Soir D'Été Torride 3
Il me faut attendre trois jours après ces événements pour que nos chemins se croisent à nouveau. Et pourtant je guette chaque soir son retour du boulot sans réussir à lapercevoir. Jen viens à croire quil fait tout pour méviter. Enfin ce troisième jour je le vois par la fenêtre sortir de sa voiture et sengouffrer dans le hall dentrée de limmeuble dun pas rapide. En quelques secondes je suis moi aussi dans lentrée. Nous voilà face à face devant la porte de la cave. Francis à lévidence un peu gêné baisse les yeux pour ne pas croiser mon regard, mais que mimporte son attitude fuyante. Moi je le désire tout aussi violement quil y a trois jours. Jagrippe mon bonhomme par la veste et lattire résolument dans le couloir obscur des caves. Je prends soin de refermer la porte en silence. Inutile dattirer des curieux. Je lemprisonne de mes bras et lembrasse goulûment, trop longtemps que jattends ce moment, il ne le gâchera pas par son attitude puérile. Je le plaque rudement contre le mur de béton brut. Ma main sinsinue dans lentrejambe et palpe la virilité de mon amant. Je suis rassuré, son membre est déjà dur. Il me rend le baiser, sabandonne enfin à mes caresses. Je sais à présent que son envie est aussi forte que la mienne. Je tombe à genoux, le déculotte et le prends dans ma bouche. La turlutte est efficace, il gémit de plaisir. Mais cest autre chose dont il a envie ce soir et il reprend linitiative. Il mentraîne dans sa cave à lui qui est plutôt en retrait par rapport aux autres, assurant ainsi une certaine intimité à nos ébats. Lendroit est encombré dobjets divers, on aménage à la hâte une table en empilant deux grands cartons, je me plie en avant en prenant appui sur les coudes. Déjà Francis derrière moi fait descendre prestement pantalon et slip dun même mouvement. Il se couche sur moi, mécrasant de son poids. Tenant son sexe dune main, il le dirige vers louverture que je lui offre. Il mencule en poussant sur ses jambes et ses reins en même temps, ce qui a pour effet denfoncer le membre profondément.
-Putain cque cest bon ! Tu me rends dingue, souffle til, si cà continue je pourrais plus me passer de toi.
Cet aveu, aussi vulgaire soit-il, bien sur me comble daise, et cela dautant plus que je ressens moi aussi un attrait de même nature. Jai beaucoup de mal à penser à autre chose quà leffet que provoquent ses mains sur ma peau, au goût exquis de son sperme et à la douce brûlure ressentie quand son sexe rentre en moi. Pour lheure mon amant me caresse lentement les cuisses. Il est resté dans cette position quil semble apprécier. Ses doigts sinsinuent entre mes fesses et recueillent au passage un peu du liquide séminal qui les souille, puis il porte ces mêmes doigts à ma bouche. Je les lèche sans aucun dégoût, un par un jusquà ce quils soient dune propreté irréprochable. Ensuite Francis saccroupi derrière moi et lentement, avec beaucoup dapplication il entame un nettoyage approfondi de mon intimité. Il me léché le cul avec gourmandise, comme sil sagissait dune friandise parfaitement délectable. Sa langue insiste, force le passage de lanneau élastique de mon orifice anal dilaté, elle lape lintérieur de la cavité avec une vigueur et une dextérité stupéfiante.
- Jte fais mal ? Pourtant cest bien cque taimes, non ?
- Oui mais fais attention quand même, casse pas tout, ça peut servir.
- Ten fait pas, la seule chose que je veux casser cest ton joli ptit cul.
Fidel à son propos, il se redresse et sans préambule renfourne son dard dans lorifice fortement dilaté. Jose une suggestion.
- Et si on montait chez toi ?
(A suivre)
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