Délice Du Temps Des Sucres
Cette délicieuse histoire a eu lieu par un bel après-midi de printemps à la cabane à sucre de mon oncle. Celui-ci avait invité toute la famille à venir laider à récolter leau dérable. Jétais là avec ma famille, mon père, ma mère, mes frères, cousins, cousines, ainsi que ma fiancée. (Car oui, jai fait la grande demande lété passé). Après avoir fait les salutations à toute la famille, mon oncle nous a tous offert un verre de Whisky mélangé à du sirop dérable, un vrai petit délice. Une fois le petit remontant pris, nous sommes tous partis pour faire la récolte. Moi et ma blonde marchions devant suivit par le reste de la troupe. La journée était belle, le soleil éclairait tout le bois et on pouvait voir scintiller les dizaines de chaudières fixées sur les troncs. Malgré la neige le temps était doux, ma compagne avait même troqué son manteau pour une simple veste à capuchon qui métait en évidence tous ses charmes. Sa belle taille fine, sa poitrine bien généreuse et sans oublier le divin charme de ses jolies fesses. Je zyeutais ma propre blonde avec les yeux dun amant tellement jétais sensible à ses charmes. Elle avait bien remarqué mon regard qui parcourait sa silhouette, car bientôt elle me fit un divin sourire en passant une main sur ses hanches et délicatement sur sa fesse, ce qui me fit chaviré denvie pour elle. Nos petits gestes de charme devaient rester discret, car ma famille nétait pas bien loin derrière. Cest ainsi que ma fiancée se mit à me taquiner et à me narguer. Dès que personne ne la regardait, je pouvais la voir du coin de lil qui se mordait les lèvres, caressait sa poitrine ou suçait lun de ses doigts. Elle prenait un terrible plaisir à masticoté, alors que je devais faire comme si rien nétait pour ne pas que ma famille ne remarque. Plus je rougissais, plus elle en ajoutait, si bien que je me suis rapproché delle pour lui murmurer à loreille.
-Mon amour, tu dois arrêter, svp.
-Pourquoi ? Je mamuse bien, pas toi ?
-Oui, mais fait attention, je suis au bord de lérection.
-Mmmm, intéressant mon chéri, moi ma culotte est déjà bien mouillée.
Un clin dil coquin et elle me fausse compagnie comme ça. Je la vois qui rigole et qui séloigne dans le sentier. Sourire aux lèvres, je sens que je ne mon excitation vient de monter dun cran. Je ne peux toujours pas croire que cette jolie rousse, aussi séduisant que malicieuse va se marier avec moi. Je suis rêveur et mes pensées sont toutes pour elle. Son visage clair parsemé de tache de rousseur, ses yeux brillants noisette et ce délicieux sourire quelle moffre à tout instant. Jétais encore dans mes fantasmes quand une main me prit par lépaule. Cétait mon oncle qui riait de me voir ainsi «parti sur la lune».
-Ouin, réveille-toi. Ya encore beaucoup douvrage, allez grouille toi. Tu ne vas pas laisser ta blonde Marianne récolter toute leau dérable toute seule ?
-Non, non, jétais juste parti dans mes pensées.
-Voyons, tu pensais à quoi ?
-Haaa, Pas louvrage en tous cas !
Je souriais comme un gamin devant mon oncle qui ne comprenait rien. Puis je me suis empressé de rejoindre Marianne qui mattendait loin devant. À mon arrivée, elle senfonça dans les bois et alla se cacher derrière un immense tronc darbre. Son regard était coquin et elle avait le sourire dune diablesse. Sans hésitation je lai suivi en espérant les plus grands fantasmes permis.
