Rêve Ou Magie
Je mappelle Marc jai 25 ans, je menais une vie tranquille de célibataire dans ma ferme. Javais bien sur des aventures mais toutes sans lendemain. Toute la semaine, le travail des champs, les bêtes et le samedi, les sorties. Une vie pépère quoi. Je ne men plaignais pas puis jai rencontré Lisa.
Chapitre 1
La première foi que je lai vue, cétais un vendredi elle faisait du stop au bord de la route, je me suis arrêté.
- Bonjours, ou allez-vous ?
- Je je ne sais pas exactement, cest par ici mais je ne sais pas ou cest.
Elle me tend une photo, je connais bien le coin, cest juste a coté des ruines du monastère, a la lisière du bois a coté de la friche ou je mets à paitre mes chèvres.
- Oui, je connais, posez votre sac derrière et montez, je vous y emmène. Quallez-vous faire dans ce coin perdu ?
- Des recherches. Pensez vous que je pourrais camper la bas ?
- Oui, bien sur, cest sur mes terres, je vous autorise à camper.
- Merci beaucoup.
Quand elle est montée, une odeur suave a envahie la voiture, un mélange de parfum féminin, de sueur et autre chose que je narrivais pas à définir, cette odeur ma fait bander presque tout de suite. Pour garder une certaine contenance jai ouvert la fenêtre pour essayer de dissiper cet envoutant parfum.
Rapidement je la déposais a coté des pierres qui étaient sur sa photo.
- Voila vous y êtes. Quest-ce que vous recherchez dans un endroit si perdu ?
- Venez voir.
Elle ma emmené vers les pierres, sest agenouillé a coté de la plus grande qui semblait être au centre de la sorte déboulis puis elle a frotté dessus pour enlever la mousse et ma montré des signes gravés dans la pierre. Jai éclaté de rire en lui expliquant que dans la région il y avait beaucoup de pierres avec des signes comme ceux-ci et que les ruines du monastère dans le bois étaient surement plus intéressantes.
Elle ma regardé très sérieuse et ma dit
- Il ne faut pas rire de ces signes.
- Ah bon, il y a longtemps alors
- Oui, très longtemps, bien avant le christianisme. Cétais dans les endroits ou la magie était la plus forte que ces pierres ont été mises en forme dhôtel pour les sacrifices. Ce sont les moines de votre monastère qui ont du détruire cet hôtel quand ils sont venu sinstaller ici.
- Bien, ce nest pas tout, jai du travail il faut que je vous laisse. Si vous voulez vous pouvez planter votre tente la, cest bien plat et a coté il y a une source, leau est pure et bien fraiche. Bon courage et bonnes recherches.
Je suis reparti à ma ferme pour vaquer à mes occupations.
Je lai revu le samedi soir, jétais en boite, je lai vite repéré, Cétait une grande fille, de vingt ans environ, brune, élancée. Une femme qui me plaisait bien. Jai passé une soirée entière à la draguer pour enfin arriver à lembrasser et la caresser un peu. Je me suis tellement bien appliqué quelle a jouis au moins deux fois sous mes caresses.
Quand jai voulu passer à la vitesse supérieure, elle sest refusée et avec un petit sourire elle ma quitté. Je lavais dure, cétais la fin de la soirée et je navais plus rien à me mettre sous la dent. Je me suis rabattu sur une petite rousse qui semblait avoir trop bu elle était la, à moitié couchée comateuse sur une banquette de la boite. Je lai baisé une première foi sur place puis je lui ai proposé de la raccompagner, elle a accepté et dehors, sur le capot de la voiture, je lui en ai remis une dose. Pour finir, je lai encore culbuté devant chez elle, dans la voiture, pour me venger de la gente féminine. Jétais à bout et fou de rage contre cette Lisa qui mavais tant excité que je navais pas pu avoir et en plus qui campait sur mes terres .
La semaine est passé très vite et le samedi suivant, quand je suis entré dans le club, Lisa était la et semblait mattendre. Elle ma sauté au cou et ma embrassé fougueusement en se collant à moi.
Que cherchait donc cette fille ? Que je la refasse jouir sans rien en retour, non merci. Pas pour moi, le samedi cétais le jour de la vidange, de préférence la plus agréable possible.
