Jeune Employée D'Un Fast-Food De L'Autoroute, Je M'Interroge...
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cest joli lautoroute, surtout la nuit. Laire de repos est pleine de lumières. Il y a du passage. Moi, je travaille au restaurant rapide. Cest dur comme boulot, mais jai besoin dargent. Maman ne bosse pas, papa ne gagne pas beaucoup et nous sommes quatre s à la maison. A vrai dire, je ne suis plus exactement une , puisque jai dix-huit ans. Mais je vis toujours avec mes parents, dans une chambre que je partage avec ma petite sur.
En ce moment, on a des problèmes avec la société dHLM. Ca fait un trimestre quon na pas payé le loyer. Le type chargé du recouvrement me fait des avances. Pourtant, je suis moyenne, question beauté féminine. Jai toujours de lacné, ça me perturbe. Et puis, je suis maigrichonne, je trouve. Il ny a que mes nichons qui sont bien. Ca doit être à cause de mes nichons que le bonhomme des HLM en pince pour moi. Jai limpression quavec lui, je pourrais arranger laffaire des loyers. Mais mon père dit quil ne veut pas que sa fille se prostitue pour la famille. Papa emploie tout de suite de grands mots. En attendant, sa fille bien aimée est employée dans un fast-food de lautoroute.
Nempêche que, pour avoir de la promotion, il faut coucher. On commence au ménage et pour servir au comptoir, par exemple, il faut coucher avec le gérant du fast-food. Toutes les filles le font. Cest si vite fait quon ne sent rien, prétendent-elles. Le type tenfile en levrette, dans son bureau. Il suffit de sortir les nichons, de baisser la culotte et crac ! On nen parle plus ! Je ne sais pas si cest vrai. Pour le moment, je nai pas voulu. Je suis conne, mais ça ne me plaît pas, cette manière de faire. Alors, je suis toujours préposée au ramassage des déchets, aux poubelles, au nettoyage des chiottes
Bref, rien de glorieux.
Dans la clientèle, il y a quelques habitués. Des routiers qui sarrêtent régulièrement, mais aussi quelques personnes du village voisin.
Bon, on est petit-matin et le turbin est fini ! Jattends le premier bus de la journée, debout à larrêt. La clarté de laube peine à percer la couverture nuageuse. Jai ramené mes cheveux raides sur le côté. Je porte un bustier, avec une petite veste et un pantalon, style corsaire. Une voiture sarrête, face à moi. Cest Monsieur Robert ! Il nétait pas au restaurant. Doù sort-il ? Il me fait signe de monter à son côté
Je sais que ce nest pas prudent, pour une fille seule. Toutefois, je suis crevée, jai mal aux guibolles. Jaccepte ! Je remarque immédiatement que Monsieur Robert est déjà tout rouge ! Il bredouille un bonjour embarrassé, le regard rivé sur ma poitrine. En démarrant, la voiture fait même une embardée.
- Regardez la route ! suis-je obligée de lui dire.
Pour rejoindre le bourg, on emprunte une petite route qui longe un bois. A cette heure-là, le coin est désert. La brume nest pas encore dissipée. Jai hâte darriver dans ma cité. Monsieur Robert transpire. Il ne dit rien. Moi, non plus ! Et linévitable se produit
je vois les rayons lumineux des phares de la voiture quitter lasphalte de la route pour un chemin en sous-bois. Merde ! Merde ! Merde ! Je redoute une agression ! Certes, je ne suis plus vierge.
Monsieur Robert a le souffle court. Il détache sa ceinture de sécurité.
- Quallez-vous faire ? lui dis-je, anxieuse.
- Jai envie de pisser, finit-il par lâcher, après une courte hésitation.
