Ma Première Fois.

Le sable chaud, le soleil tapant. Fort. Trop fort. Le bruit ruisselant de l'eau, l'eau bleu turquoise mouillant nos pieds. Son sourire était apparant sur son visage, ses yeux bleus brillaient de bonheur. Lui ? Maxime, mon meilleur ami. J'en suis tombée amoureuse au premier regard mais jamais ce n'était réciproque. Sa main dans la mienne, mon coeur battait à cent à l'heure. Il y avait beaucoup de monde autour et sans faire attention, une femme me bouscula, me poussant contre Maxime. Mon visage a tourné au rouge lorsque j'ai senti ma main sur son membre qui s'est mit immédiatement à gonfler, il me regardait en se mordant les lèvres et je compris alors ce qu'il voulait. Je n'avais jamais rien fait, mon coeur battait la chamade. Il me redressa et me tira vers la cabine des toilettes, nous étions tout les deux en maillot. Je me rendais compte de ce que nous allions faire seulement lorsque je sentit ses lèvres chaudes contre les miennes, lorsqu'il me poussa dans la cabine des toilettes de la plage, brusquement, refermant à clé la porte derrière nous. Il m'embrassait sans retenue, sa langue se glissant dans ma bouche : ce que j'avais longtemps attendu. Sa main droite descendit doucement vers le bas de mon maillot ou il se creusa un chemin, il caressa du bout des doigts le dessus de mon sexe brûlant de désir, un léger sourire fendit son visage. Il stoppa alors le baiser, le désir était à son comble. Maxime baissa le bas de mon maillot bleu, caressant chaques parcelles de ma peau en m'arrachant des frissons. Je me décolla de contre le mur mais retomba lourdement contre en sentant sa langue sur mon clitoris. Chaque mouvement de sa langue me donnait des impressions éléctriques, me faisant d'abord soupirer de plaisir. La chaleur de mon corps augmentait, il continuait à titiller mon clitoris de la même manière jusqu'à qu'il m'arrache un gémissement, il accéléra alors. Ma main se plaça systématiquement derrière sa tête, la poussant un peu plus vers mon sexe.

Il entreprit alors de me pénetrer de sa langue, ce qu'il fit. Mes deux mains étaient sur sa tête, je m'accrochait à ses cheveux en gémissant de plaisir, mes gémissements étaient de plus en plus fort et pourtant pas rapprochés, il recula peut après, me laissant tomber sur les genoux. Ma respiration était saccadée, j'essayais de reprendre mon souffle lorsqu'il baissa son maillot, je compris alors ce qu'il voulait. J'essayais de faire comme si je n'étais pas impressionnée par son membre de grande taille et le pris en main, lui arrachant un soupire. Ma main débuta de lent vas-et-viens, le faisant immédiatement gémir. "Vas plus vite." me dit-il. J'obéis immédiatement, accélérant lentement les vas-et-viens. Il s'appuyait sur mes épaules, son membre gonflait dans ma main qui continuait de plus en plus rapidement les vas-et-viens. Je me stoppa d'un seul coup, entendant la respiration saccadée de mon meilleur ami. Il s'attendait à ce que je me relève, je n'en avais pourtant pas fini. Je rapprocha ma bouche de son membre, posant mes lèvres sur son gland en lui arrachant un long soupire de plaisir. J'étais fière de l'effet que je lui faisais, ma langue fit plusieurs fois le tour de son gland, je le mordillais légèrement en l'entendant gémir de plus en plus fort. Je pris alors l'intégralité de son membre en bouche et fit des vas-et-viens. Sa main se plaça derrière ma tête, m'obligeant à aller de plus en plus vite. Il faisait de léger mouvement avec son bassin, m'obligeant à avoir son membre plus loin dans ma bouche. Il enleva sa main de derrière ma tête. Les gémissements s'étaient transformés en cris de plaisir, je savais qu'il allait jouir et me retira alors, m'appuyant sur lui pour me relever. Il reprit longuement sa respiration alors que j'étais excitée, je le poussa sur les toilettes, entourant sa taille de mes jambes. Je me plaça au dessus de lui avant de descendre brusquement, le faisant me pénetrer ce qui m'arracha un gémissement de douleur. Il m'embrassa doucement dans le cou, me faisant immédiatement oublier la douleur et me faisant soupirer de plaisir. Je le senti bouger doucement en moi, essayant de faire des lents vas-et-viens. Je fis alors ce qu'il essayait de faire, des vas-et-viens, lentement. Je gémissais à chaque fois plus fort que la précédente fois, plaçant ma tête dans le cou de mon meilleur ami pour mes gémissements. Il me stoppa alors, posant ses mains sur mes cuisses, et se leva, ne se retirant pas d'en moi. Il me plaqua violemment contre la paroi, lâchant mes cuisses pour poser ses mains sur les miennes qui étaient contre la paroi. Il recommença les vas-et-viens, me faisant tout d'abord soupirer puis gémir de plaisir, mes gémissements étaient à quelques secondes d'intervalle, je sentais que j'allais plus tenir très longtemps. Je plaça mes bras autour du cou de Maxime, bougeant légèrement pour lui faire comprendre qu'il devait aller plus vite. Ses vas-et-viens accélérent alors, de plus en plus vite. Mon dos claquait contre le mur des toilettes, son bassin claquait contre le mien. J'hurlais presque de plaisir tandis que lui gémissait, autant fort que lorsque je lui avais fais une fellation peut avant. Dans un mouvement plus fort que les autres, mes cuisses se resserrèrent subitement, je jouissais alors qu'il continuait ses vas-et-viens, il ne tarda pas à me rejoindre, plusieurs jets de sperme remplissant mon sexe. Il se retira alors, nos respirations étaient saccadées. Mon coeur battait la chamade, je respirais assez vite, voulant ravoir une allure normale. Je croyais que c'était terminé jusqu'à qu'il me tire vers lui violemment, me faisant tomber à genou. Il tira ma tête d'une main sur son sexe que je pris en bouche, faisant de très lents vas-et-viens qu'il accéléra avec sa main. Il hurlait de plaisir et éjacula à plusieurs reprises dans ma bouche, me forçant à avaler alors qu'il ne se retirait pas. Il s'enleva peut après, se laissant tomber sur les toilettes. Je regardais le jeune homme, ma respiration encore un peu saccadée. Il se releva dix minutes après et remis son caleçon, je remis le bas de mon maillot de bain, lui prenant la main. Nous sortions des toilettes peut après, je fis un léger sourire. Heureusement que les toilettes étaient isolées de l'intérieur et que personne ne nous entendait.