comment j'allais pouvoir faire pour être tranquille.
J'étais sur que Hamid n'en resterait pas là, qu'il allait vouloir profiter de moi quand bon lui semblerait et ça je ne le voulais pas.
Quand je sortis de l'eau je me mis devant la glace et, me penchant en avant, je regardai mon anus.
Il était très enflé mais presque refermé et pratiquement plus douloureux.
Après m'être séché j'enfilai un manteau et allai dans le salon fumer une cigarette.
Je sursautai quand le téléphone sonna, je regardai ma montre et me rendis compte que j'avais laissé passer l'heure.
Je décrochai et dit "Allô ?
- Alors petit tapette qu'est-ce que tu attends pour venir ?
Tu veux que moi je vienne te chercher ?
- Non Hamid excuse-moi, j'arrive.
- Bien dépêche-toi tapette, mon zob attend et il est tout dur
pour ton petit trou du cul et n'oublie pas la bouteille.
- Non Hamid.
- Alors vite".
Je pris une bouteille pleine dans le bar et allai rejoindre mon tourmenteur avec appréhension.
Quand j'entrai dans la maison je me rendis compte que je tremblais comme une feuille.
J'arrivai dans le salon et Hamid était assis dans un fauteuil.
Il était nu comme un ver, il n'avait pas menti au téléphone son impressionnant sexe était en érection, il me dit "Tiens
voilà ma tapette, ah je vois que tu as amené la bouteille,
pose-la à côté de moi".
J'obéis, une fois la bouteille posée Hamid me mit un coup de pied sur la hanche qui me déséquilibra et je tombai au sol.
Je le regardai inquiet et lui un sourire sarcastique aux lèvres me dit "Tu sais je suis quelqu'un de gentil, j'aime
bien faire plaisir alors je vais te faire plaisir même si
ça ne me plaît pas. Tu vois ma bite elle est bien dure
alors dans ma grande gentillesse je vais t'autoriser à me
faire une sucette. Allez pute dépêche-toi viens me montrer
ce que ta bouche sait faire".
Docilement je vins m'agenouiller entre les jambes légèrement écartées de Hamid.
D'une main je me mis à caresser les testicules de mon amant tandis que prenant de l'autre main le phallus érigé à sa base je commençai à porter quelques coups de langue sur le gland turgescent.
Le traitement porta tout de suite ses fruits, le membre s'allongea encore et Hamid soupira d'aise tout en fermant les yeux.
Pendant quelques instants je titillai le bout durci de cette hampe qui me faisait tant envie, je glissais la pointe de ma langue dans le méat pour recueillir les gouttes de foutre translucide qui perlaient.
Jugeant que les prémisses avaient assez duré mon homme posa ses mains sur ma nuque et me força à engloutir son pénis tuméfié.
J'ouvris tout grand et j'avalai l'objet de ma dévotion.
Tout en le mordillant légèrement et en l'entourant de ma langue j'entamai une lente fellation sur le priape dressé.
Longtemps je suçai amoureusement la verge tout en caressant les bourses gorgées de sève.
Quand soudain mon mec, prenant mon visage entre ses mains, se mit à me faire monter et descendre sur sa virilité au rythme où il voulait être sucé.
Au bout de quelques instants de ce traitement Hamid bloqua ma tête entre ses mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres en de violents coups de reins disant chaque fois "Tiens
tapette prends ça".
Il était en train de me piner la bouche, sa bite butait au fond de ma gorge chaque fois qu'il l'enfonçait à fond.
Le résultat ne se fit pas attendre.
Je sentis le sexe tressauter sur ma langue, il me sembla que le gland doublait de volume et mon amant, plaquant ma figure conte son pubis, éjacula en râlant.
Ses épais jets de sperme crémeux frappèrent mes amygdales et je les avalai avec délice tout en cajolant de ma langue le phallus qui continuait à se déverser dans ma gorge.
