Leslie Se13
Leslie SE13 Seule, Yann et le gros calibre
Au cabinet darchitecture, ma collègue, Martine, bosse depuis quelques temps en relation avec un autre cabinet sur un gros projet.
Le collègue avec lequel elle bosse est super bandant, beau comme un adonis et je suppose que, connaissant Martine et son attachement pour les beaux mecs, elle la déjà certainement emmené dans son lit.
Depuis quelques jours, ils passent souvent à lagence pour le boulot et cela me donne loccasion de le rencontrer de temps en temps, à la cafétéria, par exemple, où buvant notre café ensemble, il ne manque pas cette occasion de me draguer, javoue que je lai laissé faire, trop heureuse quil sintéresse à moi, et le fait dêtre désirée me plait et faisait monter en moi le désir
Ce jour-là du mois de juillet, je lai retrouvé à la cafétéria, Michel le patron mayant demandé de laider sur une nouvelle affaire, la rénovation dun manoir en Normandie.
Yann trop heureux de travailler avec moi, mavait tout de suite proposé daller faire une visite des lieux dès le lendemain.
Etant libre, jai accepté et nous avons convenus de partir, ensemble, avec sa voiture.
- Je passerais te chercher à sept heures, chez toi et nous déjeunerons sur la route, me dit-il, comme des amoureux.
- Ouais, dis-je, on verra !
Le lendemain pile à lheure, il était en bas de mon immeuble et nous avons aussitôt démarrés, nos sans avoir auparavant échangés le traditionnel bisou du matin.
À peine dans la voiture de Yann, confortablement installée, Yann a mis de la musique en fond sonore et nous avons commencés à discutés.
Il voulait tout savoir de ma vie, de mes désirs et de mes passions, si jétais seule dans la vie, en fait tout ce quun mec désire savoir sur une fille quand il la drague.
Dans la conversation il me donnait quelques détails sur sa vie, mais restant le plus vague possible, je crus deviner dans ses propos quil était bisexuel et que rien dans le sexe ne larrêtait.
Dailleurs en traversant le Bois de Boulogne pour rejoindre lautoroute, nous vîmes les dernières transexuelles de la nuit, attardées encore sur leur lieu de travail, cest à ce moment-là que Yann me dit :
- Il faudra quun jour je men fasse une, il y en a de vraiment très belle !
Et plouf, le voilà quil me déclare est attiré par le transgenre, serait-il au courant de mon état, ou a-t-il dit cela sans savoir, mais ayant vraiment le désir dassouvir ce quil mannonçait toujours est-il que maintenant je savais.
Nous avons pris lautoroute et après une heure nous nous sommes arrêtés pour prendre un petit-déjeuner.
Nous étions seuls dans le relais et ce fut vraiment sympa, non pas un petit-déjeuner damoureux, comme Yann lavait dit, mais sympa, dautant plus quil continuait à me draguer et que je commençais à être vraiment excitée.
Avant de reprendre la route, je me suis rendue aux toilettes pour me caresser le membre et me donner un peu de plaisir, juste comme ça, sans jouir, pour le fun.
Nous avons rejoint la voiture et nous avons repris la route.
Nous navions pas fait cinq kilomètres que Yann, posa sa main sur ma cuisse dénudée, en me disant de façon très directe :
- Tu sais, tu me plais et je sens que je ne te laisse pas insensible !
- Yann, tu
- Allez, avoue-le !
Je me sentais piégée et rougir un peu, alors pour clore le débat, je lui ai dit :
- Oui, tu me plais, voilà je lai dit et après !
- Après, dit Yann, tu vas me sucer car je sais que tu en as envie !
Et avant que jaie pu réagir ou dire un mot, Yann, tout en conduisant, avait ouvert sa braguette sous mes yeux médusés et en avait extrait un membre déjà long, pas encore dur, mais déjà impressionnant. Il sest caressé et jai vu son sexe se dresser et gonfler lentement. Je métais rapidement retrouvée avec, sous les yeux, un sexe de vingt-deux centimètres de long et de près de cinq centimètres de diamètre !
La situation, je lavoue, mexcitait et je me suis imaginée ce membre impressionnant en moi, me pénétrant et me dilatant.
Cétait le plus gros et le plus bel engin que javais eu sous les yeux. Et même si laudace de Yann me sidérait, je ne pouvais quadmirer son membre.
Nous étions maintenant sur une route de campagne et là, sans réfléchir, comme hypnotisée, je me suis penchée vers le membre de Yann, pour me retrouver avec les vingt-deux centimètres de chair tendue à portée immédiate de ma bouche.
- Tu vois que ten a envie, me dit Yann comme pour mencourager.
Bandant comme jamais, javais dabord branlé longuement lengin, appréciant en connaisseuse ses dimensions. Javais dû utiliser mes deux mains pour le caresser complètement.
Puis je métais penchée vers son entrejambe, après avoir détaché ma ceinture de sécurité, approchant ma bouche de la tige dure.
