Travaux De Peinture 4 (Fin)
En enfonçant ses 2 doigts dans mon intimité, Georges sent ma douleur du cul : mon fion serré ne sest jamais fait prendre et jai beau essayer de me détendre, à cet instant mon cul reste fermé échauffé et endolori malgré les gestes doux de ce mec expérimenté ; Je râle, en fait, jai peu mal. Du coup, il ne force pas la nature, ses doigts abandonnent ma raie mouillée de sueur, pour saisir plus haut un autre appareil. Dans le creux de sa paume, il serre fort mes couilles poilues tout en pinçant un peu, la bosse de ma prostate. La proximité de la main de Georges ne gêne pas Chantal, qui continue cependant sa douce fellation, jai le sexe tendu, trop tendu pour que cela puisse durer encore longtemps. Les signes avant-coureur de lexplosion finale se font ressentir dans mon bas ventre, la jouissance en fait est déjà là même si je néjacule pas encore ; Tous se passe dans mon cerveau, tout est cérébral, et le volcan du plaisir et ses spasmes crachent en permanence dans ma tête, me faisant perdre parfois la réalité étant presque au bord de lévanouissement. Lorsque je manque déjaculer, alors ce couple infernal arrête mon excitation et chacun reprend son souffle et laisse tomber la pression. Pour marquer une pause et pour changer de scenario afin que je participe aussi, Georges, le bras tendu, et sans lâcher mon appareil se replace au-dessus de moi, à califourchon, les couilles posées sur mon front.
Jai compris
A moi dentrer en action, de pencher la tête en arrière et de saisir de ma main libre, sa queue tendue pour lenfourner en bouche. Face à lui, Chantal sest relevé et sest assise sur mon ventre ; Sa chatte est en feu, et bien que toute mouillé, cest lincendie entre ses cuisses, afin de léteindre, elle na quune seule solution , cest de saisir mon bâton gros, glissant et charnu et le garder en main pour se lenfourner bien profond avant dentamer une danse de St Guy effrénée et nerveuse, au même rythme que les vas et viens de son mari qui me viole la bouche et me pénètre loin dans la gorge.
Les draps sont en désordre et ont glissé au sol ; Lété est torride en ce mois daoût 1984, la chaleur du soleil et la chaleur humaine bien dégagées par nos 3 corps transforme la chambre en sauna, nous mettant, du coup, en eau
Jaime cela, mais avec eux jen suis sûr, même si nous avions fait lamour dans un igloo au milieu du pôle Nord, tout cela aurait été aussi torride, sans la chaleur de lété, simplement par nos tendresses mêlées
Tous les deux sont face à face et me chevauchent dorénavant, je suis là, après tout pour la dernière fois, alors je suis pour eux, à eux et donc, quils fassent de moi, leur objet de plaisir. Lun et lautre se penchent en avant pour se rouler des pelles bien baveuses, avec toute la force de leurs lèvres, de leurs gestes tendres et de leurs mots, tantôt gentils, tantôt vulgaires et hard. Lui, a sa queue fichée dans ma bouche, elle a mon sexe dans sa main, bien décalotté et la planté dans sa chatte, au plus profond delle-même. Un moment encore, quand le plaisir monte, si lun stoppe son mouvement, les autres sarrêtent aussi, histoire, encore une fois (de trop ?) de se retenir. Et puis nous reprenons nos saccades de fous, toujours plus intensément.
Chantal, coulisse de plus en plus sur ma bite cest comme un ascenseur endiablé, elle monte et elle descend tout au long de ma verge, à ses cris rauques et étouffés par les pelles de Georges jentends et je sens bien quelle jouit, ou en tout cas que cela ne tardera pas. Elle dégouline littéralement et jai les cuisses trempées par sa mouille, Georges sactive dans ma bouche et son gland, de belle taille, gonflé et raide de son sang, heurte ma gorge profonde, il se sert de moi comme dun sexe imaginaire. Cest de plus en plus rapide et le rythme quils mimposent tous les 2 font que je sens aussi venir le jus. Georges ne peut plus se retenir, alors je ne me retiens plus et largue mon foutre tout au fond delle ; Et nous jouissons tous les 3 en même temps. Jéjacule dans le sexe de Chantal, il éjacule dans ma gorge et elle, prend son pied, elle bascule la tête en arrière et crie du bonheur du juste.
Jobéis cependant à leur demande, de ne rien dire, de garder le silence et ne rien faire, sauf à les laisser me guider bien sagement, alors je serre les draps fort dans mes mains, je me pince aussi et puis je serre les dents, pour ne pas hurler, moi aussi, mon plaisir. Les yeux fermés je savoure linstant, alors doucement ils reprennent leurs place initiales : Georges à mon côté gauche et Chantal à ma droite, tous les 2 bien collés à moi, aligné en rang doignons comme en début de matinée nous étions, comme des s bien sages, mais qui se touchent déjà sous les draps, un peu coquins, un peu salaces...