La semence avait un petit goût salé qui ne me déplaisait pas.
Quand le calme fut revenu mon homme, plaquant toujours mon visage contre son bas-ventre, me dit "C'est vrai que tu suces
bien mais je préfère quand même ton cul mais avant de
m'occuper de lui je vais finir ce que tu as commencé après
le lait je vais te donner autre chose à boire".
Un jet chaud frappa ma gorge, à sa consistance je sus tout de suite ce que Hamid était en train de faire, il était tout simplement en train d'uriner dans ma bouche.
Dans la position où j'étais je ne pouvais rien faire que d'avaler la pisse qui coulait en moi.
Je fus obligé d'endurer ce supplice jusqu'à la dernière goutte d'urine.
Quand il eut fini Hamid me libéra, me poussa d'une bourrade et me dit "C'est bien tapette tu as tout bu, j'espère que ça t'a
plu.
- Pourquoi es-tu si méchant ?
- Mais je ne suis pas méchant, j'ai une tapette pour m'amuser
et je m'amuse avec mon zamel c'est tout.
- Mais
.
- Ferme ta gueule pute, je vais ce que je veux et tu as
intérêt d'obéir sinon je te casse ta gueule. Hein ?
- Oui Hamid pardon maître.
- Bien c'est mieux comme ça mais comme je suis ton maître
alors toi tu es ma chienne ?
- Oui je suis ta chienne.
- Bien alors viens faire comme une chienne, viens me lécher
les pieds.
- Mais
.
- Viens chienne ou je me mets en colère".
Je m'avançai à quatre pattes et en m'approchant des pieds de Hamid je compris, il ne devait pas les laver souvent car ils exhalaient une odeur forte.
Dépassant mon dégoût je me mis à lécher les orteils.
Longtemps je pratiquai mes attouchements buccaux sur les pieds de mon tyran et quand il me repoussa violemment d'un coup de talon j'avais une odeur de pourri dans la bouche.
Hamid prit la bouteille but une rasade au goulot et me dit "Tu
as une bonne langue tapette, maintenant enlève ce manteau
et viens te mettre à genoux à côté de moi".
Très inquiet je fis ce qu'on m'avait dit et j'attendis.
Hamid ouvrit une boite et en sortit une chaîne métallique avec un collier étrangleur, il me dit "Voilà un beau cadeau pour
toi ma petite chienne, comme ça je vais pouvoir te promener
sans que tu te sauves, allez approche ta tête".
La peur au ventre je fis ce que mon tourmenteur avait dit.
Il me mit le collier autour du cou et partant d'un grand éclat de rire me dit "AH AH AH !! Voilà ma petite chienne en laisse,
tu sais que tu es très belle comme ça, allez viens on va
aller faire un petit tour dans le jardin".
Comme j'allais me lever il me mit une claque sur les fesses et hurla "A quatre pattes chienne, ah tu ne veux pas obéir bien
alors je crois qu'il va falloir que je te punisses.
- Non Hamid.
- Depuis quand une chienne parle, tais-toi et aboie.
-
.
- Aboie je te dis chienne.
- WOUAFF WOUAFF !!
- AH AH AH !! Bien petite chienne, allez allons dans le
jardin pour que tu fasses ta pisse avant la nuit, crois-moi
tu as intérêt car après tu ne pourras plus".
Hamid prit un fouet qui était dans la boite et nous sortîmes.
Nous étions depuis quelques instants dans le jardin quand Hamid me dit "Alors petite chienne on ne fait pas sa pipisse".
Je compris au ton qu'il employait que j'avais intérêt à m'exécuter sinon je risquais de prendre une raclée.
Je ne sais si c'est la peur mais je me mis à uriner.
Hamid s'en aperçut et me mit un coup de fouet sur le dos en disant "Pas comme ça mets-toi comme une chienne baisse tes
pattes arrière".
Je compris qu'il voulait que je prenne la même position qu'une chienne et je le fis de peur de ramasser encore un coup de fouet.