Javais ensuite léché et sucé le gland, puis le membre. Je lai pompé avec fougue. Mais, malgré ma bonne volonté, jarrivais à peine à en prendre la moitié en bouche.
Quand Yann sarrêta en bordure dun chemin désert, je frémis, il était temps de lui avouer que je nétais pas une femme au sens strict du terme.
Me redressant et en le regardant dans les yeux je lui ai demandé :
- Et si avec moi tu vivais ton rêve de ce matin ?
- Que veux-tu dire par là ? Me demanda-t-il dun air étonné.
- Si jétais une créature comme celle de ce matin, que dirais-tu ?
- Je serais heureux, mais tu nes pas une transexuelle Leslie ?
- Et bien si, dis-je.
Et pour lui prouver je tirais sur ma jupe pour lui montrer mon string déformé par mon sexe en érection.
- Alors là ! Dis Yann.
Il descendit de la voiture, le sexe à lair toujours bandé en me disant :
- Je suis à point et je vais te prendre.
Sa queue détalon dure et raide entre les jambes, il me dévorait des yeux.
Rapidement, je me retrouvais jupe relevée, slip ôté, penchée en avant, le gland de Yann posé au bord de mon anus et il appuya avec son gros gland contre mon petit trou.
Yann dut sy reprendre à plusieurs fois et appuyer fortement son gland contre mon petit trou pour le pénétrer. Son sexe força finalement le passage. Et il senfonça en moi
Jen avais le souffle coupé. Je sentais la queue de Yann remplir mon cul. Les vingt-deux centimètres de lhomme, qui avaient déjà distendu ma bouche, pourfendaient mon anus, le distendant complètement.
Jétais très, très excitée, et mon conduit sadapta rapidement à la taille gigantesque du membre qui me possédait. Je le reçus entièrement en moi, planté au fond de mes fesses, ahanant de plaisir.
En même temps, je me sentais remplie comme jamais par ce pieu énorme qui taraudait mon cul. Yann entrait et sortait maintenant entièrement son sexe de mon anus, marrachant des cris de plaisir rauques à chaque fois quil replongeait en moi.
Mon cul était ouvert et Yann me dit :
- Jamais je nai connu un cul aussi accueillant.
Je subissais avec délectation les assauts de Yann dans mes fesses. Il me possédait totalement, il me défonçait en marrachant des râles de plaisir.
Cambrée, je me faisais enculer comme une vraie salope dans la campagne normande. Au bout dun long moment, il me prévint quil allait venir et pour ne pas rester souillée, je me dégageais, laissant un vide dans mon cul lorsquil sortit de mon petit trou, et lui demandais de jouir dans ma bouche.
Trop heureux il sexécuta et éjacula de longues giclées de foutre dans ma gorge que javalais en hoquetant.
Après nous être rhabillés, je bus un peu deau et nous nous sommes rendus à notre rendez-vous. Je sentais mon cul entrouvert et la sensation de vide me pesait, javais encore envie de lui.
Après le rendez-vous nous avons dinés dans une petite auberge et nous avons pris une chambre pour assouvir encore nos folies.
Yann ma de nouveau sodomisé, puis se fut mon tour de lui prendre son petit cul détalon, il devait avoir lhabitude car tout se passa à merveille et il me laissa jouir au fond de ses entrailles.
Sur le chemin du retour, je repris en main le sexe de taureau de mon nouvel amant. Après lavoir longuement caressé il sarrêta de nouveau sur le bord de la route et là à genoux à ses pieds, je le suçais à nouveau.
Puis je me relevais, ôtais dabord mon string, puis ma jupe et à moitié nue, je me mis devant la voiture. Puis, me penchant en avant, les seins sur le capot, je dis à Yann en lui exhibant mon cul tendu et déjà offert :
- Encule-moi encore !
Ce dernier ne se fit pas prier. Il se colla contre moi et me pénétra sans plus de préliminaires. Sa grosse queue senfonça cette fois-ci sans problème dans mes fesses. Et en moins de temps quil nen faut pour le dire, il était à fond de mon cul. Yann me sodomisa pendant près dun quart dheure, il mencula profondément, me pénétrant de toute la longueur de sa grosse queue, distendant mon anus et me déchirant les fesses.
Mes seins durs tressautaient au rythme des ruades de mon amant dans mes fesses, puis, à bout, Yann rua une dernière fois en moi, et éjacula dans mes fesses, son pieu planté au fond de mon cul, tandis que je jouissais avec force.
En rentrant, dans la voiture, près de Yann, je ne pus mempêcher de caresser de la main mon anus encore ouvert et le simple souvenir des deux sodomies subies me firent bander comme une folle. Javais du mal à me tenir tranquille sur mon siège et je me serais bien branler pour me calmer.
Le soir, à la maison je maperçus dans ma salle de bains, juste avant de me mettre au lit, que mon anus était toujours très dilaté. Je me penchais en avant et me mis de dos face à la glace. Je vis mon petit trou ouvert et tressaillis de plaisir.
Je me branlais en regardant mon petit trou et jouis en pensant à ce membre qui mavait donné tant de plaisir
A suivre
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