Trixie Chap 6 - Les Basketteurs
Maxime, n'arrêtait pas me taquiner pour que je lui avoue ce qui c'était réellement passé avec Gérald, le jour ou il m'avait laissée dans mon bureau, la jupe relevée en l'attendant. Il me disait qu'il se doutait que l'après midi, à l'inventaire étant seule avec le grand noir, il cela avait du être « chaud » ! En riant je lui soutenais que non. Il faisait un peu la tête de ne pas obtenir des aveux, en me quittant il boudait légèrement. Pour mettre fin à cette bouderie, j'avais décidé de tout lui raconter. Du moins mon aventure avec Gérald, pas encore les autres. Je rentrais plus tôt de la pause déjeuner et retrouvais Maxime dans son bureau, lui aussi il recommençait de bonne heure. Je savais qu'on ne serait pas dérangés, et qu'on serait tranquilles jusqu'à 13 heures 30, largement le temps de lui raconter mon expérience.
Il était à son bureau seul, je l'embrassais, il fit pivoter son siège vers moi. Je l'embrassais à nouveau, tirais une chaise et m'assis à coté de lui, ma jupe remonta, les attaches de mon porte jarretelle sortirent de dessous l'ourlet, j'écartais un peu les jambes pour lui laisser profiter du spectacle. Maxime y porta les yeux, mais ne tendit pas la main pour la glisser sur la cuisse offerte. Il boudait. Je lui pris la main en souriant et la posais sur ma cuisse.
« Tu sais, tu avais complètement raison, j'intéresse beaucoup Gérald. »
Je racontais par le détail ce qui c'était passé, l'autre jour lorsqu'il m'avait préparée pour la venue du grand noir.
« Je ne voulais pas trop t'en parler, car je pensais que tu me prendrais pour une petite garce vicieuse.
- Si je t'avais préparé, me répondit-il, c'était pour que tu l'excites, et j'étais sûr qu'il te caresserait. Et j'espérai qu'ensuite tu me racontes... Donc il t'a vraiment fait ça ! »
Il glissa la main sous ma jupe, remonta lentement jusqu'à mon sexe, écarta le string noir et insinua deux doigts dans mon orifice vaginal. j'avais ouvert les jambes, ma jupe était remontée jusqu'à mon ventre.
Sentant que je commençais à mouiller, il accéléra le mouvements de ses doigts, j' avançais le bassin sur le bord la chaise pour faciliter cette douce masturbation. Ma main partit vers la braguette de Maxime et je lui sortis la queue. De lui avoir raconté le doigté de Gérald et la caresse que je lui prodiguais le faisait bander énormément. Tout en le caressant doucement, je lui dis :
« Ce n'est pas tout, l'après midi, dans le local ou nous travaillions, je me suis laissée baiser, par Gérald ! Tu veux que je te raconte ? Tu n'es pas jaloux ?
- Oui, raconte, non je ne suis pas jaloux, cela t'as permis de satisfaire le fantasme que tu faisais sur lui, tu m'a déjà dis que tu aurais bien aimer te faire baiser, par un noir, c'est fait non ? Tu es une femme très sexy, bien épanouie, bien dans ta peau et dans ta tête. Je suis content pour toi, si tu as pu en tirer un réel plaisir. Je n'ai pas le droit de juger tes actes, et je te respecte toujours autant.»
Il m'embrassa tendrement. Je commençais à lui narrer l'après midi passée à me faire baiser dans le sous-sol, sans omettre un seul détail. Il s'extasia sur la longueur et la grosseur du sexe de Gérald. Se faisant préciser plusieurs fois, que Gérald m'avait bien enfilé complètement son énorme queue, et que cela m'avait vraiment plu. Puis je me mis à genoux et commençais à lui sucer la bite.
« Tu sais, me dit-il au bout d'un moment, j'aimerai bien te voir te faire baiser par un noir.
- Moi aussi, j'adorerai que tu regardes, lui répondis-je !»
Cette réponse, le film qu'elle entraina dans sa tête, la douce caresse de ma bouche firent éjaculer Maxime, au fond de ma gorge, j'avalais entièrement le sperme .
« J'aime énormément, le goût de ton sperme. Il est meilleur que celui de Gérald » lui dis-je en me réajustant. Je l'embrassais avec encore de sa semence dans la bouche et partis au boulot.