Quand j'eus fini Hamid me promena encore un peu puis il prit une balle et me dit "Regarde gentille chienne, je vais lancer
la balle et tu vas aller la ramasser avec ta gueule et me
la ramener".
Tétanisé par la peur j'obéis et chaque fois que Hamid jetait la balle je courrais à quatre pattes pour le rattr et lui ramener.
Au bout de quelques instants il me demanda de remuer des hanches chaque fois que je lui redonnais la balle.
Le jeu dura pendant une demi-heure.
Soudain Hamid lança la balle, je me mis à courir mais il tira sur la chaîne.
Le collier étrangleur serra ma gorge et dans un cri je m'affalai sur l'herbe.
Hamid s'approcha de moi et me fit remettre à quatre pattes avec quelques coups de fouet puis me dit "Assez joué rentrons
à la maison, il faut que je te donne ta gamelle".
Je m'attendais au pire quand nous rentrâmes, Hamid attacha ma laisse à une porte et il partit dans la cuisine.
Il revint quelques minutes plus tard avec une écuelle qu'il déposa devant moi.
La nourriture était constituée de déchets de viande et de morceaux de pain, le tout baignant dans une sauce infâme.
Toujours à quatre pattes je regardai Hamid qui me dit "Mange
ma petite chienne, mange la bonne pâtée.
- Ecoute Hamid.
- Je t'ai déjà dit qu'une chienne ne parlait pas et
maintenant bouffe.
- Mais
.
- Tais-toi chienne bouffe ce que je t'ai donné".
Hamid appuya son pied sur ma nuque et me flanqua un coup de fouet sur les reins.
Comme je fis mine de résister Hamid commença à me fouetter sur tout le corps, harnaché comme je l'étais je ne pouvais échapper à la correction.
Au bout de quelques instants sous les coups qui pleuvaient je me mis à pleurer à chaudes larmes.
Comprenant que la seule solution pour arrêter les sévices que je subissais était d'obéir je me mis à aboyer.
Hamid surpris arrêta de me battre, je le regardai tout en aboyant et en remuant des hanches.
Surmontant mon dégoût je baissai ma tête vers la gamelle et me mis à laper l'affreux repas.
Hamid rigola et dit "Bien petite chienne tu vois que c'est
bon".
Pour me montrer qu'il était satisfait il me flatta la croupe et glissa son majeur entre mes fesses.
Quand j'eus tout avalé Hamid me nettoya le visage avec un chiffon et me dit "Alors tu vois c'est mieux quand tu fais ce
que je veux, bien maintenant que tu as bien mangé on va
pouvoir passer aux choses sérieuses car ce n'est pas ta
petite sucette de tout à l'heure qui m'a coupé l'envie, ce
que je veux cette nuit c'est ton cul et crois-moi je vais
bien te baiser jusqu'à ce que je t'ai complètement démoli
le trou, d'ailleurs regarde comme ma bite est dure".
Ce que disait Hamid était exact son phallus était dressé, au fond de moi j'étais très inquiet car je me demandais ce qu'allait encore inventer ce maniaque.
Hamid détacha la laisse de la porte et toujours à quatre pattes je le suivis dans le salon, d'un coup de pied il me fit tomber sur le côté.
Il me mit sur le dos, prit mes jambes et les replia vers mon torse.
A l'aide de la chaîne il attacha mes mollets, il prit des menottes et emprisonna mes mains dedans puis agrafa le tout au collier.
Je me retrouvai complètement immobilisé jambes relevées et écartées et les bras derrière la tête.
Dans cette position mon intimité ressortait au maximum et j'étais totalement offert, Hamid vérifia la solidité de mes liens et me dit "Alors petite tapette qu'est-ce que tu penses
de ça, maintenant j'ai à moi la seule chose qui m'intéresse
c'est à dire ton trou du cul, comme ça je vais pouvoir bien
te baiser sans que tu me gènes".