Après lamour nous devrions être sereins, apaisés et tranquilles, pourtant, je nous sens encore chauds-bouillants. Nous venons à peine de terminer, tout au plus depuis seulement 5 ou 10 minutes, que la montée du désir au sein de notre chaud et sympathique trio est déjà présente : La 3ème salve ne peut attendre...Il faut baiser et copuler encore et encore, jusquà nos limites physiques.
Pourquoi rester sur une fausse note ? Les doigts de Georges sétaient arrêtés à la frontière de mon cul, javais mal tout à lheure ; Alors pourquoi ne pas reprendre là où nous en étions restés et quenfin mes patrons minitient aux bienfaits de lenculage ? Allongés sur le côté, dans ce lit un peu mou, ce nétait pas ment le pied pour bien sy prendre ce matin ; Alors, pour si jose dire tirer un nouvel essai, Chantal se place au milieu du lit, à ma place, sur le dos et Georges me fout à quatre pattes au-dessus de sa femme. Jai tout le loisir, à genoux et posé sur les avant-bras, le derche offert, de profiter de son corps et de sa bouche, pendant que lui profitera de mes fesses et mon trou à loisir. Cette fois, je suis plus détendu, offert dailleurs, non plus à ses doigts, mais à un petit gode vibrant quil vient de saisir dans la table de nuit et denduire de gel odorant. Doucement, et bien que lobjet soit plus gros, mais aussi plus lisse que des doigts rugueux de jardinier, le gode dilate doucement mon fion serré.
Tout occupé à exciter la patronne, je nai pas senti que le patron à dorénavant enfoncé le gode dans mon cul ouvert et accueillant, lobjet de 15 centimètres est toujours à larrêt provoquant une pression denfer sur ma prostate. Georges, le coulisse doucement, sans brusquer mon anus et pour ne plus me faire de mal
Alors je dis : -Fous le en marche ! Fais le vibrer, je veux cracher mon jus encore une fois !
Il na plus quà presser le bouton, les mouvements davant en arrière de lengin, couplés aux vibrations rapides mentrainent vite vers le plaisir que je sens à nouveau monter, alors Georges me le propose et, se penchant sur moi, me gueule dans les oreilles : Cest ma bite , ma grosse queue que tu veux dans ton cul ? Dis-moi ptit père, cest ma gaule que jenfile ?
- Oui Georges je réponds - enfonces la moi ! Maintenant, et largues, pour que je largue aussi sur ta putain.
Prestement, il défait le gode, et cest sublime dans ma prostate, quand il retire lobjet encore vibrant de mon cul serré. Profitant de louverture déjà faite, il na plus quà présenter son gland chaud à lentrée, puis dune poussée infinie et rapide, enfoncer son gourdin à nouveau raide et gros. Un, deux, trois aller-retour, il en faut peu pour quil se répande au fond de moi, sa décharge, provoque la mienne, et bien quayant jouis peu de temps auparavant, 3 4 jets rapides et saccadés séjectent de ma queue et arrosent le ventre et les gros nibards de Chantal, qui excitée, sassoit vite dans le pieux, se colle à moi et me suce la bite pour récupérer le dernier jet et couronner en beauté cette prise de pied extraordinaire.
Et puis, il est lheure de se lever, tranquillement, et de rejoindre dans le jardin, Patô le chien, et puis aussi la chaleur du soleil de ce beau mois daoût 1984. Il fait très chaud, nous sourions, contentés, mon couple de patrons moffre le café-croissants, me paye pour le travail accompli, un peu plus généreusement dailleurs, et puis nous discutons de choses et dautres
Des banalités de la vie, de mes projets de vacances, notre voyage de noce, avec ma jeune épouse, alors quà 22 ans, je suis marié depuis peu
Dans un coin isolé du jardin, il y a un tuyau darrosage qui sert de douche improvisée, je me fout à poil, devant eux souriant et béats, et me rince sous leau fraîche apaisante. Je suis heureux, eux aussi, il est temps de se quitter, je ne les reverrai plus.
Presque 30 ans se sont écoulés, ils sont morts aujourdhui. Il y a quelques années, jai appris quils ont quitté ce monde assez âgés mais sans souffrance, lui le premier et elle très peu de temps après
Ah oui, ces deux-là mont vraiment appris lamour pendant ces 2 semaines, comment pourrai-je les oublier ? Rarement, mais parfois quand je passe en vélo devant cette maison vide aux volets maintenant écaillés et au jardin aux herbes folles, je pense à eux ; Alors je vais leur rendre une petite visite au cimetière du village. Et devant leur tombe, je les salue bien en me touchant un peu la bite au travers du shorty tout en songeant à nos tendres moments. Je sais quil y en a dautres comme eux, et puis jai pris le relai de mes initiateurs. Aimer et être aimé, donner de la jouissance et comme ils me lont appris, en recevoir
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!