Suite à cette conversation, une idée germa dans l'esprit de Maxime. Il partit trouver Gérald :
« Voilà, Trixie m'a tout raconté, je sais aussi que tu es au courant pour elle et moi, elle m'a dit que tu avais vu à la lingerie.
- Ok, c'est faisable, répondit Gérald, je te tiens au courant pour la date.»
Maxime lui dit, que ce n'était pas tout, ils discutèrent encore un moment, Gérald lui répondit que c'était d'accord pour sa demande et qu'il essayerait de faire ainsi.
Une fois Maxime parti, Gérald m'appela au téléphone. Il m'expliqua que si c'était possible, il avait envie de passer un long moment avec moi, un soir. Il s'entrainait deux fois par semaine le Mardi et le jeudi, que les entrainements finissaient à 21 heures et qu'ensuite, il était libre.
Je lui répondis qu'effectivement cela était faisable, s'il voulait jeudi prochain, car mon mari suite à son avancement s'absentait souvent une semaine entière, j'étais donc seule et libre le soir. Il me dit que c'était d'accord et on se donna rendez-vous au gymnase.
« Tu mets ton porte-jarretelle, tes bas noirs et ton soutien gorge seins nus, pas besoin de mettre de string, c'est pour consommer de suite dit-il en riant.
- Vos désirs, sont des ordres Monsieur, lui répondis-je sur le même ton ! »
Le jeudi suivant, habillée d'un chemisier blanc déboutonné jusqu'à la naissance de mes seins, d'une jupe noire courte et assez moulante, on apercevait les bosses des attaches de mon porte jarretelle sous le tissus tendu, je poussais la porte du gymnase.
Gérald m'attendait discrètement dans le noir, il ferma la porte d'entrée à clef, et me conduisit dans la salle de détente. Elle était vaste, bien éclairée. Il y avait un assez long bar dans un coin, avec des tabourets hauts devant. Trois grandes tables avec des chaises, et dans un autre coin, trois fauteuils disposés face à face, un canapé faisait aussi office de lit pour ceux qui ne pouvaient plus renter lors des soirées ou l'on arrosait un peu trop les victoires.
Maxime était assis dans de ces fauteuil, un verre à la main. Je fus vraiment surprise de le trouver là, mon cur se mit à battre plus vite, je lui souris. J' allais m'asseoir sur le fauteuil en face de lui :
« C'est un vrai traquenard, dis-je...Je ne m'y attendais pas du tout !! » je croisais mes jambes fines gainées de noir, ce qui fit remonter ma jupe assez haut sur mes cuisses en laissant apparaître une bande de peau blanche traversée par la lanière de mon porte-jarretelle, sur le côté de ma cuisse. Gérald lui apporta un verre.
« j'espère que tu ne nous en voudras pas, me dit-il, pour ce stratagème. »
Je me mit à rire en les regardant langoureusement l'un après l'autre.
« Mais non, vous êtes mes mecs préfères...Et je crois savoir que vous rêvez de me baiser ensembles ! »
Maxime vint s'asseoir sur l'accoudoir de mon fauteuil, et caressa mes longs cheveux châtains teintés de mèches blondes.
Gérald se mit debout face de moi. Il avait pris une douche, mis un short et un maillot propres.
« Bon on fait quoi maintenant ? Leur demandais-je... »
Les yeux brillants de convoitise en fixant la bosse que je devinais sous le short de Gérald.
A ce moment la porte s'ouvrit et deux jeunes grands noirs entrèrent dans la pièce. Je ne pus retenir un « OH » de surprise. Ils étaient torses nus, une serviette blanche était nouée autour de leur taille, et faisait ressortir leur couleur noire ébène. Leurs muscles roulaient sous leur peau. Ils devaient avoir environ entre 20 et 25 ans. Ils sortaient de la douche leurs cheveux ras crépus étaient mouillés. Eux aussi nous regardaient avec étonnement, ils ne devaient pas s'attendre à trouver une aussi jolie jeune femme à cet endroit, bien que Gérald leur ait demandé de venir, nus sous leur serviette après leur douche. Car il y aurait une surprise dans la salle de détente.
Celui-ci se leva, me présenta aux deux garçons Thymoté et Jérémy, Gérald partit derrière le bar pour leur servir des verres.
