Leslie Se14

Leslie SE14 – Seule, les voisins italiens

Après le travail, c’était une fin de journée du mois de juillet comme les autres.
Paris était enveloppé dans cette douceur de vivre inexplicable, en rentrant à l’appartement, étant seule, je goûtais au bonheur de n’avoir aucune contrainte et de faire ce que je voulais quand je voulais.
Je me suis assise sur la terrasse de l’appartement pour boire un verre et en prenant plaisir à observer les autres appartements et leurs occupants, espérant secrètement que certains se laisseraient aller, portés par la douceur de l’air, m’offrant leurs corps dénudés après un repas arrosé.

Mes voisins, ont l’habitude de louer leur appartement pour les vacances aux touristes désireux de ne pas aller à l’hôtel et de passer leur séjour dans un appartement confortable et cossu.
L’appartement à côté du mien, a une terrasse commune avec le mien, séparée de la nôtre par une grille en fer forgé. Alors que je suis là, accoudée au garde-corps et plongée dans mes pensées, mon attention est attirée par des gémissements venant de l’appartement d’à côté dont la porte fenêtre est restée ouverte.
Ma curiosité est si forte, que je regarde à l’intérieur de l’appartement pour voir ce qui s’y passe, et là, je vois un couple que je n’avais pas remarqué jusque-là.
Je ne comprenais rien à leur conversation, en italien je pense, mais je comprenais qu’ils étaient joyeux, certainement aidés par un léger excès d’alcool.
Faisant mine de regarder dehors, accoudée à la balustrade, j’aperçois une jeune femme, face à moi, très typée aux cheveux bruns mi-longs, peau mate, très fine.
Elle me jette un coup d’œil rapide, tout en sirotant son verre, vraisemblablement rempli d’alcool. Elle est simplement vêtue d’un paréo, noué au-dessus de sa poitrine. J’aperçois ses épaules et ses jambes. C’est une très belle femme.
Le type est de dos, est un homme très fin également. Il a l’air petit, les cheveux très courts.

Je ne peux voir que ses épaules, peu musclées mais assez larges.
Je fais mine de rester à regarder dehors, tout en jetant un coup d’œil de temps en temps. Parfois, ils s’embrassent, mais je ne sais pas pourquoi, mais je sens que la femme est attirée par ma présence, elle me regarde souvent, si bien que je détourne régulièrement la tête, l’air gêné. Pour pouvoir prolonger ma présence plus naturellement, je pars chercher une cigarette, et oui il m’arrive parfois de fumer, rarement je dois le dire.

A mon retour, mon cœur s’emballe en voyant que le boubou est maintenant très ouvert sur ses jambes. Elles sont légèrement écartées et je ne peux m’empêcher de regarder. Malgré la pénombre, je comprends vite qu’elle ne porte rien en dessous. C’est bien son minou que j’aperçois, caché entre ses cuisses entrouvertes ! Je me rends compte alors qu’elle me regarde, souriante et provocante, et comme pour me provoquer d’avantage, elle écarte un peu plus les jambes.
Je suis dans tous mes états. La situation m’excite énormément, et en même temps je suis abasourdie par ce qui se passe, j commence à croire qu’elle me cherche vraiment !
Le pire, c’est que son compagnon doit se rendre compte de ce qui se passe, mais ils continuent à discuter en riant. Je ne comprends rien, mais il me semble qu’en fait tous les deux apprécient beaucoup la situation.
Je finis par remarquer que l’homme a posé son verre, et qu’il semble se caresser le sexe ! Je ne peux pas voir ce qu’il fait, mais ses gestes sont assez équivoques…
Soudain, il se lève et je me dis qu’ils vont passer dans la chambre, et que je n’aurais plus qu’à me finir seule…
Mais non, lui reste debout. Il est de profil par rapport à moi. Je ne me suis pas trompée, son maillot de bain laisse apparaître une proéminence révélatrice. Elle se rapproche de lui, lui caresse le sexe au travers du tissu, je crois que je vais exploser tellement je suis excitée !
Maintenant la situation est claire, ils savent que je les regarde, et en plus ils font tout pour que je voie le mieux possible !
Elle finit par baisser le maillot de bain de l’homme et je découvre alors un membre superbe, dressé et gonflé, j’émets un petit souffle d’admiration, c’est vraiment un très beau sexe.
Il faut dire que j’ai toujours fantasmée sur les beaux sexes, ceux qui sont droits, et qui, décalotté donne une certaine sensation d’agressivité, et là, je suis aux anges, voir ce beau sexe dressé, et de belle taille, m’excite énormément.
La femme ne tarde pas à entamer une fellation, tout en me regardant de temps à autre. Elle s’est accroupie, tenant d’une main le sexe de son partenaire, et de l’autre, je devine qu’elle se caresse la chatte…
Tout en le suçant, elle continue à me regarder, de plus en plus, et n’en pouvant plus je me caresse au travers du tissu de ma culotte !
N’y tenant plus, mes caresses et le spectacle me mettant dans un état pas possible caresser, j’ai été prendre une douche, tout au plus trois minutes, ensuite après ma douche, je n’ai remis qu’un string, contenant à peine mon sexe raide qui tend le tissu, ne laissant aucun doute sur mon état.
Je sais qu’ils l’ont vu aussi depuis longtemps, et que c’est pour ça qu’ils me regardent autant !
En attendant, je me retrouve là, me caressant tout en regardant un couple en pleine fellation, j’ai toujours du mal à y croire !

