Se Trouver Ensemble
Se trouver ensemble
Ce récit date seulement de trois ou quatre ans. Je suis marié depuis plus d'une vingtaine d'années. Mon couple fonctionne à ce jour bien. J'aime beaucoup mon épouse et ce sentiment est réciproque. Mais comme elle n'est pas tellement demandeuse cela m'arrange tout de même assez, étant ce que l'on appelle bisexuel. Je ne lui ai jamais dit, je n'ai pas pu faire mon coming-out.
Nous avons eu un voisin Jean-Gabriel qui vient d'avoir dix-huit ans, beau comme un Apollon (ce n'est pas parce que c'est mon voisin de palier) mais tout le monde le félicite et le complimente pour son incomparable physique. Parfois même aussi pour l'éducation assez stricte que lui donnent ses parents; çà c'est différent avec ce que nous faisons parfois. Il est plus que très brillant en effectuant des études en vue d'être magistrat.
Jean-Gabriel sait et connaît mes penchants depuis deux ans, c'est tout. Nous nous croisons souvent et depuis avons un peu échangé. Nous confions peu et que très rarement dans ce domaine sexuel lorsque nous nous croisons dans l'ascenseur, ou lors des invitations chez nous ou chez ses parents. Je le laisse vivre sa vie de grand adolescent - jeune adulte Il m'a confié qu'il avait quelques copains mais surtout des copines, qui, elles viennent parfois avec l'autorisation de ses parents passer des week-ends ou un soir
Mon épouse cadre supérieur d'une importante société, m'avertit qu'elle devra s'absenter pour l'échange sur un futur gros contrat, pendant presque une semaine, à l'étranger au Cambodge. A cette annonce, nous dialoguons tous les deux pour l'organisation du quotidien durant son absence. Le lendemain j'en parle à Jean-Gabriel qu'il pourra passer à la maison pour pouvoir échanger tranquillement.
Mais aussi immédiatement j'ai en tête un flash. Avertir mon ami Timothée, lui aussi marié, pour partager en l'absence de Mathilde des moments complices et agréables ensemble et pourquoi pas tranquillement à la maison.
En ce milieu de week-end, mon épouse quitte le foyer pour rejoindre l'aéroport en vue de son long voyage. Quant à Jean-Gabriel, il me confie qu'il doit partir le dimanche midi pour un stage de trois jours. Ouf ! ! Me voilà libre. J'ai déjà appelé Timothée pour lui faire part de cette bonne nouvelle, mais surtout qu'il puisse s'organiser tant bien que possible pour s'échapper de son foyer si possible à plusieurs reprises durant cette semaine imprévue. Dès le départ de Mathilde et de Jean-Gabriel je laisse un sms à Timothée pour savoir si ses possibilités étaient compatibles afin de partager nos moments de complicité. Il pouvait venir passer deux nuits à la maison. Quelle bonne surprise; Nous pourrons dîner ensemble (au restaurant pour ne pas laisser de traces) mais surtout aussi ensuite se blottir l'un contre l'autre dans mon lit.
De mon côté, j'ai un physique tout à fait "ordinaire", ni beau, ni moche, avec un corps aux certaines imperfections par rapports aux canons de la mode. Mais très attirant, ce qui m'a facilité parfois les choses. Pour de ce qui est sexe, mon appareil génital est entouré de poils soigneusement coupés (mais pas épilés) de mensurations que les statistiques évoquent normales, c'est-à-dire en érection un bon dix-neuf centimètres et presque quatre de diamètre et des couilles bien serrées. Le tout contente parfaitement mon épouse sachant l'honorer en moyenne deux à trois fois par semaine tout au long de l'année. Quant à Timothée, plus jeune, a un corps nettement plus et mieux dessiné avec de jolies lignes et courbes. Lui aussi soigne sa toison pubienne avec une coupe sculpturale plus courte de cette zone Il a les testicules complètement lisses (se mettant une crème dépilatoire). Son thorax, par contre, fait découvrir seulement un léger filet de duvet. En résumé, lorsqu'il est à poil, il est très attirant et bandant.
