Dressée Pour Jouir, Petite Séance Dominicale
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Juillet 199.
Après la séance chez Sophie, Jo est devenue plus docile, toujours en attente de jouissance, mais encore un peu coincée. Elle nest toujours pas spontanée dans ses envies, mais en attente dimpositions ; nous avons toujours de belles séances de soumission-caresses-plaisirs, mais en intimité, lextérieur lui fait encore peur mais je pense quelle ne me dit pas tout.
Je sais quelle a encore besoin de plus se découvrir, trouver son plaisir sans retenue morale ; sur le plan physique, elle commence à être pas mal.
Ce dimanche matin, je lui sers son petit déj au lit, puis la « chauffe » gentiment en la mettant à plat ventre et en la massant longuement, de la nuque aux pieds. Quand mes mains arrivent sur ses fesses, je la sens se bloquer, attendre que mes doigts aient fini leur exploration puis expirer doucement, visiblement bien. Un petit coup de doigts dans la chatte me confirme ses bonnes dispositions, un petit filet coule entre ses petites lèvres.
Je lui demande comment elle est et elle me répond « bien, cest bon, continue ! ».
« Tu as envie de quoi ? » lui demande-je en la retournant sur le dos et en lui caressant le ventre,
JO : « je ne sais pas, mais jai beaucoup envie de jouir, fais ce que tu vux »
Je continue alors de la caresser, partout, surtout sa chatte, désormais lisse comme un uf, jusquà ce quelle commence à se tortiller en gémissant
- JO : « cest bon, jaime ça, comme jaime ça
..oui
ouiiiiiii
..continue je viens
..ouiiiiiii je jouis, je jouis ».
-« jai envie de tattacher, quest- ce que tu en penses ? »
- Jo : « Oh oui, attaches moi, jai envie dêtre attachée, écartée, je veux avoir les seins bien serrés, la chatte bien ouverte et après jouir longtemps, longtemps ».
-« tu as envies dêtre immobilisée, sans défense, contrainte ? »
- Jo : « oui, je veux que tu fasses ce que tu veux, fais-moi mal, fais-moi jouir »
-« nas-tu pas plutôt envie dêtre soumise, davoir mal, parce que tu es maso et que tu noses te lavouer ? »
- Jo : « non, cest pas vrai, je veux juste jouir très fort »
Je lattache comme jen ai envie, dabord les seins ; je la fais sassoir au bord du lit et je lui bande les seins avec un lien en nylon tressé de façon à ce quils soient très serrés à la base et quils gonflent.
Je passe maintenant aux jambes et aux cuisses ; je ramène ses talons attachés ensemble vers ses fesses, genoux serrés, je fixe deux pinces larges (récupérées sur des cintres) sur chacune des grandes lèvres et jattache une ficelle de chaque pince au genou correspondant.
« ouvre-toi, écarte ! », elle écarte ses genoux et les pinces ouvrent sa chatte en écartant ses grandes lèvres comme on ouvrirait un livre. Le spectacle est des plus bandants, ses deux petites lèvres se lèvent semblant réclamer aussi leur dû tandis que le petit filet de mouille commence à couler vers ses fesses.
Je lui attache maintenant les poignets aux montants du lit, de façon à ce quelle ne puisse pas se toucher. Sa tête tournée sur le côté et ses yeux clos montrent bien quelle nassume pas encore son état ; pour la libérer, je lui mets un loup aveugle, ce qui aussitôt la fait changer de position, la « regard » tourné vers lavant, un léger rictus souriant orne sa bouche légèrement ouverte.
Je la doigte pendant quelques minutes pour la ramener en état de pré-jouissance, sur les nerfs.
« Tu es bien ? » lui demande-je
- Jo : « oui
.oh oui »
- « que veux-tu maintenant ? »
- Jo : « jaimerai jouir en ayant mal
..jaime bien, quand tu fais souffrir ma chatte »
Je vais dans le jardin et je ramasse une belle brassée dorties, jeunes, sans graines que je passe sous leau pour enlever les saletés et que jéponge au sopalin ; je récupère deux morceaux de fil de pêche au gros (tresse) dun mètre et deux élastiques et je retourne à mon ouvrage.
Je commence par attr une petite lèvre que je tire longuement et la faisant rouler dans mes doigts, ce qui fait gémir Jo, et surtout la fait gonfler. Quand la petite lèvre est prête, je lattache (avec un nud qui se défait quand on tire un des brins) le plus bas possible au ras de la caverne damour et je fixe lautre extrémité à un des élastiques, attaché aux chevilles et tendu, de cette façon, la petite lèvre est tirée en permanence
imaginez la sensation.