Le type gémit de temps en temps, ce qui ne m’excite que plus, m’imaginant être à sa place. Elle se redresse et continue à lui caresser le sexe, alors, il dénoue le nœud du boubou, qui tombe aux pieds de la belle italienne. Elle est nue, superbe. Je vois ses doigts glisser sur sa chatte. Elle se masturbe lentement, au même rythme que ses caresses.
N’y tenant plus, je baisse mon string et sors mon sexe pour pouvoir enfin prendre mon sexe à pleine main. Elle devait attendre ça depuis longtemps, je la vois écarquiller les yeux et accélérer ses mouvements.

Soudain, elle s’arrête, embrasse son compagnon et lui parle à l’oreille, j’ai peur que tout s’arrête là.
C’est alors qu’elle s’approche de la porte fenêtre et vient sur la terrasse près de moi, seule la grille nous sépare et de sa main elle pourrait me toucher, j’ai malgré tout un léger mouvement de recul, j’ai peur de me faire traiter de voyeuse, de perverse ou autre.
Elle me dit quelque chose en italien que je ne comprends pas, alors elle me dit :
- Come !
Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris, elle veut que je vienne, me voyant interloquée, elle rajoute en me faisant signe de la main :
- Oui, toi venir, moi voir sexe toi, intéressée !
Je n’en crois pas mes oreilles !
Je lui réponds que je suis d’accord si son mari l’est aussi.
- Pas problème, moi ouvrir porte à toi, viens ! me répond-t-elle
J’hésite, la situation me paraît tellement incroyable, mais en même temps j’ai tellement envie ! Elle m’a quand même clairement proposé de faire un trio
Je me décide, remonte mon string et passe un tee-shirt long et me dirige chez eux. Je frappe à leur porte, qui est entrouverte. J’entends un :
- Entre !
Ça vient du fond de l’appartement, je pousse la porte, entre et avance lentement.

J’arrive dans le salon où je trouve le couple, toujours nu, installé sur le canapé, elle ayant repris sa fellation, et lui gémissant de plus belle.
Je les regarde, et recommence à rebander aussi sec. C’est ce qu’elle devait attendre car elle me dit :
- Toi excitée de regarder nous et toi bander !
Et elle écarte ses jambes pour me montrer sa chatte que je devine trempée. Elle a des poils courts qui laissent apparaître ses lèvres humides…
- Viens, montre à moi !
Je m’approche, et d’un geste assuré, elle plaque sa main sur mon sexe.
- Humm, bon, très bon, joli !
Les femmes m’ont toujours dit que j’avais un beau sexe, de taille convenable, et c’est aussi ce que j’ai pu remarquer en allant au sauna où lors de mes aventures avec des hommes, la nature m’a bien dotée et les femmes apprécient. A comparer je serais même mieux membrée que son homme.

Elle ne tarde pas à m’enlever mon string.
- Mari regarde, ok ?
Je le vois me sourire, et il se masturbe doucement tout en la regardant commencer à me sucer. Je gémis tout de suite, tellement je suis excitée. J’ai peur de jouir trop vite, mais elle est experte, elle alterne les mouvements rapides et plus lents, jouant avec sa langue de temps en temps autour de mon gland.
Je la regarde faire. Elle est belle. Je n’ose pas la toucher. Je ne sais pas ce que j’ai le droit de faire. Son mari continue à se masturber et vient la caresser.
Je suis debout, elle est assise sur le canapé et lui s’allonge sur elle, en commençant à lui lécher les seins.
De cette façon, il voit mon sexe juste au-dessus de lui. Il semble s’en réjouir, car il mate la fellation en gros plan. Ses doigts descendent sur le sexe de sa femme, qui ouvre ses cuisses pour lui permettre de la caresser plus profondément.
Je ne sais plus où donner de la tête, je vois sa chatte luisante, et les doigts de son mari qui entrent comme dedans, sa bite à lui est tendue, superbe et j’ai envie de la toucher.

- Toi, aimé ? Me demande-t-elle.
Je réponds en gémissant que c’est extraordinaire !
- Tu as vu le sexe de Lorenzo, il est beau, non ?
- Superbe ! C’est très excitant !
- Ahhh, alors ça te plait aussi de le mater ! Mais je suis sûre qu’il adore aussi regarder ta bite. Et qu’il aimerait y goûter avec moi ».
Là, je commence à comprendre ce qu’il va se passer. Elle me propose un vrai trio.
Je m’entends répondre sans hésiter :
- Oh oui, sucez moi !