Notre première soirée Timothée et moi-même passons un très agréable moment au restaurant et rentrons pour des caresses, des fellations et autres exercices que vous pouvez facilement imaginer. Nous faisons l'amour dés que nous sommes au lit, puis en milieu de la nuit mais aussi dès notre réveil. Ce fut fantastique. Il faudra tout de même changer les draps; car à certains moments nos éjaculations ont mouillé et maculé les draps par les jets puissants de sperme épais et blanchâtre que nous avons émis l'un et l'autre.
Nous nous arrangeons pour une dernière rencontre avant que ma femme rentre mais aussi Jean-Gabriel, qui se prolongera comme la fois précédente, pour encore une nuit débridée mais tout de même une nuit d'affection Tout cela devait se passer le jeudi (la veille du retour du stage de Jean-Gabriel) et le samedi matin pour le retour du déplacement de Mathilde- Jusque là tout se déroulait comme je l'avais prévu. Ce fameux jeudi je suis rentré un peu plus tôt des autres jours où est venu Timothée. Lui ayant passé mon jeu de clefs, Timothée était déjà à la maison.
Nous nous sommes installés tranquillement au salon pour prendre un apéritif avant d'aller dîner de nouveau au restaurant et avant une dernière nuit à épisodes pour évacuer notre tension grâce à de forts orgasmes.
Pour prendre cet apéritif, Timothée et moi-même nous nous étions mis sur le grand canapé côte à côte. Nous avons pris un, puis deux et même trois apéritifs. Cela faisait un peu son effet. Timothée posa sa main sur ma cuisse, et la promène le long de ma cuisse en remontant progressivement. Pendant ce temps je lui faisais des baisers dans le coup tout en lui caressant doucement et délicatement son thorax par-dessus sa chemise très fine. Notre excitation montait pour l'un et l'autre. Nous dégrafons la chemise de l'autre. Celle-ci s'ouvrait sur notre poitrail ce qui nous permettait de le caresser et de manipuler les tétons et de les mordiller à certains instants. Après un très long et agréable moment, nous avons décidé de l'enlever, mais aussi nos chaussures et notre pantalon, puis nous nous sommes regardés, nos yeux parlaient seuls et nos lèvres s'approchèrent pour un long baiser avec la langue, pendant que nos mains faisaient descendre notre sous-vêtement pour libérer nos tiges turgescentes par leur érection.
Timothée, le premier, après de douces et délicates caresses se penche pour mettre ma queue dans sa bouche. Il commence une agréable fellation. Dans ce doux moment, je passe ma main dans sa chevelure pour lui masser le cuir chevelu et avec le bout de mes doigts caresser ses joues lisses. Timothée, pour reprendre sa respiration releva la tête, ce qui nous a permis de nous embrasser avec un profond baiser, ce qu'on appelle aussi une pelle. Suite à ce long moment à mon tour j'ai commencé sur Timothée une fellation et pour lui être plus agréable une gorge profonde, ce qui lui a fait pousser à deux reprises de graves gémissements. Pendant cette action, il me caressait le thorax en titillant mes tétons pour les faire durcir. Au court de mes va-et-vient une de mes mains massait ses couilles lisses avec des caresses ou en lui malaxant. Cela devait lui donner certaines sensations, car il commença à faire des mouvements de son bassin avec de longs gémissements. A un certain instant lors d'un grand soupir de sa part, ma main glisse volontairement sous ses testicules pour lui masser le périnée en appuyant à certains endroits. Mal positionné, je cesse ma fellation sur une queue raidie au maximum et complètement recouverte de salive, ce qui la rendait très luisante et brillante. Un peu de liquide séminal sortait de son large méat. Il était tellement excité que sa verge bougeait par soubresauts à certains moments. Nous nous sommes de nouveau embrassés profondément et presque sentimentalement en se caressant délicieusement. Ma main était toujours positionnée sur la peau douce de ses belles boules bien gonflées. Tout bougeait de ses couilles à son périnée, ce qui avait l'air de bien lui plaire. Ma main à chaque fois s'approchait un peu pour passer dans sa raie et progresser vers son anus. Après presque une quinzaine de minutes le bout d'un de mon doigt effleure son petit trou vierge de tout poil. A cet instant précis, le souffle de Timothée devient plus rapide. Mon doigt tourne d'un mouvement circulaire sur la muqueuse.
