Leslie Se20

Leslie SE20 – Seule, Delphine, suite

Delphine vient d’arriver, elle est resplendissante, encore plus belle que dans mon souvenir pas si lointain, mais la vision de ce petit bout de femme me laisse sans voix.
Elle est entrée, elle portait un petit spencer en cuir noir ouvert sur un chemisier rouge transparent sur sa poitrine menue sans soutien-gorge, laissant entrevoir les aréoles roses de ses seins, et une petite mini noire, si courte que ses cuisses étaient à peine recouverte par le tissu.
Cette petite femme aux attaches fines, au visage remplit de candeur encadrer d’une coiffure courte d’une jolie couleur rousse, me fait un effet monstre, et lorsqu’elle me regarda de ses grands yeux marrons, j’ai faillis m’évanouir.
Après avoir dit bonjour à Benoît, elle s’approcha de moi et me déposa un baiser sur les lèvres en disant :
- Ohhh, Leslie je suis si heureuse de te revoir !
- Et moi donc, dis-je dans un souffle.
- Tu es très en beauté ma chérie.
- Tu n’as rien à m’envier, dis-je.
Nous nous installons au salon et Benoît part chercher les apéritifs.

Delphine en s’asseyant, en face de moi me laisse entrevoir, compte tenu de sa jupe très courte mais peut-être aussi en le faisant exprès, me dévoile son string rouge qui ne cache à peine sa petite fente à la toison taillée, je sens l’adrénaline monter en moi.
Benoît en revenant avec les apéritifs, nous annonce le programme :
- Ce soir, après l’apéro, barbecue et sortie en boîte, ça vous tente ?
- En boite ? Ça fait bien longtemps que je ne suis pas allé danser, déclare Delphine.
- Eh bien, c’est l’occasion de te rattr, répond Benoît.
- Oui, tu as raison, il, faut en profiter.
- Moi je suis d’accord, dis-je.
- Et demain, nous ferons une journée entre fille, ajoute Delphine.
- Bonne idée, dis-je, et tu t’occuperas bien de moi.
- Ce sera un plaisir ma chérie, dis Delphine les yeux brillants.

- Et moi, je serais seul, rétorque Benoît ?
- Nous verrons, finit par dire Delphine, si tu es sage tu auras peut-être une surprise.
Je souris en rougissant, imaginant déjà comment j’aimerais qu’elle s’occupe de moi.

La soirée barbecue est bien arrosée : apéro, vins rosés et un petit digestif. On se prépare alors pour aller en boite de nuit. Un petit coup de maquillage pour les filles et Benoît revient vêtu d’un jean et d’une chemise.
Dans ma tenue je remarque que mes talons hauts font bien ressortir mes mollets et ma chute de reins.
Benoît ne peut s’empêcher de nous refaire des compliments en nous voyant.
- Ce soir avec deux beautés je vais faire des jaloux.
Puis nous partons pour la boîte…

Dans la boîte, il y a un monde fou. Nous buvons encore quelques verres, nous dansons, plaisantons puis vient le moment des slows. Beaucoup de mecs tournent autour de nous. Ma jupe a tendance à se relever sur mes cuisses pour les dévoiler assez largement parfois on doit apercevoir mon string, d’ailleurs ce n’est pas mieux pour Delphine qui se laisse aller dans une certaine indécence.
Aussitôt Benoît prend les devants et m’entraîne sur la piste au grand regret de certains qui auraient certainement aimé profiter de la situation. Un peu alcoolisée, je me sens légère comme une plume, je ris parfois un peu niaisement aux plaisanteries de Benoît. Je sens parfois sa main frôler subrepticement mes fesses ou un sein.
Je laisse faire, lascive. À un moment je sens même qu’il bande, son sexe pèse contre ma jambe ou contre le bas de mon ventre. Je suis en feu, je voudrais qu’il me prenne là, devant tout le monde, comme une bête. Je deviens folle, il faut qu’on me baise, qu’on me défonce, qu’on me déchire et lui a apparemment ce qu’il faut pour me faire hurler de plaisir comme je sais si bien le faire. Je me laisse de plus en plus aller à ses caresses.
Puis c’est le tour de Delphine de danser avec Benoît et lors d’un slow, c’est avec Delphine que je danse, collée à moi elle le fait part de ses désirs, mais la soirée est déjà bien avancée et déjà on annonce la fermeture de la boite.
Nous finissons nos verres et partons tous les trois, une faim de sexe au creux de nos ventres.

