Leslie Se15
Leslie SE15 Seule, monstrueux empêchement
Je viens davoir des nouvelles de Chris, ma première petite amie, celle qui ma aidée dans ma transformation et chez qui jallais passer mes vacances dans ma jeunesse, elle fête ses vingt-cinq ans ce week-end et ma invité.
Etant en déplacement à Montpellier les deux jours auparavant, jai bien sûr dit oui tout de suite, sans trop réfléchir, mais sans voiture il me fallait trouver une solution pour me rendre à Cassis.
Nayant pas envie de prendre le train et ne voulant pas faire de frais dans une location de voiture en cette fin juillet, je me dis que la meilleure solution serait de my rendre en auto-stop, Montpellier nest pas si loin de Marseille et Cassis est tout proche, cela ne devrait pas être trop galère.
Mais cest risqué quand on est une jeune fille seule, enfin presque fille, mais lidée me tente, linconnu et le risque mont toujours attirés.
Le vendredi à midi, mon petit sac de sport, en fait un baise en ville comme on dit, rapidement remplit, en déplacement je voyage toujours léger mais avec lessentiel, et mon sac à main bien fourni de tout ce qui est nécessaire pour un week-end et me voilà prête.
Je suis partie avec linquiétude et linconscience nécessaires pour ce périple, mais excitée comme une puce de cette nouveauté.
À ma grande surprise, tout se passe bien, une voiture sarrête à lentrée de lautoroute, le chauffeur va à Nîmes et il me dit quil peut me déposer à lair dAmbrussum sud, juste avant le péage.
- Comme il y a une station Total, un Mac Donald et restaurant Accord, à cette heure, juste après le déjeuner vous naurez pas de mal à vous faire prendre, me dit-il.
- Super, vous êtes sympa.
- Cest normal, une belle jeune fille comme vous ça ne se laisse pas sur le borde de la route.
Sil savait pour la jeune fille
Nous discutons un peu et quinze minutes plus tard il me dépose sur laire de repos en question et je rejoins, aussitôt, le début de la sortie de laire pour être sûre quun maximum dautomobilistes passe devant moi
Au bout de cinq minutes, une énorme voiture sarrête, cest une grosse Audi noire, vitres teintées.
Je parais toute petite assise à côté de lui. Il me sourit et démarre. Cest bon, ça na pas lair dêtre un gros taré vicieux.
La voiture est puissante et laccélération me colle au siège, sympa la sensation !
Aussitôt il me demande :
- Vous allez jusquoù comme ça ?
- Cassis et vous ?
- Je vais jusquà La Ciotat, je vous déposerais au passage.
- Merci, cest vraiment gentil à vous !
- Moi cest Alain.
- Et moi, Leslie.
En plus, il a lair sympa, super, je suis bien tombée.
Lorsque je lui parle, je le regarde, il a le visage marqué par les années et la vie, mais il a un charisme impressionnant. Par moment il me regarde aussi et nos yeux se croisent, il a le regard profond et sombre.
Nous discutons une bonne demi-heure. Il est divorcé et na pas d. Il vit à Béziers et il travaille pour une société dans la construction navale, et il mexplique quil est souvent en déplacement sur les différents sites de construction.
Et ce week-end, il va rendre visite à un ami avant sa réunion de lundi qui, apparemment, est très importante.
Je suis détendue et il minspire confiance. Je me sens bien près de lui. Nous discutons de tout et de rien, bref on fait connaissance.
Au bout dun moment nous parlons de mon voyage et de mes motivations et il me demande de le tutoyer et il en fait de même. Il me dit :
- Mais tu sais, cest risqué quune jolie jeune fille comme toi fasse du stop, il peut arriver nimporte quoi, mais ne tinquiètes pas, avec moi tu ne risques rien, tu nes pas la première que je prends en stop, au contraire.
- Jai confiance, dis-je.
- Même si tu penses que jai lair de te draguer ?
- Ça ne me dérange pas, bien au contraire, ça ma flatte un peu.
- Par contre, tu es de loin la plus jolie, rajoute-t-il.
