Histoire Surprenante 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je ne comprenais pas du tout ce qui pouvait se passer dans ce village mais après avoir ausculté toutes les filles malades, je ne pouvais dire quune chose, a mon avis elles étaient toutes enceintes et juraient quelles navaient jamais couché avec des garçons. Je ne pouvais pas inquiéter tout le village avant dêtre sur de mon diagnostic, javais mes prélèvements et après une visite au laboratoire jaurais la réponse.
Jai demandé à M. le maire de me raccompagner à mon cabinet pour que je transmette mes prélèvements au labo et je repasserais dans quelques jours avec les résultats.
Pendant tout le trajet jai rêvé revoyant ces magnifiques jeunes filles se déshabiller devant moi. Et au plaisir quavais du avoir celui ou ceux qui étaient responsable de leur état.
Huit jours plus tard jai reçu les résultats danalyse, elles étaient bien toutes les cinq enceintes, jai donc décidé de retourner à Briol pour confirmer mes doutes. Avec ma mini, je suis allé jusqu'à lembranchement de la piste puis jai continué à pied. Il ma fallu pratiquement toute la matinée pour rejoindre le village.
Quand je suis arrivé, jétais assoiffé mais très content de la belle balade que je venais de faire. Apres mêtre assis à la terrasse du café une jeune fille que je navais pas encore vue, est venu me demander ce que je voulais boire. Vu lheure jai commandé un casa avec beaucoup deau. Elle ma apporté un grand verre avec le casa et ma montré la fontaine en me disant :
- Leau cest la, elle est très fraîche et a volonté.
Puis elle est repartie soccuper dune autre table. Pendant que je remplissais mon verre a la fontaine le maire est sorti de la mairie, en me voyant, il a levé le bras pour me saluer puis il est venu vers moi
- Bonjour Docteur, comment étés vous venu jusqu'à nous ?
- A pied, cest pourquoi jai si soif
- Alors vous avez le résultat de vos analyses ?
- Oui mai il faudrait que je les voie toutes a nouveau pour confirmer, est-ce que ce serais possible cet après midi ?
- Oui bien sur, et vous venez manger avec nous, jai justement ma sur qui est la, en vacances
Apres avoir commandé et bu deux ou trois autre tournées de casa, je suis parti avec M le maire chez lui, une belle maison dans les hauteurs du village.
- Est-ce que tu as déjà eut les mêmes sensations dans ta vie ?
- Non docteur mais cétais très agréables
- Je remarque pourtant que tu nes plus vierge et depuis longtemps
- Je ne comprends pas, je nai rien fait, cest la première foie de ma vie quun homme me touche comme vous lavez fait.
- Tu mens, tes enceinte dau moins quatre mois, tu as du coucher avec un garçon.
- Non docteur je vous jure, je nai jamais rien fait.
- Rhabille toi et fait venir la suivante
- Jai ausculté de la même manière Myriam qui comme la foie précédente ne portaient pas de sous vêtements, quand elle a été sur la table et que jai commencé à la caresser, elle sest cachée les yeux et ma demandé :
- vous allez mausculter comme la dernière foi, docteur ?
A cette idée je me suis remis à bander comme un fou.
- Non je ne pence pas.
- Cest dommage, tu mavais donné beaucoup de plaisir.
- Je peu toujours ten donner.
Et en parlant je me suis mis a caresser sa poitrine et ses tétons tout dur puis mes mains sont descendues sur son ventre pour enfin atterrir sur sa touffe déjà pleine de mouille. Quand jai enfoncé mes doigts dans son vagin, elle a serré ses cuisses emprisonnant ma main contre son minou puis elle sest mise à onduler du bas ventre en gémissant de plaisir. Après quelle ait jouis en minondant la main de son plaisir elle sest calmée.
- - Tu as raison docteur, jai eut autan de plaisir que lautre jour.
- Est que tu as déjà eut la même sensation que maintenant ?
- Oui Docteur quelque foi la nuit, jai du plaisir comme maintenant mais ça me réveille et je suis toute seule.
- Tu nas jamais fait ça avec un garçon ?
- Oh non docteur, a part lautre jour avec vous, je men souviendrais.
