La Fille De Mes Amis
Cela fait de nombreuses années que je loue dans la même résidence pour les vacances .J'y ai connu un couple qui louait au même endroit, et qui venait avec leur fille, gamine à l'époque. On a sympathisé, on s'invite pour l'apéro, et comme ils n'ont pas de télé dans l'appartement la petite Marion vient quelquefois chez moi, le soir, pour la regarder. Je l'ai connue jeune ado, et je l'ai vue grandir, embellir, devenir femme jusqu'à la belle plante qu'elle est aujourd'hui. On se revoit tous les ans, et elle continue à squatter mon canapé pour regarder la télé, et changer un peu d'air avec ses parents. Il ne s'est jamais rien passé entre nous, mais j'avoue que je la regarde différemment depuis qu'on a fêté ses vingt ans.
A 23 ans, elle suit toujours ses parents, et reste fidèle à ma compagnie. Il est 20h30 et elle sonne à ma porte.
Elle est en tenue estivale, légère: un mini short et un teeshirt court, moulants tous les deux, et qui dessinent parfaitement ses formes généreuses. Je l'ai toujours trouvée jolie, malgré ses rondeurs, ou plutôt grâce à ses rondeurs; mais aujourd'hui et après quelques kilos perdus, elle est tout simplement magnifique, grassouillette à souhait, et je lui en fais le compliment.
On est assis côte à côte devant la télé, et je ne cesse de la mâter. J'ai des idées coquines qui me passent par la tête, et je ne peux m'empêcher de bander. Elle semble s'en apercevoir, et je devine son regard intéressé par la bosse qui grossit dans mon pantalon.
J'ai envie d'elle, mais je n'ose ni bouger ni parler. J'espère un signe d'encouragement de sa part, un premier pas, qu'elle débloque la situation.
Habituellement on discute devant la télé, mais là il y a un silence pesant qui s'installe et qu'elle se décide à rompre:
- Je rêve, ou tu bandes?
- Oui, je suis désolé mais je ne peux pas me contrôler. Je ne dis pas ça pour me chercher une excuse, mais n'importe quel mec à ma place banderait s'il t'avait à ses côtés.
- Ne t'excuses pas, c'est la nature qui veut ça. Et puis pour nous les femmes, c'est toujours agréable de savoir qu'on vous fait bander.
- Oui, mais ça doit l'être encore plus de faire bander des jeunes.
- Pas ment. Je pense que pour beaucoup de femmes, si elles devaient choisir entre la grosse bite experte d'un vieux, et la petite bite inexpérimentée d'un jeune, leur choix serait vite fait.
- Et toi, tu choisirais un vieux?
- S'il a une grosse queue, sans aucun doute. Mais pour ça il faudrait qu'il me la montre, voir si elle me plait.
- Eh bien avec toi au moins, on ne perd pas de temps. Si j'ai compris, tu veux que j'enlève mon pantalon.
- Au point où on en est, je crois que c'est la meilleure solution.
- Ok petite coquine, je vais te la montrer ma queue, et j'espère qu'elle va te plaire et que tu vas savoir en faire autre chose que juste la regarder.
Sur ce je défais mon froc, soulève mes reins pour le glisser sous mes fesses ainsi que mon slip, et les descendre aux chevilles. Je me réinstalle sur le canapé, cuisses bien ouvertes, pour mieux lui offrir mon paquet. Ma bite est fière d'elle, fière de s'exhiber, et elle se dresse pour la saluer.
- Cest moi qui te fait bander comme ça? Mmmm tes monté comme un taureau! Depuis le temps que je voulais voir ta bite, finalement je peux la voir dressée pour moi. Elle est grosse, j'ai la chatte qui dégouline de mouille.
- Je vois que ma bite te plait , elle est à ton gout petite salope, je le vois dans tes yeux!
- Salope?! Si je suis une salope! Ben toi tes un vieux porc qui veut baiser la fille de ses amis.
- Me dis pas que de la façon dont tu reluques ma bite t'as pas envie que je te la mette. Oh Marion, petite pute .Je me doutais que ma bite « de vieux porc» te ferait mouiller !
-Oui je veux ta grosse bite, je veux la gouter d abord, elle a lair délicieuse comme un belle glace!
- Ma queue est toute à toi, viens lui faire un gros bisous!
Elle commence à lécher ma queue:
- Mmm elle est chaude .
Elle enlève son short et son string pour ne pas que sa mère qui fait la lessive se rende compte de ses dépravations. Elle suce ma queue, et je lui avoue qu'il y des années que j'attends ce moment, que je n'en peux plus d'elle. Elle s'étonne alors que venant me voir très souvent c'est la première fois qu'elle me voit bander.