Je suis soulagée ! Je le vois qui sort du véhicule pour senfoncer dans les fourrés, en direction du village. Il se déboutonne la braguette tout en marchant. Il disparaît dans les arbres. Que se passera-t-il à son retour ? Je suis inquiète. Le temps passe. Au bout dun long moment, mon inquiétude change de motif : Monsieur Robert ne revient pas ! Que fout-il ? Seule dans le véhicule, je ne suis pas rassurée. Jattends encore. Je ny comprends plus rien. Lui est-il arrivé quelque chose ? Du coup, je me fais presque du souci pour mon client. Je veux dire : pour cet habitué du fast-food. Je réfléchis. Je ne peux pas rester là comme une cruche ! Je décide de sortir de la voiture et de rentrer à pied, par le chemin, à travers bois. Le jour se lève. On entend les premiers bruits de lagglomération. Hardiment, je mélance.
Je parcours quelques mètres et qui vois-je derrière un arbre ? Monsieur Robert en train de pisser ! Evidemment, mon regard se pose sur son sexe. Comment faire autrement ? Et cest la surprise : le vieux cochon en a une sacrément grosse ! Le visage toujours congestionné, il me dit :
- Tu voulais la voir ? Nest-ce pas ? Tas pas pu résister ?
- Vous faîtes pipi pendant longtemps ! fais-je, éberluée.
Jai presque lair de mexcuser. Je ne mexplique pas pourquoi il pisse encore, depuis le temps quil est parti ! A moins quil ne mait attendue, persuadé que jirais à sa rencontre ?
- Cest cette foutue prostate
quil me répond, mi-figue mi-raisin.
Sa grosse bite mimpressionne, surtout quelle commence à bander.
- Tu veux la toucher ? quil me demande.
Je mapproche. Il a pissé, ça sent comme dans les toilettes du boulot. Une odeur durine. Cest dégueulasse à dire, mais ça mexcite ! Que me prend-il ? Je lui saisis la queue de la main droite et commence à le masturber, maladroitement.
- Tu ne fais pas ça tous les jours ? Hein, petite ?
- Non, Monsieur
mentends-je répondre, telle une imbécile.
Là-dessus, il me remonte le bustier. Comme un fait exprès, je nai pas mis le soutien ! Il est dans mon sac à main ! Je me retrouve les nichons à lair, avec mon vieux client qui me les pelote. Je dois avouer quil sy prend bien. Quant à létat dexcitation dans lequel ça le met, je nai jamais vu ça ! Dire que les gars du lycée sont toujours blasés ! Celui-là sue à grosses gouttes et grogne ainsi quun vrai cochon ! Je ne me savais pas capable de bouleverser un homme de cette façon ! Et mon acné, il sen fout !
Sa bite a bien gonflé, même si elle nest pas très dure. Sa respiration saccélère. Je le branle de plus en plus vite. Je me sens sûre de moi. Je le vrille un peu et le voilà qui se tord en lâchant la purée. Je crois que le sperme va jaillir. Il me tombe sur les chaussures.
- Nettoie-la-moi ! quil me demande, un geste du menton qui désigne sa queue engluée.
Je sais ce que cela signifie, dans la bouche des garçons, et des hommes aussi. Je me trousse rapidement le corsaire au-dessus des genoux, pour ne pas le salir. Et magenouille parterre. Je passe la langue sur le gland pour le laver du sperme qui sy trouve. Cest salement âcre ! Je navale pas. Je crache dans lherbe, avec des grimaces qui ravissent mon vieux client. Tout ce charivari me procure un effet inattendu ! Je mouille ! Je nai pas envie de baiser avec Monsieur Robert. Il est trop âgé ! Mais comment expliquer ? Les circonstances assez glauques de la branlette mémoustillent !
Je remets de lordre dans ma tenue. Quand je reprends place dans la voiture, je réalise que je peux prendre du plaisir avec des trucs a priori repoussants ! Monsieur Robert sinstalle au volant.
- Ca va ? demande-t-il.
- Ca va ! que je lui réponds, sans hésiter.
- Tiens ! me fait-il, en tendant des billets.
- Je mempare des euros, sans honte aucune.
Après tout ? Sortir mes nichons, baisser la culotte et me faire niquer en levrette, vite fait, bien fait, par le gérant du fast-food
Cest un joli type, dans la trentaine. Jimagine quil est bien monté, le salopard. Pourquoi pas ? Quen pensez-vous ?
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