Elle était là, adossée au tronc. Ses longs cheveux frisés ondulaient sur sa poitrine. Lune de ses mains était glissée sous son pantalon. Ses yeux étaient légèrement fermés et je pouvais lire le plaisir sur ses lèvres. Je me suis approché tous près delle et je lai embrassé comme un amant qui courtise pour la première foi. Sa langue dansait doucement avec la mienne. Mes lèvres glissèrent doucement vers son cou. Je pouvais entendre le doux son de sa respiration à mon oreille. Jembrassais sa peau avec envie, prenant soin de souffler sur sa nuque et de remonter à ses lèvres.
-Alors mon amour ? Es-tu excité ?
-Ho, oui. Jai envie de toi.
-Mmmm, moi aussi jaimerais que tu me prennes.
-Ho, oui mon amour.
-Mais
on nest pas tout seul !
Puis elle me pousse à la renverse. Je tombe direct dans la neige et je renverse nos deux chaudières. Elle rit aux éclats.
-Jespère que tu ne men veux pas. Mais faut faire des efforts pour courtiser et coucher avec sa femme. Pense sy et revient me voir.
Marianne se retourne, se cambre et baisse ses pantalons pour me montrer à lair ses jolies fesses bien blanche. Aussitôt vue, aussitôt cachée, elle détale en riant, bien fière de son coup. Je me relève péniblement, excité et bien décidé de prendre ma revanche. Je saisis ma chaudière vide et retourne sur le sentier. Mon oncle me voit et remarque vite que ma chaudière est vide et que mes vêtements sont trempés et couverts de neige.
-Voyons ! Dit moi pas que tes tombé, ha haha. Pauvre bougre, tes pas faits pour travailler dans le bois toi ! Ha haha.
- Cest pas drôle, disons que je me suis fait avoir.
-Ta blonde est pas mal plus habile que toi ! Ha haha!
-Ouais, on peut dire ça.
Soudain jai une idée. Je dis à mon oncle que la famille peut passer devant et que moi et Marianne on va rester pour terminer la section au fond de la forêt. Lidée ne dérange pas à mon oncle et il accepte que je me rachète en récoltant la partie la plus éloignée dans les bois. Il me fait promettre de ne plus renverser deau dérable par terre et me donne le feu vert pour terminer la section du fond. Aussitôt mon oncle fait signe à mes frères et à mes cousins de rester sur le sentier et de continuer plus loin. Mon plan marche comme sur des roulettes et je souris quand je remarque que Marianne na pas entendu les ordres, puisquelle est déjà trop loin dans le bois.
-Je vois mon amour que je suis bien meilleure que toi !
-Si je navais pas perdu deux chaudières en tombant, je serais bien en avance sur toi.
-Mmmm, désolé, mais tout est permis. Une femme a bien le droit dutiliser ses avantages. Et jai remarqué quon était seul ?
- Oui, personne ne viendra nous déranger.
-Parfait, jai vraiment envie de boire directement à la chaudière.
Marianne décrocha une chaudière et posa ses lèvres pour y boire. Elle prit quelque gorgée deau bien sucrée et elle fit couler le liquide sur ses joues. Je pouvais voir les gouttes claires couler sur sa peau. Bien vite le rebord de son décolleté fut trempé et sest avec un regard terriblement mesquin quelle sexcusa dêtre toute trempée. Elle me proposa de gouter, mais je devinais à son sourire ce quelle avait envie que je goutte.
Je me suis collé sur elle et je lai embrassé. Ma bouche dévorait sa peau mouillée et sucrée. Mes baisés firent le chemin vers son cou et ma langue se baladait sur sa peau. Rapidement, Marianne retira sa veste et sa camisole. Mes mains caressaient son corps avec envie et les siennes sétaient accrochées à mon cou. Je couvrais sa poitrine de baisés, ses seins généreux étaient presque totalement offerts à ma vue. Elle retira alors mon chandail et membrassa fougueusement. Dune main jai dégrafé son soutif, alors que ses lèvres parcouraient mon cou et mes pectoraux.
-Mmm merci de mavertir, je te promets que tu seras récompensé.
