Le Club Des Cinq - Denise Vi
Donc, de temps à autre Goran appelait soit mon mari, soit mon amant pour réclamer ma participation à ses soirées libertines. Au fil du temps je me produisit en show hétéro et aussi lesbiens (avec Martine ou Gisèle), mais aussi en gang bang épuisant (car Goran réunissait environ un dizaine de mâles pour une seule femme), et autres partouzes et enfin des petites "soirées putes" ou mes consoeurs et moi montions une bonne partie de la nuit avec les clients de l'établissement.. Le tout était filmé et, soit demeurait privé, c'est-à-dire que seul Goran, Roger et Joël en avaient une copie (libre à eux d'en faire d'autre copies privées), soit (si les participants étaient d'accord) était rediffusé pour égayer des parties fines, ou projeté dans le sex shop d'Hugo, ou encore vendu dans le magasin de ce dernier.
En dehors de ces extras, j'avais toujours mon mari mes amants du villages Serge, JP et Chris qui s'émerveillaient de mes progrès et de mes propensions à me livrer à toute leurs fantaisies. Surtout que mon mari organisait des soirées, soirée non pas diapo, mais des projections privées de mes ébats chez Goran. Ma réputation en prit un sérieux coup, d'ailleurs était-ce du au fait que quelques fois, histoire de choquer les vielles bigotes, je me rendais chez mes amants dans des tenues qui m'auraient valu le viol dans certains endroits et l'embarquement immédiat pour racolage passif dans d'autres.
Tout doucement notre couple glissa vers le ménage à trois car Serge venait à la maison et y restait parfois plusieurs jours. J'avais donc les journées pour récupérer et me préparer et les soirées pour y passer
et y repasser
. D'ailleurs "mes" hommes devenaient de plus en plus pervers. Il arrivait que Serge me donne rendez-vous sur ses chantiers et là, non seulement il me sautait mais parfois me proposait à la cantonade. Ce fut d'abord ses deux ouvriers qui (enfin) purent r de moi puis de temps à autre, ce fut le tour d'autres corps de métier.
Mon Joël était aussi à l'unisson et de temps en temps, je le rejoignais à son atelier ou il finit par m'offrir à ses employés. Comme, sur l'apport de clientèle fournis par mes nouveaux "employeur" et les conseils de Roger, il avait diversifié son activité pour fabriquer du mobilier pour donjons et autres soirées sado-maso, je faisais office de démonstratrice. C'est d'ailleurs ainsi que j'avais fait la connaissance plus approfondie de Hugo. Il lui avait commandé un pilori. Le jour ou il devait en prendre livraison, Joël eu l'idée (géniale) de me mettre en situation. Il me fit mettre intégralement nue en ne gardant que des talons aiguille. Il me fit pencher en en avant et engager la tête et les poignets dans l'instrument de et le verrouilla. Il me banda ensuite les yeux et dans cette posture, je fus contrainte d'attendre l'arrivée de son client. Quand il arriva il fut enchanté de la surprise et félicita mon mari pour son sens du marketing. Bien vite Joël lui confia que s'était sa propre femme qui servait de modèle. L'autre en fut encore plus ravi je crois et fit des compliments sur ma plastique. Joël en profita pour l'inviter à toucher
. Hugo (puisque c'était lui) ne se fit pas prier et me palpa sur toutes les coutures et me triple-doigta tous les orifices. Il demanda si pour parfaire la démonstration, mon mari n'avait un martinet ou quelque chose de ce genre. Joël n'avait pas prévu
e l'autre demanda s'il pouvait m'administrer une "simple" fessée. Le client est roi
alors
. Mon fessier devint vite écarlate. J'entendis Hugo déclarer "qu'il bandait furieusement !". Toujours aussi affable il fut inviter à se soulager par mon cher époux. Trempée comme je l'étais de mon exhibition e, il n'eut aucun mal à m'enfiler malgré sa taille plutôt imposante. J'étais sur le point de jouir quand il se retira maîtrisant parfaitement cette situation frustrante.
"Puis-je me faire sucer par Madame votre épouse ?" demanda-t-il ironiquement et cérémonieusement.
Permission lui fut donnée et il vint me faire goûter ma cyprine dont sa queue était enduite.
"Joël ! Finis-moi
je t'en prie ! Encules-moi !"
Un double ricanement me répondit et je sentis que l'on introduisait quelque chose dans mon intimité. Hugo me lança :
"Débrouilles-toi toute seule !"