- Tes sure, jamais un garçon ne ta touché
- Non docteur, mais je me souviens quune foi jai rêvé quun garçon que je ne connaissais pas me faisait des trucs comme vous avez fait la semaine dernière et il me semble que jai eut beaucoup de plaisir mais ce nétais quun rêve.
Apres lavoir fait sortir jai continué avec Beatrice puis Julie, toutes les quatre ont réagies de la même manière et ont toute les deux jouis comme des folles sous mes doigts. Elles mont toute jurée quelles navaient jamais connu de garçon et que jamais un garçon ne les avait touchés comme je venais de le faire.
Moi, je nen pouvais plus, jétais complètement excité et je bandais comme un fou, mettez vous a ma place, voir ces filles magnifique se tordre de plaisir sous mes doigts, sentir les aromes subtils qui séchappent delles quand elles jouissent et ne rien faire, cétais une insupportable pour un homme normalement constitué. Jai fait entrer la dernière, Christine, la plus jeune du groupe, je restais assis derrière le bureau ma blouse bien fermée devant moi, pendant quelle se déshabillait pour quelle ne remarque pas la grosse bosse sur le devant de mon pantalon.
Jétais très perplexe, elles juraient toutes quelles navaient jamais connu de garçon et pourtant elles étaient bien toutes enceinte le plus dur maintenant allait être dinformer les parents, je mattendais a des cris et des pleurs. Je suis resté un bon moment dans le bureau a contrôler mes notes et a préparer ce que jallais pouvoir leur raconter et surtout pour faire baisser la pression qui sexerçait sur ma braguette, ce fut le plus difficile.
Quand je suis sorti du bureau, ils étaient tous la a attendre mon diagnostic. Sans une hésitation, je me suis jeté a leau.
- Elles ne sont pas malade, ce qui leur arrive est tout à fait naturel, elles sont toutes enceinte.
Mon intervention venait de jeter un froid dans lassistance. Au bout dun petit moment, les cris ont commencées.
- Silence
.. Je demande le silence
. Ce nest pas la peine de les gronder, elles ne savent pas comment ça a pu se passer, elles mont toutes juré navoir jamais rencontré de garçon.
- Est que cest miraculeux, le saint esprit ?
- Surement pas je ne crois pas a ce genre de miracles.
- Est-ce quelles sont encore vierges ?
- Non et surement depuis un bon moment.
- Comme le silence était retombé sur la salle je me suis lancé.
- Pouvez-vous me dire si vos filles se trouvent seules souvent ?
- Non jamais, il y a toujours quelquun avec elles ou elles sont en groupe de deux ou trois.
- Est-il possible que des garçons du village ou dun village voisin puissent venir câliner vos filles sans que vous ne le sachiez
- Non cest impossible, dans la journée elles sont au lycée ou a leurs taches habituelles, le soir elles sont avec nous.
- Bon il se fait tard, vous allez rentrer chez vous et profiter de la soirée pour me faire lemploi du temps et la liste de ce qui a changé depuis le début de cette année dans les environs, avec ça, nous verrons peut être plus clair sur cette histoire. Et ce nest pas la peine de crier contre vos filles, elles ny sont pour rien.
Tout le monde est parti, seule la famille de M le maire est resté et ma proposé de venir manger chez eux car vue lheure tardive je ne pouvais pas rentrer a la ville.
Une foie chez eux seul le maire et sa sur sont resté avec moi, sa femme et sa fille se sont éclipsées. Nous avons bu plusieurs apéritifs en discutant de la pluie et du beau temps, puis les femmes sont revenues et nous sommes passés à table. A la fin du repas, pendant que nous buvions un digestif, M le maire ma indiqué que tout a lheure les femmes étaient parties préparer une maison dans le bas du village pour que je puisse minstaller pour la nuit. Sa sur, la très belle Gina sest proposée pour maccompagner. pendant le chemin, nous avons discuté de sa vie, jai appris quelle sétait marié très jeune, vers dix sept ans avec lhomme qui avait pris sa virginité la faisant rêver de vie meilleure et de voyages et pour fuir la vie monotone de ce petit village perdu, que son maris était marin et quelle ne le voyait que très rarement, depuis quatre ans quils se sont marié elle ne le voyait quune quinzaine de jours tous les trois ou quatre mois pendant ses périodes de repos, et au fil du temps leurs retrouvailles étaient de moins en moins agréables, quils navaient pas ds et que maintenant elle était seule depuis plus de six mois, le bateau ou travaillait son mari nentais pas revenu au port, elle était sans aucune nouvelles, elle ne savais pas si il était encore vivant mai ça ne linquiétais pas trop, depuis longtemps, elle ne laimais plus, ses visites étaient plutôt un supplice quune joie pour elle cest pour cela quelle était revenue au village chez son frère.