Nous rentrons rapidement à la maison, n’ayant plus qu’une idée en tête, celle de se donner ensemble du plaisir. Je sens les désirs de Delphine, qui installée à l’arrière avec moi, caresse de sa main ma cuisse, sans toutefois s’aventurer trop haut, sans pour autant, de son autre main libre, se caresser la vulve au-travers de la fine étoffe de son string.

À peine arrivés nous nous installons dans le salon, Delphine près de moi dans le canapé se fait chatte, et se penchant vers moi, commence à me caresser en m’embrassant à pleine bouche, en disant dans un souffle :
- J’attends ce moment depuis si longtemps !
Benoît installé dans le fauteuil en face de nous, nous regarde.
Puis lentement la main de Delphine ouvre mon corsage pour laisser apparaitre ma poitrine aux tétons durcis par le plaisir de ses caresses, puis lentement sa main descend le long de mon ventre pour aller chercher mon sexe, et commence à me caresser le sexe, comme une cinglée, au-travers du fin tissu qui le protège.
Je me laisse faire, tandis que Benoît, a ouvert son jean et à sortit son sexe pour se masturber en nous regardant.
Très vite je me retrouve nue à la merci de mon amante qui se penchant vers mon bas-ventre me prend en bouche pour me sucer comme une reine. Sa bouche est chaude est je ne peux retenir les soupirs de plaisir qui s’échappe de ma bouche.
C’est l’instant que choisit Benoît pour se lever et se foutre à poil à son tour, puis il s’approche de nous, le sexe dressé et me le présente à mes lèvres pour que je suce.

Des soupirs de plaisir commencent à monter dans le salon et sans arrêter de me sucer, Delphine se déshabille pour se’ retrouver nue à son tour, c’est à cet instant que Benoît nous dit :
- Nous serions mieux dans ma chambre !
Avec Delphine nous sommes d’accord avec Benoit, et c’est à poils tous les trois que nous montons rapidement, en montant je remarque le pubis de Delphine taillé très court en triangle et les lèvres de son sexe complètement dénudées, elle est ravissante.
Et nous nous retrouvons tous les trois dans la chambre de Benoît.
Delphine s’allonge aussitôt sur le lit et me demande de la rejoindre en me positionnant à l’envers au-dessus d’elle afin de me sucer encore et je me retrouve aussitôt en levrette, Delphine sous moi reprenant sa fellation.
En mettant ma tête entre les jambes de Delphine pour lui lécher la chatte, je m’aperçois que j’ai le cul en l’air prête à me faire sodomiser par Benoît qui, certainement, ne demande que cela.
En effet, alors que je commence à peine à sucer la chatte de Delphine, d’ailleurs bien humide, que je sens Benoît se positionner derrière moi et poser ses mains sur mes hanches.
J’ai juste le temps de dire :
- Ben mon chou tu ne perds pas de temps !
Que je sens son sexe me vriller l’anus en s’enfonçant d’un coup de rein en moi.
- C’est un appel au crime, me dit-il, trop tentant ce petit cul offert sans pudeur.
Et il commence à me limer le fion, tandis que Delphine redouble d’ardeur sur mon membre.
Nous restons ainsi un bon moment avant de changer de position, c’est au tour de Benoît de se mettre en levrette et moi derrière pour le sodomiser, tandis que Delphine, harnachée d’un gode ceinture me reprend par derrière pour me sodomiser à son tour.
Le salaud hurle de plaisir et je sens que la situation lui plait et qu’il va prendre un pied d’enfer.

Après un bon moment, Delphine exprime l’envie de ne pas se faire prendre, disant qu’elle se réservait entièrement à moi pour le lendemain, alors elle se met à pomper Benoît pendant que je continue de l’enculer.
Puis, Delphine, toujours harnacher du gode-ceinture, sodomise Benoît allongé sur le lit tandis que je me fais sucer par sa bouche accueillante, il gémit de douleur et de plaisir mélangés.
Delphine hurle son bonheur de sodomiser son ancien amant, tandis qu’un orgasme me terrasse, et me fait jouir au fond de sa gorge.
Puis, après un moment, elle se met de côté afin de me regarder sodomiser, en levrette, à nouveau son ancien amant. Benoît se laisse sodomiser en feulant de plaisir, jusqu’à jouir la tête dans l’oreiller pour un cri rauque de plaisir.

Une fois nos esprits retrouvés, avec Delphine, nous nous sommes caressées tendrement comme deux amantes, en prenant notre temps, et nous avons jouit ensembles de nos doigts sous le regard heureux de notre complice.
Et c’est entre nous deux que Delphine s’est endormie, avant que le sommeil ne nous terrasse toutes les deux.

A suivre…