Le Train
Cette histoire est en grande partie autobiographique les événement se sont hélas déroulés lorsque je n'étais qu'un adolescent sidéré par ce qui m'arrivait.
La vie est parfois faite de situations étranges où nous manifestons des réactions tout à fait inhabituelles et lorsque nous analysons par la suite notre comportement, nous avons du mal à nous reconnaître.
Lorsque j'étais jeune, j'étais plutôt un garçon timide et j'avais beaucoup de difficultés à séduire mes petites camarades pour les amener au flirt. Étrangement c'est ce qui m'a conduit à faire l'amour pour la première fois sur une plage de galets que les autres baigneurs avaient désertée. Il faut dire que je n'ai pas pris l'initiative et que la gourmande qui m'a dépucelé m'a laissé un souvenir impérissable, tant elle était belle et tant elle m'a donné de plaisir. Malheureusement, cette première expérience n'a pas débloqué chez moi le processus de séduction et j'ai continué à galérer pour draguer avec en plus une connaissance idéalisée de la façon dont les choses pouvaient se dérouler
À cette époque, mes parents ont pris la décision de changer de région, nous faisant quitter le chaud Languedoc pour la verte Auvergne. Ma mère et moi sommes partis nous installer avant la rentrée scolaire en attendant la mutation de mon père qui continuait à habiter le sud. Lors des vacances de Noël, il fut décidé que j'irais passer quelques jours chez mon père qui n'avait pas de congés pour cette période, ce qui me permettrait de retrouver avec plaisir mes anciens copains.
Le voyage fut organisé et je partis seul par le train de nuit car le voyage devait durer longtemps.
Je trouvais ma place sans difficultés et ma mère m'embrassa en me faisant mille recommandations tant pour ce voyage que pour le reste de mon séjour. Je m'installais dans le compartiment en face d'une vielle dame charmante qui me fit la conversation jusqu'à la gare suivante où elle descendit.
Je ne sais pas si c'est un effet du café que j'avais bu avec ma mère en attendant le départ mais je ne parvenais pas à m'endormir. Bien que le train ait adopté une allure ralentie balançant doucement au gré de la voie irrégulière, je ne parvenais pas à passer de l'engourdissement au sommeil.
Progressivement mes yeux s'étaient habitués à la pénombre et je distinguais les mollets de la femme juste devant moi. Mon regard remonta le long des jambes et je me rendis compte que dans la position où nous étions je pouvais voir presque toutes ses cuisses. Je me déplaçais un peu pour mieux regarder et je posais ma main sur la banquette tout contre ses jambes. La femme bougea légèrement ce qui fit glisser un peu plus sa jupe et me révéla le haut de ses bas retenus par un porte-jarretelles blanc.
J'étais totalement fasciné par ce spectacle indiscret, inattendu et totalement inhabituel pour moi. Tout doucement je fis glisser ma main derrière ses genoux caressant au passage la rondeur du mollet.
Comme elle bougeait à nouveau, je me figeais comme si je dormais et que j'avais posé ma main là sans m'en rendre compte. La femme bougea à nouveau, posant maintenant son genou gauche sur la banquette en repliant un peu plus la jambe ce qui ouvrit un passage plus large pour mes doigts indiscrets. Il faisait chaud dans le compartiment et ma main transpirait entre les cuisses chaudes de la voyageuse. Exerçant une pression régulière, je fis remonter ma main un peu plus haut encore, j'arrivais presque à la limite du bas. Je n'osais plus bouger, craignant à chaque instant que la femme s'éveille et ne fasse un scandale. Au bout d'un moment qui me sembla interminable la passagère bougea à nouveau, glissant un peu vers moi, et je me retrouvais avec la main coincée tout en haut de ses cuisses contre sa culotte blanche.
Je m'enhardis alors, remuant les doigts et caressant sa vulve du tranchant de la main à travers le fin tissu. La femme sursauta et serra les cuisses pour bloquer ma main. De mon pouce, je commençais alors à caresser la raie de ses fesses puis j'introduisis le pouce sous l'élastique pour mieux caresser sa peau et toucher son sexe. De sa main gauche elle saisit mon poignet et souffla à voix très basse :
- Chut, soyez sage
Au bout d'un court instant elle relâcha mon poignet sans avoir chassé ma main de là où elle était ce qui m'encouragea à reprendre mon manège. Aussitôt elle me saisit à nouveau le poignet mais du tranchant de la main je la caressais quand même. Progressivement elle relâcha à nouveau mon poignet et je sentis la pression de ses cuisses diminuer.
J'avais gagné. Peu à peu, mon geste devint plus ample, elle écarta un peu les cuisses et je pouvais entendre sa respiration plus profonde. Délicatement j'ai fait glisser mon index sous l'élastique du sous vêtement pour pouvoir le faire glisser dans sa fente mouillée.
Je l'ai léchée doucement faisant le tour de son bouton d'amour du bout de ma langue, mes mains sous ses fesses pour la soulever un peu lorsque je voulais faire rentrer ma langue entre ses lèvres trempées. J'avalais sa mouille avec délice. Rapidement elle envoya son bassin à la rencontre de ma bouche de façon de plus en plus désordonnée puis elle se crispa, serrant les cuisses sur mes tempes et jouit dans un grognement sourd.
Lorsqu'elle se détendit, elle repris sa position en chien de fusil pour retrouver ses esprits puis au bout d'un petit moment elle se leva et sortit en emportant son sac à main. J'avais mal au sexe à force de bander et j'avais l'impression que mes couilles allaient éclater.