« C'est pire qu'un traquenard, dis-je en souriant, en croisant et décroisant mes jambes, la jupe remonta un peu plus.
- Tu as trois super noirs, pour toi toute seule, me murmura Maxime à l'oreille, on va les faire bander, laisse moi faire... rappelle toi ce que je t'ai dit, tu ne seras pas déçue ».
Il entama avec les deux garçons, une conversation sur l'équipe de basket. Tout en parlant, ilpassa derrière moi et déboutonna deux boutons de mon chemisier, mais n'écarta pas les pans. Mes tétons commençaient à durcir, et à pointer sous le mince tissu. Les jeunes noirs s'étaient enfoncés dans les fauteuils, leurs regards allaient de mes jambes à mes seins. La main de Maxime commença à descendre lentement le long de mon cou, s'insinua sous le chemisier, elle dégageait peu à peu mon sein droit, en écartant doucement le tissu. Les doigts arrivaient presque à l'aréole qui s'était couverte de chair de poule, l'index de Maxime en frôlait le bord, doucement, ceci me fit cambrer la poitrine en avant, mes mamelons s'érigeaient de plus en plus. Maxime me murmura à l'oreille :
« Regarde les bites de deux jeunes noirs, écarte doucement les jambes pour leur montrer que na pas de culotte et leur laisser apercevoir ta chatte, tu devrais avancer un peu tes fesses sur le fauteuil »
Je m'exécutais, le mouvement fit remonter la jupe plus haut que la moitié de mes cuisses. Les deux jeunes noirs, ne quittaient pas des yeux la main de Maxime, et suivaient tout en discutant le lent dénuement de mon sein. Ils pouvaient maintenant apercevoir, la moitié du globe laiteux, soutenu jusqu'à moitié par le demi bonnet de dentelle noire transparente. Je les regardais, un étonnement sans fin se lisait sur leurs visages. Ils étaient tétanisé par le spectacle de la jolie blonde se faisant déshabiller. Le bord du chemisier arrivait à la moitié de l'aréole, lorsqu'il franchit le mamelon, le doux frottement sur le téton durci, me tira un gémissement de plaisir. Comme demandé, j'écartais lentement les jambes, ma jupe remontait se tendant sur mes cuisses, révélant ma peau blanche au dessus des bas noirs. Je me renversais ensuite au fond du fauteuil, la jupe remonta presque jusqu'à ma chatte, bien épilée. Mon foutre commençait à humidifier ma fente palpitante qui s'offrait aux yeux des deux jeunes qui ne savaient plus ou regarder. Les serviettes faisaient maintenant comme des petites tentes soutenues par un pieu. Ils avaient passé leurs mains dessous et se masturbaient doucement. Les draps de bain s'étaient légèrement ouverts sur leurs cuisses musclées. Gérald était venu se positionner debout entre les deux fauteuils, pour ne rien louper du spectacle. Son sexe tendait aussi son short.
Maxime me dit :
« Tu as vu la hauteur, sous les serviettes ?
- Putain, oui répondis-je...Crois-tu qu'elles sont aussi grosses et longues que celle de Mandingo, tu sais l'acteur porno dont tu m'as prêté le DVD...
- Qu'est-ce que je t'avais dit ! Tu devrais aller voir de plus près, si c'est le cas et si l'on ne m'avait pas menti... »
Je me levais, m'assis entre les deux fauteuils sur la table, posais une main sur la cuisse de Jérémy et la fit remonter doucement sous la serviette, qui s'entrebâillait lors de ma progression vers le haut. Puis je tirais sur le tissus éponge, il s'écarta libérant le pénis noir turgescent, tendu comme un arc. Mon autre main attrapa la serviette de Thymoté et la tira aussi vers le bas. La sur jumelle de la bite de Jéremy, se tendit elle aussi comme un ressort, les jeunes eurent un hoquet de plaisir.
Je me rappelais que Maxime m'avait dit que les joueurs blancs de l'équipe, faisaient presque des complexes sous la douche, je venais de comprendre pourquoi. Elles n'étaient pas comme celle de Mandingo mais pas loin..
