Il Me Prend En Photo Avant De Me Prendre ...

A la mort de ma belle mère à l’âge de seulement quarante cinq ans, Didier mon mari fils unique a décidé que nous allions revenir vivre dans la grande maison où Charles, son père ancien reporter photographe reste seul complètement perdu, il a cinquante huit ans très alerte et enjoué, mais il se reposait trop sur sa femme qui prenait toutes les décisions.

Je me suis toujours bien entendue avec lui et ça ne me pose pas de problèmes de le côtoyer journellement, et puis je vais profiter de ce grand parc plutôt que de notre trois pièces au quatrième étage, il est bien établi que nous vivrons dans la même maison mais dans deux logements distincts, je lui prépare ses repas un point c’est tout.

Tout se passe à merveille j’ai beaucoup de temps libre aussi je me fais bronzer l’après midi face au soleil en bikini derrière la maison, Charles très bien élevé fait en sorte de ne pas me déranger, et ça ne me dérangerais pas de me montrer ainsi de toute façon nous allions a la plage ensembles donc il connait mes formes.

Un soir vers cinq heures je vais chez lui pour lui demander ce qu’il veut pour son diner …la porte est ouverte, je crie son nom, pas de réponse je m’avance dans le couloir qui donne sur la pièce principale et là…. de trois-quarts Charles est assis devant son grand écran d’ordinateur, normal , mais ce qui l’est moins c’est qu’il a quitté son pantalon, il ne m’a pas entendue , devinez ce qu’il matte le nez sur son écran ? MOI ! En gros plan allongée sur mon transat les jambes pendantes de chaque cotés c'est-à-dire bien écartée, et Charles astique allégrement une verge nettement plus grosse que celle de son fils en regardant le fond de mon bikini qui moule mes lèvres à merveille ! heureusement que je n’avais pas ôté mon maillot comme cela m’arrive quelquefois ! Cette photo très nette est très récente, d’après l’angle de vue il devait être planqué dans le grenier avec un téléobjectif ….il n’a pas perdu la mais le bougre !

Je suis repartie sur la pointe des pieds en furie, puis en réfléchissant je m’apaise je lui trouve des excuses pas question d’en parler a Didier, mais ça m’a travaillée toute la nuit … je me suis même masturbée imaginant Charles décharger avec sa grosse queue sur ma photo c'est-à-dire sur ma moule

Le lendemain les idées plus claires je décide de le titiller

- Alors Charles comment allez vous ce matin ? bien dormi ?

- Je vais comme un vieux tout seul et j’ai dormis pareillement

- Pourquoi ne pas reprendre la photo ? vous étiez doué, cela vous passerait le temps

- Ho ma pauvre petite Chantal, j’y ai bien songé mais que photographier ?

- Je ne sais pas moi, la nature, les oiseaux, faire des portraits, pourquoi pas de moi ?

- Tu me servirais de modèle ?

- C’est vrai que je ne suis plus aussi bien faite qu’a vingt ans !

- Tu veux rire ? tu as un corps de rêve, enfin je me doute ….

.

J’ai coupé court je sais maintenant qu’il me mate, hé bien je vais lui faire plaisir …….l’après midi comme la veille je m’installe face au soleil c'est-à-dire face a la maison, un bouquin dans les mains je ne lis pas simplement je me cache derrière pour essayer de le démasquer, sagement allongée au début je fais comme si une lecture érotique me captivais, mes jambes se frottent l’une sur l’autre, se replient, se séparent, tombent comme la veille de chaque cotés du transat, je sais qu’il est là un volet du grenier vient de s’entrouvrir , ma main dessine des ronds sur mon ventre glisse entre mes jambes pour effleurer le bombé de mes lèvres je me prend tellement au jeu que je mouille ma chatte fait de bulles… allez du courage va plus loin ……..

Mes doigts entrent dans le maillot, il doit voir le tissu onduler, aller fait lui voir ta moule …toute ta moule …mes doigts se retirent du slip pour venir tirer sur la ficelle qui noue le bikini d’un coté puis de l’autre, va y ma grande fait tomber le mince triangle entre tes cuisses donne lui de belles photos à faire

C’EST FAIT !!!! Ma chatte voit le jour, mes doigts reviennent prendre leurs place sur mes lèvres deux d’entre eux glissent entre, la cyprine est là juste au bord je m’amuse à faire briller mes poils noirs avec, ils se collent s’agglomèrent, je débusque mon clitoris pour le faire rouler, je replie mes jambes les talons prés de mes fesses afin de faire bailler ma vulve, a cet instant l’objectif doit mitrailler en rafales, je suis trop excitée il faut que je jouisse je pose le bouquin sur mon visage, ma main libérée fait sauter les bonnets du soutien-gorge, et masse mes nichons, mon dos se soulève et se cambre lorsque j’ expulse un jet de mouille, je retombe inerte apaisée , un œil vers le volet … il est refermé ….je file a la maison prendre une douche, une heure plus tard mon beau père frappe a ma porte, Son regard sur moi n’est plus le même qu’avant, il me déshabille littéralement des yeux, ce n’est plus sa belle fille qui lui sourie …

- Tu étais sérieuse ce matin Chantal quand tu te proposais de servir de modèle ?

