Leslie Se19
Leslie SE19 Seule, Delphine
Je suis toute excitée par mon départ en week-end, Laure est toujours en déplacement et étant seule à Paris, en ce mois daoût, jai programmé un séjour de trois jours dans la région champenoise.
Lors dun séjour en champagne pour un week-end de folie, avec Lilou, javais rencontré une de ses anciennes amantes, un petit bout de femme que javais trouvé fort à mon goût, et avec qui javais adoré faire lamour, Delphine.
Un soir, jai téléphoné à Benoît pour lui parler de mon désir de revoir Delphine et savoir sil pouvait marranger une entrevue.
La semaine suivante il ma rappelé pour me dire que tout était arrangé pour le week-end suivant et quil serait heureux de me revoir et mhéberger avec Delphine, sa douce étant au pays.
Il mexpliqua que Delphine serait chez lui dès le vendredi soir à diner et quelle était heureuse de me revoir, sachant que cétait pour une raison bien précise, celle de faire lamour et de dormir ensemble chez lui, avant de passer le samedi entre filles.
Suite à nos aventures, lors de nos conversations téléphoniques, Benoît ne mavait jamais caché son désir de me revoir et de revivre des moments charnels avec moi, et loccasion était trop belle pour quil la laisse passer et faire un petit trio avec son ancienne amante et moi.
Nous nous sommes donnés rendez-vous en gare dEpernay le vendredi en fin daprès-midi, il viendra me chercher et nous irons chez lui où Delphine viendra nous rejoindre pour le diner du soir.
Sachant que jallais rejoindre Benoît, jai choisis une petite jupe très courte, coupée largement au-dessus des genoux et un chemisier léger, très transparent, sans soutien-gorge afin de laisser discrètement deviner ma poitrine nue, et aux pieds des escarpins à hauts talons.
Louverture de mon chemisier, laissé volontairement ouvert sur ma poitrine nue, laisse deviner ma poitrine sans pour autant rien dévoiler, sauf au-travers de létoffe transparente.
Un spencer vient compléter le tout, me faisant leffet dune fille en mal de sexe qui va rejoindre un amant fabuleux.
Arrivée en gare dEpernay, Benoît mattendait et nous voilà partis pour sa demeure, il est dix-huit heures et nous voilà en route. Nous arriverons dans quarante minutes pour lapéro.
Le trajet est agréable et je sens le regard de Benoît sur mes cuisses qui du fait de létroitesse de ma jupe et son côté effrontément court, découvre mes cuises qui son, je le sais tout à fait à son goût.
Je men suis rendu compte dès que je suis montée dans sa voiture, et après tout je ny vois pas de mal, même si son regard me rend toute chose. Il essaye de deviner ma poitrine sous mon corsage, mon ventre et mes cuisses dénudées, et cela me trouble.
Je vois une grosse bosse dans son pantalon, il est dans tous ses états mon pauvre chéri.
Je ferme les yeux un instant et mon esprit se met à vagabonder en repensant à certaines scènes de films ou certains de mes amants avec qui jai eu des relations et certains étaient particulièrement doués. Parfois même pervers et vicieux et javoue y avoir pris goût. Leur perversité, leur langage cru, leurs mots, leurs insultes mettaient le feu en moi.
Je mets un long moment à me calmer car des milliers dimages toutes plus salaces les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens mon sexe durcir, jai envie de me caresser.
En pleine campagne Benoît pose sa main sur mon épaule en me disant :
Nous allons nous arrêter, jai des désirs pour toi !
Bonne idée. Jai aussi très envie aussi.
Oui je me doute, ça fait longtemps que je te désire, dès que tu es descendue du train.
Il sarrête dans un petit chemin et je sors de la voiture. Je métire les bras en lair faisant ainsi relever et bien saillir ma poitrine. Benoît me regarde et a visiblement du mal à contenir son érection.
La situation mamuse, je suis fière de faire bander Benoît et de me dire que nous allons prendre du plaisir en raz campagne.
Il a fait le tour de la voiture et est maintenant près de moi, il me prend dans ses bras et nous échangeons un baiser profond pendant lequel il en profite pour me caresser les fesses.
Je nen peux plus et maccroupie devant lui, jouvre son pantalon et son sexe jaillit dressé à mes yeux, Benoît na pas de slip et est prêt à se faire sucer.
Je lembouche et lui taille une pipe denfer à laquelle il ne résiste pas et se met à bander comme un forcené en un rien de temps. Puis il me retourne et mallonge sur le capot, retrousse ma petite jupe et après avoir écarté le string qui me protégeait senfonce en moi dun coup de reins.
Je me fait enculer sur le bord de la route dans la campagne champenoise et jy prends du plaisir, peu de temps après je le sens se répandre en moi en poussant des cris de plaisir.
Nous nous rajustons rapidement et continuons notre trajet vers sa maison
La maison est telle que ce que javais dans ma mémoire.
Rapidement nous vidons la voiture et il me donne la chambre à côté de la sienne, celle de lautre côté étant réservé à Delphine, mais cest surement dans la sienne que nous passerons a nuit.
Pour linstant je nai quune idée en tête, celle de prendre une douche, pour me laver le cul souillé du sperme de Benoît, me branler pour jouir et me faire belle pour larrivée de Delphine.
Il me dit quaprès le dîner nous pourrons aller en club et quand attendant Delphine je peux me préparer.
Jentre dans la salle de bain et me déshabille. Dans la douche, dont le verre est totalement transparent, je fais couler leau. Hum leau tiède sur ma peau me redonne vraiment un coup de fouet. Je passe la pomme de douche sur mes seins qui réagissent au quart de tour, les images, à nouveau, se bousculent dans ma tête, mon Dieu jai tellement envie de jouir, je passe entre mes fesses et arrose mon petit trou damour, je me sens défaillir au moment même où leau frappe mon anus, je ferme les yeux et prends mon sexe en main et très vite, je sens que ça vient, je vais jouir, ma respiration saffole, jai les tétons tendus à men faire mal, cest irrémédiable, je vais exploser là, maintenant.
Mes jambes menacent de céder sous la pression de mon orgasme, il ma fallu toute la force de mon corps pour ne pas hurler. Mon Dieu que cest bon !
Je mets un moment à reprendre mes esprits mais je ne suis pas calmée pour autant. Je mengouffre dans ma robe de chambre et file dans la chambre pour me préparer.
Jopte pour une autre petite jupe courte et un autre petit chemisier. Effectivement je me regarde dans la glace elle arrive mi-cuisse, voire un peu au-dessus, jenfile un string blanc en dentelle transparent, et reste la poitrine nue pour la laisser se balancer naturellement.
Le chemisier ne se ferme pas trop haut ce qui permet de laisser un joli décolleté et une vue imprenable sur ma poitrine nue si je me penche un peu plus que ce qui est raisonnable. Le tout est correct si on ne fait pas dacrobatie et si je massoie normalement. Je finis avec la paire descarpins du trajet.
En sortant de la chambre, Benoît me félicite sur mon choix et me dit que je suis ravissante, je le remercie en rougissant un peu.
Peu de temps Delphine arrive
A suivre
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