La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1449)
Lope Olivier au Château (suite de l'épisode N°1446)-
Même si lui, le soumis quil était, navait reçu aucune autorisation à jouir
Monsieur le Marquis n'était pas pressé, ses mouvements de va-et-vient était amples et puissants, de temps en temps il sortait Son énorme Chibre dur comme du bois pour mieux le réintroduire en projetant Son bassin en avant vigoureusement, Ses couilles tapant contre les fesses du soumis, chaque intromission était puissante, virile, profonde, pénétrante et cette saillie était des plus Dominantes, dans le sens de la Possession physique, de cette prise sans concession du Mâle Dominant. Le Maître aimait ainsi posséder, et là, le cul d'Olivier était encore vierge, son anus serait ainsi bien dilaté, bien possédé, bien écarté après le passage du Vit du Seigneur. Le Noble maintenait le stagiaire soumis fermement par les hanches, tirant à Lui ce cul de lope à chaque magistrale poussée dans ce cul bon à utiliser pour Son plaisir. Parfois, Il fessait ce cul blanc, souvent quand Il restait en coït anal profond, immobile, Sa Verge dressée plantée jusquà la garde comme pour marquer Son trophée, Sa prise de Possession
Puis le Châtelain reprenait des allers-retours avec vigueur et cadence, utilisant ce corps de soumis comme une marionnette dont Il restait Maître des fils selon Son bon Plaisir
Et au bout dun long moment de cette saillie bestiale, Il sentit Son plaisir arriver. Alors de sa main droite, il prit la nuque d'Olivier et lui imposa de baisser la tête, forçant aussi à ce que ce soumis de creuser encore plus les reins par une main appuyant sur le bas du dos dOlivier, démontrant ainsi qui était le Patron et qui était cette marionnette manipulée
Quand la première giclée de Sa Semence fut puissante annonçant les suivantes dans un flot de sperme chaud que le soumis sentit sécouler dans son fondement, le Maître lâcha un râle rauque de jouissance, un râle parfaitement maîtrisé. Le cul d'Olivier était ainsi bien crépi, Monsieur le Marquis lima encore le soumis et quand Il estima avoir assez joui de ce cul, Il sortit Son Vit du cul de Lope Olivier.
- Petite Lope, vient lécher, vient nettoyer Ma noble Verge.
Lope Olivier comprit ce qu'il devait faire, alors il se retourna et docilement se mit à genoux, puis sans toucher le Sexe du Seigneur, les mains étant derrière le dos, sa bouche s'empara du Membre du Maître. Sa langue commença à lécher le gland toutes traces de sperme et souillures anales qui devaient disparaitre. Pour cela, bouche et langue s'appliquaient à cette tâche et. Lope Olivier téta le gland, comme un bébé tête le sein de sa mère. Il le suçait avec dévotion, motivation à bien faire, et reconnaissance. Sa langue parcourait le Vit et sa bouche serrait la Hampe du Châtelain. C'était à ce moment, un instant fort de dévotion du soumis vis à vis du Maître absolu, le Dominant. Lope Olivier était juste à sa place, dans sa vraie condition de bonne pute lope et soumis, à un Etre Supérieur. Bref, il n'avait jamais imaginé dans sa vie précédente se retrouver là, aujourd'hui, aux pieds de Monsieur le Marquis en train de le sucer avec ardeur après avoir été enculé dans une sodomie qui restera inoubliable en intensité et qui à lévidence en annonce beaucoup dautres, son corps servile ne lui appartenant plus
. Lope Olivier descendit vers les nobles testicules du Maître et, à plusieurs reprises, il s'évertua à les gober. Mais devant les proportions avantageuses de celles-ci, il ne put que les lécher
Mais il y mit une telle ardeur, que Monsieur le Marquis sentait les doucereux coups de langue le long de ses testicules. Lope Olivier devenait vraiment une bonne petite chienne lécheuse... Monsieur le Marquis reprit la parole dans un calme froid assez impressionnant, montrant la parfaite maîtrise de son sens de lexpression orale :
- Espèce de petite pute, je t'ai pris le cul, maintenant la bouche et tu en redemandes encore ! Visiblement tu souhaites bien faire, cest bien, je le note, même si cela nempêchera pas tes deux punitions à venir
En effet, tu as sali les draps avec ton foutre de puceau
De plus, tu mas menti en me répondant que tu ne tétais pas branlé.