« Putain dit Max, on me l'avait pourtant dit... je n'en ai jamais vu de si grosses en réalité !! Tu vas te faire baiser par ces engins...! Je crois que je vais adorer voir cela... »
Ainsi assis, leurs deux grosses queues noires leur arrivaient presque jusqu'au sternum. Elles devaient mesurer au minimum cinq centimètres de diamètre. Celle de Jérémy semblait un peu plus grosse et l'autre moins large mais plus longue. Gérald avait lui aussi quitté son short, son énorme bite pointait fièrement vers le haut.
« La aussi, je comprends maintenant que tu ais apprécié...dit Maxime en matant le pénis de Gérald... »
Il me dit :
« Si tu les caressais, je crois qu'elles prendraient encore plus de volume! »
J'en en saisis une dans chaque main et commençais à les masturber, les deux jeunes noirs gémirent de plaisir sous la caresse. Je leur calottais et décalottais rapidement le gland. Puis je suçais à tour de rôle leurs bouts bruns, les titillant du bout de ma langue. Gérald c'était rapproché de moi, il me présenta sa queue raidit, je l'enfournais dans ma bouche, l'avalais le plus profondément possible au fond de ma gorge, la ressortais, pour mieux l'engloutir. Il me tenait la tête m'aidant à faire pénétrer son gros rouleau noir.
Maxime était passé derrière moi, avait fini de dégrafer mon chemisier, et me l'avait quitté. Mes seins soutenus par mon soutien gorge seins nus se dressaient fièrement, les mamelons durcis appelant à être sucés.
« On peut lui caresser les seins ? demanda Thymoté
- Elle est venu pour ça, répondit Gérard »
Les jeunes garçons s'emparèrent chacun d'un sein qu'ils pétrirent et caressèrent avec douceur.
Je continuais à les branler avec ardeur.
Puis Maxime me fit lever :
« Je vais vous montrer comment elle est belle, leur dit-il ! »
Il défit la fermeture éclair de ma jupe, la descendit doucement sur mes longues jambes, gainées de noir. Je dégageais avec élégance mes pieds chaussés de talons aiguilles, du vêtement.
Maxime me fit tourner sur moi même.
« Regardez son corps, il est parfait...sa lingerie est vraiment super !! »
Les jeunes noirs avaient les yeux écarquillés...Ils n'en revenait pas de pouvoir mater une blanche aussi jolie, en bas et port-jarretelle, ils croyaient qu'il n'y avait que dans les films pornos que cela se passait ainsi. Ils croyaient vivre un rêve.
Mes deux seins fermes, aux pointes bien brunes érigées d'au moins trois centimètres, pointaient hors de mon soutien gorge seins nus de dentelle noire, sur mes hanches mon porte jarretelle m'encadrait le sexe épilé, j'avais juste au dessus un petit triangle de poils ras châtains. Mes lèvres entrouvertes par l'excitation, laissaient perler un peu de foutre et luisaient d'humidité. Les lanières de mon porte-jarretelle étaient bien tendues sur l'avant et le côté de mes cuisses, et tranchaient avec ma peau blanche. Je mis les mains derrière la nuque, ce qui fit ressortir ma poitrine, et fis encore une volte pour me faire admirer. Les deux jeunes noirs étaient béats d'admiration, ils s'approchèrent, haletants.
« Vous pouvez toucher, leur dit Maxime... »
Je regardais avec délice leurs grandes mains noires commencer à caresser mon corps.
Jérémy était passé derrière moi et me pétrissait les seins, le soutien gorge l'embêtant quelque peu il me l'avait ôté, me faisant frisonner de plaisir. Il frottait son énorme bite entre mes fesses, en grognant.
Thymoté, c'était mis à genoux devant moi, ses mains parcouraient mes jambes que je gardais ouvertes. Elle partirent des chevilles, remontèrent doucement jusqu'à mes cuisses, passèrent sous les lanières tendues, et remontèrent à l'intérieur pour effleurer, la fente offerte. Je frissonnais à nouveau de plaisir sous les caresses de ces jeunes noirs. J'adorais le contraste de ces mains noires sur ma peau blanche, ça m'excitait à mort. Mon ventre commençais à se nouer de désir.
Les quatre mains noires, exploraient et caressaient mon corps sous toutes les coutures. Je m'offrais langoureusement et voluptueusement aux caresses, regardant Maxime, avec un petit air de défi.