Je constate qu'après nos différentes rencontres, je n'avais encore jamais osé lui faire découvrir cette caresse envahissante. Nous étions bien tous les deux pour oser lui dire à l'oreille
-moi : "j'ai l'impression que tu aimes bien çà tu devrais te lever"
Timothée pas contrariant se lève et le lui demande de passer du côté du dossier du canapé pour qu'il prenne appui avec ses mains sur le dossier. Sans hésitation, il exécute ce que je lui avais suggéré.
-moi : tu devrais écarter un peu tes jambes.
Après encore un doux baiser dans son cou, je me mets accroupi et mes mains écartent ses deux globes de son fessier pour lui lécher sa raie et pointer ma langue sur son petit trou. Tout cet endroit est parfaitement net sans aucun poil, sans aucun duvet, un entretien d'épilation scrupuleux Et là ce fut un soupir suivi des trois, quatre gloussements bruillants. La pointe de ma langue se fraye un chemin dans ce canal. Plus ma langue s'avançant de millimètre en millimètre, plus il gémit pour atteindre des petits cris saccadés. Je m'aperçois que son corps vibre et sa peau recouverte de chair de poule Je me redresse et me mettant debout et tends mon bras vers le petit guéridon pour saisir une capote et en habiller ma queue avec. Timothée ne s'aperçoit de rien, il souffle encore par cette excitation inconnue et ces sensations nouvelles pour lui. Ma main gauche lui pince un téton. J'enduis de gel ma queue encapuchonnée et la présente devant son trou que j'avais préparé avec ma langue. Je tiens mon braquemart pour le pointer au bon endroit et commencer à pousser afin de lui introduire.
-Timothée : Mais que fais-tu ? Tu ne vas tout de même pas m'enculer ?
Je ne l'ai jamais fait. Je n'ai pas besoin de çà pour avoir du
plaisir Tu sais bien ! !.
-moi : Ecoute, tu as l'air d'être bien excité, et depuis ce soir je te
travaille cet endroit et tu n'arrêtes pas de glousser et de dire que
c'est bon. On va essayer doucement. Ok?
-Timothée : Va doucement, s'il te plait. Et promet-moi d'arrêter dès que je
te ferais signe, c'est que je ne pourrai plus supporter.
Pendant toutes ses paroles, je n'arrête pas de pousser doucement, doucement, délicatement afin de faire pénétrer mon chibre à l'intérieur de son conduit inexploré. Il ne dit rien et ma queue pénètre toujours. Je sens son anneau céder facilement et voilà mes dix neuf centimètres bien au chaud. Je m'arrête quelques instants pour que tout son corps accepte cet objet étranger en lui. Après je recommence mon mouvement de va-et-vient avec de lents mouvements de mon bassin. Je ne force rien. Seulement une baise tranquille en lui faisant tout de même sentir mes courts poils pubiens frotter ses fesses. Je le maintiens par la taille. Il soupire par moment, il ne manifeste pas non plus, mais il pousse par à-coups des hummm !! hummm !!, puis s'échappe un Ouii, car à certaines poussées le gland de ma verge vient taper et frotter sa prostate, ce qui lui déculpe son plaisir.
Ce doux pilonnage a l'air d'être apprécié, je vais donc pouvoir accélérer un peu le rythme pour que les butées soient plus fréquentent afin que son plaisir prostatique lui procure un orgasme inégalé jusqu'à aujourd'hui. Entre deux gémissements, il me lance: " je n'ai jamais connu autant de plaisir, même à mes forts moments avec ma femme". Je suis donc encouragé à augmenter le rythme et la cadence de cette baise. Je le maintiens assez fermement par la taille, mais entre deux de ses onomatopées, j'entends un bruit dans l'appartement, je sursaute, mais peut-être que cela vient de l'extérieur, cette scène se passe à la fin du printemps. Suite à ce bruit j'ai ralenti mon rythme, je fais un bisou dans le coup de Timothée pour reprendre le délicieux pilonnage de mon ami. Ses soupirs et gémissements se transforment au fur et à mesure en des affirmations plus sonores et audibles en des Ouiii, Ouiii, c'est bon, c'est bonnn , Oui continuuueee ! ! ! J'accélère légèrement quand j'aperçois dans l'embrasure de la porte du salon Jean-Baptiste. Il a les yeux écarquillés.