Lope Olivier rougit tout en se remémorant la nuit précédente, il n'avait pas fait attention mais en éjaculant il avait souillé les draps et en était profondément repentant
Repentant aussi et surtout pour le fait davoir menti au Maître, il ne se le pardonnait même pas à lui-même. Et il se demandait comment il pourrait bien réparer ce véritable affront
Le Noble continua :
- Tu as donc salis les draps, tu mérites donc maintenant la première punition... Petite pute tu vas gouter à Ma chambre des délices
Lope Olivier blêmit et fut interloqué dune punition dans une chambre des délices. Monsieur le Marquis continua :
- Oui une chambre des délices mais pour Moi, pas pour toi, le chien
A ces mots, le Noble appela son Majordome
- Walter va préparer ce chien qui ne respecte rien, je le veux dans la chambre des délices d'ici cinq minutes.
Sur ce, le Noble fit demi-tour, Walter prit la suite :
- Aller la pute, à quatre pattes, je vais te remettre le collier signe de ta soumission de lope auprès de Monsieur le Marquis
Walter prit un collier en cuir et le mit au cou de Lope Olivier, ainsi quune laisse :
- Petite lope, tu es belle avec ce collier, un bon chien docile. Aller, reste à quatre pattes, suit moi, je vais te conduire à la chambre des délices où se trouve Monsieur le Marquis qui va te punir pour avoir souillé Ses draps.
Olivier nu comme un ver, la queue à l'air suivait en quadrupédie, tenu en laisse, le Majordome. Il était mis dans sa condition de chien obéissant mais qui devait être remis dans le droit chemin. Il avait prévu, pour punir la lope, plusieurs choses. D'abord prendre le cul du soumis avec un dildo (gode) qui écarterai encore les chairs anales du soumis, c'est à dire qui aller entrer bien profond et lui élargirai encore plus le cul.
- Aie !
Une pénétration à sec par un objet c'est toujours douloureux, surtout de cette taille. Lope Olivier s'aperçut qu'il était sur la pointe des pieds, l'objet l'avait déjà pénétré environ de 5 cm. Le soumis commença à haleter via l'effort considérable à fournir avec les jambes écartées sur la pointe des pieds, cela n'allait pas durer longtemps. En effet au bout d'un instant, il commença à se tétaniser. Ce qui devait arriver arriva, Olivier se laissa choir, là c'est une plainte qui l'accompagna :
- Aiiiiie eufhhh...
Le stagiaire soumis venait d'être pris jusqu'à la garde par ce phallus en plastique. Le Majordome s'approcha :
- Voilà comment une petite lope va souffrir et ainsi subir sa punition : Bien prise, chaque fois que tu bougeras, tu sentiras au plus profond de toi ce sexe factice s'emparer de toi.
Lope Olivier acquiesça de la tête, tout en disant dune voix claire et nette :
- Oui Monsieur Walter, jai compris. Jobéirai à tout ce qui sera exigé par Monsieur le Marquis car Il est le Maître absolu qui me soumet et je jure de Lui obéir les yeux fermés à toutes Ses Exigences
Ainsi il venait vraiment à cet instant de changer de statut de stagiaire à celui de soumis attitré de Monsieur le Marquis. Et ce soir, il allait comprendre ce que cela impliquait... Le Majordome attacha les pieds et les poignets d'Olivier à la croix Saint-André, seul son bassin pouvait bouger mais comme il était empalé sur le gode, chaque mouvement allait être terriblement douloureux. Monsieur le Marquis arriva à ce moment :
- Bien, cette pute est maintenant à Ma disposition, dit-il, je viens dentendre sur la vidéo de la caméra, ce quil vient de jurer : Une obéissance absolue à Mon égard
Lope Olivier regarda rapidement le Maître, son regard fut attiré par l'objet qui était dans la main du Noble, une cravache avec laquelle il allait être corrigé. Le soumis baissa alors la tête. Le puissant regard bleu de Dominant de Monsieur le Marquis symbolisait alors la puissance de Sa Domination. Il avait maintenant tout pouvoir sur cette créature servile et lope. Le Châtelain s'approcha en tapotant la cravache, une fois à portée, il caressa le torse du soumis avec l'extrémité en cuir. Lope Olivier attendait la suite des évènements, en haletant comme un chien attaché et soumis qui attend son sort
(A suivre
)
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