Jo râle maintenant en permanence et dodelinant lentement la tête.
« Comment te sens-tu maintenant ? »
- Jo : « bien, trop bien, je suis serrée, tirée, ouverte, et jai envie, envie
..stp branle-moi chéri stp
»
« Pas encore, tu dois aller plus loin dans la douleur !, daccord ? »
- Jo : « oui, oui si tu veux mais vite, jen peu plus dattendre »
« Cest normal, je veux que tu sois soumise volontaire
. »
Je récupère une partie de mes orties, les étale sur une serviette de toilette et demande à Jo de soulever ses reins pour que je mette une serviette pour protéger les draps ; Je glisse mon paquet sous ses fesses et lui appuie sur le ventre pour quelle ne puisse pas se relever. Jo hurle.
Je branle son clitoris jusquà ce quelle éclate en hurlant son bonheur
- Jo : « ouhhhhhhh, ouhhhhhhhhh je jouis, je jouiiiiiiiiiis mon dieu comme je jouis, encore, encooore »
Je continue de la caresser, lentement, en passant entre ses petites et grandes lèvres, sur son clito, sur ses seins, elle gémit maintenant sans discontinuer.
Sa chatte est grande ouverte, palpitante, on dirait un poisson qui cherche de lair, quand mon doigt tourne autour, on dirait quelle veut mordre. Je pense quelle est bien à point pour « passer à confesse ».
Je vais chercher un bel auxiliaire végétal qui attend sur lévier de la cuisine et le tube de gel chauffant si efficace sur les chattes ; je vais maintenant mettre Jo en transes de sexe.
Je lui applique une bonne couche de gel sur les lèvres et le clitoris, et je lui demande si elle est bien.
- Jo : « oh oui oui je suis trop bien, ma chatte est en feu, elle me fait mal de se contracter denvie, mais jai très soif, donne moi à boire, un ricard bien tassé »
Ça y est, je suis arrivé là ou je voulais, si Jo demande un ricard tassé, cest quelle a envie de sépancher sans retenue, elle mettra ses confessions sur le dos de lalcool
.
Je lui rapporte sa boisson dans une gourde de randonnée, équipée dun petit tuyau qui permet de boire en marchant, et une fois quelle a bu, je vérifie que tout mon matériel est sous ma main et je mallonge à ses côtés, jai mal de bander, mais patience.
Ses seins, maintenant un peu violacés tant ils sont serrés, sont durs comme de la pierre et ses tétons sont érigés comme des pointes. Je passe une poignée dorties sur chaque sein et mets deux petits suceurs sur les tétons ; le résultat est là, Jo se remet à couiner de plaisir.
Je la rebranle longuement, jusquà lorgasme. Sa chatte est maintenant gonflée denvie, comme les chiennes en chaleur ; je prends mon beau concombre et le présente à lentrée, mais sans lui faire passer le seuil, juste en appui.
Jo maintenant sanglote nerveusement, elle tremble et gémit, « que veux-tu ?» lui demande-je
- Jo : « jai envie, jai trop envie »
« De quoi tu as envie ? »
- Jo : « de jouir, dune grosse queue, dêtre remplie, que tu me caresses encore
. »
« Pourquoi je ferais ça ? »
- Jo : « parce cest ce que tu voulais, que je sois ta chose, que tu fasses ce que tu voulais avec moi »
« Daccord, mais tu vas me dire tout ce que tu mas caché de ta semaine ! »
- Jo : « oui, je te le jure je te dirai tout, mais caresse moi, par pitié, je deviens folle »
Je prends alors mon beau concombre chéri, pelé et suintant et je le force dans la chatte, un peu étroite pour lui, mais elle finit par céder dans un soupir de contentement, et je lattache aussi, pour quil ne puisse pas être éjecté.
Jo râle maintenant en continu, mes doigts sur son clitoris et ses seins la maintiennent en extase.
« Alors je técoute, quest-ce qui cest passé cette semaine, on ma dit des choses (ce qui nest pas vrai, mais..) »
- Jo : « cest pas ma faute, je te jure ; oh ouiiiiiiiiii caresse, caresse, ouiiiiiiiiii ; jai été violée, par J et L (deux amis), ils sont venus chercher la tondeuse et Je leur ai offert un café.