L'homme me prit dans ses bras et m déposa sur une table, j'étais juste à la hauteur de son pénis érigé.
Sans ménagement Hamid m'enfonça son majeur dans l'anus.
La soudaine intromission me fit pousser un petit cri, ce qui provoqua l'hilarité de mon amant qui me dit "AH AH AH !! bien
je vois que ton cul s'est bien refermé car si simplement
mon doigt te fait crier ça veut dire que quand je vais te
mettre ma bite là je vais t'entendre. Hein salope ?.
- Je t'en supplie fais doucement.
- Je fais comme je veux salope et comme j'ai pas envie de
faire doucement, j'aime bien t'entendre gueuler quand je
t'enfonce mon gros zob dans le zouk. Bon je vais boire un
dernier verre et après en avant dans ton cul".
Hamid vida d'une seule rasade un bon quart de bouteille, il s'essuya la bouche de l'avant-bras et marcha vers moi, son regard brillant me faisait peur.
Arrivé près de moi il posa ses mains sur mes cuisses me regarda et me dit "Alors comme ça tu veux que je fasse
doucement mais comment veux-tu que je fasse doucement quand
je vois ce trou du cul qui ne veut qu'une chose c'est que
ma bite le casse entièrement".
Il positionna son énorme gland à l'orée de mon orifice et me dit "Regarde pédé ce que je vais mettre d'un coup dans ton
beau petit cul tout chaud".
Je retins ma respiration sachant ce qui allait arriver mais mon bourreau attendit, qu'au bord de l', je rejette l'air contenu dans mes poumons pour m'enculer.
D'un violent coup de reins il enfonça son monstrueux priape dans mon cul jusqu'à la garde, ce que je ressentis fut abominable.
J'avais l'impression qu'on m'ouvrait en deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le rectum, un horrible hurlement de souffrance jaillit de ma gorge et je me mis à sangloter.
Sans prêter gare à moi Hamid commença à se ruer dans mon tunnel à une vitesse folle m'arrachant à chaque poussée des hurlements de douleur.
Agrippé à mes cuisses mon tortionnaire me besognait de toute la longueur de son fabuleux membre, son ventre musclé claquait contre mes fesses à me faire mal.
Jamais au cours d'une enculade je n'avais eu aussi mal, j'avais l'impression qu'on m'arrachait tout l'intérieur.
Je ne cessais de geindre sous les brutaux assauts que Hamid m'assénait, celui ci le regard dément et la bouche grande ouverte bougeait frénétiquement en moi.
Je ne sais combien de temps dura cette , submergé par la douleur je subissais ce martyre sans aucune réaction.
Soudain se plaquant contre moi Hamid éjacula en grognant, je sentis son flot de sperme m'inonder le fondement puis il se retira continuant à se déverser sur mes fesses.
Il prit la bouteille et but une longue rasade puis il revint vers moi en disant "Ah c'est un bon coup que je viens de
tirer, tu sais tapette si tu voyais ton cul tu aurais peur
il est tout ouvert et rouge comme une tomate mais ne
t'inquiète pas comme tu peux voir mon zob est encore bien
dur et je vais bien te baiser encore beaucoup de fois".
Mon bestial amant se posta face à mon postérieur et guida son énorme hampe contre mon illet distendu puis me pénétra d'une rude poussée qui me fit crier.
Posant ses mains contre mes flancs mon homme se remit à me besogner avec rudesse.
Mon anus complètement dilaté laissait coulisser le monstrueux phallus en moi sans gène aucune mais je ne ressentais aucun plaisir.
J'endurais sans réaction les vigoureux assauts que Hamid me portait, il me baisait si fort que j'avançais sur la table chaque fois que son fabuleux sexe se plantait au plus profond de mon cul éclaté.
Le visage de celui qui me pilonnait l'arrière-train était couvert de sueur, chaque fois qu'il enfonçait sa queue démesurée dans mon antre maltraitée il disait "Tiens pédé
prends ça dans ton petit cul".