Jen avais beaucoup plus appris sur elle pendant ces dix minutes de marche que depuis que je la connaissais. Nous sommes enfin arrivés devant une maison en pierre, dans la cheminée un beau feu brulait et réchauffait latmosphère. Elle ma fait visiter, cétais une très belle maison puis elle ma confié.
- Cétais la maison de mes parents, je ny habite plus depuis mon mariage, depuis leur mort dans un accident elle est tout le temps fermée, cest pour chasser lhumidité quelles ont allumé le feu. Venez nous allons nous réchauffer au salon. Si vous voulez boire quelque chose il doit y avoir encore du myrte et des verres dans le buffet a coté de la cheminée.
Jai pris deux verres et la bouteille de myrte, je me sentais bien, jétais sous le charme de cette magnifique femme assise la, devant moi, sur le canapé.
Apres avoir servi, je me suis approché delle, lui ais tendu son verre, jai senti un frisson me parcourir le dos quand nos doigts se sont frôlés, une sorte de décharge électrique nous a enflammé tous les deux. Au lieu de lâchera le verre je me suis approché et je lai embrassé. Elle a goulument répondu a mon baiser, je la sentais toute mole dans mes bras, offerte a mon désir. Jétais ivre des senteurs musquées qui se dégageaient de son magnifique corps, mes mains ont lâché le verre qui sest renversé sur le tapis pour partir a la découverte de cette très belle femme. Mon excitation était extrême, jen avais mal aux couilles. Nous nous sommes mutuellement déshabillés tout en nous embrassant avidement. Je nen pouvais plus, jallais exploser. Quand elle a dégrafé mon pantalon pour faire jaillir mon chibre, je nai pas pu me retenir et sous les caresses de cette main très douce jai explosé. Comme elle semblait un peu gênée par mon exploit, je me suis glissé entre ses jambes pour butiner sa toison, elle ma laissé faire et sest mise à gémir de plaisir sous mes coups de langue. Je sentais mon sexe se gonfler de nouveau, je suis remonté sur son corps magnifique et tout en la pénétrant je me suis mis à téter sa magnifique poitrine. Quand nous sommes arrivés a lorgasme total tous les deux en même temps, jai essayé de me retirer, elle a serré ses jambes dans mon dos, dans un râle elle a murmuré :
- reste, cest trop bon.
Cétais merveilleux, jai explosé tout au fond de son corps offert en écoutant ses cris de jouissance, comme dans un rêve nous sommes resté la, immobile, a savourer notre orgasme.
Au bout dun long moment cest elle qui a rompu le silence.
- Si nous partions au lit
Nous nous sommes décollé et nous sommes partis dans la chambre, elle marchait devant moi et son corps félin dune blancheur de porcelaine a fait renaitre en moi le désir. A lentrée de la chambre je bandais a nouveau, je lai poussée vers le lit et je lai a nouveau pénétré. Cétais merveilleux, elle répondait a toutes mes attentes, nous avons a nouveau atteints lorgasme ensemble, juste avant de nous endormir, lun dans lautre.
Quand je me suis réveillé le matin elle nétait plus dans le lit et une bonne odeur de café chaud flottait dans la maison. Je me suis levé pour aller vers la cuisine quand je lai vue, elle était en chemise de nuit, a quatre pattes a coté du canapé entrain de frotter le tapis a lendroit ou javais fait tomber le verre de myrte. Mon sang na fait quun tour, en la regardant si belle, offerte, je me suis remis à bander, je me suis approché doucement, jai attrapé ses hanches, relevé sa nuisette et je lai possédé. Elle a tout de suite gémis de plaisir sous mes coups de reins et a nouveau nous avons jouis en même temps, cétais merveilleux de lentendre crier son plaisir en même temps que moi. Nous étions fait lun pour lautre, cétais indéniable. Apres cette nouvelle jouissance, nous Avon déjeuné et nous sommes partis à la mairie voir si lenquête progressait.
