Laureen
- Bonjour madame Durand le journal comme dhabitude ?
- Oui plus le programme télé merci, madame Jourdain nest pas là ?
- Ne men parlez pas elle est en arrêt maladie pour un mois
- Rien de grave jespère ?
- Non mais ça mhandicape dans mon travail je dois mettre les bouchées doubles, si javais quelquun pour classer les arrivées journalières ce serait formidable
- Jai bien une idée
le lycée oblige ma fille Laureen à trouver un stage, elle a dix sept ans et demi et adore les livres, jai toutes les peines du monde à lui trouver un job vous pourriez lembaucher ?
- Pourquoi pas ? jaurais préféré quelquun de mature mais je veux bien la tester une semaine envoyez la moi
- Je vous préviens elle est un peu enfermée sur elle-même, pas facile de lui décrocher un mot a la maison
- Je vous la rendrais transformée !
En jean tellement moulant que sa motte est parfaitement dessinée, les lèvres sont séparées par la couture, sa chatte ne doit pas être a son aise ainsi serrée, et un top court gonflé par une généreuse poitrine, cest ainsi que la petite Laureen sest présentée le lendemain, bien formée pour ses presque dix huit ans, jadmets que ça ma fait un choc de voir évoluer derrière le comptoir exigu ce petit cul rebondit, ça me change du gros cul de madeleine ma femme
Dans laprès midi jai fais un geste fatal, habitué à tapoter les fesses de ma femme lorsque je passe derrière elle je tape sur le petit cul de Laureen
Celle-ci occupée à servir un client na pas réagit, je nai donc pas cru bon de mexcuser, jai même récidivé un peu plus tard en me frottant carrément a elle, au lieu de sesquiver elle a résisté en poussant sur ma braguette, que dois- je comprendre ?
Quel dommage quelle porte ce maudit pantalon
Mais le destin a tout changé, le lendemain je remarque sa démarche hésitante, je la questionne sur cette raison:
- Ho cnest rien
- Ce nest pas normal tu marche en canard, tu as mal quelque part ?
- Ce nest pas une affaire dhomme
Sen est resté là jusqu'à ce que dans la matinée elle aille aux toilettes exigües de mon magasin, ne la voyant plus ressortir je vais voir ce qui ce passe, là une surprise mattend, la porte des w c est grande ouverte, Laureen pliée en deux le pantalon baissé aux chevilles sexamine la chatte en tirant sur ses lèvres
- Laureen !que fais-tu ? tu pourrais au moins fermer la porte !
- Je suis claustrophobe
puisque vous avez tout vu vous pouvez me dire si cest rouge dedans ?
La vue de cette petite chatte ma mis le feu, je dois me pencher pour examiner son trou ! Mais puisque cest elle qui le demande je me mets a genoux devant cette jeune vulve pleine de poils frisés, je me retiens a grand peine dy enfoncer un doigt
- Fait voir ?
ha oui cest rouge juste a lintérieur de tes lèvres, le capuchon du clitoris est rouge aussi, tu as attrapée une maladie vénérienne ?
- Non, ya longtemps que je nai pas eu de rapport, cest le jean qui me serre trop, vous nauriez pas un vêtement quelconque à me prêter ?
- Jai bien une blouse trois quarts de ma femme, ça risque de faire court
- Ça ne fait rien passez la moi sil vous plait
Lorsque je reviens la fille en sou- vêtement sans aucune gêne se pavane devant moi
- Finalement je vais aussi quitter le slip elle respirera mieux !
Laureen tourne sur elle-même, la blouse arrive à mi-cuisses, et le dernier bouton cache a peine le sexe enflammé, il va me falloir travailler sachant quune foufoune est accessible tout prés de moi
- Ne sort surtout pas du comptoir tu va affoler les clients !
- Voulez vous que pendant la coupure de midi je range les livres du haut ?
- Si tu veux mais il te faudra monter sur lescabeau
- Je nai pas le vertige !
- Je ne parlais pas de vertige
.
- Haa ! vous voulez dire que vous pourriez apercevoir ma minette ??
- Exactement
.
- Ça vous gênerait tant que ça ??
- Je suis un homme
.
- Et un homme ça bande à la moindre vision dun barbu ! vous me sauteriez dessus ??
- Pas sans ton accord
- Jadore mettre le feu aux vieux
pardon aux gens plus âgés que moi !, je me dis que je ne risque pas grand-chose, quils ne sont plus capables dassumer
- Ne me provoque pas Laureen tu serais surprise
.
Pour une fille que ne parle pas chez elle ici elle se défoule, cest bien connu les ados ont deux faces, une très prude réservée pour les parents lautre bien plus émancipée avec des gens de lextérieur, a midi et demie je ferme la boutique
- Tu vas déjeuner Laureen ?
- Non je fais ce que jai dis
- Alors je vais chercher des sandwichs
Lorsque je reviens la fille est juchée sur la troisième marche, les bras en lair accentuent la découverte des cuisses bien pleines, je nai qua me baisser légèrement pour apercevoir la touffe qui garnit lentre jambes
- Ça ce passe bien Laureen ?
- Ouh vous mavez fait peur !
La jeune fille surprise a faillit lâcher prise je me précipite et la saisie a la taille
- Tout va bien, excuse moi si je tai fait peur, je peux te lâcher maintenant ?