Je ne sais plus combien de fois Hamid me prit de la sorte sans jamais sortir de mon canal endolori.
Il avait tellement joui en moi que mon sphincter rejetait le trop plein de foutre et me trempait les fesses.
Les chaînes commençaient à rentrer dans ma peau me faisant souffrir.
J'avais la voix enrouée tellement j'avais crié et les yeux gonflé tant j'avais pleuré.
Quand enfin, après une dernière saillie qui m'avait inondé une fois de plus le fondement de sperme chaud, Hamid s'écarta de moi je crus que mon calvaire était terminé.
Mon brutal amant alla boire puis il me détacha.
Complètement exténué je tombai à même le sol et je restai en chien de fusil essayant de faire revenir ma circulation sanguine dans mes membres moulus.
Me prenant par les cheveux Hamid m'a relevé et me dit "Alors
tapette ton cul a bien été baisé, tu voulais de la bite eh
bien je t'en ai donné".
Comme je restais silencieux il me gifla et me dit "Parle pédé.
- Oui Hamid tu m'as bien baisé.
- Bien mais tu sais que tu es beau avec ce collier, regarde
toi dans la glace".
Quand je me vis dans le miroir j'eus peur tant mon visage semblait tourmenté.
Hamid me mit une grande claque sur les fesses et dit "Chaque
fois que tu viendras me voir je te mettrai ce collier, je
t'aime bien avec ce collier. Qu'en penses-tu ?
- Oui Hamid.
- Bien, bon maintenant que tu t'es reposé un peu allez on
recommence.
- Mais
.
- Quoi mais, tu ne crois pas que c'est fini, regarde mon zob,
il a encore envie de ton trou du cul".
Je vis avec horreur que ce qu'il disait était vrai, la verge de cet homme semblait inépuisable, elle était encore en érection.
En voyant mon expression terrorisée Hamid éclata de rire "AH
AH AH !!, pauvre petite tapette, on dirait que tu as peur
de mon gros zob, mais non il est déjà entré dans ton cul et
tu sais dans l'état où est ton cul il ne risque rien, il
pourrait prendre deux bite comme la mienne, allez mets-toi
à quatre pattes que je te baise".
Complètement passif j'obéis, Hamid s'agenouilla derrière moi et je sentis son gland turgescent glisser dans la raie de mon cul.
L'homme se positionna à l'orée de ma fente béante, il posa ses mains sur mes épaules et d'un coup de reins d'une violence inouïe Hamid me pénétra jusqu'à la garde.
Bien que mon anneau complètement éclaté soit grand ouvert, je ne pus empêcher, sous la violence de l'intromission, un cri de douleur de pulser de ma gorge et les larmes d'envahir mes yeux.
Mon amant se remit à me posséder en de brusques coups de boutoir redoublés, son ventre claquait contre mes miches à me faire mal.
J'avais tout l'intérieur qui me brûlait et ma pastille démolie me faisait de plus en plus mal.
Je ne sais combien de temps mon bourreau me pilonna l'arrière-train.
J'avais atteint le stade où la douleur ne se sent plus et je recevais les coups de bite en couinant légèrement.
Dans la pièce, où régnait une odeur de foutre mélangée à de la merde, on entendait les bruits de succion que faisait mon trou de balles chaque fois qu'il avalait le monstrueux pénis érigé.
Au bout de quelques instants de ce traitement Hamid s'enfonçant au plus profond de mes entrailles éjacula en râlant.
Ses abondants jets de sperme fusant contre mes parois surchauffées me firent un peu de bien, je sentis le phallus rétrécir en moi et sortir de ma corolle ravagée.
Je restai quelque temps dans la même position n'osant pas bouger de peur des représailles quand j'entendis la voix de Hamid qui disait "Ca y est petit pédé, tu peux te lever, mon
zob en a assez de ton cul".