C'était malin
avec deux mains prises dans le carcan de bois
. Ils partirent tous les deux pour prendre rendez-vous de la livraison et le règlement de la facture. Joël revint
seul
dommage ! Mais dans sa grande bonté il retira le tournevis que Hugo m'avait enfoncé dans le sexe et me prit jusqu'à ce que je prenne mon pied et lui le sien
puis il me délivra. En fait j'avais assez aimé cette première et mon seul regret était de n'avoir pas pris le gros membre de Hugo dans le postérieur. J'y eus droit peu de temps après. Hugo avait passé commande d'une croix de Saint André. La réalisation de l'objet n'avait pas posé de problème à Joël qui me proposa de jouer à nouveau le mannequin. J'acceptais avec espérance et excitation. Il me lia donc par les poignets et les chevilles sur l'appareil et comme la fois précédente me banda les yeux. En croix et nue j'attendis mon supplice
en fin façon de parler puisque tout ceci ne devait pas aller bien loin mis à part une fessée. Mon attente fut assez longue pendant lesquelles des tas d'images SM me passaient par la tête. Je sus plus tard que Hugo avait conseillé à mon mari de me laisser mariner quelque peu. En fin je les entendis arriver et immédiatement je me mis à mouiller comme une possédée. Hugo complimenta Joël pour son travail comme si je n'existais pas. Puis enfin, il sembla s'intéresser à ma personne.
"Ah la délicieuse Denise est en place
voyons voir !"
Un puis deux doigts vinrent me caresser les lèvres et s'enfoncer dans ma bouche.
"Denise est vraiment une salope mon vieux ! Ta femme mérite une petite correction ! Tu vois j'avais prévu. J'ai amené de quoi nous amuser !"
J'avais de suite pensé à la fessée qu'en vérité je n'avais pas trouvée trop désagréable l'autre fois. Au lieu de cela j'entendis un zip, comme un sac que l'on ouvre. Mon mari sembla perplexe :
"Oh !
tu crois que
."
"Ne t'inquiète pas, je suis sûr de moi. Avec une bonne préparation avec ça tu vas entendre Denise beugler sa jouissance
."
Qu'est ce que pouvait bien être le "ça"
.
Il s'écoula un temps qui me parut interminable, puis j'entendis une sorte de chuintement ou plutôt comme un sifflement. Le temps que je m'interroge sur l'origine de ce bruit
je sursautais et criais
. Des lanières venaient de me cingler les fesses. A peine avais-je réalisé ce qui venait de se passer que le bruit se fit entendre de nouveau et les lanières revirent me frapper, dans l'autre sens cette fois. A peine eus-je le temps de crier "Aïeeee ! Ca fait mal !", que le troisième coup m'arriva puis assez deux autres. Hugo sembla faire une pose je crus que c'était pour écouter mes protestations et ma réprobation. Cela le fit plutôt rire et il expliqua à mon mari :
"Elles commencent toutes ainsi, je m'y attendais. Aussi ai-je amené ça. De cette façon nous n'entendrons plus ses jérémiades. Tout au plus l'entendrons nous gémir et couiner un peu et puis, cerise sur le gâteau
cela rendra les choses un peu plus pénible pour elle, elle aura un peu plus de mal à respirer."
Je sentis que l'on me pinçait le nez. Pour avaler une goulée d'air il fallut bien que j'ouvre ma bouche
qui fut immédiatement obstruée par une sorte de boule. Je reconnu immédiatement le genre de baillon-boule des films sado-maso.
"Allez à toi !"
A toi quoi ? Je ne mis pas longtemps à comprendre le sifflement puis une brûlure qui zébra mes globes.
"Pas si fort ! Tu vas la marquer ! Il ne faut pas abîmer un cul comme ça !"
