Deux Coups De Reins Et Un Lascar Vient !
Depuis quelques temps, je lis toutes vos histoires et je me sens devenir accro. De ce fait, jai décidé de contribuer à ma manière, en vous racontant comment je suis devenu la pute du tierquar (le quartier, pour les non-puristes). Je dois confesser que jai perdu ma virginité très tard
à 25 ans, mais je me suis bien rattrapé depuis. Cependant, janticipe peut-être un peu trop, alors laissez-moi commencer par le commencement.
Pour vous faire une image précise de ma personne, je crois être assez agréable à regarder lorsquon aime ce style. Jai des yeux clairs. Ma bouche pourrait être qualifiée de « suceuse », car elle est pleine et purpurine, en un mot pulpeuse. Ma peau est très pâle, ce qui crée un sérieux contraste avec le rouge indécent de mes lèvres et le bleu de mon regard. Le tout est couronné par une touffe de cheveux noirs, broussailleux qui ma valu dans la cité le nom de Mowgli, ce qui donne un assez bon aperçu de ma dégaine. Une silhouette élancée avec mon 1m80 pour 60k. Pour que laperçu soit complet, je suis généralement comparé aussi bien à Nicholas Hoult quà Ian Somerhalder ou Jon Hensley.
Si je navais jamais vu le loup jusquà présent, cétait pour la simple et bonne raison que je navais rencontré personne auparavant. Je vous raconterais peut-être ma vie de puceau plus tard, parce que la virginité ne rend pas plus saint
Ce que jai décidé de vous révéler à ce jour concerne la rencontre qui a fait basculer ma vie. De blanc à noir, de vestale à catin. Son nom, Driss, restera à jamais graver dans mon cur et son corps tatouer dans ma mémoire.
En même temps, ce nest pas le genre de mec qui soublie avec son 1m95 et sa carrure de catcheur. Pour faire simple, il possède une silhouette à la Dwayne Johnson. De forme plutôt ovale, son visage possède une beauté sculpturale, grâce à des traits coupés à la serpe. Les cheveux sont coupés court et possède le même noir profond que ses yeux, lui donnant un regard de er.
Un soir, je rentre chez moi après une soirée un peu chargée. Jhabite le sixième étage, mais jai pour habitude de prendre les escaliers (comme palliatif dun sport quotidien). A peine arrivé au premier étage, jentends que la porte se rouvre derrière mon passage alors quelle venait de se refermer. Je ny prête pas plus attention, puisque je suis habitué aux allées et venues de limmeuble, habité majoritairement par des jeunes en quête de toutes sortes de substances. Je continue jusquau deuxième étage, en me disant que la personne doit sarrêter avant moi puisque je suis le seul dingue à prendre les escaliers. Mais au quatrième, je vois une ombre se profilée devant moi ; du coup, je me retourne, prêt à lancer un large bonsoir. Or, quelle ne fut pas ma surprise, en reconnaissant le divin Driss.
Jose à peine vous raconter ma déconvenue, puisque je me suis éclaté le genou contre les marches alors que le reste de mon corps sest étalé et que mes lèvres ont étouffé un pauvre « Bonsoir » pitoyable. Faisant à peine attention au « Bien ou bien ? » quil me rétorque, je me ratt tant bien que mal à la rambarde et je prends mes jambes à mon cou, en montant les marches quatre à quatre. Au sixième, je me précipite vers mon palier, avec la volonté de cacher ma honte dans mon appartement. Dans ce genre de situation, jai tendance à devenir trop maladroit, alors impossible de rentrer la clé dans ma serrure. Je vous laisse imagine que ça lui laisse largement le temps de me suivre et de me rattr.
Si dans le milieu, il se fait appeler « le Titan », ce nest pas pour rien.
Eh mec, quand je te parle, tu dois me répondre me dit-il.
Hein !
Que ?
Quoi ?
Je tai demandé comment tu allais ? Et au lieu de fuir, tu aurais pu me répondre.
Ah oui désolé, je suis fracassé alors jai du mal à avoir les idées claires. Et je nai pas fuis, je nai juste pas pour habitude de me taper la honte devant des inconnus.
Tinquiète mec, ça arrive. Ecoute, on ne va pas discuter comme ça pendant trois heures, alors je minvite chez toi. Tu ouvre ou tu veux que je le fasse ?
