Trixie Chap 8 - Le Vigile
J'entrais au super marché, en passant dans le hall je m'aperçus que comme d'habitude le vigile m'emboîtait le pas. C'était un grand noir mince, mais apparemment musclé. Tout à fait mon type, dans le genre de mon acteur porno préféré Mandingo. Il avait comme lui la tête rasée. Il était d'un noir brillant.
Il me suivait discrètement, et m'observait, j'avais souvent lu une lueur de désir dans ses yeux, lorsque je le croisais.
Aussi, lorsque je le sentais derrière moi, au coin d'une allée, je me penchais en avant pour faire remonter ma jupe sur le derrière de mes cuisses et lui montrer ainsi que je portais des bas retenus par un porte-jarretelle. Si par hasard il se trouvait en face de moi au rayon légumes, je me penchais largement en avant, pour faire mon choix, faisant bailler le devant de ma robe pour qu'il puisse apercevoir mes deux seins, pigeonnant hors de mon soutien gorge seins nus noir. Parfois lorsqu'il n'y avait personne dans une allée et qu'il faisait semblant de déambuler pour surveiller, je m' accroupissais en face de lui, pour prendre des articles sur le rayon du bas, et écartait doucement les jambes, pour lui permettre d'avoir une vue plongeante sur mon string. Je l'avais même fait une fois, alors que j'avais sciemment quitté ma culotte aux toilettes du magasin, ce jour là j'étais restée les jambes écartées un peu plus longtemps. Il m'avait semblé que sous son pantalon son sexe avait grossi.
Aujourd'hui j'avais du temps devant moi. Une idée germa dans mon esprit. Je fis entièrement mes courses, il me suivait l'air de faire son boulot. Je portais une veste légère, et dessous un débardeur qui se nouait sur mes épaules par deux bandes de tissu assez larges, sous lesquelles passaient les bretelles de mon soutien gorge noir seins-nus. Mes mamelons étaient légèrement en érection, suite à la pensée de mon futur stratagème, et pointaient légèrement sous le mince tissu du débardeur.
J'avais une jupe assez courte, des bas noirs retenus par un porte-jarretelle en dentelle, noir lui aussi, j'adorais la couleur noire pour ma lingerie et cela va sans dire les noirs, qui en général étaient très bien montés.
Je me dirigeais vers le rayon des DVD, le vigile n'était pas loin. J'en regardais plusieurs, puis lorsque je vis du coin de l'il qu'il me regardait, je fis semblant d'en dissimuler un sous mes vêtements.
Il tomba dans le panneau, voyant de ce fait une occasion de me prendre à part. Il n'y avait personne dans cette allée, il s'approcha rapidement de moi, me prit un poignet sorti des menottes et l'attacha au caddy. Il me dit que c' était pour ne pas que je m'esquive et que j'allais le suivre gentiment jusqu'à son bureau, il marcherait juste à côté de moi pour que les gens ne voient pas que j'étais attachée.
On arriva, sans que personne ne s' aperçoive de quoi que ce soit, devant la porte du bureau.
Il ôta les menottes du chariot et me fit entrer. Il ferma la porte à clef. La pièce ne comportait pas de fenêtre, elle était assez grande. Au fond il y avait un lavabo, un micro onde et une plaque à cuisson, une table et une chaise. Deux casiers prolongés par une sorte de portique, sous lequel deux vestes en cuir étaient suspendues sur une barre métallique, partageait la pièce. Dans la partie ou on se trouvait le mobilier se composait d'un bureau à tiroir, dont le dessus était vide, d'un fauteuil, d'un banc et d'un petit placard de rangement.
Il me dit, alors que j'avais toujours les menottes à mon poignet de bien vouloir quitter ma veste pour qu'il la fouille. J'obéis. Une fois la veste quittée, il attrapa les menottes, poussa les vestes dans un coin près des casiers et attacha mon poignet à la barre. Il ouvrit un tiroir du bureau, sorti une seconde paire de menottes et attacha mon autre poignet, j'avais ainsi les deux bras levés ce qui m'obligeait à sortir la poitrine. Et comme ce petit jeu commençait à m'exciter et à réussir au-delà de mes espérances, mes mamelons pointaient ardemment sous le mince tissu de mon débardeur qui me moulait.