Je lui fais un autre aveu pour lui dire que d'habitude elle m'avertit de ta venue, et que je prends la précaution de me taper une ou deux queues, de me faire jouir une ou deux fois, pour être sûr de rester sage. Mais ce soir elle est venue sans prévenir, et le résultat est là.
Elle me pompes toujours, tout en discutant, et souhaite savoir comment je me branle en pensant à elle. Je lui dis alors que je me masturbe n'importe où, en vacances mais aussi au boulot dans les toilettes, ou chez moi devant une glace ou au lit. Je pense fort à elle, je m'imagine lui dire des obscénités, faire des obscénités avec elle, lui cracher des injures.
J'ai espoir en lui disant cela qu'elle veuille entendre des mots crus, des injures, et peut-être souhaiter des obscénités.
Comme je l'espérais, elle m'autorise à être grossier, ordurier, injurieux, disant que ça l'excite d'avance. Je me fous à poil, me réinstalle sur le canapé, et lui ordonne de s'agenouiller entre mes cuisses, devant mon sceptre dressé comme un obélisque. Elle s'applique à satisfaire ma queue tandis que je me laisse aller à un vocabulaire bien gras:
- HUMMMMM, Marion, Marion, tu me rends fou. C'est bon ça madame, c'est de la bonne petite salope qui aime sucer les grosses queues des vieux messieurs. Tu as raison petite pute, il n'y a rien de mieux qu'un vieux vicieux, un pervers, prêt à faire tout ce que tu veux, sans limites, sans tabous. Tu as entendu Marion, salope, tu peux tout me demander, je veux tout faire pour ton plaisir. Ohhhh, tu suces trop bien trainée, .............................................
- Ca te plait de m'insulter vieux salaud, je me doutais que tu étais un gros cochon vicieux, et je me demande pourquoi tu as attendu aussi longtemps.
Je vois ses lèvres suçoter mon gland, sa langue s'enrouler dessus, puis il disparait tout d'un coup dans sa gorge. Elle m'a gobé le manche en entier et reste au maximum le nez plaqué dans ma toison. Elle se retire, prête à suffoquer, et déverse un long filet de salive sur ma queue. Elle me branle, sa main coulisse grâce à son jus, puis elle me reprend en bouche.
- Ohhhh, putain de salope, tu es trop bien. Cette trique que je me tiens, j'ai rarement autant bandé, je l'ai rarement eue aussi grosse. Tu es une bonne toi, tu es faîte pour l'amour ....................................................
Elle alterne branlette et sucette, puis tout en me masturbant sa bouche s'intéresse à ma paire de boules. Elle les embrasse, les lèche, puis les gobe, les aspire goulûment. C'est limite douloureux, mais surtout extrêmement délicieux.
- Mais c'est qu'elle n'aime que la bite cette petite coquine, tu aimes les couilles aussi, gourmande. Tu vois comme elles sont bien grosses, c'est parce qu'elles sont remplies, pleines à craquer. J'espère que tu pompes à fonds petite salope, parce que j'ai bien l'intention de décharger dans ta bouche, de t'offrir de longues giclées de mon foutre bien chaud...............
Elle continue à me sucer, saliver dessus,me branler, me bouffer les couilles. Je lui annonce le programme comme je le vois: elle va me faire jouir, puis je vais lui bouffer la chatte le temps de rebander, et enfin on va baiser. Je vois ses yeux s'illuminer, et prends ça pour un accord.
Elle s'occupe trop bien de ma queue et je ne peux plus me retenir. Je la préviens de mon plaisir imminent. Elle se recule pour m'encourager:
- Oui, vas-y vieux salaud, ne te retiens pas, j'ai envie de ton sperme.
Elle me réembouche et s'active sur mon manche avec l'intention d'obtenir sa récompense. Je m'abandonne à elle, et éjacule sans retenue:
- Oh Marion, salope, avale, avale petite pute.
Elle engloutit tout avec gourmandise, et je l'entend déglutir avec délice. J'ai fini mes décharges et elle me garde encore en elle pour bien me vider jusqu'à la dernière goutte. Elle se retire:
- Eh bien mon salaud, tu dois te sentir plus léger. Cette saucée que tu m'as mise, elle te plait la petite salope de Marion, vieux porc.
Je lui confirme mon plaisir d'être avec elle, la remercie pour sa prestation, et la fait s'allonger sur le canapé pour m'occuper d'elle à mon tour. Elle enlève son teeshirt et son soutif avant de s'étendre, et je suis fasciné par ses nichons qui me font rêver depuis longtemps. Des mamelles de toute beauté.
A suivre.........................................
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