Vivement La Prochaine Fois
Cest sur une aire de repos dautoroute près de chez moi que je mencanaille régulièrement. Ce matin de printemps, sous le soleil, la forêt scintille du tendre vert des jeunes feuilles encore mouillées des dernières pluies. Par terre, pointent de jolies petites fleurs multicolores.
Aussitôt arrivé dans le chemin forestier, japerçois un homme aux cheveux poivre et sel qui mentraîne dans un sentier. Je le suis. En le rejoignant, je le reconnais. Cest un brave homme sympathique à moustache que javais déjà rencontré il y a quelque temps. Je lui avais fait une fellation et il avait refusé de me sodomiser.
De la braguette, jextrais sa bite que je prends en bouche sans attendre. Elle durcit très vite. Cest une belle queue bien lisse denviron vingt centimètres légèrement courbée vers la gauche, avec un beau gland tout rond, toute lisse qui se décalotte facilement. Son pubis est couvert dun fouillis de poils grisonnants.
Je promène ma langue tout au long de la queue, je branle la tige pendant que je joue avec le gland dans ma bouche, je fais entrer la bite au plus profond de ma bouche, je caresse son ventre plat en remontant jusquà ses tétons
Après lavoir bien pompé, je lui propose de me prendre. Je suis surpris quil me réponde :
« - Tu me suces si bien que je ne peux pas te refuser ça ! ».
Alors je baisse mon jean jusquà mes chaussures, je relève mon pull jusquaux épaules et je me retourne pour lui tendre mon cul et mon petit trou tout rose.
Avant de sortir de chez moi, je métais bien lavé et lubrifié de rectum et je métais fait une petite séance de godage solitaire. Si bien que le gaillard peut me pénétrer directement sans lubrifiant ni capote.
Il senfonce à fond jusquà ce que je sente son ventre taper contre mes fesses. Il bouge doucement, il semble savourer. Que cest agréable un bon sceptre chaud, dur et velouté à la fois. Penché en avant, jai la chance de voir à ma gauche nos corps dessinés sur le sol par le soleil.
« - Tu as fait un lavement ? » Je le rassure. Jaccélère le rythme en balançant vivement mon bassin davant en arrière à tel point que je laisse échapper sa bite.
Sans hésiter, je me mets à la pomper directement, pour lui montrer que cest propre : aucune odeur désagréable ni de goût suspect. Pendant cette nouvelle pipe, je pense quil va peut-être jouir bientôt. Malicieusement, je lui dis demande :
« - Il faisait bon dans mon cul ? »
A ces mots, il me prend à nouveau vigoureusement. Cest si bon ce fût velouté qui coulisse grassement, ce gland furtif qui caresse coquinement ma prostate ! Je suis tellement excité que cherche à le faire juter en moi en bougeant comme un vrai diable. Jaimerais tant sentir son sperme se répandre dans mon trou. Heureusement quil est plus raisonnable que moi.
Finalement, fatigués tous les deux, nous nous arrêtons pour souffler un peu et je recommence à le sucer. Finalement, je lui demande de se masturber et de me prévenir avant de jouir. Pendant quil se branle, je malaxe ses couilles et je lui caresse les fesses.
Quand je sens quil va venir, je saisi son gland dans ma bouche et jaspire doucement la sève qui monte de sa tige. Il jouit longtemps et calmement.
Cest en crachant que je maperçois quil na émis assez peu de jus tout blanc. Je lui passe un mouchoir en papier et il essuie sa queue encore toute dure.
Je le remercie vivement pour ses bons coups de bite et je le regarde séloigner en me nettoyant les fesses.
Vivement la prochaine fois !
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