Cette petite phrase à la fin provoque un frisson en moi, cest flatteur qui me trouve jolie, mais je me sens monter en moi la température, une pulsion dadrénaline me traverse le corps, il faut que je me calme.
- Oui, je sais que cest risqué de faire de lauto-stop seule, mais bon il faut tenter lexpérience et puis, linconnu, cest un peu excitant !
- Tu as raison, il faut tout vivre pour connaitre.
- Au fait, merci cest gentil
- De quoi ?
- Ben de me dire que je suis jolie, cest flatteur venant dun homme comme toi.
- Pourquoi un homme comme moi ? Quest-ce que tu veux dire ?
- Ben, tes un homme dexpérience, pas mal foutu et tu as du en avoir des belles femmes, plus belles que moi dailleurs.
Il rigole et me dit :
- Eh bien jai vingt ans de plus que toi, peut-être plus et jai limpression que cest toi qui me drague !
Waouh, là, par contre, il a raison, il a dû voir que je nétais pas insensible à son charme, il ne me laisse pas le temps de répondre, il pose sa main sur mon genou et me dit :
- Tu sais, cest moi qui suis flatté et je tavoue que la situation mexcite beaucoup.
- Mais euh
- Ne tinquiète pas, jai lhabitude, mais les jeunes filles comme toi aiment jouer de leur jeunesse avec un homme de mon âge, mais bien souvent, elles ne vont pas plus loin et cest bien dommage !
Je ne comprends pas ce quil tente de me faire comprendre, alors je lui demande :
- Pourquoi dommage ?
- Parce quen me draguant, elles mexcitent, mais nassument jamais ensuite.
- Et cest ce que tu penses de moi, je tallume comme une salope, et ne vais pas assumer et te laisser tomber une fois que tu nous serons arrivés.
- Ce nest pas ce que je veux dire Leslie, pardonnes-moi, mais si tu savais
- Et toi que sais-tu de moi, si toi aussi tu savais
Un long silence sen suit, nous nous sommes blessés mutuellement et le charme est rompu, soudain dune voix tendre Alain me dit :
- Veux-tu découvrir par toi-même ce que je dis, mais ne te sens pas e.
- Je veux bien, dis-je, renouant la conversation.
À peine ai-je répondu, quil prend ma main pour la poser délicatement sur la braguette de son pantalon en me regardant tendrement avec un sourire rassurant.
Je souris aussi et sens une excitation impressionnante monter en moi. Je me sens me liquéfier et jai chaud. Je ne peux pas mempêcher de fixer cette braguette. Je commence alors à malaxer son entrejambe délicatement et je sens très rapidement son membre gonfler sous ma main.
Lui, il fixe la route et conduit.
Mais linquiétude me gagne, le membre que je tripote, est déjà gros, et il continue de gonfler sans cesse sous ma caresse.
Jentends le souffle court dAlain, qui se fait de plus en plus fort, jusquau gémissement.
Je décide alors den finir avec le doute et de me rendre compte. Je mets ma deuxième main et ouvre sa braguette en grand. Jenfouis ma main sous son pantalon, la glisse dans le boxer et sors son sexe.
Je ne peux mempêcher démettre un cri détonnement et de stupéfaction, tandis quun frisson me parcoure léchine.
En effet, je viens de sortir un sexe impressionnant du pantalon dAlain, il est très long et ma petite main nen recouvre quune petite partie. Il fait au moins vingt-deux centimètres, peut-être plus et ce qui me fait encore plus peur, cest sa grosseur, ma main nen fait pas le tour. Bien plus imposant que le mien et je suis déjà pas mal fournie. Une grosse veine parcoure son sexe sur le côté, le gland est violacée, et il dégage une impression de puissance fascinante.
Je reste sans voix, choquée et subjuguée en fixant ce sexe dressé à mes yeux et ma main le tenant, il est dur, Alain me lance en rigolant :
- Maintenant tu comprends pourquoi je disais quelles nassumaient pas, elles prennent toutes peur ces petites coquines et se dérobent systématiquement.
Je rigole aussi et lui réponds :
- Moi, je ne suis pas une petite coquine, mais une grande coquine !
A suivre
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