Le grand vigile noir fouilla ma veste, il me dit qu'il allait être obligé de continuer la fouille puisqu'il n'avait rien trouvé, en disant cela il fixait avec un petit sourire mes seins.
Ma chatte commençait à devenir humide. Il s'approcha, saisi un bout de la bretelle du débardeur sur mon épaule gauche et tira dessus lentement, le nud se défit, mon souffle s'accéléra. Il fit subir au nud droit le même sort, il ne se pressait pas. Les deux bretelles pendaient sur ma poitrine. Il en attrapa une dans chaque main et commença à les tirer lentement vers le bas. Je sentis que mon foutre se mettait à couler de ma chatte, une boule se nouait dans mon ventre. Mes mamelons durcirent, ils pointaient maintenant d'au moins deux centimètres et demi à travers mon tee-shirt. Le bord du tissu de mon débardeur descendait lentement sur mes seins, il arrivait maintenant à mes mamelon tendus. La caresse du tissu lorsqu'il passa sur eux, m'arracha un gémissement de plaisir. Ils jaillirent comme deux petits dards. Le noir s'arrêta un instant pour jouir du spectacle, puis continua à quitter le débardeur. Il me complimenta sur mon soutien gorge, en me disant qu'il allait vérifier si il n'y avait rien dedans. Je tendis ma poitrine en avant. Le noir passa lentement ses mains dans les demis bonnets, je frémis d'extase. Il me fit des louanges sur la longueur de mes mamelons, en me disant qu'il adorait cela. Il me demanda s'ils pouvaient devenir encore plus long, puis il me dit qu'il allait vérifier. Il me saisit les deux tétons entre le pouce et l'index et se mit à les faire rouler entre ses doigts, avec ses ongles il les pinça d'abord doucement, puis en accentuant la pression, je ne pouvais retenir des gémissements de plaisir. Il m'indiqua qu'effectivement ils avaient encore gagné en longueur. Il m' avoua qu'il adorait ce genre de tétons chez une femme et que j'étais super. Sa bouche se plaqua sur une aréole couverte de chair de poule et il aspira goulument, je voyais les grosses lèvres noires sucer mon nichon cela décupla mon excitation.
Il continua un moment à la fin j'avais les mamelons complètement endoloris par le plaisir. Mais j'adorais ça. Sa grosse langue rose me les léchait doucement.
Il fini de me quitter par le bas le débardeur. Il me signifia que puisque je n'avais rien caché sur le haut de mon corps il allait regarder le bas. Il passa derrière moi pour défaire la fermeture éclair de ma jupe, il la tira vers le bas et l'ôta complètement. Il m'admira, il me dit que ses jambes étaient merveilleusement affinées pas mes bas, et que ma chatte bien épilée encadrée par mon porte-jarretelle ferait éjaculer un âne. Il me caressa le corps de haut en bas. Je haletais sous les grandes mains noires qui parcouraient mon corps.
Il revint devant, Je regardais l'énorme bosse qui déformait son pantalon, elle descendait plus bas que la moitié de sa cuisse. Il suivit mon regard, et me dit qu'effectivement je lui faisais de l'effet.
Mais il fallait qu'il continue sa fouille, et il se mit à rire.
Il déboutonna son pantalon, il ne portait pas de slip, son phallus libéré s'érigea. Il était gros mais pas autant que celui du noir qui m'avait baisée chez moi.
Il me demanda si sa queue noire me convenait. J'acquiesçais. Mon string était trempé. Mon foutre coulait le long de mes cuisses. Il me dit qu'il n'y avait plus qu'un endroit ou il n'avait pas fouillé, et il approcha la main de mon string qui était tout humide. Je tendis le bassin en avant. Il passa la main à l'intérieur, le baissa sur mes cuisses, le descendit sur mes chevilles et me l'ôta. Il insinua son index et son majeur dans la fente trempée, souri et porta ses doigts à la bouche, il les suça avec délice. Il me fit remarquer que ma chatte était vraiment trempée et qu'il devait lui aussi, me faire autant d'effet que ce que lui faisait. Je lui souris, il m'insinua de nouveau ses deux doigts dans le vagin, puis il y adjoignit l'annulaire et le petit doigt.
