Dressée Pour Jouir, Expérience De Groupe
Au mois de juin 2000, jai rencontré sur le net un groupe qui me semble bien convenir à mes aspirations et pourrait maider à combler la formation de ma soumise. Ils organisent des soirées intimes, toutes orientées soumission, avec des thèmes.
Sophie, lorganisatrice me propose linitiation à une soirée « canine », comme je ne comprends pas trop le but de la soirée, je lui demande en quoi consiste notre participation.
« Vous venez avec votre soumise qui sera traitée comme un chienne dans un élevage ».
Je lui dis que ça me va et que je serai là, samedi soir.
Je préviens Jo que samedi nous sommes invités dans un château pour une expo canine privée. Compte tenu quil y aura du beau monde, je lui demande de se faire belle, coiffeur, épilation, maquillage bas etc
et ta petite robe noire en volant de tulle, à bretelles.
Samedi 21 h, nous arrivons au château de « B
» qui en fait est une grosse demeure au fond dun grand parc, linterphone demande la raison de ma visite et à ma réponse « Exposition canine de Sophie B
» le double portail souvre et nous laisse pénétrer dans les lieux.
Allée bordée darbres, façade légèrement éclairée pas des lanternes, parking où sont déjà rangées une douzaine de voitures.
Nous somme reçus par Sophie en personne, qui après les présentations nous conduit au salon où nous partageons quelques amuse-gueules avec les autres invités. Nous sommes là sept hommes, dont un véritable athlète noir et sa femme, menue, cheveux cours et lair sévère, et huit femmes, jolies pour la plupart.
Jo me dit discrètement quil ny a pas beaucoup de monde pour une expo et quon nentend pas les chiens; je lui réponds que cest une expo privée et que les chiens sont enfermés dans un bâtiment plus loin.
Quinze minutes plus tard, Sophie entre dans la salle avec une liste à la main et elle appelle :
-Anna
-Jo
.
-Clotilde
-Léa
-Marion
-Stéphan
-Sébastien
-Baptiste
Vous me suivez pour la préparation.
Jo me regarde interrogative, je hausse les épaules, dubitatif mais je lui fais signe de suivre les autres ; tous les appelés sen vont suivant la maîtresse de maison.
Une vingtaine de minutes plus tard, Sophie nous demande de la suivre dans la pièce dà côté où doit se poursuivre la soirée ; cest une belle salle, il y fait encore plus chaud quau salon, les fenêtres sont obturées par de grands rideaux rouges, la lumière est assurée uniquement par des chandeliers posés sur des petites colonnes tout autour de celle-ci.
Des fauteuils et des chaises sont disposés en cercle et au milieu de celui-ci, se dresse une sorte de grosse borne en pierre, comme une petite pyramide haute de deux mètres avec des anneaux scellés ; et le spectacle absolument sublime des appelés de le liste, à genoux, tous avec cagoules de vinyle noir, ne laissant quune ouverture pour la bouche, celle-ci bloquée par un bâillon-boule, sont attachés par un collier et une laisse aux anneaux de la pyramide.
Jo, comme les trois autres femmes est nue, « habillée » dune sorte de harnais, les seins sont enserrés à la base, mais libres ; le reste du corps est cerclé par le harnais avec cinq bandes cloutées, les jambes sont gainées dans des cuissardes hautes ; tout cela noir, sauf pour baptiste, le beau noir, qui lui est en rouge et qui comme les autres hommes na pas de cuissardes.
Sophie sapproche et nous donne à chacun une cravache ; « maintenant, récupérez vos animaux, nous allons passer au dressage ! » sécrie-t-elle.
Je mapproche de Jo, ma chienne, et je la ramène, à quatre pattes, comme les autres maîtres devant mon fauteuil.
-Sophie : « première chose, vos animaux doivent comprendre qui commande, pour çà, vous allez leur donner 10 coups de cravache, allez-y, en comptant »
Comme les autres, je commence à donner des coups de cravache sur les fesses de Jo en comptant, mais Sophie intervient brusquement, marrache la cravache des mains et donne elle, de grands coups de cravache sur les fesses déjà rosies et on entend les gémissements de Jo sur son bâillon.
A dix, toutes les fesses sont bien colorées (sauf celles de Baptiste, bien que son épouse y soit allée de bon cur).