Thymoté me léchait la chatte à grands coups de langue rose, il me mordillait le clitoris qu'il faisait rouler entre son pouce et son index, je poussais de petits cris de plaisir. Jérémy, frottait toujours sa queue entre mes fesses. Il aurait bien voulut pénétrer mon anus, mais la position ne s'y prêtait pas. Il m'avait légèrement penchée en avant, mais n'avait tout juste put entrer dans ma vulve que la moitié de son gros gland.
Gérald lui laissait, ses jeunes amis s'occuper de mon corps. Il avait transformé le divan en lit, prêt à accueillir nos futurs ébats. Maxime, me souriait lorsque je le regardais toujours avec mon petit air de défi. Ayant l'air de dire.
« Tu voulais me voir baiser par un noir, profite en bien...!! »
Il avait sorti sa bite raidi par l'excitation prodiguée par le spectacle.
« Je savais que ça me plairait énormément me dit-il, tu as l'air d'adorer...toi aussi... »
Gérald s'approcha de notre trio, chercha mes lèvres, tout en me caressant les seins. Je lui rendis passionnément son baiser. Puis, ses lèvres descendirent sur mes épaules , elles suivirent ensuite la courbe du sein et il se mit à mordiller le téton renflé. Je poussais un cri de plaisir en sentant la douce morsure. Doucement il nous fit tous reculer jusqu'au lit.
Jérémy y tomba sur le dos, ses jambes pendaient sur le sol à partir des genoux, il m'entraina doucement sur lui. Il voulait toujours me sodomiser. J'enjambais les cuisses du garçon, qui caressait sa bite d'une main dégoulinant de salive et essayait de me l'enfiler dans l'anus. Le gland, vu les précédentes pénétrations que j'avais subies, n'eut pas de mal à entrer, je m'assis doucement sur la queue tendue. Jérémy tenait fermement la hampe noire et celle-ci pénétra lentement dans mon trou le plus intime.
Thymoté dit à son copain de patienter trente secondes avant de me besogner. Il me coucha, le dos sur le ventre de son ami, me pénétra et son long phallus noir, glissa dans l'orifice vaginal bien lubrifié et les deux compères ajustèrent leur cadence de pénétration.
Maxime s'était déshabillé, il s'approcha et se mit du côté gauche, de notre trio. Il aspirait mon téton droit avec force. Je voyais qu'il était au bord de l'extase. De me voir baiser ainsi et de prendre un tel plaisir. En effet je râlais, hoquetais et gémissais d'extase, leur disant de ne pas cesser. Gérald s'occupait du sein gauche le frappant avec de petites claques, il tirait le mamelon gorgé de sang et lui donnait de grands coups de langue.
Au bout d'un moment, Gérald dit à ses copains de lui laisser une place, pour me pénétrer. Jérémy et Thymoté cessèrent leurs pénétrations, celui qui avait la queue la plus grosse obtempéra en dernier, il sorti sa verge de mon anus, et pénétra la place laissée vacante dans le vagin ruisselant. Je sentis les couilles du jeune homme, me battre les fesses.
Je commençais à crier de plaisir sans m'arrêter, Maxime pouvait voir mon foutre qui s'écoulait le long de la grosse bite noire. Son copain ne voulant pas être en reste, me repoussa doucement pour me faire m'allonger sur le torse de Jérémy. Il approcha sa bite de ma chatte, au dessus de celle de Jérémy me caressant le clitoris avec son pouce. Il força pour enfoncer sa bite dans mon sexe ruisselant, son gland entra un tout petit peu. Mais je criais qu'elle n'entrerait pas, que cela commençait à me faire mal, que leurs bites étaient vraiment trop grosses, qu'il fallait qu'ils arrêtent.
Maxime me caressa les cheveux, et me dit de me détendre, il fallait qu'elle rentre, et elle rentrerait. Je devais bien écarter les jambes. Il cracha sur la grosse queue noire qui peinait à se frayer un passage. Le jeune insistait avec fougue, il voulait à tout prix me pénétrer. Ça commençait à me faire mal.
« Non, les gars vous êtes trop gros, arrêtez...!!
- Oui, dit Gérald...vous avez vu vos bites...doucement vous allez la déchirer...A moins que... »
Il se leva, ouvrit son sac de sport et en ressorti une petite bouteille d'huile de massage.