Quelque peu rassuré je me levai, mon tourmenteur était assis sur un fauteuil.
Son sexe à demi flaccide maculé de sécrétions intimes et marbré de traînées brunes reposait sur sa cuisse tel un gros ver.
J'avais tellement mal à l'anus que je devais rester les jambes écartées, Hamid servit un verre de whisky et me dit en me le tendant "Tiens petite tapette, bois tu as mérité ce verre.
- Merci".
Une fois que j'eus terminé ce verre, je me dis qu'il était temps pour moi de partir, j'allais demander à Hamid si je pouvais me retirer quand celui-ci me dit "Il est 4 heures du
matin, il est temps d'aller dormir.
- Oui.
- Bien repose-toi bien car demain tu vas revenir et on va
recommencer.
- D'accord Hamid.
- Je vois que tu deviens raisonnable, tu vas voir demain je
vais baiser ton cul encore plus qu'aujourd'hui, je vais
tellement t'enculer tous les jours que ton trou ne va plus
jamais se refermer, tu auras toujours le cul ouvert et tu
verras avec le temps tu aimeras que je te baise fort comme
aujourd'hui.
- Oui.
- Bien alors avant que tu ailles te coucher tu vas faire une
dernière chose pour moi.
- Que veux-tu que je fasse ?
- Tu es une bonne petite tapette, d'ailleurs je ne vois pas
pourquoi tu vas rentrer chez toi, tu vas dormir ici avec
moi comme ça si des fois j'ai envie de ton cul il sera à
portée de bite AH AH AH !!
- Si tu veux mais que veux-tu que je fasse ?
- Tu vas me nettoyer la bite.
- D'accord viens avec moi dans la salle de bains.
- AH AH AH !!
- Qu'est-ce que j'ai dit ?
- AH AH AH !! Dans la salle de bains mais non petit pédé,
cest toi la salle de bains, tu vas nettoyer ma bite avec
ta langue.
- Mais Hamid..
- Quoi ?
- Ta bite est pleine de merde.
- Et alors.
- Tu ne veux pas que je suce de la merde ?
- Et pourquoi pas d'ailleurs c'est la tienne qui a sali ma
bite.
- Mais
.
- Quoi mais, c'est ta merde oui ou non ?
- C'est ma merde mais je ne veux pas la sucer.
- Ah bon tu fais ta mauvaise tête".
Avant que j'ai pu esquisser le moindre geste Hamid saisit le fouet et se mit à me battre avec une violence inouïe.
Sous la force des impacts je tombai à terre où j'essayais de me protéger tant bien que mal en me mettant en chien de fusil.
Je ne sais combien de temps Hamid me frappa, j'avais tout le corps qui me brûlait, le châtiment que je subissais était inhumain et j'aurais fait n'importe quoi pour qu'il arrête de me fouetter.
Après encore quelques derniers coups de fouet Hamid s'arrêta et me dit "Tu veux que je continue tapette ?
- Non je t'en supplie arrête.
- D'accord alors nettoie-moi la bite.
-
.
- Alors salope ?
- Oui je vais te nettoyer la bite.
- Avec quoi ?
- Avec ma langue.
- Bien je vois qu'avec toi pour que tu comprennes il faut te
tanner un peu la chair. Allez en avant".
Je me mis à genoux et surmontant mon écurement je portai quelques coups de langue sur le gland maculé de Hamid puis je me mis à lécher le membre sur toute sa longueur.
Au bout d'environ un quart d'heure le pénis était propre, j'avais la nausée et je dus faire appel à toutes mes forces pour ne pas vomir.
Mon action avait eu une conséquence, c'est que le monstrueux phallus était à nouveau dressé, Hamid me dit "Bien tapette mon
zob est propre mais maintenant il est tout dur et il va
falloir que je te baises encore, allez mets-toi debout
contre le mur écarte les jambes et tends bien ton cul".
