Sarah 1
Ce récit fait suite à ma première expérience que je vous ai relaté dans mon récit intitulé Découverte déconcertante.
A ce moment là, javais maintenant 23 ans, cela faisait quelques années que je navais pas revus mon meilleur ami, celui qui mavait dépucelé.
Je travaillais dans une grande entreprise international de haute technologie en tant que secrétaire de direction, oui, ce que jai oublié de vous dire cest que maintenant on mappelle Sarah, jai effectivement décidé de changer de nom ainsi que de statut civil, je suis maintenant reconnu en tant que femme, je suis une femme à bite maintenant depuis 2 ans, jai effectué un traitement hormonal et une chirurgie plastique afin de ressembler le plus possible à une vraie femme.
Mon patron dont je suis la secrétaire personnelle ne sait rien de ma situation et il me fait par conséquent très souvent des avances ainsi que des sous-entendus à connotations érotiques assez peu dissimulées ! Cela me fait à chaque fois beaucoup rire et surtout piquer un fard. Cest que mon patron est un homme plutôt grand, très musclé, la quarantaine bien trempée. Pour ma part, je mesure un 1m72 pour 62 kg, jai un 75C en taille de bonnet. Cest surement grâce à ce physique plutôt avantageux que beaucoup dhommes se retournent sur moi dans la rue !
Ma condition de secrétaire de direction me permet de voyager beaucoup avec mon patron afin de continuer mon travail auprès de lui à chaque instant. Jusquà maintenant nous avons toujours eu des chambres séparées, jusquil y a deux semaines, en effet, nous nous sommes rendus à Milan dans un palace proche de la gare, et mon patron me dit en arrivant quils navaient plus quune seule chambre avec un grand lit. En me disant ça jai bien vue quil avait un petit sourire en coin
Cela ne me dit rien qui vaille, ce nest pas que je nai pas envie de coucher avec lui, mais cest quil nest pas au courant que je suis une femme à bite, et jespère que ça ne va pas me coûter ma place, ça fait deux ans que je travaille là-bas en CDI et cette place est en or.
Nous voilà donc à Milan pour trois jours dans un palace magnifique. Le premier soir, nayant aucun rendez-vous daffaire, il me propose daller manger dans un restaurant proche de la Cathédrale, ce que je mempresse daccepter, jai toujours adoré la ville de Milan et le quartier de la Cathédrale est lun des plus beau, enfin à mes yeux.
Nous sommes donc arrivés au restaurant, mon patron navait pas fait les choses à moitiés, il avait réservé dans un somptueux restaurant, une petite table cossue un peu en retrait, table où nous serions tranquille pour discuter. Il commandât une bouteille dun excellent Chardonnay de Bourgogne, et nous commençâmes à discuter tout en dégustant cette magnifique bouteille. La soirée filât à une vitesse folle, il était minuit lorsque nous rentrâmes à lhôtel. Jétais totalement enivrée, les joues rouges et le sourire béat de mon patron me laissait supposer que lui aussi était sous lemprise de lalcool, cest dire que nous avions consommé passablement de vin et au dessert quelques verres de Frangelico, une liqueur italienne à base de noisette, je vous le conseille, cest vraiment succulent.
Arrivé à lhôtel, je me précipite dans la salle de bain afin de me démaquiller, denfiler ma nuisette en satin que je ne quitte jamais pour dormir et me brosser les dents. Jespère que tout le temps que je vais passer dans la salle de bain va suffire à ce que mon patron sendorme sans essayer de me faire quoi que ce soit.
Eh bien, cétait présomptueux de ma part que de croire quil allait sendormir au vue de comment il mavait déshabillé du regard toute la soirée. Lorsque je revins dans la chambre, il était allongé nu sur le lit, avec un sourire de vainqueur et son sexe arborait une belle érection. Je ne savais pas trop comment réagir, je fis donc la fille outrer.
Il me regarda et avec un regard très lourd de sous entendus ainsi quune remarque sur la beauté de mon corps, ce qui me fait me jeter à leau malgré la peur quil découvre mon secret.
Je le suçai en alternant forte succion et gorge profonde durant quelques dizaines de minutes, cest quil était endurant le bougre, puis enfin je sentis sa respiration saccélérer, il commençait à faire de petit mouvement avec son bassin puis son sexe se raidit dun coup et il déchargeât son sperme en plusieurs longs jets dans le fond de ma gorge, je continuai de le sucer lentement afin daspirer les dernières gouttes de sperme de son pénis.
Peu de temps après il sendormit et commença à ronfler un sourire béat aux lèvres.
Je pensais avoir échappé au pire lorsque le lendemain matin je fus réveillé par une agréable sensation, je sentais de léger coup de bassin contre mes fesses, cétait mon patron, il avait une érection et se frottait le pénis entre mes fesses. Je sentis que cétait maintenant que jaurais à me justifier
Je roulai sur le côté et finis donc sur le dos juste à côté de lui, sa bite frottait maintenant contre ma cuisse, il me regarda droit dans les yeux et membrassa en me disant « Bonjour toi ! Ça va, tu as bien dormis ? » Je lui répondis que oui, pendant que je lui répondais, il glissa sa main entre mes cuisses avant davoir un mouvement de recul et de sexclamer : « Hein, mais quest ce que ?! Tu as une bite ! »
- Oui, je voulais vous en parler monsieur, mais je ne savais pas comment aborder le sujet
- Eh bien simplement, vous auriez pu me dire que vous étiez un homme, par exemple !
- Je sais, mais je ne me sens pas homme, je me sens femme et vous me plaisez
- Mais je ne suis pas Homo ! Je suis hétéro, jaime limer une chatte, pas suer une bite !
- Je ne veux pas de pénis, jaimerais me faire opérer, mais je nai pas les moyens
- Et cest pour cela que vous ne mavez rien dit ?
Vous espériez pouvoir vous faire opérer avant que je ne le découvre ?
- Oui, cest parfaitement ça, vous me plaisez énormément monsieur
- Soit, je ne sais pas trop quoi dire, nous en reparlerons plus tard, pour linstant je vais te baiser le fion violemment pour ne pas mavoir dit ce que tu étais vraiment !
Ce quil fit, il menduit le cul de gel lubrifiant, il enfila une capote et entra dans mon cul dun seul coup, jai bien cru quil allait me déchirer à tout jamais
Jai cru que je nallais plus jamais pouvoir massoir, mais au bout de 3 bonnes minutes, la douleur fut remplacer par un plaisir intense plaisir qui marracha des gémissements.
- Cest quelle aime ça cette chienne en plus !
- Oh oui, jaime tellement votre sexe monsieur !
- Tu aimes quand on te laboure le cul comme ça sale chienne ?
- Oh oui monsieur, limer moi le cul ! Jaime tellement ça !
- Ton cul est trop bon salope, je vais jouir ! Aaaaahhhh !!!
- Oh ouiiiiiiii !
Nous avons jouis exactement en même temps, moi sur mon torse et lui dans sa capote tout au fond de mon cul.
Nous nous sommes ensuite habillé et sommes allé prendre notre petit déjeuner.
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