Trixie Chap 9 - Trio
Je me retrouvais de plus en plus seule. Mon mari s'absentant des semaines entières. Je décidais de donner satisfaction à Chantal... J'en parlais à Gérald qui bien sûr accepta avec enthousiasme. Il me dit que son fantasme était de baiser avec deux blanches en même temps. Et comme nous étions toutes les deux Super canon...il devrait s'éclater.
Je voulais faire une surprise à Chantal. Je l'invitais un soir, pour comme l'autre fois regarder une vidéo et nous raconter, si nous en avions encore nos petits secrets. J'avais dit à Gérald d'arriver en avance. Je l'avais mis dans une chambre, dit de se déshabiller et lorsque Chantal serait là, d'attendre environ vingt minutes avant de nous rejoindre au salon.
Elle arriva, toutes les deux bien installées sur le divan de mon salon, j'émis l'idée que nous pourrions nous mettre vraiment à l'aise pour visionner le film...Ce qui fut fait, nous n'avions gardé que nos portes- jarretelles soutenant nos bas noirs. Le film avec notre acteur fétiche commença.
« J'ai envie de te caresser... »
Je m'approchais d'elle et posait mes lèvres sur les siennes, ma langue s'insinua dans sa bouche, elle me rendit mon baiser...Mes mains se portèrent sur ses seins qui étaient plus gros que les miens, sous mes attouchements je sentis ses tétons commencer à s'ériger. Ses aréoles gonfler et se couvrir de chair de poule. Je souris en me disant qu'elle était comme moi et avait le bout des seins très érogène. Une de ses mains était parti entre mes jambes, et caressait mon pubis.
Gérald entra. Il avança vers nous
« Coucou les filles, vous pouvez arrêter. Je suis là ! »
Chantal tourna la tête vers le nouvel arrivant. Il était nu. Ses yeux se portèrent aussitôt sur le tuyau noir qui pendait se balançant entre ses jambes. Il s'arrêta à cinquante centimètres du canapé. Il était très grand son pénis était presque a la hauteur de nos yeux. Son prépuce légèrement rétracté laissait voir un bout de son gland rose qui tranchait sur le noir de son sexe.
Il attrapa Chantal par les deux mains et la fit lever. La fit tourner sur elle même.
« Splendide, habillée tu caches bien jeu ! Je te trouvais jolie, mais là tu es magnifique ! »
Il s'assit sur le canapé. Il nous demanda de nous mettre côte à côte. Nous étions de la même taille. Mes cheveux étaient un peu plus foncés que le blond de ceux de mon amie. Elle avait les yeux d'un bleu limpide, les miens bleus aussi tiraient sur le vert. Chantal avait une poitrine un peu plus grosse que moi. Ses poils pubiens étaient un peu plus fournis, mais comme moi elle s'était épilée en dessous et ses lèvres étaient bien dégagée. Nous avions toutes les deux le clitoris apparent. J'aperçus des perles de foutre suintant de son vagin. Gérald nous dit que nous étions aussi parfaites l'une que l'autre.
Il s'était assis sur le canapé, nous attrapant chacune d'une main, il nous fit asseoir sur ses genoux.
Il nous déposait de rapides baisers sur les lèvres, insinuant parfois sa langue. Ses mains nous pelotait un sein. Encore une fois le contraste de nos peaux blanches avec le noir absolu de celle de Gérald m'excita au plus haut point. Je me levais et me mettais sur à genoux sur le divan à côté de lui. Chantal fit pareil du côté gauche. Il s'installa au fond du canapé, jambes écartées, le sexe encore mou, posé sur son ventre nous offrant ses testicules à la caresse. Je ne m'en privais tout en invitant ma copine à ouvrir la séance. Avec dévotion, elle se saisit à deux mains de l'énorme rouleau noir ébène. Une de ses mains descendit vers les testicules, tandis de l'autre elle tirait le prépuce vers l'arrière, décalottant le gland rose, s'amusant à faire faire à la peau noire deux ou trois aller et retour couvrant de découvrant le bout rose.
« Je ne me suis jamais fait prendre, par un engin pareil ! La plus grosse c'était celle de Ludo, tu sais Trixie, l'intérim dont je t'ai parlé.
Elle se pencha, commença à le branler avec ses deux mains, sa langue faisait le tour du gland, puis ses lèvres l'engloutirent et elle se mit à le téter. J'avais saisi mes seins à pleine main et les présentais à tour de rôle à Gérald pour qu'il me suce les mamelons.