-Sophie : « les mâles à lanneau ! » ; les maîtresses accrochent alors leurs laisses à la pierre centrale pendant que Sophie installe une table ronde devant mon fauteuil.
De mon côté je suis en train de caresser doucement les fesses de Jo qui tremble un peu.
Sophie sapproche, prend ma laisse et amène Jo, toujours à quatre pattes vers la table en lui donnant des petits coups de cravache, visiblement adressés à sa chatte épilée.
-Sophie : « les maîtres approchez avec vos femelles, elles ont une novice à former »
Les trois autres maître approchent avec leur femelles quils libèrent de leur laisse et de leur bâillon et sur un signe de Sophie elles prennent Jo à bras le corps et la mettent à genoux sur la table.
-Sophie : « allez, formez-moi cette petite à la vie en chenil ».
Je suis absolument ravi et excité par le spectacle qui se déroule devant moi : Jo est caressée, sucée, pincée par six mains expertes, ses gémissements atténués par le bâillon laissent supposer quelle va bientôt jouir sous les caresses saphiques, chose quelle avait toujours refusé. Elle a du mal à rester à quatre pattes et Sophie est obligée de la redresser à coups de cravache.
Jo se met bientôt à balancer violemment sa tête de droite à gauche et Sophie comprend quelle est en train de jouir ; elle sapproche et ordonne quon la mette sur le dos ; elle lui enlève son bâillon et lembrasse profondément.
Léa se colle sur sa chatte, on voit sa langue parcourir le sillon des petites et titiller le clitoris tout gonflé ; Marion et Clotilde soccupent des seins quelles sucent et pincent avec violence.
Jo gémit maintenant sans discontinuer, elle râle de plaisir jusquà ce que Sophie écarte les femelles, la fasse descendre de la table et lui remette sa laisse quelle me rend.
Sophie, en me regardant, fait signe aux autres femelles de se coucher sur le dos, genoux remontés et cuisses ouvertes ; « maintenant apprenez-lui à rendre son plaisir !».
Je prends ma laisse et traîne ma chienne vers les trois chattes ouvertes, déjà luisantes, lui pousse la tête avec la main, sentant une résistance certaine lorsquelle sent les odeurs intimes lui envahir le nez. Comme un vrai maître qui doit se faire obéir, je lui donne alors deux coups de cravache sur les fesses en lui ordonnant de sucer Léa.
Jo se met dabord timidement à sucer Léa qui commence à gémir et lui prend la tête, la maintien sur sa chatte pour la faire aller le plus loin possible, Jo se libère peu à peu et commence à se servir de ses doigts et bientôt, cest sa main toute entière qui va et vient dans le vagin dune Léa au paradis.
Sophie, en bonne maîtresse de maison, ne voulant pas quil y ait des jalouses, arrête Jo et loblige à pratiquer toutes les chattes, voire les anus des chiennes sur le dos.
Au bout dune bonne heure, toutes les femelles sont complètement sur les nerfs, excitées et tendues comme de la corde à piano ; les mâles attachés sont tendus aux aussi, ils bandent comme des ânes (moi aussi) de tous ces bruits de jouissances et je suis particulièrement impressionné par la queue de Baptiste, effectivement comme un âne.
Je récupère Jo et Sophie nous invite maintenant à faire un manège de présentation, c'est-à-dire de présenter nos animaux tenus en laisse, pour quils se reconnaissent ou fassent connaissance. Je promène donc Jo au milieu de ces femelles et ces mâles énervés.
Je lapproche de Léa qui est en train de sucer Stéphan avec application, toujours à quatre pattes (ce qui lui fait se tordre le cou) et elle lui lèche les fesses, puis lui enfonce deux doigts lanus en les faisant tourner, ce qui arrache des grognements de plaisir à celle-ci.
Plus loin, Clotilde est branlée par Sébastien, encouragé par les coups de cravache de sa maîtresse qui lui enfonce un god dans le cul ; elle crie son bonheur dune voix continue.
Quand je juge que Jo a suffisamment joué avec Léa, je lapproche de Baptiste qui est en train de bouffer la chatte de Marion, en lui enfonçant ses énormes doigts dans la chatte et lanus ce qui lui procure orgasmes sur orgasmes.