Je compris vite deux choses. D'abord qu'Hugo avait retenu ses coups et ensuite que c'était mon propre mari qui allait officier martinet à la main. Eperdue je reçus une bonne dizaine de coups en sanglotant. Brusquement on me délia les chevilles puis les poignets. J'étais dans un tel état de faiblesse et de tension que je ne regimbais même pas quand je fus retournée et remise en croix. Cette fois face à mes tourmenteurs. Je n'osais imaginer ce qui allait ce passer. En fait bizarrement je savais que cela allait arriver, c'était inéluctable. Je l'attendais et le redoutait en même temps. Dans l'impossibilité de m'échapper, je ne pouvais que subir. Ce temps de latence était à lui seul terrifiant. Le sifflement redouté se fit entendre et le haut d'une de mes cuisses me brûla, puis l'autre, puis mon ventre puis mon pubis. Hugo faisait une démonstration à Joël. Il lui montra, immanquablement le coup de martinet appliqué de bas en haut
entre les cuisses
. Comme tout à l'heure, il passa ensuite le relais mon époux qui ne se fit pas prier pour fustiger à son tour la chair tendre de mon entrejambe. A nouveau les hommes vinrent ensuite caresser la chair brûlante des endroits fouaillés. Joël fut assez surpris de l'état de ma chatte. Elle lui parut hyper gonflée, comme gorgée de sang, complètement trempée et anormalement ouverte. Hugo ne sembla pas trop surpris. D'après ce que Joël et Serge lui avaient dit de moi il aurait parié que je pourrais vite devenir encline à ces divertissements discutables. Ils cessèrent de jouer avec mon clitoris et de me masturber et me laissèrent poireauter. Tout d'un coup sans que rien ne le laisse présager Hugo (car je suppose que c'était lui) me gifla les seins. Au comble de leur excitation, Joël et Serge m'avaient quelques fois donné de petites tapes sur la poitrine. Mais là rien à voir. La gifle avait été appliquée avec rigueur
ainsi que les suivantes
ainsi que celles administrées par mon mari. Puis tout cessa me laissant sans voix car j'avais quand même crié même si mes plaintes demeuraient étouffées. Des mains vinrent jouer avec mes lolos douloureux. Des doigts vinrent étirer et faire rouler mes tétons. Cette fois je me sentis ma mouille couler de mon sexe. Le contraste fut terrible l'un d'eux fit tordu soudainement... puis l'autre. Qui de l'un ou de l'autre, peut être les deux me vrillèrent littéralement les mamelles. Encore une fois tout cessa aussi soudainement que cela avait commencé. Mais cette fois j'avais (enfin) compris. Cette attente n'était faite que pour provoquer une perspective angoissante. Bien évidemment j'avais pressenti la suite et je tentais encore une fois de me soustraire à ce qui m'attendais
en pure perte bien sûr
. Je ne réussis qu'à me tortiller ridiculement déclenchant les rires de mes tortionnaires devant ma frayeur. Moi si fière d'habitude, j'aurais voulu en cet instant supplier, abdiquer, implorer. Mais bâillonnée
. Encore une fois je me mis à pleurer puisque ma première leçon de SM allait continuer a base de seins vraiment bien claqués
et de martinet savamment dosé. Le coup me cingla les nichons. Jamais on ne leur avait fait aussi mal. Sans se préoccuper de ma souffrance qu'il devait bien estimer, il continua de me les meurtrir et passa le relais à Joël qui ne fut pas en reste. Je l'entendais le guider pour que certains coups ne soient pas trop appuyés et à l'inverse d'autres plus accentués. Il s'agissait de "s'amuser" à faire souffrir sa victime et non de détériorer la marchandise ni de la marquer définitivement. Joël devait bien s'y prendre car il le félicita tout en lui faisant remarquer la déformation de son pantalon. Tout mon buste fut fustigé ainsi et mes larmes ruisselèrent jusqu'à mon menton pour se mêler à ma salive. Hugo l'avais bien dit : j'avais bavé sans pour m'en empêcher. Ils avaient dû s'entendre sur la durée car brusquement je fus déliée. Flageolante il me soutinrent pour ne pas que je m'écroule et surtout pour me remettre dans la position de départ, dos (et fesses) tourné vers eux. J'entendis ironiquement mon mari dire :
"Le client est roi !"
Je n'avais pas entendu la question posée mais je redoutais que Hugo veuille à nouveau fouetter ma croupe. Au lieu de cela deux puis trois quatre doigts vinrent s'introduire dans ma vulve. Ensuite, je sentis que me séparait les fesses et un des doigts vint violer mon anus. Petit à petit deux, trois puis enfin quatre doigts distendirent ma rondelle. Rêvais-je ? Se pouvait-il ? Un gland brûlant se positionna à l'orée de mon trou de balle. Immédiatement, je sus qu'il ne s'agissant pas de Joël. J'allais prendre dans le fion la magnifique bite d'Hugo. Soumise par avance, je tendis mes reins. Sans fioritures, en une seule poussée il me la mit à fond. J'eus l'impression d'être crucifiée par un nouveau point. J'avais beau lui offrir mon arrière-train, la position était assez inconfortable pour ce type de pénétration. Si j'avais été un peu penchée, cela aurait été beau mieux et l'enfilage moins douloureux vu le calibre de l'engin. Mais je suppose que cela faisait partie de la séance. Et cette dernière partie me plaisait davantage. Il desserra mon bâillon qui tomba sous mon menton. Ankylosée, je demeurais stupidement la bouche ouverte. Pourtant à la question :
"Je suis bien à fond, radasse ?"
