Les Tribulations De Virginie
Les tribulations de Virginie
Quelques petits mots afin dintroduire le récit de Virginie. Jai connu Virginie alors quelle était étudiante, jétais son professeur de lettres. Elle avait 21 ans, jen avais 45. Notre idylle fut très sensuelle, sa jeunesse et mon expérience se complétaient à merveille. A mon contact elle sest rapidement émancipée et a commencé à multiplier les expériences érotiques multiples. Le hasard ayant voulu que je sois nommé loin de Paris, jai dû quitter Virginie. Elle ma laissé entendre que je navais pas à minquiéter pour elle et puis que de toute façon si jétais un «vieux cochon », je ne létais pas assez pour elle. Face à mon étonnement elle ma demandé de me trouver, si jen connaissais, de lui en faire rencontrer un !
Soit ! Javais des idées, de quoi la satisfaire. Virginie est une jeune personne brune, grande, en chair et aux charmes qui ne laissent pas indifférents. Elle aime en user et r pour elle et pour le plus grand plaisir de tous.
Je livre sa confession.
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Mon chéri, car tu demeures mon chéri, malgré léloignement, je dois te remercier de mavoir mis en contact avec R., ton ami. Je vais te raconter en détail ce qui sest passé afin de te faire saliver et plus, jespère...
R. sest présenté par mail comme ton ami et il ma avoué que tu lui avais parlé de moi, montré des photos, dévoilé nos jeux intimes. Ne prenant pas de gants - tu avais bien compris le sens de ma demande - il ma avoué être un cochon à mon service ! Voilà qui était sans ambages et propre à me plaire. Il a insisté pour venir dans mon petit studio dans la tenue que tu lui avais dit que je devais porter. Je te suis fidèle ! Jai cédé.
Je ne pouvais pas imaginer mieux ou pire lorsque je lui ai ouvert la porte : tout pour plaire : assez ventripotent, vieux, sans aucun charme apparent. Certainement un libidineux avide de jeunes chairs. Un gros vicelard, en somme. Cest ce que je voulais, mais sur le moment mon envie tombait.
Sortant de la salle de bains, jeus la surprise ?) de le trouver en débardeur et slip kangourou en coton blanc
Hum ! Il se précipite sur moi et commence à membrasser et me fourrer ses mains et ses doigts tout partout avant tout sous la mini en cuir évasée que je portais, là encore selon tes « ordres ». On file sur le lit. Je mallonge, ferme les yeux, ouvre les jambes, me laisse aller. Et le cochon commence son travail. Il fouaille de son groin mon intimité, il grogne, lèche, enfile ses doigts. Je me laisse aller à mes sensations. Cest délicieux. Je sens quil menduit dune crème (en fait de la Nutella !) dont il se délecte. Le cochon nest plus une métaphore mais une réalité. Je suis soumise à un vrai porc.
Après cette petite fête il me demande de jouer le même rôle. Il sinstalle sur le lit après mavoir offert un pot de confiture à la fraise. Je mexécute. Je le badigeonne et commence ma lècherie en bonne cochonne. Deux grosses boules à la fraise
hum, cest bon. On sembrasse, on mêle nos langues. Nos mains sactivent tellement quil lâche tout dans son slip. Ouf, il na pu me baiser. Je file me laver, me changer, il fait de même. Je découvre dans la salle de bains, sur le carrelage, après son départ, nos dessous souillés par nos cochonneries.
Depuis, je ne lai pas revu malgré ses mails insistants et ses propositions de plus en plus libertines. Jai quinze jours de travail intense à fournir puis deux semaines de vacances que je compte consacrer à la luxure. Je le reverrai peut-être après cette période.
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Cette quinzaine aura été très riche, jen ai vu de toutes les couleurs, de toutes les tailles (des grosses, des petites, des dures, des molles, des actives, des paresseuses
), de tous les âges (de 20 à 67 ans, pour être précise). Jai imaginé ce que devait être la vie des putes, moi, par contre, cétait pour le plaisir. Je me sens très pute. Je suis devenue une putain, en quelque sorte
Je vais te raconter, mais pas tout afin de ne pas tennuyer.
Après le dernier cours je rejoins un petit groupe damis et jette mon dévolu sur S (Serge). Nous allons boire un verre, il minvite à un petit dîner. Au moment de nous quitter je lincite à monter chez moi. Il hésite, accepte. Là, je prends linitiative. Je me colle à lui, lembrasse et passe ma main sur sa braguette qui ne tarde pas à gonfler. Il senhardit enfin et je sens sa main fouiller sous ma jupe. Je suis trempée. Nous ne tardons pas à nous retrouver sur ma couche. Il me baise.
Le lendemain, jai envie dautre chose de moins banal. Je mhabille sexy (jupe courte, bottines, tee shirt moulant
) et vais dans un café à Montparnasse. Jattends devant un petit verre les surprises. Je ne tarde pas à me faire aborder par un homme dune quarantaine dannées. Jaccepte. Nous parlons. Il minvite à dîner. Jaccepte. Au cours du repas il me demande combien je prends pour coucher. Je fais mine de ne pas comprendre. Je sens toutefois que cette question na pas laissé indifférent mon minou qui bave denvie que sa maîtresse fasse la putain. Nous montons chez lui. Je mapplique et me conduis en petite débauchée sensée être expérimentée. Initiation réussie, outre un gros billet il me propose de me fournir des clients, ce que jaccepte bien volontiers.
Mon téléphone depuis est saturé de voix de types qui attendent mes « services ».
Le lendemain je me décide à jouer mon nouveau rôle. Je donne rendez-vous à un type, assez âgé, un peu corpulent et qui a du mal à bander malgré mes efforts.
Une dernière histoire pour aujourdhui. Un peu crade, certes.
Jétais très excitée ce soir là et javais très envie de quelque chose dinsolite, de nouveau. Javais passé la journée à lire des récits érotiques et cela mavait donné des idées. Je mhabille très pute (mini en cuir, évasée, petit haut collant, bottines
) Je vais dans un café assez bondé. Je bois un demi, puis un autre. On me mate. Je remarque un type que je semble ne pas laisser indifférent. Un petit sine complice et il me suit vers les toilettes. Je vais vers les toilettes « homme », il senferme avec moi ! Jai tellement envie de me soulager que je nai pas le temps de retirer ma petite culotte. Je me soulage. Il me regarde, ouvre sa braguette et me donner à sucer sa grosse queue toute bandée. Je me lève, lui offre mon cul. Il joue avec mon linge mouillé, me lèche, me branle avant de menfourner et de jouir dans ma chatte jamais aussi accueillante.
Je suis une vraie salope ainsi que tu peux le constater. Jai encore bien des aventures à te raconter. Plus tard. Je tembrasse, mon cochon préféré.
Virginie
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