Une Première Expérience Gay Partie 2 - Des Soins Très Intimes
Pour des raisons de santé, Patrick nétait pas revenu chez moi depuis mon « baptême » homosexuel. Comme je vous le disais à la fin de mon dernier texte, jétais fort troublé par ce quon avait vécu ensemble. Suis-je gay ? Bisexuel ? Juste curieux ou en manque ? Hier matin, la dame qui la remplacé ma souhaité bonne chance pour la suite de ma convalescence, puisquelle ne devait normalement plus revenir, Patrick reprenant le travail. Je me suis donc réveillé très tôt ce matin-là, anxieux et en même temps excité. Je lattendais
Les minutes me paraissaient plus longues quhabituellement, un peu comme quand on attend un coup de téléphone important qui tarde. Cest alors que vers 8h30, jentendis enfin la clé tourner dans la serrure. Les pas de mon infirmier résonnaient dans le couloir, tel mon cur qui battait la chamade. Mes mains sont devenues moites. Comment allais-je laborder ? Avec les femmes, les choses semblent pour moi plus naturelles, mais avec un homme
La porte de ma chambre sest ouverte, il ma simplement souri, sest excusé davoir été absent les derniers jours. Puis il sest activé, préparant son matériel pour ma toilette matinale, me parlant de choses banales comme la météo et le foot, comme le feraient deux étrangers ayant à passer un peu de temps ensemble.
Jai été rassuré du fait quil ne semblait pas nécessaire quon parle demblée de nos derniers moments passés à deux, mais en même temps, cétait un peu comme si ce qui avait eu lieu navait pas eu dimportance à ses yeux, alors que moi, jen étais pratiquement obsédé. Il a soulevé mes draps et enlevé mon pyjama : cependant ce matin-là, pas de gigantesque érection, jétais trop nerveux. Je me tenais là, sur mon lit, nu de la tête aux pieds, les bras toujours immobilisés par les plâtres (rappelez-vous mon accident), totalement offert à lui. Mes émotions étaient ambigües : une partie de moi voulait oublier lincident de la dernière fois, lautre souhaitait quon remette ça.
Il est parti chercher une bassine deau chaude, y a trempé un gant de toilette sur lequel il a appliqué du gel-douche, puis sest mis à me savonner le corps. Cette petite routine quon avait lui et moi et que je vivais comme humiliante il y a encore à peine une semaine prenait soudain une toute autre dimension. Cela me faisait maintenant plutôt pensé à des préliminaires à lacte sexuel. Je profitais de cette main qui au travers du gant de toilette, me caressait, me massait, mexcitait. Il ma fait : « Leau est assez chaude ? Tas lair tendu. » « Non, non. Tout va bien. », lui répondis-je en me demandant sil avait seulement conscience du stress quil avait généré dans ma petite vie bien ordinaire dhétéro. Tout en le laissant soigneusement explorer le moindre muscle de mon corps, je le regardais : son visage aux traits fins, mais pourtant viril, sa barbe dun jour, son teint un peu bronzé, sa chevelure blonde et bouclée, son imposante carrure, son pantalon blanc dinfirmier qui laissait deviner un petit cul rebondi. Je navais jamais posé un tel regard sur un homme, mais je dois avouer que Patrick est vraiment sexy. Le gant de toilette est alors remonté sur ma cuisse, puis sous la serviette entre mes jambes. Leau chaude et savonneuse glissait sur mon pénis qui pressé par les caresses, commençait à se détendre et prendre de lampleur. Mais mon infirmier ne sest malheureusement pas éternisé sur cette zone. Il ma rincé abondamment à leau claire, ma séché le corps en entier, tendrement, a changé lalaise de mon lit pour que je sois confortablement installé au sec, ma recouvert de mes draps, puis a quitté la pièce avec la bassine. Je suis resté là, insatisfait et je me suis senti bien con, trop embarrassé pour avoir eu laudace de lui faire comprendre que javais envie de lui.
Cinq minutes plus tard, il revenait avec la bassine et me dit : « Cest de la nouvelle eau, je vais te laver les cheveux. » Il a placé la bassine sous ma tête puis sest installé à califourchon sur moi. Je me suis dit que tout nétait peut-être pas perdu : il navait bien sûr jamais lavé mes cheveux dans cette position. Ses mains ont plongé dans leau, ramenant celle-ci doucement sur mon visage et mes cheveux. Il a déposé un peu de shampoing dans ses mains puis a entrepris un massage de mon cuir chevelu. Ses mains décrivaient de petits mouvements circulaires tout autour de ma tête, de plus en plus pressants. Javais des frissons sur tout le corps, nos regards se sont croisés. Cen était trop, jai fermé les yeux, à la fois par gêne et pour profiter de linstant. Je ressentais ses fesses fermes sur mon sexe qui, quittant lemprise de ma nervosité, se mit à gonfler de plus en plus. Jai pensé quune érection comme celle-ci valait certainement mille mots, il était certain quil savait maintenant leffet quil me faisait. Il a terminé le lavage de mes cheveux sombres, a retiré la bassine, la posant sur la table de chevet, toujours bien assis sur ma queue tout dure. Il a tiré sur une serviette pendant à la tête de mon lit, ma séché les cheveux, puis a laissé la serviette sur mon visage. Jétais à sa merci. Quelques instants sont passés ainsi, mais ça ma paru une éternité. Il a replié la serviette, découvrant ma bouche, mais me laissant toujours privé de la vue. La chaleur de sa respiration atteignait mon visage, le rythme de la mienne semballait un peu, puis jai senti ses lèvres se presser contre les miennes, sa langue chaude senfoncer dans ma bouche, semmêlant sur la mienne. Il ma ensuite chuchoté à loreille : « Tas vraiment cru que je pourrais résister à de beaux yeux bleus suppliants ? » Nous avons ri et nous nous sommes embrassés pendant de longues et délicieuses minutes.
Puis sa bouche est descendue dans mon cou, sur ma poitrine et mon abdomen.
Il a commencé à se déshabiller, déboutonnant lentement sa chemise, se caressant le torse et les tétons. Il sest retrouvé nu, debout à côté du lit, se masturbant. Il laissait échapper tout bas de petits « ah oui ». Je regardais ses abdominaux se contracter, le plaisir prendre forme sur les traits de son visage. Il sest penché, a pris du lubrifiant dans son sac à dos, sest enduit le pénis. Puis il est remonté sur le lit et après mavoir relevé les jambes, a appliqué une généreuse portion de gel sur mon anus quil sest mis à masser avec son gland, comme la dernière fois. Cette fois, je navais plus aussi peur, javais même envie de la sensation dêtre pénétré, possédé. Son sexe sest introduit profondément en moi. Après un court moment dinconfort, les va-et-vient sont devenus jouissifs. Il y est dabord allé avec de très lents et profonds mouvements. Quand sa queue ressortait, je contractais mon rectum comme pour la retenir.
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