Nous avons étudié les emplois du temps des filles et constaté que rien navait changé depuis plus dun an. Apres ce nouveau cul de sac, comme Gina était partie chez son frère, jai décidé de me promener dans le village. Tout le monte vaquais a leur occupations habituelles, cétais merveilleusement calme, pas de voitures bruyantes, les deux seul véhicules du village étaient la jeep du maire et le camion 4x4 de lépicier il lui servait deux fois par semaine pour aller a la ville voisine sapprovisionner. Les livraisons aux fermes voisines étaient faites a dos de mule comme au bon vieux temps. En passant derrière lépicerie, je lai justement vu préparer ses mules, il en avait deux, quil chargeait méticuleusement. Une chose ma surpris, sur lune des mules il y avait une quinzaine de pack de bière, sachant que ce nest pas la boisson habituelle des gens de ce magnifique pays je lai interrogé.
- Cest pour qui toute cette bière,
- Pour les allemands qui ont acheté et refait la ferme des Guili
- Il y a longtemps quils sont installé la bas ?
- A peu prés deux ans pourquoi ?
- Pour rien cétais juste par curiosité.
- Ils y habitent toute lannée ?
- Oui, je crois, mais pas au début, ils ont fait énormément de travaux, ils se faisaient livrer par hélicoptère, mai maintenant je pence que la maison est toujours habitée mais il y a beaucoup de mouvement du coté de chez eux, ce sont jamais les mêmes qui me commande leur ration de bière de la semaine.
- Ils passent au village pour vous commander ?
- Non ils se contentent de mappeler
- Cest vous qui les livrez a chaque foie ?
- Non pas toujours, quelque fois cest mon fils ou ma fille qui y vont, ils aiment bien y aller car ils peuvent se baigner dans la piscine.
- Myriam, Christine, Beatrice et Julie y sont allé elles aussi ?
- Non je ne sais pas peut être avec Berthe mais je ne peux pas vous laffirmer.
Perplexe, je suis parti à la recherche de Berthe, quand je lai enfin trouvé, je lui ai demandé.
- Est-ce-que tes copines sont parties avec toi se baigner chez les allemands,
- Oui mais ce ne sont pas les seules, Claudine et Paule aussi sont venues avec moi, ils sont très sympa et quand papa a des livraisons à faire, nous y allons et profitons de leur magnifique piscine.
Me doutant de quelque chose je suis parti à la mairie et jai demandé a voir en consultation Claudine et Paule.
- Elles sont arrivées au bout dune bonne heure, lair inquiète.
- Pourquoi vous voulez nous voir docteur.
- Juste une consultation de routine. Vous avez quel age ?
- Dix huit et dix neuf ans pourquoi ?
- Avez-vous des petits copains ?
- Il ne faut pas le répéter mais au lycée, en ville nous avons des copains. Pas ici.
- Est-ce que vous couchez avec eux ?
- Oui ça nous arrive de temps en temps mais nous ne risquons rien nous prenons la pilule et en plus on les oblige à mettre des préservatifs.
- Ah ! je comprends et vos parents, ils savent ?
- Non nous navons pas voulu leur en parler, vous ne direz rien docteur.
- Non bien sur cest un secret entre vous et moi. Merci beaucoup mesdemoiselles, vous mavez bien aidé.
Maintenant mes soupçons étaient de plus en plus précis mais je narrivais pas a comprendre comment ils avaient pu profiter de ces jeunes filles sans quelles sen rendent compte. Il fallait faire une nouvelle tentative.
Je suis parti voir le maire et lépicier puis jai mis mon plan a exécution.
Ils ont demandés à Claudine et à Gina dapporter la commande à la villa. Elles ont accepté et je les ai discrètement suivis. Il faisait très chaud en ce début daprès midi, après une bonne heure de marche, jétais très content davoir la gourde que mavais donné le maire pour me rafraichir.
