Travaux De Peinture 3
Les travaux sont pratiquement terminés ce vendredi matin, par ce beau mois daoût 1984, plus de 2 semaines que je suis là-dessus et là, de dos, occupé à remettre en place les derniers volets, je nentends pas Georges qui sapproche de moi, me pose sa main sur lépaule, puis derrière le cou et dit :
- Ca y est, tu termines mon ptit père, tu vas donc bientôt partir rejoindre ta jeune épouse qui nattends que ta vigueur ?
Jentends que sa voix chevrote, je me retourne et il a les larmes aux yeux,
-On samusait bien tous les 3, tu sais, Chantal va te regretter, et moi aussi dailleurs;
-Moi aussi, je lui réponds, je pars le cur gros
Je garderai un bon souvenir de vous deux, mais je viens de me marier, et jai mes obligations d'époux, à 22 ans, je vais devoir partir, mais vous mavez tellement appris
- Lâches ce volet, tas bien bossé
Viens dans la maison, on va te donner ton dernier salaire et aussi ta dernière récompense, mon petit père
Au fait, tu nas pas visité les lieux ? Chantal fait la grasse mat ce matin, viens, on va la réveiller dans la chambre
Quand jy songe, quel bon moment, cette quinzaine de jours ! Un festival de sexe et de tendresse avec mon couple de patrons âgés. En discutant avec eux, javais appris que sous leurs airs campagnards, se cachaient en fait de véritables adeptes du plaisir, des épicuriens, des jouisseurs du sexe et de la vie. Ils mavaient raconté que par le passé ils avaient vécu en communauté et pratiqué lamour libre,
aujourdhui, âgés, ils vivent en couple mais ont gardé les bonnes habitudes des années power-flowers, la partouze notamment.
Naturistes le plus souvent possible, par amour de la nature, des gens et des bêtes (tout comme moi dailleurs), ils nhésitent pourtant pas, quand loccasion se présente à échanger caresses, sexe et baisers avec autrui (avec une préférence non dissimulée pour les jeunes branleurs, actifs et bien montés comme moi).
Du coup, depuis 3 semaines, loccasion se présente quasi quotidiennement et durant une bonne demi-heure, je retrouve Chantal et Georges pour des petites récrés bien tendres, mais aussi très hards et très vicieuses ; Cest comme un rituel : lui sexhibe un peu dans le jardin, sa bite à la main il pisse contre larbre, en prenant dabord bien le temps de se dégrafer, de la sortir de son bleu, de la décalotter et lobserver commencer à raidir, puis, tout aussi tranquillement, de remballer sa tige en érection, histoire de faire comprendre à Madame et à moi, quil sest vidé la vessie et quil est prêt à laction
Parfois, sil est pressé, il rapplique direct à latelier la gaule bandée dans la main, la braguette restée ouverte.
Elle, est beaucoup plus directe, toujours le sourire aux lèvres et les nibards à moitié à lair : - Bonjour ptit père ! On samuse aujourdhui?? Je ne dis jamais non, jy prends tellement de plaisir ; dailleurs, très souvent elle ne prend pas le temps de finir sa phrase quelle pose déjà sa main sur la bosse de mon short. Bref, un super couple de gens âgés qui, au bout de ces 2 semaines mont, je dois bien le dire transformé peu à peu en bête de sexe, souvent à laction,
un peu comme un âne étalon. Entrainé à monter, à baiser, sucer, caresser Chantal pour exciter le patron. Depuis la première partie de baise, je ne porte plus ma salopette, et lai définitivement troqué pour mon seul moule-bite de footeux. Je reste torse nu et en tong, au moins ça va plus vite pour dégainer ma queue et enfiler Chantal. Cest plus marrant aussi... des fois, après lamour, je reprends mon boulot à poil, à mactiver à nouveau à peindre ou décaper, je sais que ça les excite de mobserver à bosser, de mater les mouvements saccadés de mes muscles tendus sous la peau brillante de sueur
Ca les émoustille tellement quils ne peuvent sempêcher de me toucher mes cuisses, mes abdos ou mes biceps en me disant que je suis beau, alors souvent on remet ça, car ils mexcitent aussi de les voir comme cela .
Ce matin donc, il est un peu tôt, mais le soleil tape très fort, je porte la même tenue et Georges, là, tout ému, me prends par lépaule, me serre un peu plus quà lhabitude, pour me conduire dans leur chambre... Je comprends, que ce dernier jour, nous réunis encore tous les trois, mais ce matin cest très différent, je le sens, il ne sagit pas de séclater une fois de plus dans latelier mais de se dire au revoir, de faire lamour pour une dernière fois, très tendrement. Avec des gestes très doux, Georges me pousse au milieu du lit.
