Travaux De Peinture 2
Depuis 1 semaine la peinture des volets avance plutôt rapidement ; Côté sexe, pourtant, rien de nouveau depuis le chaud et premier épisode quand Chantal a surpris mes bonnes branlettes solitaires dans lappentis. Mes craintes - car je viens de me marier et nen a rien dit à mon épouse ou plutôt mon désir secret - de remettre cela - ne vont pourtant, pas tarder à se confirmer ... Ce job nest pas génial, mais au moins, il me permet darrondir mes fins de mois, tout en joignant lutile à lagréable. Jadore baiser la patronne, alors pourquoi ne pas remettre cela ? Dautant plus que la réaction du patron me semble équivoque : je vois bien que les écarts de Madame ne le dérange pas plus que cela, par ailleurs il se cache de moins en moins pour sortir sa queue épaisse et pisser contre le cerisier face à latelier
Ce mercredi, le soleil tape encore plus fort que dhabitude, lété est caniculaire et sous ma salopette je suis vraiment en eau. La sueur perle de mon torse, se mélange à mes poils, à la poussière et tout cela dégouline jusquà la raie de mon cul, mes fesses, mon ventre et jusque dans laine. Ces suées me donnent la sensation davoir un chibre sale et trempé en permanence. En plus, les mouvements rapides de vas et viens pour décaper les volets méchauffent les muscles et me montent en tension : putain que jai envie de frotter et fourailler, et pas seulement ces putains de volets !
Bref, malgré la chaleur, jai de plus en plus envie de baiser nimporte quel trou qui passe.
Et pourtant, je dégage une odeur bien mâle et pue sans doute plus encore que Pâto, le chien du patron qui a, dorénavant, pris lhabitude de me tenir compagnie et mobserver avec insistance lors de mes pauses branlettes
Je pense dailleurs quil doit, dans son instinct animal, y prendre également du plaisir, le coquin, car lorsque jétouffe mes râles lors de mes éjaculations, il grogne gentiment ou halète en tirant sa langue rose
Je ne peux pas rester comme ça, en salopette, trempé.
Ma solitude ne dure pas en effet, à croire, quil y a toujours quelquun pour me mater par le trou de la serrure, et entrer au bon moment, car juste après mêtre foutu à poil et changé, le couple, Monsieur et madame cette fois-ci, entrent dans latelier :
-Mon ptit gars, me dis papy Georges, tu vas faire plaisir à Chantal, mais cette fois-ci je serai au spectacle... Tas besoin de vidanger ton dars, alors ne te gênes surtout pas
Tu vas bien mexciter si tu montes bien Chantal, dautant plus quelle a une de ces envies depuis que tu las bourrinée! Mon coco, tes de la campagne, toi aussi, alors prends la sur la brouette !!!
Je nai pas froid aux yeux, il faut dire dailleurs que quelques années auparavant jai déjà partouzé
Mais là, dans cet appentis
avec ces personnes âgées qui me paressaient si sages ...Cela me surprend, mais après tout, pourquoi gâcher mon plaisir ? Et avant que jai le temps de dire ouf, Chantal sinstalle déjà sur la brouette, à 4 pattes, son cul grassouillet et ferme, présenté tout à moi. La vue, à hauteur est imprenable, les lèvres sont luisantes et chaudes un peu béantes, son cul serré est en manque de moi, je le sais, ses 2 trous nattendent que mon assaut.
Je suis, si jose dire, pris à froid, dautant plus que Georges est dans latelier, mais tout cela mexcite terriblement, et mon short, trop étroit, ne peut dailleurs plus contenir mon érection en létat, trop avide de baiser ce cul offert.
Je presse fermement ma tige, et prends maintenant mon pied à la frotter sur le cul et la chatte de Chantal, oubliant déjà le patron
Ah, que cest délicieux et bon ! Parfois, histoire de la faire grimper aux rideaux, jentre et puis je sors juste un peu mon gland, un coup dans lgros trou, un coup dans le ptit
mais pas de toute ma longueur... Jadore faire languir et patienter un peu mes partenaires, rester longtemps dans le vestibule
Georges, finalement, nest pas en reste, et sest foutu derrière moi, pour mâter le spectacle par-dessus mon épaule. Il est si proche de mes fesses et mon dos, que je sens sa main sactiver rapidement sur son chibre, tout en mencourageant, en me chuchotant à loreille :
Vas-y ptit gars, mouilles là bien, excites-là, enfonces lui un doigt dans le cul, bien
Roules lui une pelle maintenant, caresses ses seins, couches toi sur elle, plus vite, voilà, comme ça,
En me retournant, je me suis rendu compte quil sest, lui aussi, dégrafé la braguette ;
Sa queue, épaisse, large et doté dune grosse veine sur le dessus, sans être très longue, bande pourtant très fort pour quelquun de son âge. Cela me rassure : la vieillesse a du bon !
Le patron a bien droit, lui aussi, à sa petit gâterie avec la patronne...Je lui fais donc signe de sinstaller derrière la brouette pour quelle lui taille une pipe face à lui, alors que moi, de mon côté, je commence à pénétrer et explorer son volcan, sa grotte humide et son incandescence.
Celle-ci est aux anges, et encourage son mari à lui occuper la bouche en tirant la langue !
Décidemment, la patronne adore ma queue et en redemande
Aux mouvements de son cul, balançant davant en arrière, je sens bien quelle veut enfourner ma bite sur toute sa longueur, je me retiens, enfonce ma tige jusquau frein, pas complètement.
-Ta queue, maintenant, bourres jusquà la garde, bourrines mon gars et après encules ! Tes pas là pour rester les doigts dans ton cul ! Tu seras bien récompensé si tes un bon coup, et noublies pas que cest nous les patrons ! Obéis aux ordres !
Comment refuser un ordre de mon boss? Surtout quand il sagit de se faire plaisir et que les heures sont payés
Alors, je mexécute et, dun grand coup droit, jenfourne mon sabre veineux et nerveux jusquà la garde, puis après quelques saillies bien rudes et bien appuyées, je change de route et prend un chemin beaucoup plus étroit en forçant la rondelle étroite et humide . Quel délice ! Cest si serré
Jai limpression quun garrot invisible, dans ce trou chaud et humide, maspire encore plus profondément le jus, me serre encore plus le gland. Là, je force vraiment le passage étroit de Chantal, en force dun seul coup de rein puissant, qui la pousse vers lavant.
A cet instant, elle na pas la queue en bouche, entre les lèvres, et celle-ci hurle de la douleur et du plaisir mêlés. Georges, toujours en face de moi, ré-enfourne son gros organe et sactive frénétiquement dans la bouche de sa femme. Mais cela ne dure pas, nen pouvant plus, il se met à gueuler lui aussi, la tête en arrière :
-Salope, avale tout maintenant ! Finis de la tailler cette pipe !!
Chantal, ne le lâche rien, fidèle au poste, et au rythme dun métronome, elle suce en cadence. Au moment propice, enfin, elle saisit simplement les couilles de la main droite, en les pressant doucement. Georges décharge 5 ou 6 fois son sperme
Elle avale, sans en perdre une goute, alors même que les éjaculations nen finissent pas. Lui, jouit encore et prostré, prononce des bribes de mots, jai peur quil perde connaissance, mais cest un vrai jouisseur !
Mes allers retours me chauffent sérieusement le bas ventre, je sens monter ma sève, jai du mal à me retenir et je nen peux plus, mon cur bat la chamade, alors ils mencouragent ensemble : -A toi maintenant !
Alors je décharge dans le fion toujours serré.
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