Les filles elles navaient rien a boire, elles devaient atrocement souffrir en plein soleil sur ce chemin cahoteux. Au bout dun moment elles se sont arrêtées au bord du chemin à lombre dun gros chêne. Puis elles se sont mises à boire leau qui sortait dune source naturelle. Elles ont un peu chahuté en saspergeant puis elles ont repris la route. Dix minutes plus tard elles étaient devant un grand portail métallique qui barrait la route. Elles ont sonné et attendu un bon moment quun homme gigantesque avec deux chiens vienne leur ouvrir. De la ou jétais, en hauteur, derrière des fourrés, je nentendais pas ce quils se disaient puis jai vu Gina et Claudine, commencer à se déshabiller, plier leur vêtements et les poser sur un gros rocher a coté du portail. Quand elles ont été entièrement nue, Claudine sest approchée du géant, sest accroupie, lui a ouvert la braguette et sest mise à le sucer. Je nen revenais pas, Gina sétais appuyé sur le rocher et se caressait la motte pendant que Claudine pompait le malabar. Au bout dun moment, il a poussé Claudine puis sest introduit en Gina qui commençait a gémir de plaisir sous ses caresses. Il la sauvagement possédé pendant un moment avant de rugir son plaisir. Apres sêtre retiré il leur a parlé un moment, je les ai vu prendre leur vêtements et le suivre jusqu'à la villa. Jai essayé de mapprocher mai les chiens ont du me repérer et mont obligé a méloigner. Pendant un bon moment jai réfléchi a la situation, il ny avait quune explication, elles devaient être es. Le seul moment ou je les ai vi boire ou manger cétais a la source, il fallait que je comprenne. Je suis reparti sur mes pas jusqu'à la source, la, jai vidé ma gourde et je lai rempli de cette eau très fraiche qui jaillissait de terre. Puis je me suis éloigné et jai attendu quelles reviennent. Il ma fallu attendre presque deux heures avant de les entendre puis de les voir, marchant, lune a coté de lautre devant la mule, elles se racontaient des histoires et riaient. Quand elles mont vu, elles ont parue surprises, je leur ai expliqué que ça faisait plus de quatre heures quelles étaient parties et que je minquiétais. Je leur ai demandé
- Comment sest passé cette livraison,
- Très bien, comme dhabitude, ils ont payé cash et nous ont laissé nous baigner dans leur piscine.
- Vous avez du bien en profiter, il y a longtemps que vous êtes parties
- Oh non nous nous somme baignées environ dix minutes mais la route est longue pour venir du village.
- Allez on rentre, je vous accompagne.
Jai fait comme si rien danormal ne sétais passé puis au bout dun moment jai repère une petite clairière au bord du chemin, je leur ai proposé de faire une petite halte pour se reposer et boire un coup en leur tendant ma gourde. Elles ont accepté, ont bue a tour de rôle et sont parties sasseoir a lombre dun gros châtaigner. Au bout dun bon quart dheure je me suis mis à parler :
- Déshabillez-vous.
- Cétais a peine croyable, sans aucune protestation, elles se sont levées et ont commencé à se déshabiller.
- rangez vos vetements sur le rocher
- Comme des zombis elles ont soigneusement plié leur vetements et les ont posés sur le rocher. Javais envie de profiter de cette situation mais mon honneur a pris le dessus. Apres les avoir un peu caressé, jai ordonné
- rhabillez-vous
Puis madressant à Gina jai ajouté
- Donne-moi ta culotte
- Quand elles ont été toute les deux rhabillées jai demandé
- allez vous coucher a lombre et dormez.
Sans la moindre hésitation elles se sont couchées au pied de larbre. Deux bonnes heures après je les ai réveillé, elles nen revenaient pas davoir aussi bien dormi et rapidement nous nous sommes remis en route vers le village. En chemin je me suis approché de la belle Gina et je lui ai glissé dans loreille.
- je sais comment les filles sont tombées enceinte et je connais les coupables.
- Qui cest, dit moi qui cest.
- Ce sont les allemands de la villa, ils les ont et ont abusé delles.
- Non, ce nest pas possible, ils sont trop gentils.