Et voilà Lorenzo qui arrête instantanément son cunnilingus pour rejoindre la bouche de sa femme sur mon sexe. C’est divin ! Leurs langues se mêlent sur mon gland. Ils me prennent tour à tour dans leurs bouches. Il doit avoir l’habitude, car il suce aussi bien qu’elle.
Je dois me pincer pour être sûr de ne pas rêver
Je sens que je vais jouir, alors je fais mine de me reculer.
- C’est à ton tour, Carla !
Carla s’installe par terre, jambes relevées, offrant son sexe à nos regards. Lorenzo se précipite sur sa chatte, la léchant goulûment. Carla commence à gémir. Comme je regarde Lorenzo faire, il me fait signe d’un geste de venir.
Je remplace Lorenzo et commence à lécher la chatte de Carla. Sa liqueur est délicieuse, et son bouton est énorme. Elle se met à se trémousser pour accélérer les passages de ma langue sur son sexe.
Soudain, je sens la bouche de Lorenzo autour de mon sexe, je bouge aussi en lui pour lui mettre ma bite le plus profond possible. J’ai envie de sentir sa bouche tout autour de mon sexe.
Carla se régale de ce spectacle, et m’offre encore un peu plus son sexe, et je comprends qu’elle a envie que je la lèche plus loin encore ? Son anus est très lisse, sans poil. J’amplifie mes mouvements de langue et passe enfin sur son petit trou.
Carla pousse un hurlement de plaisir, elle adore ça !
Alors, je prends un peu de sa liqueur sur les doigts, et lui caresse l’anus avec. Elle tremble de plaisir. Je fais mine de rentrer un doigt, et c’est elle qui me pousse littéralement à l’intérieur d’un mouvement sec du bassin.
- Tu peux faire, j’adore, me dit Carla.
- Oui, dit Lorenzo, Carla aime toutes les pénétrations.
Mon doigt dans son anus va-et-vient et Lorenzo me rejoint. Il caresse la chatte de Carla et la pénètre soudainement avec ses doigts. Carla devient incontrôlable. Elle remue dans tous les sens, et hurle de plaisir.

Soudain, elle nous repousse et se relève.
- Toi, sucé lui ! Dit Carla.
Je commence à le sucer, et petit à petit, je prends son sexe de plus en plus dans ma bouche. Lorenzo aime ça car il se met à gémir de plus belle.
Carla s’est installée sur le canapé, et nous regarde en se masturbant violemment. De temps en temps, elle dit des choses que je ne comprends pas, mais le ton qu’elle emploie m’incite à continuer.
Puis elle m’attire à elle en me disant :
- Mon cul, toi pas envie ?
Depuis l’allusion de Lorenzo tout à l’heure, j’ai compris qu’elle avait très envie de se faire sodomiser, mais là, elle me le demandait !

Aussitôt, Carla me met un préservatif et s’installe en levrette, puis elle me fait signe de la rejoindre. Elle est là, offerte, me tournant le dos, me présentant son anus ouvert, alors je m’empale progressivement dans son cul, la faisant hurler de plaisir.
Je profite de ce petit cul offert et serré et l’encule avec application, tandis que son homme placé devant elle se fait à nouveau sucer.
Je me sens rapidement au bord de la jouissance, et quand je l’entends hurler, j’éjacule aussitôt, m’enfonçant au plus profond d’elle pour mieux lui défoncer le cul et gicler bien au fond.
Elle hurle encore plus et finit par s’effondrer, s’allongeant sur le ventre, inerte.

J’ai juste le temps de me retirer que Lorenzo vient prendre la place et encule sa femme à grands coups de reins, la faisant à nouveau hurler.
Alors que nous buvons un verre tous les trois, Carla e dit :
- Toi, avoir sexe bon, moi bien enculée !
En disant cela, elle me regarde dans les yeux et rajoute :
Moi, vouloir encore, toi dans moi.
C’est ainsi que la belle Carla s’est à nouveau retrouvé à quatre pattes pour se faire enculer, la seule différence, c’est que moi aussi je me, suis fait enculer par Lorenzo, pendant que je prenais le cul de sa compagne.
Nous avons partouzé une bonne partie de la soirée, Lorenzo s’offrant à moi aussi, puis je suis rentrée chez moi, encore tremblante de plaisir, laissant Lorenzo et Carla.

Le lendemain matin, je me lève très tard, explosée de fatigue, la nuit a été courte.
Les volets de l’appartement d’à côté sont encore fermés, ou plutôt ils sont déjà fermés, car je ne tarde pas à comprendre que la location de Carla et Lorenzo se terminait le jour même.
Ils sont partis.
Voilà une soirée de folie, pas prévue, mais tellement fabuleuse…

A suivre…