Soir D'Été Torride 4
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Nous sommes dans sa chambre à coucher. Je me déshabille rapidement et me glisse dans le lit conjugal en me recouvrant seulement du drap. Francis sempresse de my rejoindre. Je métale sur lui en le baisant avec fougue. Je lui colle ma langue loin dans la bouche en tenant sa tête dans les mains. Ce traitement lui plait, mon amant retrouve rapidement toute sa vigueur. Ma jambe flatte lobjet qui grossit tout en écrasant légèrement les testicules que je sens rouler sous ma cuisse, bourses flasques à la peau distendue mais dures à lintérieur. Je tends la main pour les saisir et je les masse dabord avec douceur puis de plus en plus durement en accentuant la pression des doigts. Bientôt ma bouche rejoint ma main, javale les organes, les triture, les malaxe longuement en les faisant rouler dune joue à lautre. Mon partenaire émet un murmure approbateur, il sécarte, souvre complaisant, abandonné. Son anus est juste devant mes yeux, je discerne chaque détail de la petite couronne grise bordant le méat. Les poils frisés très abondants me picotent le bout du nez. Plein dexcitation et sans aucune répulsion je plaque ma bouche contre lorifice. Ma langue lèche la zone par petites lampés en y déposant un peu de salive. Peu à peu le passage se dilate, se détend, sa résistance se disloque sous la pression de ma langue. Je peux la faire entrer en forçant le passage. Cest délicieux ! Un autre interdit que je renverse sans dégoût. Son intérieur palpite comme une bouche étrange et mystérieuse ce qui a pour effet de mexciter terriblement. Alors une envie irrépressible me saisit, lenvie de posséder cet homme, de le soumettre à mon désir, quil mappartienne comme désormais je lui appartiens.
Je me redresse sur les genoux, me place entre les cuisses que jécarte au maximum et, tenant mon sexe dune main, je le plante dans le trou béant aussi loin quil est possible.
Mon amant a fermé les yeux, son visage est empourpré dexcitation, je sens que son cur bat la chamade et je comprends que pour lui cest aussi une première fois.
Il réalise quil se fait enculer et que non content de se laisser faire, il y prend un plaisir exquis. Devant mes yeux, son membre oscille au rythme de mes coups de reins. Il est congestionné et turgescent comme jamais avec des veines saillantes prêtes à éclater. Je suis en admiration devant son engin car je suis loin den posséder léquivalent et je mesure dautant plus la chance qui est la mienne dêtre honoré par un tel gourdin. Je le saisi, le flatte, le presse, le soupèse. Il est lourd et tendu, résistant quand je le soulève, quand je le lâche subitement la tête va heurter le ventre de Francis avec un bruit mât. Mes doigts effleurent le gland saillant et chaud. Je le malaxe, le triture, provocant chez mon partenaire un grondement approbateur. Il apprécie, en redemande, son ventre ondule de gauche à droite, ses jambes enserrent ma taille, les pieds tendus, les orteils dressés et alors il joui en éjectant des gouttes épaisses qui emplissent le nombril. Je saisis le membre et le branle énergiquement. A mon tour jexplose dans mon homme, me libère au fond de son cul, lâchant tout sans retenue.
Nous faisons lamour toute la soirée. La frénésie torride de notre première rencontre il y a trois jours sest naturellement atténuée pour laisser la place à une passion certes plus calme mais toujours ardente. Je sens que mon amant se laisse lentement entraîner vers un sentiment plus profond, moins marqué par lempreinte de la satisfaction brutale dune pulsion primaire. Ses caresses se font plus tendres, ses baisers plus langoureux. Nos étreintes se prolongent tard dans la nuit. Ensuite nous nous endormons, les bras et les jambes emmêlés comme nimporte quel couple après leffort de la passion consommée. Cependant mon sommeil est agité. Je nais pas pour habitude de partager un lit et je souffre de la chaleur dégagée par nos corps enlacés. Mais cest une douce souffrance que je me garde bien dabréger.
Mon amant dort en chien de fusil. Il émet un ronflement léger, un souffle régulier dhomme apaisé et comblé qui récupère.
Dans la pénombre du jour naissant, je contemple ce corps qui forme une grande tache grise se détachant sur la blancheur du drap. Je caresse le bras dont les poils blonds me chatouillent la paume. Je pose ma bouche sur lépaule avec une prudence infinie pour ne pas le réveiller. Je perçois du bout des lèvres les ondulations des muscles sous la peau duveteuse. Il soupire, se retourne sur le dos en bougeant les jambes, il émerge peu à peu de son sommeil. Je me penche sur la poitrine et pose mes lèvres sur le téton droit qui ne tarde pas à se durcir en se dressant. Cette réaction mencourage, jinsiste avec ma langue qui le flatte et lenveloppe. Francis ouvre difficilement les yeux et me caresse doucement les testicules. Jécarte les jambes et me cambre afin de lui faciliter la tâche, alors il me saisit le sexe et le masturbe. Cette fois la pression est telle que jai la sensation dêtre entré dans un orifice parfaitement ajusté. Je me redresse sur les genoux et jobserve un moment cette main qui mastique consciencieusement. A mon tour je saisis son membre à demi érigé. Je le branle au même rythme, accélérant et ralentissant au même moment. Cest une sensation étrange. Lorsque la délivrance approche, je lenfourche pour un soixante neuf. Jéjacule rapidement, lui se libère quelques instants après en me remplissant la bouche de son sperme tiède. Je le conserve dans ma bouche avant de lavaler petit à petit en le dégustant comme une liqueur précieuse. Jaime le goût de son foutre, crème épaisse et onctueuse au mélange subtil aigre-doux avec une saveur légère de noisette. Je pourrais en avaler des litres sans que jamais je nen sois rassasié. Cest un petit déjeuner rare et somptueux, composé de nos fluides respectifs, que nous échangeons avec gourmandise.
Tout cet été va être torride et cela dans tous les sens du terme. Francis comble ses fantasmes les plus extrêmes et moi je découvre lamour charnel avec une délectation et un appétit que rien ne semble pouvoir étancher.
Je savoure chaque instant passé dans les bras de mon superbe amant comme un fruit rare et exquis. A chaque fois quil me possède je suis au paradis et nous mettons à profit la moindre occasion pour nous retrouver, le plus souvent possible dans son lit. Durant ces trois mois, cest le lieu que je fréquente le plus assidument. Comme ses journées de travail se terminent de bonheur, vers les trois heures de laprès- midi, il nous reste une bonne partie de la soirée pendant laquelle il nous est tout loisir de donner libre cours à notre relation érotique. Nos corps impatientés par lattente, se soudent alors lun à lautre, semmêlent, se nouent, jambes et bras entrelacés. Nos bouches voraces se collent et sentredévorent à perdre halène. Cest une explosion soudaine et brutale qui propulse nos sens à lapogée du plaisir.
admin
Jan. 31, 2023
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