Jean-Gabriel : Eh bien !! Mon voisin, vous vous amusez bien pendant que
je ne suis pas là. Je ne voulais pas croire ce que vous
m'avez fait comprendre à demi- mot; Maintenant je saisis
Moi : Oui, tu vois ! Et puis tu aurais pu déjà t'excuser de nous
déranger avant de rentrer comme cela.
J'avais perdu une grande partie de la rigidité de ma solide érection. Je sens une main de Timothée me caresser discrètement le haut de ma cuisse. Je lui fais devant Jean-Baptiste un nouveau baiser dans le cou.
Jean-Gabriel : Vous pouvez continuer votre petit jeu un peu spécial, dans
le dos de vos épouses. Vous cherchez encore plus de
plaisir, sans compter que c'était très beaux de vous
observer l'un dans l'autre avec vos gloussements, allez
allez ! continuez, s'il vous plaît !
Un peu intimidé et peut-être aussi honteux, je reprends très lentement mes va-et-vient. Je sens ma queue reprendre sa forme de compétition. Ma main va caresser la verge de Timothée qui recommence à bien bander avec l'émission d'un doux ronronnement. Jean-Gabriel éteint deux lampes du salon, ce qui fait une luminosité plus agréable. C'était nettement plus intime comme cela. Puis il s'avance vers nous en se mettant discrètement à genoux devant Timothée pour lui engloutir la tige Mon ami pousse un petit cri en se laissant faire.
Je suis hypnotisé par l'attitude et le geste de mon voisin. Malgré les dires sur ses copines, celui m'a toujours attiré avec certains toutes de sa sexualité Le voilà en train de faire une fellation phénoménales aux bruits de succion très caractéristiques. Ce qui me donne encore plus de tonus pour défoncer cette fois-ci Timothée. Je reprends certains mouvements pour que ma queue masse et excite sa prostate. Au bout de quinze minutes, Timothée ne se retient plus pour exprimer tout son plaisir. Il crie presque, je veux jouiiirrr !, je veux jouiiiir.! Je suppose par vice inavoué, Jean-Gabriel arrête sa fellation pour éviter l'éjaculation de son "client". En coordination, je ralentis l'enculage. Quelques secondes après Timothée lance d'une voix presque rageuse.
Timothée : Continuez, continuez s'il vous plaît, je veux jouiiiiir, c'est trop
bon ! allez y ! ! vite ! !
A ce moment là, Jean-Gabriel, me lance
Jean-Gabriel : Eudes, vous ne voulez pas que nous échangions ?
Vous le sucez, si vous voulez et moi je vais le finir en
le prenant bien ! ! !
Alors là, je n'en reviens pas, de ce que mon petit voisin vient de me dire. Mais que me fait-il ? Je ne me doutais pas qu'il avait de tels penchants et qu'il était aussi actif malgré sa timidité. La stricte éducation de ses parents s'envole. je n'en reviens pas ! Je suis complètement décontenancé abasourdi et démuni par ses réponses.
Timothée : Allez laisse-le faire, tu verras bien s'il sait s'y prendre.
