Chapitre 35 : Caroline Offerte À Son Amant Par Éric Candauliste.

Bonjour, c’est Caroline, qui revient vers vous, pour vous narrer la suite de nos aventures, à la base je devais écrire un texte ou deux, mais voilà, je prends tellement de plaisir, que c’est notre sixième rendez-vous ensemble…
C’est une découverte pour moi, c’est maintenant un réel plaisir d’écrire ... J'aime aussi le plaisir des sens ...C’est devenu une évidence pour moi, je devais réunir les deux.
Pour notre anniversaire de rencontre, et oui, cela fait déjà cinq ans, en ce jour du vingt-trois novembre 2006…Que le temps passe vite avec mon chéri, donc pour cet anniversaire, Éric souhaite un cadeau coquin, un peu particulier, avec mon fidèle amant de toujours, Jean-Jacques, que je connais depuis environ vingt-cinq ans et que nous connaissons ensemble depuis deux mois et avec lequel le feeling est excellent.
Le cadeau se veut cent pour cent candauliste. Mon Aimé n’a qu’à s’installer sur le canapé, le fauteuil ou le lit et profiter, quitte à poser l’appareil photo dans un coin sans s’en soucier. Il n’a qu’à faire tout ce qu’il veut, comme il veut !!!
Je n’ai volontairement mis aucun scénario en place, le mot d’ordre est complicité partagée sans cogitation.
Le jeudi vingt-trois novembre, nous avons rejoint Jean-Jacques au Grand-hôtel d’Enghien-les-Bains, endroit que nous fréquentions avec mon amant lors de nos escapades coquines.
Nous prenons un verre tous les trois au bar, où on s’est racontés nos péripéties coquines et “normales”. C’est un adorable coquin avec qui on s’entend super bien. Il fait partie des gens que j’apprécie sincèrement.
Arrivés à la réception de l’hôtel, on est à deux doigts du fou rire !!!
L’hôtelier nous fait une visite extrêmement complète de la chambre en nous expliquant absolument tout dans les moindres détails, du code d’accès extérieur aux toilettes en passant par le nombre de serviettes ou de cosmétiques mis-à-disposition.
Cela dure un long moment… dans les quinze minutes au moins !!!
Apparemment, il ne comprend pas en voyant une femme en body en tulle transparent et jupette accompagnée de deux hommes pour une seule chambre.


Il suggère même à Jean-Jacques et moi de dormir dans la chambre et à Éric de prendre le canapé pour une nuit !!!
Vous aurez noté qu’il a compris de suite qui était “le cocu”. A l’instinct, je blague bien évidemment, mais je préfère le préciser car je sais que le premier degré est parfois de mise !!!
Aussitôt l’hôtelier parti, on éclate de rire. L’atmosphère coquine reprend vite place et Jean-Jacques commence à m’embrasser tout en soulevant ma jupe pour caresser mes fesses.
Très rapidement, Jean-Jacques me prend en main et me donne de bonnes claques. Il guide mes fellations et gorges profondes. L’excitation montant, nous ôtons nos vêtements pour nous mettre à notre aise. Ses mains me fessent à de nombreuses reprises, les fessées sont bien senties. Mon petit cul rougit vite de plaisir et garde la trace de ses doigts pendant toute la rencontre et quelques heures après que nous nous soyons quittés.
A genoux sur le parquet, je me régale de son sexe érigé. Ses mains se font plus douces. Après m’avoir offert des fessées magistrales, ses doigts s’immiscent entre mes cuisses et me doigtent vigoureusement. Un doigt, deux doigts…Et je jouis dans le creux dans sa main sous le regard complice d’Éric, mon Mari candauliste, qui pétille de plaisirs partagés. Il me voit prise en mains par son ami, par mon amant de toujours et il adore ça !
Très excité par la situation, Éric assis sur le canapé- me demande de bien vouloir le sucer si j’en ai envie. Je bascule à quatre pattes. Je prends le sexe de mon Homme en bouche et le suce avec un immense plaisir non feint.
Nos regards ne se quittent plus. Pendant ce temps, Jean-Marc me prend ainsi en levrette à genoux sur le sol. Chacun de ses coups de reins imprime le rythme de la fellation faite à mon Mari.
C’est très rare qu’Éric ne participe pas. Mais aujourd’hui, pour notre anniversaire de rencontre, mais aussi pour la vraie première relation entre nous trois, Il préfère rester en retrait et être voyeur de mes orgasmes offerts par un autre que lui en bon candauliste qu’il est.