Sophie qui vient de se faire sucer copieusement par une Clotilde déchaînée appel les maîtres à la rejoindre et propose de passer maintenant à la phase saillie des femelles ; elle sapproche de moi et me propose de prendre en main la saillie de Jo, ce qui mexcite particulièrement. Elle prend la laisse de Jo et lui fait faire le tour des trois mâles, la faisant renifler, tâter, lécher au passage et vient lattacher à la pyramide, laisse courte ; elle fait signe à la maîtresse de Sébastien de venir commencer le travail qui sapproche avec son mâle, lui fait sentir la femelle (Jo) et quand il semble prêt, le détache et lui dit « va, mon chien, baise, baise
».
Sébastien se met à lécher abondamment lanus de Jo, toujours à quatre pattes, puis il se place derrière elle et lui enfonce sa queue dans la chatte déjà dégoulinante de mouille quil bourre comme un sauvage, cramponné à ses seins quil écrase dans ses mains en pinçant les tétons violacés.
-Jo gémit de plus en plus fort : « oh
.oHHHH
..ouiiiiiiiiiii
umpfffff »
Dix minutes plus tard il se cambre en hurlant et lâche sa semence dans le vagin récepteur. Il se retire et sa maîtresse le reprend en laisse.
Stéphan est bientôt amené à pied duvre à coups de cravaches, ce quil semble en fait attendre, il lèche aussi abondamment les fesses de Jo lui fait une feuille de rose qui la fait gémir plus fort. Sa maîtresse décide alors de le lâcher et lui glisse à loreille quelque chose que je nentends pas que mais que je vais vite deviner. Il se dresse sur les genoux et présente sa queue, bien dimensionnée sur lanus de Jo qui fait non de la tête, un coup de cravache la calme aussitôt et elle feule en sentant ce bel engin aller au plus profond delle-même, lentement, avec délectation, puis se met à geindre quand il se met à limer de plus en plus fort et explose dans un orgasme dévastateur.
Sophie sapproche de Jo, pantelante, et lui murmure à loreille :
-« tu es une petite chienne en chaleur et tu as encore envie de te faire saillir ? »
-Jo : « oui madame jai envie
»
-Sophie : « bien, mais comme tu nas pas été très sage et jai envie de te corriger, quest-ce que tu en penses ? »
-Jo : « oui madame, corrigez-moi, je pense que jai été amenée ici pour cela »
Bien dit Sophie, je vais te préparer, viens avec moi.
Les deux femmes disparaissent et reviennent quelque minutes plus tard ; Jo na plus de harnais, elle est nue mais a toujours sa cagoule. Sophie la prend par la main et la conduit à la pyramide où elle lattache à lanneau de la pointe, les bras entourant la pierre, comme pour lembrasser, ses seins et son ventre frottent sur la surface rugueuse, ses jambes sont maintenues écartées au niveau des genoux par une corde qui fait aussi le tour de la pyramide.
Sophie met alors en place, devant son visage un petit micro sans fil, et aussitôt, on entend sa respiration haletante amplifiée, comme dans une cathédrale.
Sophie sapproche et caresse Jo dont le souffle saccélère, lambiance et vraiment dantesque.
-Sophie : « alors Jo, qui est-tu ?, présente toi à tes mâles »
-Jo : « Je mappelle Jo
, jai 34 ans, je travaille à A
. et jai deux s »
-Sophie : « bien, maintenant dis-nous pourquoi tu es là ? »
-Jo : « je pense que mon mari veut que je sois dressée, soumise à tous ses désirs, mais je ny arrive pas toute seule, jai honte »
-Sophie, en lui tordant les tétons : « donc tu dois dépasser ta honte et on doit te soumettre, par la cravache et le sexe ? »
-Jo : « oui, je pense que cest çà »
-Sophie : « bien, mais tu vas le dire bien fort pour que tout le monde entende ton appel au dressage »
-Jo, dabord timidement, puis de plus en plus distinctement dans le micro : « oui, je veux être dressée, je veux être soumise, vous pouvez faire de moi tout ce que vous voulez »
-Sophie : « choisis maintenant quel objet pour te corriger ? »
-Jo : « jaimerai bien la batte plate en latex de Léa
.longtemps »
Esmir, la maîtresse de Baptiste sapproche de moi en souriant, se met à genoux et ouvre mon pantalon libérant mon sexe tendu quelle lèche, puis elle se retourne, relève sa robe et sembroche doucement, puis elle ne bouge plus. Elle prend mes mains et les place sur sa chatte, que jécarte et que je branle avec application.