- Oui mais restez tout prés on ne sait jamais
- Daccord, je pose une main prés de ton pied
Mes yeux rivés sur son petit cul qui se trémousse au moindre mouvement fait bander le vieux chasseur que je suis, je ne résiste pas, ma main entoure le mollet galbé sans quelle ne proteste mais elle a cessé son travail
ma bouche se pose prés de ma main, mes lèvres déposent milles baisers sur sa peau dado
- Monsieur Jourdain je vais tomber
- Je te tiens bien petite
Ma bouche remonte lentement, les pieds se séparent je peux passer ma tête a lintérieur des jambes sous la blouse, mon nez entre en contact avec les lobes des fesses je respire longuement son odeur intime, mais pas facile de tenter une léchouille dans cette position, mes doigts viennent a la rescousse pour fendre la barrière de poils
- Attendez monsieur Jourdain je vais me retourner
.
Je lâche ma proie qui avec précaution fait demi-tour sur les marches de lescabeau, mes doigts tremblants dépattent les boutons du bas tandis quelle défait elle-même les boutons du haut, la blouse souvre sur un corps harmonieux, deux seins arrogants et tendus me narguent, la petite futée avait ôté précédemment son soutien gorge, avait elle présagé ce moment ?
Les mains agrippées au marche pied, les genoux ouverts elle moffre son bas ventre arqué en avant, des gouttelettes de mouille scintillent dans sa fourrure en broussaille, une fois rassasié de cette vue sublime javance à nouveau ma tête vers son nid blond, mes pouces ouvrent les lèvres, jen profite pour examiné le vagin qui la veille était tuméfié
- Ta petite chatte va mieux elle est toute rose et nacrée de ton jus
- Oui mais elle senflamme de lintérieur maintenant
.
- Je vais faire ce quil faut pour tapaiser ma petite chérie
Ma langue entre en action, la surprise fait resserrer les cuisses de la jeune fille mais très vite elle écarte au maximum sa fourche, je lèche les moindres recoins de cette vulve juvénile, jaspire le clitoris à moitié décalotté, en même temps quelle émet une sourde plainte un flot visqueux suinte de la moule, sa main continue à plaquer mon visage sur son buisson odorant, tout en lapant je me débraguette afin de libérer ma queue a létroit dans sa prison exigüe
- Je veux descendre un peu
.
- Descend Laureen, je te tiens.
Jaide la fille qui est dans un état second suite à son orgasme, je larrête à la dernière marche la bonne hauteur pour lenfiler, elle entoure mon cou de ses bras et pose sa tete sur mon épaule prête à lultime sacrifice, ma main a la base de ma queue je fouille un peu au hasard la fente soudain je menfonce dans un puits étroit et brulant, je pousse tant que je ne rencontre pas de résistance, crucifiée sur lescabeau Laureen mugit de bonheur, les mains sous ses fesses menues je commence a limer son vagin de plus en plus énergiquement , elle relève la tete jen profite pour happer et mordiller un tétons dardé , il ne lui en faut pas davantage pour grimper a nouveau aux rideaux , bravant léquilibre elle me ceinture de ses jambes , en suspension sur moi nous nous agitons comme deux animaux en rut, elle est emmanchée au plus profond de sa moule qui narrête pas de se contracter sur mon nud, cette fois cest moi qui vais tout lâcher dans son ventre je la bloque sur mes hanches tant que mes jets de sperme sécrasent sur son utérus ,un jus gluant coule sur mes testicules
Laureen se détend et glisse lentement au sol, une fois sur ses pieds elle continue à se courber pour se saisir de ma queue quelle enfourne dans sa bouche, sa langue tourne autour de mon gland puis lèche toute la hampe afin de se délecter de notre jus commun, en même temps sa main manipule ma peau afin de ragaillardir mon érection
- Ouvre la bouche je vais la baiser comme jai baisée ta chatte
- Donne-moi tout
.
Laureen sassied sur une marche, reprend mon matériel en mains, une sur ma verge lautre enserre mes couilles, je menfonce a chaque mouvements un peu plus dans sa gorge, ses yeux pleurent, une salive épaisse coule aux commissures de ses lèvres pour atterrir sur ses seins, elle rougit, hoquette mais ne recrache pas un centimètre de chair, sa gorge se gonfle je sens sa luette bouger sous mon gland, elle respire bruyamment par le nez, comme une avaleuse de sabre cest elle qui se poignarde avec ma bitte, une véritable gorge profonde la première quune femme me gratifie
Je me concentre pour décharger au plus vite je ne veux pas irriter son larynx comme sa chatte létait ! elle a sentit les à-coups monter et accepte la première éruption puis recrache vite ma queue pour sinonder le visage avec mon foutre, son front, ses yeux, ses pommettes, sa bouche, des guirlandes blanches dégoulinent lentement, en me fixant elle passe une langue gourmande sur ses lèvres avant de recueillir le maximum de foutre sur ses doigts et les lèche avec gourmandise , je ne peux que me pencher sur elle pour lembrasser goulument
..
Laureen na rien remis sous sa blouse tout le temps de son stage, évidement le lendemain cest une sodomie artistique sur escabeau quelle réclamait
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