Je surveillais du coin de l'il ce qui se passait sous la ceinture du noir. C'était impressionnant de voir ce phallus sous les caresses expertes de la bouche et des mains de Chantal, se relever, enfler et durcir. La jeune femme satisfaite de la grosseur qu'elle avait donnée à cette verge noire, enjamba les cuisses de Gérald, elle se pencha pour chercher la bouche et les lèvres lippues. Je laissais la place, descendis du sofa. La queue de Gérald au maximum de son extension affleurait la chatte de ma copine, elle devait avoir une certaine appréhension à s'empaler sur ce sexe monstrueux.
Me saisissant de la verge rigide, j'y crachais dessus, étalais ma salive et enfilais le gland dans le vagin ouvert. Gérald sans attendre enfonça le reste. Chantal se retourna craintive, me mit une main sur l'épaule. Je m'approchais et l'embrassais tendrement sur la bouche. Puis je lui suçais les seins, elle se décontracta. Son vagin accepta entièrement l'énorme bite. Je lui donnais de petites tapes sur les fesses pour bien lui faire ouvrir la chatte. Gérald augmentait la cadence des pénétrations. Elle commença à haleter et à gémir de plaisir.
Je regardais maintenant ce gigantesque phallus entrer entièrement dans le vagin conquis. Chantal criais presque maintenant. Un liquide visqueux coulait sur la queue de Gérald, jusqu'à ses poils crépus, chaque pénétration le repoussait sur ses couilles, qui venaient frapper les fesses de Chantal.
J'attendis que la bite soit enfoncée jusqu'à la garde et demandais à Gérald de s'arrêter.
Il obtempéra. Délicatement je sorti la hampe noire de son écrin ruisselant, ne laissant à l'intérieur que l'énorme gland, et je léchais avec gourmandise, le liquide séminal de ma copine.
Tout cela m'avait passablement excitée. A toute vitesse j'enjambais Gérald, ouvrais largement mes jambes, sa queue dépassait le devant de mon porte-jarretelle. Chantal la prit d'un main et me titilla le clitoris du bout du gland, la frottant le long de ma fente qui maintenant ruisselait aussi d'excitation.
« Enfile la moi, la suppliais-je, je ne tiens plus ! »
Gérald m'avait plaqué les mains sur les seins et me tirait sur les tétons. Je ne voulais qu'une chose c'était sentir sa grosse bite noire au fond de mon vagin. Avec de grands soubresauts, je la faisais pénétrer au fond de mes entrailles, râlant de bonheur de me sentir écartelée par un tel engin. Gérald pris la relève au niveau des pénétration, son bassin se levait et se baissait a une vitesse phénoménale.
Chantal, décapuchonna mon clitoris et me mit à me masser le petit bouton rose turgescent. Je hurlais d'extase. De temps en temps, elle attrapait le phallus luisant de mon foutre et le suçait avec délice. Je la suppliais alors de le remettre dans mon orifice vaginal, ce qu'elle faisait en riant.
Gérald me mit sur le dos. Ils se mirent tous les deux à me sucer la chatte. Tandis qu'un langue s'insinuait dan mon vagin, l'autre me titillait le clitoris. Je hurlais de bonheur écartant mes lèvres des deux mains pour leur permettre de bien fouiller mon sexe en feu.
Gérald me dit d'écarter les cuisses au maximum, ce que je fis. Il approcha son énorme queue, je voyais le bout de son gland rose, me parcourir la fente, s'insinuer un peu dans le vagin, frotter doucement mon clitoris. Chaque fois que le gland arrivait à l'entrée de mon vagin, je donnais un coup de rein pour essayer de le faire pénétrer, mais Gérald en riant le retirait d'un geste vif. Puis voyant que je commençais à être vraiment frustrée, il enfonça son pieu par petit à coup, chaque fois un peu plus profondément. Chantal m'embrassait fougueusement et me malaxait les seins sans ménagement, me tirant presque des gémissements de douleur, comme pour me punir de me faire baiser par ce gros pénis noir. Gérald accéléra la cadence, il avait enfoncé sa queue au fond de mon vagin, il ne la ressortait qu'un tout petit peu et l'enfonçait à nouveau violemment, ses couilles me battaient les fesses. Je hurlais d'extase, j'étais prête à jouir, mes parois vaginales se contractaient sur ce phallus noir dur comme du bois. Il dut le sentir, ne voulant pas me faire jouir encore, il m'embrassa tendrement et se retira.
« On change...à toi Chantal ! »
Elle lui grimpa dessus lui tournant le dos. Je lui demandais ce qu'elle pensait de Gérald.
« Il est vraiment divin ce mec...ce n'est pas un sexe qu'il a...c'est une machine à baiser...Tous les noirs sont comme ça ? Tu en connais d'autres ?