Léa sapproche de Jo, sa batte à la main, comme les autres filles et garçons (sauf Jo et baptiste), elle est complètement nue, plus de harnais ni de cagoule, je remarque entre ses cuisses quelle a maintenant des pinces sur la chatte. Elle lève le bras et le premier coup sabat sur les fesses de Jo.
-Jo : « ohhhhh, oui »
Puis un autre coup, puis un autre et un autre et toujours résonne dans la salle des « ohhhh
..oui
.cest bon
.encore
» Jusquà lorgasme qui arrive sans prévenir « Je jouis, je jouis
ahhhhhhhhhh
.ahhhhh
comme cest bon, comme jaime ça
..ohhhhh »
Léa repose sa batte, sapproche de Jo et lui prend la bouche dans un baiser profond auquel elle répond avec passion. Les fesses de Jo sont écarlates et ses cuisses ruissellent de son jus.
Moi de mon côté, je caresse Esmir qui bouge très peu mais coule abondamment, je lui pince les lèvres, les étire au maximum, elle aime.
Sophie sapproche de nous et demande à Esmir si elle veut bien prêter son mâle, ce quelle accepte bien sûr ; Sophie prend donc Baptiste pas sa laisse, le traîne au milieu de la pièce et le fait mettre sur le dos. Son impressionnante verge est dressée comme un poteau, honnêtement, je nai jamais vu un tel engin, je suis un peu inquiet de la suite des évènements.
Clotilde, Léa et Marion sont amenées contre Baptiste et elles commencent à le caresser, sucer, jusquà ce que Sophie les écarte avec quelque coups de cravache.
-Sophie : « allez chercher lesclave à dresser, préparez-là »
Les trois femelles détachent Jo, lallongent sur le sol et lui prodigue toutes les caresses quelles connaissent, mais sans jamais investir sa chatte ou son anus. Au bout dune trentaine de minutes, Jo commence à ne plus se contrôler, elle réclame sans arrêt « une bite, je veux une bite, mettez moi une grosse queue, je nen peu plus ohhhh
une queue par pitié ».
Sur un signe de Sophie, Sébastien et Stéphan attnt Jo sous les aisselles et les jambes, et aidés des femelles approchent Jo du pieu de Baptiste qui ne voit toujours rien lui non plus.
Je vois Jo, cuisses grandes ouvertes, la chatte bien écartée et ruisselante, suspendue au-dessus du pal de Baptiste ; Esmir doit sentir leffet que ça me fait car elle tourne tête, membrasse et me dit à loreille « elle va sen souvenir toute sa vie, je te le promets », puis elle se recale encore plus profondément sur moi, mes mains toujours actives sur sa chatte.
Sur un signe de Sophie, Jo est approchée doucement, jusquà ce que sa chatte touche le bout du pieu de Baptiste, puis elle est descendue jusquà ce que sa chatte souvre, mais il est évident quelle est trop étroite pour le moment, mais elle en a trop envie et elle crie « enfilez-moi, plantez-moi, je la veux dans moi » ; les porteurs la descendent donc, mais en vain, lentrée est trop étroite. Sophie, en bonne maîtresse de maison Sophie fait reculer les porteurs et enduit le sexe de Baptiste dun gel lubrifiant dont elle enduit également la chatte de Jo, qui est de nouveau ramenée au-dessus de son pal. Doucement elle est descendue, et cette fois la tête de la bête passe la porte dentrée, ce qui est ponctué par un petit cri vite suivi dune grande aspiration.
Les porteurs posent doucement les pieds de Jo sur le sol et ses mains sur le torse de Baptiste, où elles saisissent les lanières du harnais pectoral ; ses jambes sont un peu fléchies, elle ne bouge plus.
La salle est silencieuse, tout le monde regarde le spectacle surréaliste de cette chatte, distendue, au-dessus dau moins vingt-cinq centimètres de chair turgescente. Jo commence à donner des petits coups de reins pour avaler cette queue, sa bouche est grande ouverte, elle râle, la langue complètement sortie ; elle descend lentement, gémissant de plus en plus fort ; puis on ne voit plus la queue de létalon, elle la complètement absorbée ; elle sallonge sur le torse et savoure sa dilatation.