Il en versa dans une de mes mains, et me dit d'en enduire le pénis de Thymoté. J' obéis, Jérémy avait stoppé ses allers et retours pour permettre à son copain d'adjoindre sa bite à la sienne dans ma chatte. Thymoté la bite bien lubrifiée, recommença l'opération.
« Tu y vas doucement, tu tiens bien ta queue...dit Gérald...Trixie détends toi...! »
Le gros gland entra en forçant un peu. J'écartais de mes mains les lèvres de ma chatte. Le reste du sexe entra petit à petit à l'intérieur de mon vagin. Je gémissais maintenant de plaisir, de sentir ses deux grosses bites dans mes entrailles, il en avait entré la moitié.
« Tu vois que tu aimes ça, petite salope me dit gentiment Maxime, je savais que tu pouvais accepter ses deux queues noires...Tu en rêvais...»
Je lui saisis le sexe et me mis à le masturber regrettant qu'il ne l'ai pas aussi gros que ceux des noirs. Je suçais avec ardeur la queue de Gérald. Celui-ci demanda à Thymoté de bien vouloir me positionner sur le côté. Le garçon le fit et m'attrapant derrière le genou gauche, il me souleva la jambe, cela lui permit d'enfoncer plus profondément son pieu noir et luisant dans ma chatte ou se trouvait déjà le phallus de son copain. Gérald avait maintenant devant lui mon anus béant qui s'ouvrait au rythme des pénétrations des deux jeunes. Il me saisit au niveau de mon porte-jarretelle et enfonça d'un seul coup son gros rouleau noir qu'il avait enduit d'huile de massage. Je criais de plaisir en sentant cette nouvelle pénétration énorme et sauvage. Je n'avais pas ressenti un tel plaisir, trois énormes bites noires en moi, qui me défonçaient ! Dans mes rêves les plus fous je ne l'avais pas imaginé ! La réalité dépassait les vidéos de Mandingo.
Maxime voyait, le sexe de Gérald entrer, puis ressortir entièrement, et disparaître à nouveau, englouti tout entier entre mes fesses. Il m'entendait hurler de plaisir. Il me donna un baiser passionné, me fouillant la bouche de sa langue, je lui mordis la sienne. Entre deux cris de plaisir, je lui hoquetais :
« Alors ça te plait de me voir baiser par des noirs ? Tu n'es pas un peu jaloux ? Je crois que j'ai joui au moins trois ou quatre fois déjà !
- Putain, tu es extra, je crois que je vais jouir, suce moi la queue »
J'eus à peine le temps d'avaler son membre qu'il éjacula au fond ma gorge, j'avalais la semence tiède. Mon plaisir arrivait aussi. Un des jeunots lâcha, avec un grand cri de jouissance son sperme dans ma chatte meurtrie. Ma jouissance arriva d'un seul coup, un grand spasme me secoua, je hurlais de plaisir, mon vagin se contracta serrant la grosse bite qui était encore en moi. Le garçon poussa un cri et il éjacula sa semence avec des grands soubresauts. Le second noir, suivit presque aussitôt, mais les deux tiers de son liquide séminal, fut projeté entre mes jambes et sur le ventre de Jérémy car j'étais secouée par les spasmes de jouissance, et son sexe fut projeté hors de ma chatte. Ensuite, je restais inerte, vidée, secouée par les assauts puissants de Gérald qui continuait sa sodomie. Jérémy me dit alors de lécher le sperme répandu sur son ventre. En offrant toujours mon orifice anal à Gérald, je me mis à genoux et léchais à petit coups de langue et déglutissais le sperme étalé sur le ventre et dans la noire toison pubienne bouclée.
Gérald me dit qu'il allait lui aussi jouir, et me demanda ma bouche, je me mis sur le dos, ouvris la bouche, il éjacula à grands jets, je déglutissais avec délice le sperme chaud qui s'écoulait au fond de ma gorge. Puis je lui léchais tendrement le gland avant le l'aspirer, pour soutirer la dernière goutte de sperme du grand cylindre noir.
Puis tendrement je les embrassais tous les quatre à tour de rôle. On se retrouva sous la douche des vestiaires, en se promettant de recommencer....
A suivre....
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