- « quest-ce quils tont donc fait, »
- Jo : « ils mont sucée, longtemps, sur la table de la salle a manger, ils mont e à les sucer tous les deux, puis ils mont baisées, tous les deux et même ensemble, J devant et L dans mon cul ; L est ensuite parti mais J est resté, il sest assis sur la chaise, toujours bandant et ma e à massoir sur lui, sa bite dans mon cul, cest là quon ta appelé au téléphone pour te demander ou était le mélange de la tondeuse. Il me tenait par les hanches et me faisait monter descendre sur sa queue pendant que je te parlais. »
- « et tout ça ta plût ? »
- Jo : « non, non, si, oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouis rien que dy repenser, branle, branle moi encore »
- « pourquoi ça ta plû ? »
- Jo délirante : « parce que cétait bon, que jaime ça, parce que je crois que je suis une salope, un pute, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhh comme cest bon, jaime ce que tu me fais , mais mon dieu cest pas bien de me forcer, oh ouiiiiiiii je jouis »
- « je pense que tu aimes beaucoup le sexe, mais tu es encore coincée tu ne crois pas ? »
- Jo : « je ne sais pas, je ne sais plus ou jen suis, je me sens comme une énorme boule de plaisir, jen veux encore plus, nimporte comment du moment que je jouisse »
Je commence par libérer les petites lèvres, violacées, Jo hurle de douleur ; puis je libère ses seins et ses poignets ; seules les grandes lèvres restent ouvertes par les pinces et le concombre attend sagement au fond de sa chatte distendue. Jo se masse les seins et les tétons, soupire de plaisir et se décontracte quelque peu.
Je lui ôte son loup et découvre des yeux mouillés de larmes, elle a pleuré, mais je ne sais pas si cest de honte ou de joie.
« Comment te sens-tu maintenant ? »
- Jo : « bien, je me sens soulagée, et jai bien jouis, merci mon chéri »
« Je nen ai pas fini avec toi, tu dois arriver à accepter tes penchants, sans restriction, maintenant tu vas participer à ton plaisir, te libérer et tu vas le faire voir à tout le monde »
- Jo : « quest-ce que tu veux que je fasse ? »
Je vais prendre mon caméscope, allume la lampe centrale et je me place à ses pieds.
« Maintenant tu vas te branler, te faire jouir avec tes doigts et le concombre, mais en même temps tu vas raconter tout ce qui te passe par la tête, vécu ou souhaité »
- Jo : « oh non, pas de film, stp
.. »
« Tais-toi, et branle toi, noublie pas que tu es une salope maintenant »
Jo commence à faire descendre ses mains sur sa chatte et bientôt ses doigts dansent sur son clitoris, elle a les yeux clos. Quand elle se remet à soupirer et onduler du bassin, je la rappelle à lordre
« Ouvre les yeux et regarde moi, prends la grosse queue avec ta main gauche et besogne toi, comme tu en as envie, et je veux que tu dises à ceux qui vont voir le film qui tu es, compris ! »
Jo ouvre les yeux, elle semble en transes, sa main gauche sactive lentement dans de grands mouvements profonds, elle ouvre la bouche et se met à parler dune voix rauque.
- Jo : « Je me branle, je suis en train de me branler devant vous, jaime ça ; je me branle souvent quand je suis seule en regardant les voisins par la fenêtre, jimagine quils viennent me regarder, je suis une salope et je ohhhhhhhhhh je jouis, regardez comme je jouis. Jaime être soumise et offerte, vous pouvez tous mavoir si vous voulez. J et L mont bien baisée cette semaine et je voudrais quils recommencent, mais plus fort et plus longtemps »
Jo a les yeux qui commencent à se révulser, elle a sorti sa langue de sa bouche et elle hurle des imprécations excitantes tandis que sa main gauche va de plus en plus vite.
- Jo : « salope ohhhhhhhhh je suis une salope, ouiiiiiiiiii je jouis ouiiiiiiiiiiiiiiii, baisez-moi, baisez-moi ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Léa, Léaaaa, Clotilde cest Jo, cest moi Jo fouettez-moi, fouettez-moi ahhhhhh »
Et elle sécroule terrassée par un orgasme dévastateur, ses jambes tremblent et sa chatte coule, le concombre, lui est mort, les contractions vaginales ont eu raison de sa résistance
Je laisse Jo reprendre ses esprits, la libère totalement, la met à genoux et je profite enfin de son corps en lenculant tout en lui caressant le clitoris, elle jouit, mais calmement en répétant comme une litanie
- Jo : « tu mencules, tu mencules, jaime ça, encule moi encore, encore
»
Une foi calmés tous les deux, je lui dis quelle a encore besoin dévoluer, ce à quoi elle répond en mettant sa tête dans mon cou
- Jo : «Tout ce que tu voudras, quand tu voudras mon amour »
Je ne dis rien, mais ses derniers cris dorgasme mindiquent bien quelle a encore des envies non assouvies, repoussée encore inconsciemment.
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