Sophie sapproche avec son petit micro quelle lui fixe sous le menton et lui pose la question : « Jo, veux-tu continuer à subir, je veux te filmer et faire profiter le monde entier de tes perversités ».
-Jo, dans le micro : « je suis trop bien, je ne veux plus bouger, mais vous pouvez faire tout ce que vous voulez », ses paroles, amplifiées résonnent dans la pièce et me font presque jouir dans Esmir, qui elle aussi veut garder le contrôle.
Sophie met en place une caméra devant Jo, en lui demandant de bien regarder devant elle, puis elle approche deux des chandeliers de chaque côté de laccouplement irréaliste.
Nous sommes maintenant en attente de la suite.
Sophie sapproche du couple, avec Léa et Clotilde, chacune un martinet à la main, Baptiste ne bouge toujours pas dun poil, ce qui fait la fierté de sa maîtresse, qui elle commence à avoir des contractions vaginales de bon augure. Jo semble somnoler quand le premier coup sabat sur son dos, elle sursaute en criant mais les coups de martinet de ses trois tortionnaires se mettent à pleuvoir en cadence, sur ses fesses et son dos ; Marion passe derrière son dos, lempoigne sous les cuisses et la remonte le long de son pieu, puis la redescend, puis la remonte et ainsi de suite, jusquà ce que Jo commence à couiner son bonheur dans le micro : « Ouiiiii
ouiiiiiiiiiiiiiiiii
.ohhhhhhhhhhhhhh
.comme cest bon
» alors Marion la lâche et lui glisse à loreille « maintenant, baise le comme une pute, on veut tentendre hurler ton plaisir » ; alors je vois Jo pousser sur ses jambes et remonter, descendre, remonter, descendre de plus en plus vite, toujours sous les coups de martinet.
Puis cest lapothéose Jo se met à hurler quelle jouit dans le micro : « mon dieu, ce nest pas possible ahhhhh
.je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis
.ahhhhhhhhhhhhhh
. » elle secoue sa tête dans tous les sens, sa langue est sortie de sa bouche, et ses mots deviennent incohérents dans la micro.
Sophie sapproche, lui ôte sa cagoule et lui dit : « continue maintenant seule, cest nous qui attendons maintenant tes désirs »
Jo continue sa chevauchée fantastique, elle me fixe hagarde, sa main est descendue sur son clitoris et se met à lastiquer avec ardeur ; elle atteint encore un violent orgasme, puis se met à réclamer de plus en plus fort « mon cul, mon cul, je veux sentir mon cul rempli
.ohhhhhhhhhhhh
quon mencule, enculez-moi pitié, enculez-moi
.. » et cest Spéphan, en connaisseur qui présente sa queue toute humide de la salive de sa maîtresse et qui pousse, qui pousse.
Jo se met à gémir sans discontinuer « plus fort, baise, baise-moi
..ohhhhhhhhhh » mais Stéphan à de la peine à entrer, compte tenu de la place prise par Baptiste, on voit bien que la chatte est complètement distendue ; alors Sophie (toujours elle) ouvre le passage avec deux puis trois doigts enduits de gel puis prend les deux globes de Jo les ouvre et crie à Stephan « maintenant ! », il pousse, pousse, la tête entre et dun puissant coup de reins il est au fond.
Les trois protagonistes ne bougent plus, ils savourent.
Sophie enlève la cagoule de Baptiste et leur hurle « maintenant, allez ! »
Et jau vu Jo, perforée de deux côtés se mettre à tanguer sous les coups de boutoirs de deux étalons, la bouche ouverte pour retrouver son souffle, hurlant sa douleur et sa jouissance, puis fixant la caméra dun il de défi « vous voyez tous, je suis une salope, une vrai salope et jaime çà, ohhhhhhhhhh
..oui
.comme vous me baisez bien
..mmmmmmmmmmm »
Puis Baptiste se cambre, et jouit à son tour, suivi dans la foulée par Stephan qui se retire rapidement, pendant que Jo est encore dans les vaps.