Euh
! Ouais, jouvre.
Je suis sous le choc. Quoi ? Driss veut discuter avec moi. Non mais cest quoi le délire. Il est tellement beau, que jai du mal à garder ma contenance. Je le laisse passer en premier, pour avoir loccasion de le mater en toute tranquillité. Comme lété règne sur la cité, il porte un débardeur qui laisse la place à ses muscles pour sépanouir, avec un bas de survêtement gris trois fois trop grand pour lui. Il le porte sur un boxer, qui met en valeur son bon cul de rebeu, dont la rondeur ressemble limite à un boule de bowling.
Tiens, je mappelle Driss et toi ? Cest quoi ton blase ?
Et là, je ne sais pas pourquoi mais dans la confiance, je lui réponds : « Oui, je sais que tu tappelle Driss. » Le problème de ma peau diaphane est quelle est tellement blanche, quelle en devient transparente, ce qui me fait rougir dès que lémotion est trop forte.
Sérieux gars ? En même temps, je tai capté depuis longtemps avec mes potes.
Je suis sur le cul de ce quil vient de mannoncer. Enfin, je lui propose quand même de sasseoir, en lui demandant sil préfère un café, un thé ou une bière.
On est entre mec, alors je vais prendre une bière.
Pour me mettre à laise, je mets de la musique sans trop savoir quel est lalbum dans le lecteur. Les premières notes résonnent sur un morceau de Blondie, rien de mieux pour me sentir bien. Sauf que je ne peux mempêcher de me trémousser lorsque jentends de la zic. Dune certaine manière, je perds le contrôle de mon corps, qui se met en action tout seul dans un déhanché digne de Fred Astaire. Après 15 ans de danse, je me débrouille assez bien et mon invité ne se fait pas prier pour le remarquer.
Putain, comment tu bouges ton boule
cest rare pour un céfran, mais en te matant, jaurais du le parier avec mes potes.
Moi qui me glorifie de garder mon sang froid dans nimporte quelle situation, ce mec pourrait me faire mentir, tellement il arrive à me retourner avec désinvolture. Faisant feu de tout bois, je nhésite pas une seconde à lui poser une question directe et sans détour : « Bon mec, quest-ce que tu fais là ? Quest-ce que tu veux ? Parce que franchement, tu me mets le chiro à lenvers. » Il se met à rire à gorge déployée, en mannonçant quil sattendait pas à ce que jose lui parler comme ça
mais que pour une fois, il apprécie que quelquun lui tienne tête.
Maintenant, si tu crois ten tirer comme ça, cest mort. Viens ici, petit con !
Hypnotisé par son attitude « badass », mon corps me fait défaut, en avançant vers lui avec un regard de défi, celui qui déclare au monde que je nai peur de rien. Quelques soit la situation, je sais que je garderais toujours mon âme de guerrier combattant. En réponse, ses yeux sembrasent de flammes, qui ne laissent présager rien de bon. Affalé sur mon canapé, je ne sais comment il réussit à me faire passer de la station débout face à lui de celle sur ses genoux.
Fais pas trop le malin, jen ai maté des coriaces, qui faisaient plus peur que toi.
Je ne crois pas mec, lui répondis-je, tu ne me connais pas.
Et au lieu de men prendre une comme je my attendais, il me posa sa main de colosse sur la joue, avec une tendresse qui fit fondre mon cur de glace. Collé à lui, il devait sentir mon cur battre tout de même à 100 à lheure, car il me dit que mon corps trahissait mes pensées. Je ris avec majesté : « Ah ouais gars, cest ce que tu crois » ; et jessaye de mextirper de ses bras en gesticulant dans tous les sens. Evidement, mon entreprise est vaine puisquil est bien plus puissant que moi, mais ce salop en profite pour que mes fesses soient positionnées avec précision sur son membre viril. Cependant, faites-moi confiance, impossible de me laisser faire.
Quest-ce que tu fais ? Tu te crois dans un bordel ? Je mamuse pas à jouer la pute pour deux sous.
Avec ton corps de poupée Barbie, tu ne vas pas te la jouer avec moi, parce que je te brise dun seul coup.