Elle ne ma pas lâché de la soirée, pourtant je ne faisais rien pour linciter à rester avec moi. Vers minuit, jai commencé à en avoir mare de lavoir toujours pendue à mes basques, a décourager toute les filles que je mappétais à draguer, javais tourné la page avec elle il me fallait lui faire comprendre.
- Tu ne peu pas te trouver un autre mec à embêter?
- Non, cest toi que je veux.
- Tu me veux pourquoi ?
- Pour dépuceler ma sur et sa copine, tu es le propriétaire de lhôtel, et tu tes montré galant et attentionné lautre soir, cest pourquoi je tai choisi.
- Dépuceler ta sur et sa copine ?
- Oui, cest le moment pour elles.
- Mais je ne les connais pas, ou sont elles ?
- Elles sont arrivée a mon camp dans la semaine.
- On y va tout de suite ou je prends le temps de finir mon verre ?
- Non, on ny va pas. Si tu es daccord pour les dépuceler, il te faut une préparation puis il te faut attendre le solstice cest très important.
- Le solstice ?
- Oui, le solstice cest dimanche prochain à minuit.
- Et quest-ce que je dois faire pour me préparer ?
- Tu veux vraiment ?
- Jai rien contre mais je voudrais bien savoir ce que je dois faire pour me préparer a cet événement.
- Tu vis seul ?
- Oui, dans ma ferme a P
..
- Cest parfait, je pars avec toi et on rentre chez toi.
- Ah bon mais la soirée commence juste.
- Si tu veux les dépuceler dimanche prochain tu dois mobéir pour ta préparation.
Nous sommes rentrés chez moi. Une foi dans ma ferme, elle ma regardé droit dans les yeux puis elle ma dit froidement en versant un liquide dans un verre
- Bois ça
- Quest-ce que cest ?
- Une potion que je prépare avec des plantes que jai récolté autours des pierres.
Jai bu sans rien dire. Cétais un peu fort, mais bon, je nai pas pu dire quelles plantes entraient dans sa composition mais à peine cinq minutes après, je bandais comme un taureau, tellement fort que ça me faisait mal.
- Quest-ce quil y a dans ta potion ?
- Des plantes et de lalcool pourquoi ?
- Regarde
Jai sorti mon chibre de ma braguette. Elle na pas eut lair étonnée puis comme si de rien nétais
- Oups ! elle est belle, jai du un peu trop concentrer la potion.
- Tu ne va pas me laisser comme ça quand même ?
- Attends, ça va passer.
Ma bite me faisait mal tellement elle était bandée et la seule chose quelle a trouvé à dire cest attends. Je nen revenais pas.
Elle, elle sortait du sac des bougies et des bâtonnets dencens quelle disposait dans la pièce puis après avoir éteins la lumière elle ma dit.
- Retire ton pantalon et assied toi sur cette chaise, je reviens.
Je me suis exécuté. Au bout dun bon quart dheure, alors que je commençais a avoir de drôles de sensations aves toutes ces bougies et lencens qui fumait dans la pièce, elle est apparue, jai cru rêver, elle portait un bustier en cuir noir qui lui moulais sa belle poitrine, un porte jarretelle noir encadrait sa toison bien taillée, des bottes noires qui remontaient jusquaux genoux finissaient la panoplie.
Elle sest approchée de moi, a pris mes mains et les a attachées avec des menottes derrière le dossier de la chaise puis elle a attrapé ma tète et la collé contre sa toison en marmonnant une sorte de prière que je nai pas comprise. Jétais envahi par les senteurs aphrodisiaques de cette femme et activais ma langue du mieux que je pouvais pour laper le jus qui séchappait de sa fente.
Au bout dun petit moment jai senti aux contractions de son ventre contre ma tète quelle jouissait.
Elle ma lâché puis sans un mot, doucement sest abaissé pour faire entrer mon chibre turgescent en elle. Cétais chaud, douillet, merveilleux.
Je ressentais un plaisir comme jamais je navais eut mais je narrivais pas à jouir, c étais complètement fou, jen avais mal aux couilles mais je néjaculais pas.
Après un très long moment, elle sest mise a marmonner à nouveau une sorte de litanie entrecoupée de râles de plaisirs et miraculeusement jai explosé au plus profond de son ventre, cétais tellement fort que jai eut limpression que ça ne sarrêterais jamais de fuser en elle, tellement fort que je suis tombé dans une sorte de coma jouissif.
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