- Tu veux une preuve
- Oui, pourquoi, tas des photos ?
- Non mai quest que nous avons fait pendant la pose.
- Rien, nous avons juste dormis.
En sortant sa culotte de ma poche je lui dis
- Et ça, quest-ce que cest
Elle est devenue toute rouge, a tâté pour sassurer que cétais bien la sienne puis sest exclamée
- nous avons fait lamour devant Claudine ?
- non mai presque jaurais pu vous faire lamour a toutes les deux et vous ne vous serez souvenu de rien. Leau de ma gourde vient de la source ou vous avez bue, les allemands vous ont toute les deux baisée pendant plus dune heure avant de vous envoyer vous baigner. Vous ne vous souvenez de rien car la source est polluée par une sorte de drogue qui est très aphrodisiaque à voir votre comportement et qui inhibe toute volonté en plus elle efface la mémoire de ceux qui en prenne. Nen parle a personne, je souhaite étudier plus en détail leau de cette gourde et comprendre doù vient cette pollution.
Une foie rentré au village nous avons fait comme si rien de spécial ne sétais passé. Le soir venu, Gina ma raccompagné dans sa maison et nous avons fait lamour comme des fou une grande partie de la nuit. Cétais fantastique, nous étions en pleine osmose comme si ça faisait des années que nous nous connaissions. Nous étions faits lun pour lautre. Le matin bien que fatigué, jai demandé au maire de me raccompagner jusqu'à ma voiture, de la je suis directement parti au laboratoire pour faire analyse leau le plus rapidement possible. En début daprès midi javais les résultats, cest le directeur du laboratoire qui a insisté pour me les remettre dans son bureau.
- ou avez-vous prélevé cette eau ?
- Dans la montagne, une source en bord de chemin.
- Ah bon !! je croyais que cette eau provenait dune zone industrielle.
- Pourquoi ?
- Regardez-la, des traces de chlorure, de nitrates, de phosphates, des sulfates, et aussi un autre composé que nous navons pas pu identifier. Ce nest pas de leau dune source de nos montagnes.
- Pourtant oui, je suis sur de lendroit, regardez sur cette carte, cest ici, elle est même repéré. Par rapport a la carte il ny a quune chose qui a changé, ici maintenant il y a une grande maison a la place de la ferme.
- Est-ce quil y a une piscine ?
- Oui bien sur.
- Voila doù viennent les traces de chlorure, de nitrates, de phosphates, des sulfates, le système de filtration de la piscine doit se purger dans la nappe qui alimente cette source, par contre lautre composé, je ne voie pas doù il peu venir. Quand nous avons essayé de lisoler en chauffant, il sest évaporé vers quatre vingt cinq degrés et regardez la réaction de la laborantine qui travaillais dessus.
Il met un magnétoscope en marche, sur lécran, le laboratoire, il avance la bande et a un moment arrête et dit :
- Regardez la fille en haut de lécran.
On la voyait très bien, elle a vidé de leau de la gourde dans une éprouvette puis a passé son éprouvette au dessus dune flamme. Au bout dun petit moment une vapeur sest élevée, il semble que la fille ait respiré ces vapeurs car elle a dun coup lâché le tube, sest levé, a retiré sa blouse et ses autres vêtements pour se mettre a se caresser énergiquement, ça paraissait incroyable, elle semblait avoir énormément de plaisir. Au bout dun moment, elle sest arrêté, a regardé autour delle, a ramassé ses vêtements et sest enfuie.
- Elle est partie ou ?
- Dans le vestiaire, elle était toute honteuse de se trouver au milieu du labo entièrement nu. Apres sêtre rhabillée, cest elle qui est venue me voir pour me demander darrêter de travailler sur cette eau. Comme jai été surpris par sa demande jai regardé la vidéo surveillance et voila.
- Est-ce que cette eau est potable ?
- Oui, elle pourrait les traces de chlorure, de nitrates, de phosphates, et des sulfates, sont très faibles mai lautre composé, je ne sais pas. Est que vous en avez bu ?
- Non pas moi mai jai vue une femme en boire.
- Comment a-elle réagit ?
- Un peu comme votre laborantine mais ça a duré beaucoup plus longtemps.