Là, on est tous les trois très complices avec Jean-Jacques. Cela doit jouer. Mon chéri m’a dit avoir trouvé la scène extrêmement excitante, car il m’a trouvé plus chienne que d’habitude.
Petite parenthèse, pour vous informer que cette complicité se prolonge toujours, quatorze ans après ce jour, comme quoi !!!
Personnellement, j’ai adoré cet instant de partage à trois corps avec Jean-Jacques. J’en ai savouré chaque instant. Nous nous sommes retrouvés un bref instant dans la configuration de nos premiers émois adultérins.
Un petit retour aux sources, vingt-cinq ans plus tard, avec plus d’expérience et d’aisance dans le libertinage !
Éric se retire, car il est à deux doigts de jouir et souhaite encore profiter. S’il s’abandonne à la jouissance, il a une petite baisse d’excitation durant un bref instant, de l’ordre de quelques minutes, une redescente qu’il évite en ne jouissant qu’à la toute fin de la rencontre !!!
Mon petit mari est redevenu voyeur de nos ébats. Jean-Jacques me prend virilement tout en fessant régulièrement mes fesses, désormais bien rosies et cuisantes. A genoux et bien cambrée, la pénétration est profonde et musclée. Les orgasmes se succèdent sous les coups de reins de mon amant. Je me relève et me mets complètement debout, bien cambrée et bien offerte.
La position est particulièrement excitante. Nos corps ne font qu’un pour tenir la position debout sans le moindre appui autre qu’entre nous deux. Jean-Jacques me prend avec vigueur et douceur à la fois. Un délicieux mélange d’animalité et de bienveillance. Entre les fessées et nos baisers, nous sommes plus complices que jamais, comme avant.
Mon regard épouse tantôt celui d’Éric, qui ne nous quitte pas des yeux et tient une fabuleuse érection, tantôt celui de mon Amant Jean-Jacques, dont le souffle saccadé fait écho à mes râles de plaisirs.
Par moment, mes jambes vacillent légèrement entre les pénétrations et les orgasmes à répétition et je dois prendre appui un bref instant sur l’accoudoir du canapé pour ne pas chuter.
Jean-Jacques, très en forme, accentue encore ma cambrure en tirant mes cheveux vers l’arrière. Nos mains ne se lâchent plus, comme nos corps.
Éric me propose de prendre appui sur lui pendant que Jean-Jacques continue à me prendre. Je ne me fais pas prier. C’est quelque chose que j’adore, que nous adorons d’ailleurs tous les deux !
Cela nous excite particulièrement. Nous pouvons nous regarder intensément, sentir nos corps et voir notre plaisir au plus près.
Seul petit bémol, j’ai toujours peur de lui faire mal, en m’agrippant fortement ou en titubant, ou d’être lourde en m’abandonnant contre lui.
Éric est au garde-à-vous ! Son sexe s’érige dans une excitation partagée entre nous trois.
Après toutes ces émotions, Jean-Jacques et moi avons besoin de nous asseoir… Il s’installe dans un fauteuil et je prends position sur lui en appui sur mes jambes.
Notre ami Jean-Jacques ne perd pas une miette de ma chute de reins. Pour ma part, c’est tout à la fois très excitant et… plutôt physique !!!
Je trouve finalement un bon compromis en prenant appui sur mes jambes et sur mes bras grâce aux accoudoirs. En répartissant mon poids, je vais être bien plus endurante qu’en ne comptant que sur mes cuisses.
Je chevauche notre ami, mon amant de toujours sous le regard pétillant de mon tendre époux.
Cabrée et aérienne, je m’empale à loisirs sur la grosse bite érigée de Jean-Jacques.
Lentement, doucement ; rapidement, violemment. Nos va-et-vient ne se ressemblent pas.
Je suis aux anges de voir mes mâles ainsi et de ressentir leur désir.
Il y a une très forte tension sexuelle dans la pièce, c’est palpable.
Il fait très, très chaud !!! Les mains de Jean-Jacques empoignent mes seins, enserrent ma taille, saisissent ma gorge.
Le souffle coupé et le sexe humide des plaisirs répétés, je jouis à plusieurs reprises.
Je me fais plus chienne et plus chatte que jamais, mes deux hommes sont bouillonnants.