Je commence à me sortir de l'intérieur de Timothée, tout en le caressant gentiment et lui donner un baiser sur la bouche. Pendant ce très court instant Jean-Baptiste s'est déjà complètement dévêtu. C'est la première fois que je vois mon beau voisin Jean-Gabriel (entre l'adolescent et jeune adulte) entièrement nu. Je connaissais seulement son torse musclé avec quelques poils discrets sous les seins et sa bande descendant vers son pubis quand nous étions tous à la piscine de la résidence. Il ôte son slip déjà bien déformé, pour nous faire apparaître un sexe. Son très beau sexe d'environ vingt-trois centimètres et un diamètre de pas moins de cinq centimètres. Ses testicules ne pendent pas et forment tout de même deux belles boules. C'est impressionnant. Il se dirige derrière Timothée pour se positionner. Moi, je me suis mis assis par terre pour prendre en bouche la queue de Timothée afin de la faire rebander et l'exciter. Jean-Gabriel salive dans sa main pour en enduire son énorme gland. Il recrache sur ses doigts pour masser la rosette de Timothée. Jean-Gabriel prend sa queue en main et l'ajuste devant le trou qu'il va remplir. Moi qui allais lentement à l'introduction, lui, Jean-Gabriel pose son gland et sans ménagement (est-ce par précipitation par manque d'habitude ou par vice) pousse d'un seul coup précis et sec pour introduire tout son bazooka dans le corps de Timothée. Celui-ci pousse un hurlement de douleur sous l'assaut de ce membre bien dimensionné. Jean-Gabriel n'en tient pas compte et commence son va-et-vient qui prend progressivement de la vitesse et de la puissance. Je suis impressionné par la vigueur et la force de cette cadence d'enculage. D'où je suis, je vois cette longue lance sexuelle entrer et presque sortir de toute sa longueur; probablement avec une telle longueur, la prostate de Timothée n'est plus massée mais percutée et pilonnée, car il recommence à gémir, à pousser de petits cris. Dans ma bouche, je sens sa queue se raidir davantage et même se gonfler. Ses couilles se durcissent et remontent. Jean-Gabriel accélère un peu tout en malaxant et pinçant les tétons de Timothée. Ce dernier lance des Ouiii, Ouiiii, C'est trop bonnnn, Ouiiii Après presque dix minutes de ce traitement, de ralentissement et d'accélération tant pour son enculage que sa fellation, l'excitation qui est tellement intense et incontrolable quelle est devenue un supplice ! ! ! En le faisant languir en vue de l'obtention du plaisir suprême, il grogne, il vocifère et pousse un hurlement rauque sortant de ses entrailles : "Je Jouiiiiis, je jouiiiiis".
Jean-Gabriel : (En donnant un violent un bon coup de reins) Moi aussi, je
Jouis, jouis et je te remplis complètement le fondement !
Prends çà ! !
A ce moment, ma bouche et ma gorge sont complètement remplies par les jets de la liqueur suprême de Timothée. Il en a tellement que je n'arrive pas à tout avaler assez vite. Mes lèvres lâchent prise. Je me redresse. Jean-Gabriel me sourit et me dit "Ce fut très bon, vous savez Eudes je n'ai en jamais vécu encore autant de choses. Merci à vous"
Puis au bout de plus d'une minute environ, Timothée pousse un cri invraisemblable et d'un coup sa queue se redresse d'un seul coup sans qu'il y touche et tout son corps se met à trembler presque des convulsions avec d'importantes secousses la verge gonflée laisse jaillir et évacuer tout unfort et puissant jet de sperme devenu clair et très très abondant et liquide. Il ne tient même pas sa verge, et sa semence suprême par sa puissance se répand et éclabousse partout. Timothée n'arrête pas de crier sa jouissance. Jean-Gabriel et moi même regardons ce spectacle assez surprenant c'est devenu un écoulement à forte pression qui évacue toute sa substance ; je n'avais encore jamais constaté un tel orgasme prostatique et un tel volume de jute. Timothée complètement épuisé s'affale sur le canapé, je vais m'asseoir à côté de lui, pour lui caresser la joue et prendre sa main dans le mienne pour le réconforter. Jean-Gabriel la verge toute baveuse de son éjaculation vient entre mes jambes pour me faire une fellation pour que moi aussi je puisse éjaculer et être satisfait. J'ai déjà eu des fellations, mais celle de Jean-Gabriel est exceptionnelle avec sa langue tournant très rapidement autour de la couronne de mon gland tout en aspirant toute la longueur de mon sexe. Avec cette technique je ne suis pas long à éjaculer mon sperme dans sa bouche. Il avale ma substance, qui pendant des années a essayé de féconder Mathilde sans succès.
Après cette soirée, j'ai pu longuement bavarder avec Jean-Gabriel sur vos envies et faiblesses. Avec complicité, et ayant toute la confiance des parents rigides de Jean-Gabriel, nous allons à certaines soirées au sauna de notre ville, sous-préfecture pour découvrir de nouveaux plaisirs aux forts orgasmes, sans oublier nos rencontre communes à la maison en l'absence de mon épouse. Et cela dure depuis quatre ans.
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