- Ce composé ne doit pas être toxique, par contre cest un super aphrodisiaque et inhibiteur de volonté.
- Oui mais en plus il efface la mémoire, ça parait incroyable quil existe de tel produits.
- Ce nest pas un produit courrant, nous le connaitrions, la nous avons quelque chose de tout nouveau. Cest peut être naturel ou ça provient dun laboratoire. en tout cas cest une drogue qui a des effets très surprenants.
- Pouvez-vous garder le secret quelques temps sur cette découverte, jai envi denquêter sur cette villa.
- Oui daccord, je vous donne un mois
- Merci et a bientôt.
Il ma fallu un bon moment pour acheter tout ce dont javais besoin pour enquêter et rentrer au village. Quand je suis rentré il était très tard, Gina dormait déjà profondément. En la voyant ainsi dormir, a moitié nue, malgré ma fatigue, je nai pas pu mempêcher de caresser doucement sa poitrine, ses tentons se sont mis à pointer, lenvie était trop forte, je les ai pris, lun après lautre, dans ma bouche pendant que ma main descendait sur son ventre et sa toison luxuriante. Tout en dormant, instinctivement elle a écarté les jambes pour me laisser la place, je lai caressé doucement jusqu'à lorgasme, ça ne la pas réveillée. Je me suis couché a coté delle, la main pleine de son plaisir odorant et me suis endormis comme un plomb.
Le lendemain après un bon café, je suis parti pour surveiller la villa. Une foi sur place je me suis trouvé une bonne cachette en surplomb, de la, je pouvais voir tout ce qui se passait autant dans le salon de la maison par les grandes baies vitrées que dans la cours et au bord de la piscine. En fin de matinée, javais repéré une dizaine dhommes et deux femmes, tout semblait calme, un groupe de six hommes travaillaient dans une sorte de hangar fermé derrière la maison, les quatre autres, soccupaient de grosses moto tout terrain. Vers onze heures les moto ont démarré et sont partis a travers le maquis. Vers midi les hommes qui étaient dans le hangar sont revenus vers la maison pour un bon repas que les deux femmes avaient préparé. Apres le repas, tout le monde a fait une longue sieste jusquau retour des motos. Ensuite ils se sont mis à boire et a chanter jusqu'à assez tard dans la nuit. Quand tout le monde sest couché, je suis reparti de mon poste dobservation et je suis rentré. Le lendemain matin, jétais en planque bien avant que la maisonnée se réveille, mais je nai rien pu voir de plus que la veille. A nouveau certains sont partis travailler dans le hangar pendant que les autres préparaient les motos puis a nouveau vers onze heure les motos sont parties pour revenir le soir, après la tombée de la nuit. Pendant toute la fin de la semaine, ça a été le même manège. La semaine suivante après quils aient passé leur commande a lépicerie, jai demandé a M le maire que ce soit Berthe, Myriam et Christine qui fassent la livraison. Il a accepté et elles, très heureuses a lidée de pouvoir se baigner étaient ravies. Jai insisté pour quelles emportent des gourdes deau du village et je leur ai interdit de boire à la source. Rapidement je suis parti a mon point dobservation pendant quils chargeaient les mules. Au bout dun bon moment je les ai vu arriver, elles semblaient toute les trois très heureuses de se promener. Apres quelles aient sonné au portail, le géant avec le chien est arrivé. Il a semblé surpris de les voir toute les trois discuter ensemble, il les a fait entrer dans le salon, une des filles leur a apporté a boire pendant que les hommes déchargeaient les mules. Apres un moment elles se sont toutes mise a se déshabiller les filles du village comme les deux allemandes. Les deux allemandes, facilement reconnaissables grâce a leur blonde chevelure se sont mise a caresser nos filles, elles ne semblaient pas réagir et se laissaient faire comme si cétais tout a fait naturel. Les homes sont revenus et pendant plus de deux heures, ils ont profités de ces belles filles sans aucun complexe, se faisant caresser par les blondes pour jouir dans le ventre des brunes. A un moment une des allemande sest assise sur le ventre de Christine et lui a maintenu les jambes écartées en lair lautre blonde est venue devant elle avec un pénis dans chaque main quelle masturbait