La situation m’excite particulièrement et encore plus lorsque je vois le niveau d’excitation de mon mari « candauliste », qui ne cesse de se masturber en nous regardant. Il doit régulièrement ralentir la cadence pour ne pas éjaculer.
Et quand je ressens le désir de Jean-Jacques à sa respiration saccadée entrecoupée de râles de plaisirs. C’est très, très, très intense !!!
Nous opérons une migration en direction du canapé.
Je m’allonge sur le dos aussitôt rejointe par Jean-Jacques.
Cuisses ouvertes et cou tendu, je suis complètement offerte. Il glisse son sexe dans mon intimité et me baise avec fougue.
Sa main droite saisit ma gorge et prend ainsi appui avec une belle maîtrise de l’étranglement.
Je me sens proie entre sa main ferme, mais je ne suis jamais en manque d’oxygène.
Bien que je sois allongée, ses coups de reins bien sentis me déplacent sur le canapé. Il doit à plusieurs reprises me ramener à sa queue érigée pour me reprendre en mains.
Nous basculons en levrette. Jean-Jacques dépose plusieurs baisers sur mes fesses rosies sous ses mains avant de me pénétrer.
Le cul tendu, je me cambre pour qu’il puisse me prendre facilement,
Jean-Jacques s’enduit le sexe d’un gel, me titille le cul…
J’attends avec impatience d’accueillir son sexe dans mon arrière train…
Il se place derrière moi, me présente sa queue contre mon anus, je me cambre bien, les fesses bien écartées, sa queue est à l’entrée de mon cul, ça rentre tout doucement…
C’est un délice !!! Je le sens profondément en moi. Il varie beaucoup les pénétrations, de droite à gauche, de haut en bas, doucement, profondément, virilement, plus au bord. C’est extatique !!! Que du bonheur !!!
Éric ne tient plus face à une telle tension sexuelle et nous rejoint. Il adore me voir malmener, être prise virilement mais avec bienveillance.
Il me voit jouir à tout va. Il est au taquet ! Il semble que le cadeau coquin pour notre anniversaire de rencontre lui plaise terriblement.
Éric habituellement aime participer activement, mais pour cette réelle première dans de bonnes conditions avec Jean-Jacques, il a choisi d’être candauliste et participe peu aux ébats, sauf lorsque l’excitation se fait vraiment trop intense.
Il me demande de le sucer pendant que Jean-Jacques me sodomise. Chaque aller-retour de mon amant me fait aller et venir sur le sexe de mon petit mari.
Ne tenant plus, Jean-Jacques se retire et jouit dans le préservatif, puis sur mes seins en retirant celui-ci rapidement !!!
Il m’asperge d’une belle giclée chaude.
Ruisselante de sperme, Éric souhaite me prendre pour clore cette rencontre mémorable. Il adore me prendre après les coquineries.
En général, il veut me “récupérer” très vite. Il me baise, et m’encule ensuite sur le canapé, juste après Jean-Jacques. C’est vraiment génial et grisant, excitant et euphorisant, extatique et jouissif.
J’ai l’odeur de mon amant et sa semence sur mon corps et mon mari entre mes cuisses. Mon Homme fait une dizaine d’allers-retours avant se retirer. Il souhaite jouir par contre dans mon cul, il est très excité, très vite je sens une autre giclée chaude m’envahir mon fondement.
Nous avons passé un excellent après-midi en compagnie de Jean-Jacques, notre ami, mon amant de toujours qui devient libertin…Et moi je suis toujours libertine, mais je deviens également « Polyandre », avec mes deux amours.
Jean-Jacques à un excellent état d’esprit, une conversation passionnante, il s’entend à merveille avec Éric. Nous prenons un grand plaisir à le retrouver régulièrement, à s’amuser ensemble et à continuer à papoter après nos folies. Une grande complicité entre nous trois, qui se ressent à chaque instant. Ça nous fait très plaisir de nous revoir régulièrement, même avec Noëlle. Vous aurez l’occasion de lire nos prochaines aventures !!!
Quant à mon aimé, il apprécie, cette rencontre avec Jean-Jacques, cette rencontre libertine, même candauliste, où il a pu partager chaque seconde en n’en perdant pas une miette. Que du bonheur !!!

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