Par Intérets

Voilà, enfin l’homme de mes rêves.
Il est assez mignon, grand, fort semble-t-il. Son principal atout est son portefeuille. Je sais de bonne source qu’il est riche, encore plus que je le crois. Ses sous, voilà ce qui m’attire. Mon plan est au point. Je vais le séduire, me faire l’amour, me faire épouser, le crever de baises prolongées, à son âge c’est facile. J’hériterais de tout après.
Je sais je suis ainsi une salope de première. J’ai une excuse, j’ai toujours vécu dans la médiocrité. J’ai pu le rencontrer un soir assez tard. Je me suis montrée attirant au point qu’il m’a invité à finir la soirée dans un bar, chic pour moi. Pourtant c’est bien lui qui m’a cherché et trouvé. J’étais chatte avec lui, surtout quand il a voulu m’embrasser. Je le voulais pour aller au bout de mes intentions, c’était ma proie à moi. Je l’ai laissé me désirer quelques jours. Je me suis livrée parce que j’avais besoin d’une queue.
Il était bien contre mon corps. Il m’a fait enlever ce que je portais. Sans trop de tralala il est venu en moi. Je sentais son sexe dur entrer dans la chatte. Il me faisait mouiller le plus possible. Il glissait facilement en moi. Le plus terrible est que j’ai eu deux orgasmes simultanés, chose rare chez moi. Il débandait rapidement.
Mon plan se mettait au point. Je devenais indispensable pour lui. Lorsque nous nous retrouvions je m’arrangeais pour ne pas baiser : je le branlais. J’aimais assez branler des bites. Le pouvoir de ma main m’étonnais et m’étonne encore : en quelques mouvements de va-et-vient je fais cracher le sperme en trop d’une bite : la sienne était comme celles des autres : la semence part du méat.
Il m’a demandé un jour de devenir sa femme. J’ai finassé un peu au début avant de dire oui. Je passe sur les interdits de sa famille.
Le soir de la nuit de noce, je ne pouvais pas mettre mon projet au point. J’ai un excellent souvenir de notre première nuit. Pendant que je me mettais nue dans le lit, il allait en faire autant dans la salle de bain.

Il en sortait avec une queue plus que raide. Je ne regardais plus que la bite. Je me sentais couler entre les cuisses. Quand il était tout près il a découvert les draps d’un seul coup. Je pensais qu’il allait venir sur moi. J’écartais presque les jambes pour lui permettre de me baiser.
Il est bien venu se coucher, mais en bas de mes jambes, sa tête pas loin de la chatte. Sa langue venait lécher l’entre cuisses. Il levait mes cuisses pour les passer sur ses épaules. Je sentais quand il approchait de mon intimité, je n’en avais pas honte. Et puis la bouche est venue me manger. Je la sentais me brouter. S’il avait sorti ses dents, il m’aurait dévoré totalement Sa langue a effleurée le clitoris, j’en avais la chair de poule partout. Je savais qu’il devait bander, pourtant je n’avais pas envie de sa queue. Il aspirait le bouton, le léchait dans sa bouche. Il le recrachait avec de le reprendre dans ses lèvres. Je ne pouvais tenir longtemps : je jouissais.
Pour lui s’était insuffisant, il continuait avec sa langue qui décidément remplaçait sa pine : il l’a enfoncé dans le vagin profondément. En la levant à peine, il arrivait sur le fameux point « g » Il la sortait avec de l’entrer à nouveau et de recommencer. Je me tendais le plus possible pour ne pas jouir encore, vainement. Il descendait sa langue vers le petit trou. En s’arrêtant juste avant me donnant une envie folle qu’il aille là bas sur le cul. Il a fait durer la plaisanterie longtemps. Je jouissais encore quand il a entré sa langue dans le cul.
J’avais jouis je ne sais plus combien de fois et lui restait encore à jeun. Il est venu se coucher à mes cotés. Je pouvais enfin lui prendre la queue dans ma main. Il était dur au possible. Quand il m’a demandé de le sucer, je n’ai pas su refuser. J’ai pris la queue dans une main, je l’ai approché de la bouche. Elle avait une odeur désagréable de savonnette. La langue a touché le haut du gland, le méat. J’essayé d’entrer. Puis j’ai fait glisser ma langue sur le gland.
Il était doux. J’ai bien ouvert les lèvres mouillées, j’ai enfourné doucement la queue dans la bouche. Je tenais tout l’homme dans ma bouche, il me semblait tenir le monde entier. J’ai doucement pris la bite dans la bouche. Ma langue léchait sa colonne. Je montais la bouche, redescendais et recommençais. Il allait jouir. J’étais surexcitée. Je voulais aussi sa langue sur moi.
Alors je me suis tournée, mise en 69. En l’enjambant j’espérais jouir plus fort. J’avais les cuisses ouvertes sur sa bouche, je sentais ses mains prendre mes jambes. Sa tête était presque à l’étroit dans mon étau. Je sentais ses oreilles. Il m’a léché tendrement le sexe. Je n’attendais que ça pour jouir encore et encore. La chose la meilleure arrivait : j’avais un orgasme fou en recevant en plus sa décharge chaude dans le fond de ma bouche.
Le plus extraordinaire est que contrairement aux autres fois, il ne débandait pas. J’allais lui faire encore une fellation quand il est venu sur moi. Cette fois je n’allais pas lui échapper. Il écartait mes jambes que je posais sur les siennes. Il prenait sa queue dans sa main, la dirigeais vers mon con. Je la sentais commencer à fouiller. Il entrait doucement dans mes lèvres puis d’un seul coup au fond de ma faille. Je venais de jouir, je recommençais encore. Il restait toujours dur. Je l’ai fait sortir de ma chatte. Je le voulais juste à coté. J’étais ignorante de la sodomie, sinon quelques vagues essais infructueux.
Il devait se douter de mon inexpérience. Il m’a fait mettre en levrette, les jambes un peu écartée dans une position reposante pour moi. Un a mis deux doigts sur le clitoris : il m’a branlé puis dès jouissance nouvelle il est venu juste derrière moi. Je sentais son corps contre mes fesses. Je sentais surtout sa bite venir dans la raie. J’attendais une ruade sur l’anus. Il était doux au possible. Bien sur j’ai eu un peu mal, à peine pour être franche, quand il est entré lentement puis ensuite, une parie de plaisir, pour moi d’abord et lui ensuite.
Je sentais son tuyau envahir mes intestins. L’impression d’éclater quand je sentais un orgasme indicible, un autre quand je sentais ses spasmes dans mon anus.
Il m’a baisée presque toutes les nuits, sauf quand je ne pouvais pas physiologiquement : je le branlais alors.
Depuis mon intention première est oubli

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