activement. Au bout dun moment elle les a lâché pour enfoncer ses doigts dans le minou de Christine et de lui écarter pour que les deux hommes puissent jouir a lintérieur. A coté, deux autre hommes possédaient en même temps Berthe, un devant, lautre derrière, je voyais son visage crispé par la douleur quelle devait ressentir mais je ne pouvais rien faire, Jétais écuré par toute cette débauche. Vers la fin, ils leur ont mis des maillots et les ont envoyées se baigner. Apres un moment une des filles de la maison les a appelé, leur a demandé de sortir de leau, les a payé et les a ramenées vers le portail ou attendait le géant avec les deux mules. Apres des signes de la main elles sont reparties vers le village comme si rien ne sétais passé pourtant, javais bien vu, les huit hommes et les deux femmes avaient profités de leur corps pendant plus de deux heures. Elles avaient surement été es après leur entrée dans la villa. La drogue dans la source nétais donc pas naturelle, ce devais être la même quils avaient fait prendre aux filles, cétais donc eux qui la fabriquaient. Je devais a tout prix savoir ou partaient ces motos tous les jours. Le lendemain matin jai fait le tour des stations essence de la région pour savoir si les motos ne venaient pas se ravitailler. Apres quatre stations ou ils ne les avaient pas vu, jai eut enfin de la chance. Devant ma voiture sur la route, une de ces moto, jai ralenti pour ne pas me faire remarquer et je lai suivi jusquau port de la ville voisine. La, elle sest arrêté, son pilote a pris une sacoche puis est parti dans la foule de ce début dété. Jai attendu presque trois heures dans ma voiture en plein soleil avant quil revienne. Quand il a démarré, jai repris ma filature puis je me suis fait bloquer par un autre véhicule doù sont sortis trois hommes, arme au poing. Cétaient la police des stups, ils surveillaient depuis plusieurs mois les motards et avaient remarqué mon manége. Me prenant pour un petit trafiquant ils mavaient arrêté. Quand je leur ai raconté mon histoire ils ont tout de suite compris, eux suivaient les distributeurs pour remonter vers le laboratoire mais ils se faisaient semer à chaque foie par contre moi, je connaissais le laboratoire et je cherchais a savoir ce que faisaient les distributeurs. En unissant nos forces, nous pourrons faire stopper cet ignoble trafic. Le lendemain, jaccompagnais deux inspecteurs vers mon point dobservation sur les hauteurs au dessus du mas. De notre cachette nous avons pu assister a tous les aller et venue de la maison jusquau départ des motards. Le reste de laprès midi fut assez monotone, jusquaux retours des motards a travers le maquis. Apres leurs retours nous sommes repartis. En passant dans le village je nai même pas eut le temps de marrêter voir la belle Gina pourtant, jen avais une énorme envie. Apres avoir quitté les deux inspecteurs, je me suis remis a penser a elle, a cause de lenquête ça faisait presque deux semaines que je navais pas couché avec elle et ça commençait a me manquer énormément. Cétait décidé, avec ma petite voiture tout terrain je repartais vers le village. Quand je suis arrivé, la nuit était tombée, je me suis rendu chez M le maire sous prétexte de linformer.
- Bonjour docteur comment ça va ?
- Bien, je vous remercie.
- Je vous ai vu passer tout à lheure avec deux hommes.
- Oui cest vrai jétais avec la police pour cette histoire mai comme ils étaient pressé nous ne nous sommes pas arrêté. Je suis revenu maintenant pour vous informer de la situation.
- Ah bon et que se passe-il ?
- Les allemands du mas sont des trafiquants de drogue. Cest grâce a cette drogue quils ont pu engrosser les filles du pays sans quelles sen rendent compte. Pendant que je faisais mon enquête, ici, la police elle enquêtait dans les villes du bord de mer ou ils vendaient leur marchandise. Maintenant ils sont sur de leur coup et vont intervenir dans quelques jours.
- Cest super, voulez vous un casa ?
- Oui bien sur, toute cette histoire ma donné soif.
Nous avons continué a discuter un bon moment en dégustant nos casa puis il sest lancé :
- Vous nallez pas repartir le ventre vide, vous allez rester manger avec nous.
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