Quelques minutes plus tard, elle rouvrit tout doucement la porte du compartiment, vérifia si les s dormaient toujours et me fit signe de la suivre. Je me levais, gêné par ma bandaison et je la suivis dans le couloir désert. Elle referma silencieusement la porte puis me prenant la main, me guida vers l'extrémité de la voiture. Là, elle me poussa dans les toilettes et referma la porte derrière nous.
- Tu es bien jeune
Puis elle s'accroupit devant moi, ouvrit ma braguette, fit sortir mon sexe et l'emboucha sans hésitation. Avec une lenteur désespérante elle me suçait, faisant monter dans mon ventre des vagues de chaleur. Sentant le plaisir monter en moi, je mis mes doigts dans ses cheveux et tint sa tête pour mieux baiser cette bouche experte. Cessant sa fellation, elle se releva, fit remonter sa jupe jusqu'à sa taille puis se retournant pour se pencher sur le petit lavabo, elle me dit :
- Viens
Comme ma verge dressée touchait ses fesses, elle passa une main entre ses jambes et me guida vers sa grotte brulante. Je m'enfonçais en elle sans difficulté jusqu'à ce que mes cuisses touchent ses fesses puis je passais mes mains sous ses bras en appui et commençais mes va et viens en malaxant ses gros seins fermes. Elle m'avait chauffé au maximum du supportable et sans l'inconfort de la position j'aurais éjaculé presque tout de suite. Lorsqu'au bout d'un moment elle se mit à gémir au rythme de mes pénétrations, j'abandonnais toute retenue et forçais la cadence jusqu'à ce que je me libère dans un grognement sauvage. Sentant ma semence brulante ma partenaire se mit à vibrer et jouit dans un râle nettement plus sonore que dans le compartiment. Je restais collé à elle massant sa poitrine rebondie m'enivrant de son parfum de bourgeoise. Doucement elle se redressa puis se détacha de moi pour aller s'essuyer au dessus de la cuvette des WC. Après avoir remis de l'ordre dans sa tenue vestimentaire, elle ouvrit la porte et commença à sortir, je la retins alors par la main et sortant sa culotte de ma poche je la lui tendis. Elle repoussa ma main et posant un petit baiser sur mes lèvres elle dit :
- Garde la, ça te fera un souvenir
Puis elle retourna vers le compartiment.
Je refermais la porte et fis un brin de toilette, complètement abasourdi par ce qui venait de m'arriver.
Lorsque j'eus repris mes esprits, je rejoignis à mon tour le compartiment. Dans la pénombre je vis qu'elle s'était allongée dans l'autre sens, les pieds vers la porte, tournant le dos à l'autre banquette. Silencieusement, je regagnais ma place et repris la même position qu'au départ, me trouvant cette fois face à elle, mon visage au niveau de sa poitrine. Je posais ma main sur ses seins, mais elle la prit dans la sienne, posa un baiser sur mes doigts et la maintint sur sa poitrine en m'empêchant de la déplacer. Je restais un moment à attendre qu'elle me relâche mais assouvi par cette expérience je m'endormis profondément.
Deux heures plus tard je m'éveillais en sursaut, la femme brune venait de rentrer dans le compartiment et se tenait à genoux sur la banquette pour se recoiffer. Elle avait rallumé la veilleuse et j'en profitais pour la regarder, j'avoue que je ne l'avais pas fait dans les toilettes trop préoccupé par le reste de son anatomie... Son visage étai plutôt ordinaire sans être laid et ses bras relevés faisaient saillir ses seins généreux. Elle me sourit sans rien dire puis se leva. Dans le mouvement je regardais ses cuisses un instant découvertes en imaginant plus haut son sexe nu. Alors qu'elle rajustait son chemisier, un cahot du train lui fit faire un pas vers moi. Sans réfléchir, je passais rapidement ma main sous sa jupe et remontais jusqu'en haut. Elle serra brusquement les cuisses et saisit mon poignet, mais mes doigts étaient déjà au contact de son intimité chaude. Elle tenta de repousser ma main mais j'introduisis le pouce entre ses lèvres intimes. Elle se raidit, puis se tournant légèrement sur le côté elle s'étira pour éteindre la veilleuse. Dans la quasi obscurité, elle desserra l'étreinte de ses cuisses et je la sentis se cambrer en s'approchant légèrement de moi. Mon pouce s'enfonça profondément entre les lèvres mouillées et je commençais un va et viens en appuyant sur l'avant de son vagin et repliais mon index pour frotter sur son clitoris à nouveau dur. Très rapidement elle laissa échapper de petits gémissements sourds puis se mit à vibrer et enfin se tétanisa les mains crispées sur le tissu de sa jupe serrant les cuisses à m'en écraser la main. J'attendis quelques secondes qu'elle se détende et retirais ma main dégoulinante de mouille. Elle se retourna, prit un mouchoir dans son sac et un genou sur la banquette s'essuya l'entrecuisses. Lorsqu'elle eut fini, elle se pencha vers moi et me souffla à l'oreille :
- Tu es un démon. Merci
Maintenant il faut être sage, je dois réveiller les s.
Je profitais de sa position pour poser un baiser sur ses lèvres et répondis :
- Ok.
Elle se pencha alors vers l'autre banquette et entreprit de réveiller les deux garçons. La voir ainsi penchée, les fesses vers moi après l'avoir menée à l'orgasme me laissait une bandaison qui me semblait inextinguible.
À la gare suivante, tous trois quittèrent le compartiment et elle me lança un regard ou se mêlaient l'étonnement, et déjà la nostalgie.
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