Euh....oui....des copains à lui !! »
Je lui demandais si elle était partante pour une sodomie. Elle me répondit qu'elle voulait bien essayer, mais que si, vu la grosseur de l'engin, ça faisait mal elle arrêterait.
Je tenais le phallus de Gérald bien droit, à l'entrée de son orifice anal. Je lui dis que c'était à elle de jouer maintenant; je demandais à Gérald d'être passif, jusqu'à ce que sa queue soit entrée.
On fit plusieurs essais je suçais et crachais sur le monstrueux cylindre, Chantal mettait de la bonne volonté pour arriver à l'insérer entre ses parois anales. Le gland finit par entrer, puis la moitié du sexe black. Gérald poussait doucement, Chantal était concentrée.
« C'est bon dis-je...
- Il est entré en entier ? demanda ma copine »
Je lui répondis que oui, Gérald commença alors de lents va et viens, pour ne pas lui faire mal. Chantal se mit à gémir d'extase. Elle lui demanda d'essayer d'aller plus vite, ce qu'il fit. Elle se cambrait sous les coups de boutoir du grand black. Elle se mit à haleter, lui demandant de ne pas s'arrêter. Elle nous cria qu'elle allait jouir. Je l'embrassais à nouveau, lui triturant les seins, suçant avec force ses mamelons, ses aréoles gonflées avaient viré au brun foncé. Son taux docytocine avait du grimper, l'hormone de l'amour allait bientôt faire son uvre. Avec un grand cri, elle se tétanisa d'un seul coup, se cambrant sur le phallus enfoncé jusqu'à la garde, me tint la tête appuyée sur ses seins. Puis elle s'écroula en arrière sur Gérald qui la couvrit de baisers.
Un instant plus tard, elle nous dit en souriant, l'air épanouit que de sa vie elle n'avait joui ainsi.
Gérald me signifia, qu'il était temps pour nous de faire pareil. Je suçais un peu sa grosse queue pour lui redonner un peu de vigueur, bien qu'elle se dressait encore fièrement. Je me mettais à quatre pattes sur le canapé. Gérald me dit qu'il avait aussi envie de me sodomiser, il savait que j'adorai faire ça avec lui. Il écarta mes globes fessiers et en disant à Chantal de regarder, enfila lentement sa grosse bite dans mon anus. La ressorti puis l'enfila à nouveau violemment, en disant à Chantal que mon cul avait été fait pour sa queue, et que vu comme elle avait accepté sa queue, il pourrait bientôt si elle le voulait encore, faire pareil avec elle. Il me martela pendant un temps qui me parut une éternité, il était déchaîné, je ne l'avais jamais connu si excité. Son fantasme se réalisait, baiser avec le deux jolies blanches blondes, que tous ses copains de sa boîtes auraient bien voulu mettre dans leurs lits. Il alterna les pénétrations mon anus, mon vagin...ses grands coups de boutoir, les baisers que Chantal me prodiguait eurent bientôt raison de moi. J'explosais enserrant d'une force inouï la verge qui se trouvait à ce moment dans mon vagin.
Je m'écroulais à plat ventre, complètement vidée, mais heureuse de cette expérience à trois.
« Et moi, alors je n'ai pas joui...!! On m'oublie, nous dit Gérald en riant »
Sa queue était toujours en érection, Chantal se mit à lui la sucer, tandis que je l'embrassais et lui caressais le ventre, puis les testicules. Ma bouche rejoignit celle de ma copine sur la grosse verge noire, nos langues parcouraient le pourtour de son gland. Nos bouches suçaient ses bourses, nos mains le branlaient. Sa tête dodelinait maintenant d'un côté et de l'autre, son corps se raidissait, l'éjaculation était proche. Il se leva, d'un coup nous demandant qui voulait son sperme. J'ouvris la bouche, c'était quand même moi l'hôtesse, non?
Il éjacula longtemps, à grands jets sa semence chaude giclait dans ma bouche, et sur mon menton. Chantal me poussa légèrement pour prendre ma place, et récupéra les derniers soubresauts. Gérald s'écroula sur le canapé. Je laissais Chantal lui sucer la queue et aspirer le sperme restant dans son méat, la bouche experte lui tira des grognements de satisfaction. Chantal se releva, satisfaite. Elle remarque les gouttes de sperme près de ma bouche, s'approcha de moi et les lécha avec délice avant de m'embrasser à nouveau fougueusement.
« C'était vraiment super. Je te remercie de m'avoir fait vivre ce moment...Et comme tu m'as dit que tu connaissais d'autres noirs aussi bien montés...Je suis partante ! »
A suivre...
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