Je parvins à articuler :
"Ouuuiii
ouiii salaud ! Tu m'as fait trop mal ! Allez fais-moi du bien maintenant ! Encules-moi, ordure !"
Un ricanement me répondit ainsi que la mise ne mouvement de son bassin. Bizarrement mais délicieusement, j'eus l'impression que mes sensations étaient décuplées. Plus de douleurs cuisantes sur le ventre, plus de courbatures de mes membres écartelés. Il ne subsistait qu'un endolorissement des mes seins qui durcissaient et de mes fesses au contact du ventre et des cuisses d'Hugo. Je n'étais plus qu'un cul qui se faisait démonter de main de maître si je puis dire. Je devenais folle
hystérique même.
"Ouiiii
..haaaarrrgg
. violes ! Violes-moi le fion ! Défonces-moi le trou de balle ! Éclates-moi le cul !"
Mes demandes déshonorantes et scandaleuses lui donnèrent une énergie décuplée si besoin en était. Dans sa rudesse sodomite, il me tirait par les cheveux pour me casser la nuque ou il me faisait me renverser la tête pour m'embrasser monstrueusement ou me cracher dans la bouche. Je le sentis venir de loin et presque
j'en aurais pleuré de joie. Un orgasme ravageur ma dévasta et me laissa inanimée quelques secondes. Des petits élancements de mon rectum un peu irrité me ramenèrent à la vie et au vit qui, plus légèrement cette fois, pistonnait mon conduit anal jusqu'à ce que je le sente se raidir. Hugo se vida longuement et décula avec douceur. Je l'entendis se rajuster et avec une petite tape sur la croupe (comme lorsque l'on flatte un animal) je l'entendis dire à mon mari :
"Roger à vraiment raison ! Ta femme a vraiment tout pour devenir une bonne petite pute comme les autres. Tu devrais me l'amener un jour au magasin. Elle devrait intéresser quelques un de mes clients. Je te laisse mon petit matériel
tu pourras t'amuser avec ! Je reprends juste la cravache, c'est un peu prématuré même si j'ai très envie de men servir et de la voir pendue par les pieds et cuisses ouvertes
. Allez allons voir ta facture
."
Ils m'abandonnèrent à mon triste sort malgré mes suppliques pour être détachée. Le temps pour moi de méditer rapidement et de me rendre à l'évidence. Enfin de compte, la jouissance ressentie était incroyablement intensifiée. Je découvrais quêtre offerte nest pas toujours de tout repos mais que plaisir à suivre sen trouvait décuplé un peu comme si chaque douleur ajoutée devenait un supplice dans mon bas ventre et la chaleur ressentie samplifiait. Je trouvais incroyable davoir du plaisir à ce point sans être particulièrement caressée, léchée ou stimulée au niveau de la chatte, des seins ou du cul. De temps à autre Joël et Serge manifestaient lenvie de petite soirée ou ils pouvaient libérer leurs bas instincts et me faire endurer leurs tourments sadiques
un peu
beaucoup
mais toujours passionnément. Le plus souvent, ces moments difficiles étaient suivis de moments on ne peut plus agréables à
.
En plus de tout cela, Joël, Serge et moi vîmes assez souvent non seulement Martine et Jacky son amant; mais aussi Gisèle et Roger. Martine disait vrai. Ce Roger était terriblement pervers et avait toujours des idées lubriques. Evidemment les trois femmes (et celles d'après) était les victimes, bien consentantes d'ailleurs, de ses dérèglements. Comme ces Messieurs étaient de véritables obsédés et nous de belles salopes, tout le monde y trouvait son compte
. Combien de fois ou outrageusement maquillées et nues sous nos vestes de fourrures avons-nous été obligées de les quitter soit dans boites de nuits glauques pour faire tripoter par les clients soit dans des bistros sordides pour faire des pipes au hommes présents. Sexe, exhibition, vice, débauche et soumission étaient au menu de toutes ces soirées. De plus j'entretint avec Gisèle une liaison saphique aussi reposante qu'intense avec de réels sentiments l'une pour l'autre et tant pis pour les esprits chafouins qui nous traitaient de sales gouines
et alors !
Mais déjà de nouvelles adeptes se profilaient
. Catherine allait se joindre à nous
. Le "trio infernal" devenait la "bande des quatre"
.
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