Esmir est depuis longtemps partie, son bouton est violet de caresses, elle est un peu assoupie, mais moi, je suis toujours daplomb ; alors je la soulève doucement lallonge a plat ventre sur la table et je lencule sans ménagement, ce quelle apprécie plutôt car elle regarde son esclave et semble lui dire « moi aussi tu vois, je peux me faire enculer », et nous partons ensemble dun bel orgasme sous les regards lubriques des autres convives.
Maintenant que tout le monde est calmé, nous allons récupérer Jo, dans les bras de Baptiste, toujours embrochée sur la queue monstrueuse. La vue d larrière est impressionnante, seules les couilles de Baptiste sont visibles sous Jo, on dirait quelles sont à elle, elle a encore dans sa chatte cette queue énorme, qui doit cependant être un peu moins dure. Nous soulevons Jo par les bras et les jambes, la queue de Baptiste en séchappant fait un bruit de ventouse et un flot de foutre et de mouille ruisselle sur ses cuisses, stoïque il attend patiemment que sa maîtresse lui donne dautres instructions.
Tout le monde va prendre une douche et bientôt la joyeuse équipe prend congés de Sophie, qui pense que pour une première fois, Jo a bien réagit, mais quil ne faut pas aller trop vite.
Nous sommes sur le parking, je vais démarrer quand Esmir et Baptiste arrivent aussi à la leur. Esmir sapproche, elle tient toujours Baptiste en laisse (mais en costume
..), « Baptiste veut dire au-revoir à votre compagne, il naime pas subir
. »
Pas de problème lui dis-je, « Jo va dire au revoir à Baptiste ». Jo descend de voiture, et sapproche de Baptiste, en lui tendant naïvement la main. Esmir détache son mâle et lui crie « vas-y elle est pour toi seul ! ».
Baptiste empoigne Jo à bras le corps, malgré ses cris et ses gesticulations de défense, la retourne et la hisse sur le capot de leur Q7, lui soulève la robe, arrache sa culotte et lui écarte les jambes avec ses genoux.
On doit entendre les cris de Jo à un kilomètre, je mapproche de Jo et lui donne une gifle « silence tu sais que tu dois tout accepter! » ; Baptiste sort son mandrin qui a visiblement repris de vigueur, fléchit sur les jambes et, les mains agrippées aux épaules de Jo entreprend de lenfiler, la chatte de Jo ne sest pas encore remise de la précédente pénétration et celle-ci est moins difficile. Quand elle se sent bien investie, Jo commence à réagir à cet hommage.
-Jo : « offfff
offffffffff
.oui
.vas-y baise moi comme ta femelle
.oh ouiiiiiiiiii »
Baptiste pistonne de plus en plus vite, il sort de Jo puis la renfile jusquau fond de sa matrice.
Esmir a relevé sa robe et je la doigte consciencieusement, elle a compris que je navais pas les performances de Baptiste, mais çà semble lui plaire, elle jouit tranquillement, avec des petits cris de souris.
Devant nous le Q7 danse sur ses amortisseurs, Jo sursaute à chaque grand coup de bite de son mâle, comme tout à lheure, sa bouche est ouverte, sa langue sortie comme une noyée et elle se met à râler son plaisir « ahhhhhhhhhhh
.cest
.encore
.plus fort
.je jouis
..je jouis
.aHHHHHHHHHHH », puis cest un nouvel orgasme qui la terrasse, elle sécroule sur le capot, poupée disloquée. Baptiste ahane encore quelques coups puis se crispe, il att Jo par les cheveux et la tire en arrière en déversant en elle. Il se détache de la coupe accueillante, nous sourit et rentre son engin, puis il prend Jo, dans les vaps, et la dépose sur ma baquette arrière.
Esmir rabaisse sa robe, me fait une bise sur la joue, cest bien, dit-elle, il faudra que vous me rameniez votre femelle à la saille, moi, je ne supporte plus ses assauts.
Deux heures plus tard, Jo dormait dans notre lit, sana avoir repris tous ses esprits.
Pardon pour les fautes et la ponctuation dans mes récits, pas toujours dans les règles. Si ces récits vous on plu, jen ai dautres avec les mêmes protagonistes ou avec des inconnus qui nous ont accompagnés dans notre quête. Je ne sais pas si jarrive à vous faire ressentir lambiance et les sons, ce nest pas facile !
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