Ode À Sa Culotte
A cette charmante demoiselle, qui, en classe, me fait découvrir un autre monde, de ses jambes qui se croisent et se décroisent. A intervalles réguliers, jentrçois la lisière de ses bas, qui disparaissent sous sa jupe, et là, lobjet de mon désir. Blanche, sa culotte, comme un flocon de neige perdu sous le noir de sa courte jupe. Son nom veut dire « négligence », mais je sais quentre nous deux, cest un petit jeu qui sest développé, à force de sourires et des regards quelle me lance.
A elle, qui est lobjet de tous mes fantasmes, que jimagine étendue, vêtue uniquement de ses bas et sa culotte blanche. Ses mains caressant ses seins, samusant à faire dresser ses tétons, jusquà ce quils soient durs de plaisir. Les jambes naturellement écartées, elle offre à son miroir la vue de la fine trace qui peu à peu se dessine sur le tissu de dentelles. Progressivement, ses mains trouvent leur chemin le long de son ventre et passent sur son nombril. Puis, elles glissent lune après lautre sous le sous-vêtement. De deux doigts, elle sempare de son clitoris et le fait rouler, sans pouvoir retenir un gémissement de plaisir. Elle se sent couler comme une fontaine, haletante, et sa vulve ouverte réclame son majeur. Mais cela ne lui suffit pas, à ce moment. Elle a besoin de plus gros : deux doigts vont et viennent alors en cadence, tandis quelle se contorsionne de plaisir, sentant son corps comme foudroyé. A ce moment-là, elle se fiche dêtre entendue, car il ny a que sa jouissance qui compte, si bien quelle se relâche, et les jambes quasiment à léquerre, hurle dans un orgasme terrassant. Elle retombe alors sur son lit, sans que ses doigts ne quittent lhumidité de sa chatte. Bientôt, elle recommence à masser son bouton de plaisir, qui en redemande encore. Et de concert, son sexe semble souvrir davantage, alors que les yeux de ma belle tombe sur le vibromasseur, posé en toute innocence sur létagère.
Brusquement, je reviens à moi.
Enfermés dans les toilettes des filles, ma verge menace dexploser alors que son chemisier est déjà à terre, découvrant une paire de seins semblant minviter. Emprisonnés sous la dentelle blanche, seuls les tétons pointent à lair libre, larges comme un petit doigt. Mes lèvres viennent en gober un et sappliquent à le mordiller avec passion, le rendant plus dur quil ne létait déjà. La tête en arrière, la petite étudiante semble apprécier le traitement.
Cest elle qui prend alors le contrôle, en me repoussant contre le mur. Très vite, elle sagenouille, et fait tomber mon pantalon à mes chevilles. Son sourire sélargit sur toute sa figure, lorsquelle découvre le string que jai osé enfiler. Un minuscule string pour hommes, retenant à peine ma virilité dans une poche de coton. Ma belle me fait me retourner contre le mur, le temps dadmirer, je pense, mes fesses, découpées par une ficelle, en haut de laquelle trône un bout de triangle. Elle samuse alors à faire passer un doigt dans ma raie, délogeant et relogeant la ficelle, frottant timidement ma rondelle qui répond déjà à ces attouchements. De sa main libre, elle caresse ma verge tendue hors de sa poche.
Soudainement, je suis retourné à nouveau. Mon gland est brusquement happé dans la bouche de la demoiselle, qui sapplique à me prodiguer la plus belle des fellations.
- Enlève ton string, me susurre-t-elle.
Je lui tends alors le petit bout de tissu, tandis quelle me confie sa culotte. Au contact, tout mon corps sélectrise. Lorsque je la vois enfiler mon sous-vêtement, je réalise quil est attendu la même chose de ma part. Mettre sa petite culotte ? Avec grand plaisir
Lhumidité du tissu rend le contact avec mon sexe divin. Jai sans doute lair dune tapette, mais cest le dernier de mes soucis. Je me concentre plutôt sur la belle qui revient à la charge et qui empoigne ma verge à travers la dentelle. Les yeux plongés dans les miens, les mots crus fusent : « Jouis, allez viens dans ma culotte ». Chaque mot jumelé à ses doigts de fée me fait un peu plus partir vers le septième ciel. « Souille ma culotte avec ton sperme, vide-toi. » Ce nétait plus une masturbation : elle me trayait avec détermination, jusquà ce que finalement je nen puisse plus. Je lâche, dans un soupir dextase, quatre longs jets de foutre qui vont se mêler à la cyprine de ma belle.
En réalisant notre retard, nous nous rhabillons en hâte : tout comme la dentelle blanche dépassant de mon jeans, deux bons centimètres du string dépassent de sa jupe, à moitié dissimulés par la transparence de son chemisier. Nous nous pressons de retourner en classe, où, une fois assis, nous recommençons à rêver, chacun de notre côté.
Jimagine ma belle étudiante, appuyée contre le mur de sa chambre, les seins frottant contre la paroi, alors que sa main fait sactiver contre sa vulve le vibromasseur qui ronronne comme un chat. Tout son corps semble parti dans une danse, quelle mène avec lobjet quelle a entre les cuisses, déjà tout lubrifié de sa cyprine. Aux premiers pas, elles ne fait que masser ses lèvres, formant des cercles, allant et venant de son clitoris à son petit trou. Dans lempressement, elle écarte alors le tissu trempé de la culotte pour laisser la voie libre à la bite factice, et celle-ci sengouffre dans la vulve béante de létudiante, qui procède à lenfiler au plus profond de son corps. La seconde partie de la danse sengage alors, et elle trouve son rythme en faisant aller et venir le vibro en elle. Le jouet et sa main sont alors recouverts de cyprine, quelle sent couler sur ses cuisses, descendre le long de ses jambes et former une flaque au sol. A ce moment-là, ses jambes ne peuvent plus la supporter, toute tremblante, si bien quelle tombe à genoux. Se sentant proche dune ultime jouissance, la jolie étudiante aux cheveux débène accélère la cadence. Ses gémissements sintensifient, jusquau moment fatidique où cest la tempête sous ses dentelles qui se gorgent davantage de jouissance féminine. Cette fois-ci, elle a hurlé son orgasme, devenue folle.
Je nen peux plus. Il faut que je me soulage. Ma queue crie son désir primaire de pouvoir répandre son jus. Je prétexte alors un malaise pour méclipser du cours, en lançant un regard entendu aux bas résilles, qui se proposent pour maccompagner, « au cas où jaurais besoin daide ». Elle se jette alors à mon bras, et nous filons vers ces toilettes quittées dix minutes plus tôt. Rien quaux regards quelle me lance, je devine quelle est tout autant excitée que moi, voire même davantage.
Le soir, alors que nous nous endormons chez elle, emmêlés dans les bras de lautre, ma belle me susurre :
- Je suis sûre que tu as adoré porter une culotte de femme.
Je suis bien obligé davouer quelle a raison. Alors, avec un petit sourire, elle se lève et se dirige vers son armoire, voulant samuser à me travestir pour son bon plaisir. Elle sort un minuscule shorty rose bordé de dentelles quelle me dit, ou plutôt mordonne denfiler. Je quitte alors mon boxer et repasse le sous-vêtement féminin. Cest là que, sans surprise de ma part, ma verge se met à gonfler dexcitation, ce que mon amie ne manque pas de remarquer. Si dune part elle se moque de moi, sa main vient néanmoins empoigner ma colonne de chair, qui, dépassant du petit shorty, disparait entre ses lèvres
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