Mais il cessa, voyant que j'appréciais ce qu'il me faisait subir, me détacha les poignets. Il se coucha sur le banc les jambes pendantes, me demanda si maintenant je voulais bien le sucer. Je me mis à genoux entre ses cuisses noires, Je promenais ma langue en partant d'un genou et remontais doucement le long de la jambe noire. Je lui soulevais sa bite, ma langue arriva aux couilles, je les léchais tendrement. Puis ma langue remonta le long du gros tuyaux noir, je le regardais dans les yeux. Il avait vraiment l'air d'aimer.
J'arrivais au gland rose sorti du prépuce, doucement je l'enserrais de mes lèvres et commençais à l'aspirer dans ma bouche.
Il me prit la tête, et essaya d'un coup de rein de faire pénétrer sa bite plus profondément dans ma bouche. Je résistais, pour l'instant c'était moi qui menais le jeu. Comme pour le punir je lui mordillais le gland rose, puis je crachais sur la grosse queue noire et commençais à la masturber d'abord doucement puis de plus en plus vite. Il commença à gémir, de mon autre main je lui caressais les testicules. Il m' enleva le soutien gorge. Jugeant que la bite ne pourrait plus grossir, je commençais à l'engloutir dans ma bouche, il donna des coups de reins pour l'enfoncer au plus profond. Je m'appliquais à engloutir cet énorme rouleau noir, mes lèvres arrivèrent bientôt aux poils pubiens frisés du noir. Il était au bord de l'éjaculation...mais il ne m'avait pas encore baisée. J'arrêtais de le sucer, frottais mes seins contre les cuisses du noir, et je lui mis la queue entre mes seins, je le masturbais ainsi quelques instants, puis je frottais la pointe d'un de mes mamelons sur le gland, j'essayais de l'insérer dans la fente du méat du sexe tendu. J'adorais frotter ma peau blanche contre celle des noirs, le contraste m'excitait beaucoup.
Je me mis debout, enjambais le banc, me positionnais au dessus de la grosse bite noire en érection maximale. Je la saisis d'une main pour la faire tenir bien droite l'introduisis dans ma chatte trempée, et descendis d'un seul coup mon bassin. Ma chatte, qui laissait couler à flot mon foutre et qui avait connu des pénétrations de bites plus grosses, avala sans aucune difficulté celle du noir qui se trouvait sous moi.
Mes fesses appuyèrent sur les cuisses noires lisses et brillantes. Je posais mes deux mains sur son torse et commençais avec mon bassin des mouvements circulaires, puis d'avant en arrière, pour bien sentir la grosse queue au fond de mes entrailles. Je haletais, lui grognait. Je me levais et me rassis rapidement sur son pénis, et ce jusqu'à ce que je sente les premières contractions de mes parois vaginale, j'allais jouir. Mon foutre coulait le long de la grosse queue noire. Les contractions de ma vulve enserrèrent la bite du noir qui lui aussi ne put retenir plus longtemps son éjaculation. Je lui criais d'éjaculer son sperme de noir au plus profond de ma chatte, il m'attrapa fermement aux hanches et m'enfonça le plus possible sur son pieu noir. Je sentis le sperme chaud m' éclabousser le fond du vagin. La jouissance me fit m'arcbouter sur le banc.
L'étourdissement passé, je me relevais, me remit à genoux et léchais la bite noire, pleine de sperme et de mon foutre, à chaque coups de langue le noir gémissait, il me dit qu'on ne lui avait encore jamais fait ça, que c'était la meilleure baise qu'il ait connu.
On se rhabilla, je lui donnais un rapide baiser, il ouvrit la porte, je repris mon chariot et regagnais ma voiture. Je n'avais pas remis son string trempé, je sentais le sperme couler entre mes jambes. Installée dans ma voiture, je regardais si personne ne me voyait, je relevais ma jupe, entrais deux doigts dans ma chatte, une fois qu'ils furent couverts de sperme du grand vigile noir, je les portais à ma bouche, et les léchais avec délice.
A suivre...
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