Les rayons du soleil traversent les volets et diffusent une lumière tamisée, Chantal est très belle dans la pénombre, à sa respiration rapide, je sais quelle somnole, elle ne dort plus, elle se réveille doucement ; Alors je décide de la sortir de sa torpeur plus tendrement encore. Elle est nue et chaude comme la braise. Je menfonce sous les draps, accroupi tout au fond du pieu, le nid damour est encore brulant de la présence du couple, et, dans la pénombre de cette grotte improvisée, je cale ma bouche et respire face à son pubis et ses lèvres entre ouvertes. Je suis très excité et pourtant jai gardé mon short, rien ne me presse, le travail nattend plus et jai toute la journée devant moi...
Alors, de mes 2 mains libres, par petits geste tendres et circulaires, je lui caresse les seins puis descend peu à peu vers ses cuisses et ses fesses, parfois je remonte et mes doigts pincent les tétons de ses nichons fermes et gros. Ma bouche nest pas en reste
et ma langue sactive aussi doucement sur les poils de son pubis mouillé mais pour rejoindre ensuite, plus précisément, tantôt ses lèvres luisantes et son clito dressé dexcitation, tantôt la porte molle de son cul noir et fermé.
Georges nous a rejoint, il est fringuant et beau ce matin, je remarque à quel point ils me font de leffet tous les deux, jaimerai que cet instant sarrête ; Nous sommes trois maintenant dans le grand lit. Au milieu, je suis linvité de marque à qui tous les honneurs sont dus
Malgré ma petite expérience et mes quelques années de vol, mes hôtes vont réinventer et mapprendre lamour à trois
Dailleurs, Chantal, tout à fait réveillée, me prend la tête dans ses mains, je reviens au-dessus du lit, entre et tout collé à eux deux, là, ils me disent :
-Ne bouge plus, ne dis rien, restes couché, fermes les yeux, tout ce que lon veut, cest de te faire lamour.
Quel festival de caresses, je les sens, tous les 2, leurs mains et leurs lèvres et je ne bouge pas, bien calé sur le dos entre le couple qui maime et me touche et se frotte, ils font glisser mon short.
Lui, dabord, me passe la main dans les cheveux, sapproche et me mordille loreille, puis il descend doucement, tout doucement et ses lèvres effleurent mon cou, ses doigts caressent doucement aussi mes paupières, mon front, mon nez, ma bouche... Je sors la langue, alors ses doigts se retirent et ses lèvres saisissent ma langue pour un lent vas et viens comme une légère fellation buccale. Et puis, son autre main tâtonne le long de mon corps, de plus en plus fermement, la passant sur mes biceps, sur mon torse et les épaules ; Jai déjà touché des hommes, lorsque jai voyagé et que javais 17 ans (une autre histoire), ce nest pas la première fois : Mais là comme cela, ce type est trop tendre...Il effleure aussi mon ventre, touchant parfois, involontairement ou non, le bout de ma queue dressée.
Il est collé à moi, je sens sa chaleur animale, nos poitrines velues se touchent, nos peaux se collent lune à lautre, je sens contre ma cuisse son sexe dressé et dur et qui bande fort. Ils sont beaux et vaillants tous les deux et le poids des années leur a conféré une grâce et une sagesse damour mais aussi les gestes les plus experts pour donner le plaisir à un homme qui ne fait que commencer sa vie.
Elle, membrasse sur tout le corps, comme moi, juste avant, elle est descendue au fond du lit et sous les draps, membrasse les jambes, les pieds, les cuisses poilues et les couilles... Je sens, sous les draps, ses mains me caresser tout le corps également, je sens sa bouche remonter mes cuisses et sa langue sapprocher de ma tige grosse et mouillé, son souffle est rapide mais ses gestes sont précis, lents mais suffisamment doux pour me faire grimper aux rideaux. Tout se passe dans ma tête, je ferme les yeux et savoure le moment, à eux deux, avec leurs 4 mains, ils forment une pieuvre dédiée à mon seul plaisir.
Je ne bouge pas, tel un pantin, je ne fais aucun geste, pas une seule initiative, comme ils me lont demandé, ils ne soccupent que de moi, je suis leur chose à initier, à qui ils doivent tout enseigner du plaisir à recevoir. Hier, jétais louvrier, jeune trou du cul en bâtiment, fringuant queutard et gaulois, ce matin je suis leur sage poupée damour qui se mord pour ne pas hurler son bonheur et qui attend sagement les bouffées de plaisir. Je ne ressens que cela, leurs 20 doigts et leurs 2 bouches me fouillent maintenant toutes mes parties intimes, les lèvres de Chantal coulissent sur ma verge, très doucement, et serrent la base de mon gland tandis que Georges introduit un doigt, puis deux dans mon cul serré mais qui se dilate douloureusement quand il enfonce et se resserre aussi agréablement lors du retrait
Quand jy songe... la matinée ne fait que commencer. Depuis 15 jours je leurs ai donné, je le sais, beaucoup de plaisir
Serai-je à la hauteur den recevoir tout autant ? La suite et fin -de cette journée avec mes tendres patrons va men réserver plus encore
Que je ne le pensais !
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