Comme un automate je pris la position demandée, Hamid se mit derrière moi et m'enfila d'un violent coup de reins qui me fit hurler puis se mit à me sodomiser en de brusques ruades.
J'étais soulevé de terre chaque fois que le priape distendu plongeait au fond de mon cul explosé.
Au bout de quelques minutes de ce traitement Hamid se répandit de nouveau dans mon rectum à vif.
Il se retira de moi et me dit "Bon eh bien tapette il faut que
tu recommences à me nettoyer la bite".
Ce petit manège dura encore deux heures, chaque fois que je décrassais le sexe celui-ci se mettait à bander et mon tourmenteur me prenait de nouveau, toujours sans aucune douceur.
J'avais l'anus terriblement douloureux, ma raie et mes cuisses étaient poisseuses et remplies de sperme et ma bouche empestait.
Quand enfin Hamid ne banda plus je me sentis soulagé, il finit la bouteille d'une seule traite puis décida qu'on allait dormir.
Il m'amena dans sa chambre et me fit coucher par terre au pied de son lit.
Je ne pus pas m'endormir par contre Hamid se mit tout de suite à ronfler comme un sonneur.
Je me mis à réfléchir et je me dis que si je restais près de cet homme j'allais subir de nouveau des sévices.
Après avoir écouté Hamid j'en déduis qu'il dormait profondément.
Je décidai de rentrer chez moi en me disant que demain je pourrai peut-être le raisonner ou du moins lui dire que ce qui s'était passé cette nuit était terminé et que je ne voulais plus le revoir.
Je me levai doucement, je pris mon manteau et je partis chez moi, une fois arrivé dans ma maison, je me barricadai et me déshabillai.
J'eus peur quand je me vis dans la glace, j'avais le corps marbré de rouge, c'était les traces des coups de fouet.
Mais là où je fus pris de panique c'est quand je vis dans quel état était mon anus.
Il était ouvert comme si je venais de subir une enculade dans la seconde précédente, il était extrêmement enflé et tout sanguinolent.
La première chose que j'ai faite fut de me laver les dents pour ôter de ma bouche ce goût de merde que j'avais, je m'y repris quatre fois avant que ces relents ne disparaissent.
Je pris ensuite un long bain qui me fit énormément de bien puis après avoir pris un somnifère je sombrais dans un profond sommeil.
Quand je m'éveillai je vis qu'il était 3 heures de l'après-midi.
Je me levai et j'entendis des cris, je regardai par la fenêtre et je vis avec stupeur que le voisin était rentré.
Il hurlait après Hamid, en voyant ça je me dis que j'avais bien fait de partir cette nuit sinon il m'aurait trouvé nu et couché au bord du lit de Hamid.
Je tendis l'oreille et je compris que ce qui le mettait dans une telle fureur.
C'était de voir dans quel état était sa maison avec une bouteille de whisky vide, des coussins retournés et une odeur de sexe et de merde flottant dans le salon.
Pendant toute cette discussion j'évitai de me montrer, le calme est revenu et j'ai vu Hamid partir avec ses valises.
2 heures après on a sonné à la maison, c'était le voisin, il est entré et m'a demandé si j'avais entendu quelque chose cette nuit.
Je lui répondis que non, que j'avais pris quelque chose pour dormir car j'avais la grippe d'ailleurs cela devait se voir à ma tête.
Après m'avoir dit de bien me soigner car j'avais très mauvaise mine le voisin m'appris qu'il avait renvoyé Hamid dans le sud du Maroc.
En moi-même je respirais car ça voulait dire que mon problème avec cet homme était réglé et je m'en suis trouvé soulagé.
Quand le voisin fut reparti je me suis couché et j'ai dormi encore 2 heures à poings fermés.
Dans la soirée je me suis mis à réfléchir à ce qu'il s'était passé.
J'étais passé très près d'une catastrophe, il fallait que je sois plus prudent à l'avenir et ne plus me jeter dans les bras de n'importe qui.
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