Un Anniversaire Un Peu Spécial...(4)
Je me réveille, le lendemain matin, un peu perdue
Je suis nue, dans les bras de mon homme, dans une chambre inconnue
je porte la main à ma gorge et là, je sens le collier
et tout me reviens en mémoire ! Hou là, la soirée dhier a été très chaude !!! Et dans tous les sens du terme !!! Je métire doucement, aïe ! Je suis pleine de courbatures ! Il faut dire que mon maître ne ma pas vraiment ménagée
et il me reste encore 2 journées entières et 2 nuits à sa merci
« Alors, reposée ? En forme pour me satisfaire encore ? » Il est réveillé ! Sa main saventure sur mon corps, en de légers attouchements, de façon presque innocente
Brusquement, il se lève et mordonne : « Allez ! Viens me laver ! » en tirant sur la boucle de mon collier. Je le suis docilement, tout à mon rôle desclave. Arrivés dans la salle de bain, il me demande de lui donner ma cheville et attache autour une chaine qui est reliée au montant du sèche-serviettes. Alors seulement il me retire le collier : il est en cuir et ne veux pas labimer sous leau, mais tiens à maintenir ma condition de soumise à tout moment !
Jouvre alors le mitigeur de la douche et commence sa toilette. Je commence par ses cheveux, il aime quand je lui masse longuement le cuir chevelu. Je continue en lui savonnant avec application le dos et les épaules, dénouant ses muscles, puis les reins, les fesses, bien fermes sous mes mains, je descends vers ses cuisses et ses jambes. Il se retourne alors que je me redresse, je reprends du savon dans mes mains et commence à frotter son torse et ses bras, ses aisselles, son ventre
Ses mains saventurent sur mes seins, les soupesant, les pétrissant, puis triturent mes tétons qui réagissent aussitôt en se durcissant sous ses doigts experts. Je ne peux pas ne pas remarquer son érection
Alors je prends son sexe dans la main et sous prétexte de le savonner, commence à le branler
Ses mains quittent mes seins et viennent faire pression sur mes épaules, pour me faire magenouiller.
Pour ma tenue vestimentaire, il a des exigences et des consignes très claires : « tu ne mets pas de sous vêtements, tu mets une jupe ou une robe courte, et interdiction de croiser les jambes quand tu seras assise ! » Je rougie jusquaux oreilles ! Pas de culotte avec une jupe courte, cest déjà osé pour moi, mais si je ne peux pas croiser les jambes, tout le monde va pouvoir sen rendre compte !!! Son sourire goguenard me fait comprendre que cest son objectif : moffrir aux regards dinconnus
cest effectivement un de ses fantasmes ! Il précise que cest valable bien sur pour tout le week-end !
Je mhabille donc en conséquence, dune jupe bleue et blanche, courte et évasée, surmontée dun petit haut blanc uni, dans lequel mes seins tressautent, en liberté sans soutien gorge. Je complète ma tenue de sandales bleues. Quand je me baisse pour les attacher, je sens que je découvre larrière de mon intimité
et mon maitre nen perd pas une miette !
Pour le petit déjeuner, il faut descendre dans la salle à manger de lauberge. Jai obtenu lautorisation de nouer un foulard autour du cou, afin de tenter de dissimuler le collier de chien
Il ma traité de petite joueuse, mais a accepté en me promettant une compensation de son cru pour cette entorse
il va y réfléchir et je paierai ma dette plus tard
aïe ! Ça va être ma fête ! Nous descendons donc rejoindre les autres clients de lhôtel. Je dois avouer ne pas être à laise, les seins qui ballottent à chaque pas, et les fesses nues. Arrivés dans la salle à manger, il choisi une table directement en face de la porte dentrée et me fait assoir face aux allées et venues. Bien sur, pas de nappe derrière laquelle espérer me cacher ! Il ny a pas de service à table, il faut se lever pour aller se servir au buffet. Mon homme me charge bien évidement du service, mobligeant à me lever à de multiples reprises tout au long du repas. Alors quil sirote son café, il me demande si jai remarqué le couple à la table à notre gauche
la femme est dos à la salle, mais lhomme est dans le même sens que moi et il semble quil nait rien perdu du spectacle ! Mon compagnon la observé en train de me dévorer des yeux à chacun de mes déplacements, à linsu de sa femme, mais avec insistance ! Je pique un fard à son récit, mais en même temps je sens que ça ne me laisse pas indifférente
je commence à prendre goût à la situation ! Je retourne au buffet me resservir un verre de jus dorange, et au retour jai la confirmation des dires de mon homme : mon voisin me reluque sans vergogne, dautant que sa femme sest absentée donc il na pas à se cacher !!! Je rejoins ma place, me rassois doucement et me penche ostensiblement afin de ramasser ma serviette tombée au sol
en offrant une vue plongeante sur mes seins ! Lorsque je me redresse, je croise son regard écarquillé et lui offre un sourire aguicheur, sous le regard complice et amusé de mon conjoint.
Nous remontons dans notre chambre, par les escaliers. Je monte la première, en avance de 2 ou 3 marches, afin que mon compagnon profite lui aussi du spectacle de mes fesses nues sous ma jupe ! Dès la porte passée, il me jette sur le lit à plat ventre, me relève la jupe complètement tout en baissant rapidement son pantalon et son boxer. La situation la visiblement excité car il me pénètre immédiatement et sans ménagement ! Je suis moi-même bien lubrifiée, jai pris plaisir à ce petit jeu également ! Il me besogne quelques minutes, vigoureusement, en alternant les rythmes, tantôt lents et profonds, tantôt rapides
« Alors ? Ça ta plu on dirait ? Tu aimes aguicher et te promener cul nu, non ? » « Oui ! » Je réponds entre deux coups de butoir. « Tu aimes faire la salope ? Réponds-moi ! » « Oui ! Oh Oui ! » Et dun coup, une gifle claque sur ma fesse, puis une autre ! « Tu as voulu cacher ton collier ? Tu vas avoir droit à une belle punition ! Compte-les ! » mordonne t-il ! Et les claques senchaînent, tantôt sur ma fesse droite, tantôt sur la gauche, je les compte à haute voix
jai la peau qui chauffe sous les coups , mais je continue à compter, pendant quil me baise tout en faisant tomber ses paumes en alternance
à la 12ème claque, alors que jai les fesses en feu, il jouit longuement en poussant un râle
je le suis dans un orgasme qui me laisse pantelante. Lorsque je reprends mes esprits, il sest déjà rhabillé et reviens de la salle de bain avec un flacon dhuile apaisante. Il me masse les fesses endolories, puis membrasse longuement. « Viens, on va se promener ! » Jai juste le temps de passer rapidement me rafraîchir, jai du sperme qui me coule entre les jambes ! Après une rapide toilette, il matt par la main et mentraîne vers dautres rencontres, car jimagine bien que notre petite aventure du petit déjeuner lui a donné des idées !!!
Et le week-end est loin dêtre fini !
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