Puis elle membrasse à nouveau. Mes mains parcourent son corps de rêve. Mes doigts ne font que caresser ses seins qui pointent dexcitation. Je peux sentir le vent frais caresser ma peau. Le soleil fait briller la douce peau blanche de Marianne qui me caresse avec envie. Je la fais tourner dans mes bras pour lembrasser sur la nuque et puis doucement je la blottie contre un arbre. Dos à moi, mes lèvres lui dévorent les épaules et je souffle dexcitation à son oreille. Je sens ses fesses qui se frottent et se collent sur ma verge. Lune de mes mains caresse les seins de Marianne, alors que lautre se dirige vers son pantalon. Elle me murmure de continuer, mes doigts se glissent sous le tissu. Je peux sentir toute la douceur de sa peau bien rasée sous la dentelle de sa culotte. Quel délice de sentir lhumidité sous mes doigts et de parcourir son sexe gorgé de plaisir. Je peux déjà sentir entre ses lèvres mouillées son bouton du plaisir que je caresse délicatement. Aussitôt, gagnée par le plaisir Marianne se mord les lèvres pour ne pas crier. Je continue doucement mes attentions sur son sexe mouillé dexcitation et peu à peu je descends son pantalon qui roule le long de ses cuisses. Mon sexe collé sur ses fesses dénudées ne demande que daller en elle. Je retire mes pantalons et me retrouve moi aussi les fesses au vent. Marianne sappuie contre le tronc de larbre et se cambre afin de moffrir une vue parfaite de son sexe rosé et de ses belles fesses blanches. Je passe une dernière fois une main sur son sexe humide, puis doucement je caresse le dos de ma fiancée. Mon sexe est en feu et mon excitation est totale, doucement jappuie mon sexe sur le sien. Quel plaisir fou de sentir mon gland frotter sur ses lèvres bien humides et de sentir la chaleur de son sexe qui parcoure ma verge. Je saisis avec plaisir les hanches de ma partenaire qui me sourit et me demande de continuer. Je continue mes mouvements de vas et viens sous les rayons du soleil et le vent qui parcoure ma peau. La vue nest que magnifique, de longs cheveux roux qui tombent sur la peau claire de ma partenaire. Son dos se termine sur la finesse de sa silhouette et sur le début de ses fesses. Mes mains son plaqué contre ses hanches et mon sexe claque contre le sien à toute vitesse, alors quelle me demande toujours de continuer. Après un moment, elle me dit quelle va bientôt jouir. Je redouble de vigueur afin de la combler. Je sens peu à peu ses hanches se cambrer et sa respiration saccélérer. Puis le son divin de ses cris de plaisir me pousse à lextase moi aussi. Je sens la vibration qui secoue son corps tellement le plaisir est intense. Mon sexe est lui aussi gorgé de plaisir et je jouis en elle. Quel moment incroyable ! Je suis complètement perdu dans mon excitation. Doucement je me retire et je prends ma belle dans mes bras. Elle se retourne pour membrasser doucement et me comble de compliment et de passion. Nous nous embrassons un long moment, nue sous le soleil et scintillement de la neige de printemps. Il nous faut de longues minutes avant de pouvoir reprendre nos esprits et nous rhabiller. Je remonte mes pantalons et épiant du coin de lil cette merveilleuse femme à qui je viens de faire lamour. Marianne me rend mes sourires en riant et nous reprenons tranquillement le chemin du sentier. Nous marchons main dans la main jusquà la cabane à sucre où là toute la famille nous attend. Mon oncle nous voit arriver et cest en riant quil nous apprend que nous venons de manquer la tire dérable.
-Pauvres de vous, cest dommage davoir manqué ça !
-Ce nest pas grave mon oncle
on peut dire quon sest sucré le bec quand même.
Marianne et moi rions en silence, alors que le reste de la famille ny comprend rien et que mon oncle nous invite à rentrer pour le repas. Bref, faute de tire dérable jaurais goutté au plus grand plaisir du temps de sucre. Merci de me laisser un commentaire.
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