Essaye, si tu crois me faire peur.
Gars, tu parles trop alors que tu es incapable de sortir de mes bras. Et puis, merde. Ferme ta ptite gueule.
Pour mempêcher de parler, il a une technique radicale, qui consiste à appuyer sa large bouche sur la mienne et je dois dire que ça marche. Très vite, je ne contrôle plus rien. Jentrouvre légèrement mes lèvres charnues. Driss comprend le message et menfonce sa langue avec ardeur et passion. Alors que le ballet de nos langues commence, ses bras menlacent de plus en plus presque jusquà l. Sans quitter sa bouche, je commence à jouer de mes hanches, pour gagner de lespace. Comme je lai dis, je nai aucun mal à me servir de mon corps après des années de dance. Du coup, je ne tarde pas à sentir les premiers effets de mes vagues corporelles.
Ce qui me plaît chez Driss, cest quil nhésite pas à exprimer tout haut ce quil pense tout bas et direct il se laisse aller à des gémissements, me prouvant sa satisfaction. Il pose ses deux grosses mains sur chaque lobe de mon cul, pour minstaller sur sa queue déjà bien tendue. Je suis incapable de dire à quoi elle ressemble, mais je sens quelle est dune longueur et surtout dune largeur désirables. Sa force est telle quil a le pouvoir de mutiliser comme une vraie poupée, en me changeant de position au gré de ses envies. Même sil est assez brusque, il ne manque pas de tendresse comme sil avait peur de me casser en deux. Je suis incapable de savoir avec précision lordre et le désordre qui sest établi dans ce jeu de corps à corps. A chaque instant, je me sens limpression de voler dans les airs.
Je ne sais trop comment, je me suis retrouvé habillé dun simple tee-shirt et de mon boxer, alors que monsieur sest contenté de garder son débardeur et son survêt est baissé sur ses genoux. Devant cette injustice, il me vient des furies de ne pouvoir posséder le contrôle alors je décide de retourner la situation à mon avantage. Lair de rien, jouvre pleinement mon cul, pour que sa teub soit enserrée par mes deux fesses, remplaçant mes mains pour une branle denfer. Je me détache légèrement de son corps, afin dobtenir plus dampleur dans le mouvement. Mes oscillations se plaisent à suivre le crescendo de la musique et je mamuse à sentir combien sa queue est brûlante malgré la séparation de nos deux boxers. Pleine de percussion, mon corps suit avec précision les bouleversements de la musique, pour mieux envoûter ce mâle. Tout en lembrassant plus furieusement, je me plais à pousser des petits cris de plaisir, comme sils méchappaient à lindépendance de ma volonté. Son corps paraît réceptif à ma danse, puisquil se met à jouer sur le même registre de sensualité avec plus de rudesse.
Il me faut attendre peu de temps pour obtenir les résultats de ma vengeance car, en repoussant mon visage, il me regarde droit dans les yeux avec un regard dincompréhension et de stupeur. Il pousse un râle animal, pendant que mes hanches continuent leur petit jeu, et je sens que son bassin se crispe à quatre ou cinq reprises.
Putain, Tu es une vraie garce, sa mère. Comment tas fais ?
Moi
jai rien fais, tes ouf mec, lui répondis-je feintant linnocence.
Tu te fous de moi au quoi
Tu te la joues lopesa et genre tu ny es pour rien. Après, javoue que tu es super doué, parce que cest la première fois que je jute sans avoir retiré mon boxer. Tu dois être une vraie pute.
Euh
déjà je ne te permets pas, dautant plus que mon tableau de chasse est vide alors je vais avoir du mal à tenir la comparaison avec toi par exemple.
Tu veux dire que tu es un petit puceau ? me demande-t-il incrédule.
Exactement, répondis-je avec fierté et orgueil.
Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu mappartiens.
Comme Rome ne sest pas faite en une journée, vous verrez que je nai pas perdu ma virginité cette seule nuit. Avant de devenir le tepu du tierquar, il sest passé un bon moment dont vous venez de lire la seule première partie. Alors si vous mavez lu, que vous avez eu la trique, que vous vous soyez branlés ou que vous nayez pu opprimer une éjaculation, nhésitez pas à menvoyer un message. Je me sens dhumeur à assurer le service après lecture.
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