- Vous seriez prêt à reprendre la photo ?

- Boff pourquoi pas je m’emmerde tellement ici, ne t’inquiète pas ce sera des clichés softs dans le parc ou ailleurs a ta convenance

- D’ ACCORD !! mais inutile d’en parler a Didier

- Comme tu voudras, commençons demain si tu veux ?

- Je serais prête comment dois-je m’habiller ?

- Très simplement, nous verrons au fur et à mesure ….

J’ai mis deux heures avant de choisir mes dessous, clichés soft ? Tu parle ! Je vais lui montrer sans pudeur de prés ce qu’il a vu de loin...c’est dans une robe boutonnée devant et dans un mélange de trouille et de chaleur au ventre que je le rejoins …il n’est pas a l’aise non plus car sa voix chevrote

- Assied toi au pied de ce chêne Chantal…

- Comme ça ? Je relève un peu ma robe ? seulement pour monter mes genoux !

- Je te laisse choisir les poses…

- Bien ….

Je défais deux boutons a mon décolleté et deux en bas, ma robe s’ouvre naturellement dévoilant largement mes cuisses et la moitié du bonnet quatre vingt cinq c Charles caché derrière son appareil commence à mitrailler

- Bouge comme tu le sens, tu es très bien, sourie un peu plus soit moins tendue, tu as de belle jambes Chantal...
- Vous les avez déjà vues Charles …
Maintenant il doit apercevoir mon p’tit brésilien, je l’ai choisi car il ne prend pas juste dans les aines, ce n’es pas les doigts de mon mari qui l’on déformé ! … cette position là devrait faire bailler les coutures…

- Garde cette pose … oui … très bien …

Le timbre de sa voix et plus sourd, ho ! Un autre bouton vient malencontreusement de se défaire …ma petite culotte est apparente jusqu'à la taille

- Allonge-toi sur la mousse Chantal …

- Oui Charles, peut être d’abord a plat ventre face a vous ?

- Tu as raison relève bien le buste bombe le torse

- Je fais ressortir mes seins c’est ça ?, ho mince un bouton vient de lâcher

- Ça ne fait rien …fait venir tes cheveux devant tes yeux ….. que tu es belle ainsi …..

- Et comme ça ?

- Ton soutien-gorge comprime trop tes seins ce n’est pas bon pour la circulation

- C’est vrai il est trop petit attendez ….

Je me relève ma robe entièrement déboutonnée tombe a terre, mes doigts pressent sur l’agrafe du soutien gorge, mes seins aux gros bouts se redressent, en slip les mains sur les hanches les pieds séparés je défie Charles du regard

- Je vous plais Charles ?

- Bien sûr ma petite Chantal je t’estime beaucoup

- Je ne vous parle pas d’estime mais de beauté charnelle

- Je ne comprends pas … continue à prendre des poses ….

HA OUI ! Il veut continuer à faire semblant … je lui tourne le dos et m’accroupie la tête sur la mousse mon postérieur lui fait face quelle va être sa réaction ? Pas de bruit à part le déclencheur, puis le silence total que fait-il ? Je risque un œil par dessous mes bras, mon beau père a posé l’appareil et sorti sa verge énorme qu’il masturbe les yeux exorbités, mon fessier ondule comme une invite à se faire toucher

Charles grommèle je ne sais quoi, soudain deux mains agrippent mon slip celui-ci glisse lentement sur ma peau c’est une sensation de mise a nu que j’adore, mes organes sont découverts le slip s’est arrêté a mis cuisses, deux pouces écartent mes lobes, il est assez prés pour que je sente son souffle

- Quel beau petit cul …. Huuuuuuuuummmmmmmmmhaaaaaaaaaaaaaaaaa….

Sa bouche s’est enfin posée sur ma raie, la langue molle lèche mon petit trou avant de se faire pointue et de me pénétrer aussi loin qu’elle peut, ma chatte dégouline de bonheur

- Hoooo Charles quel plaisir tu me fais……ôte moi complètement ma culotte je veux écarter les cuisses pour toi

- je veux ta chatte salope

Une fois désentravée mes genoux se séparent, Charles revient à la charge mais cette fois avec son pénis il frotte son gland comme s’il se servait d’un pinceau tout le long de ma fente en insistant sur mon clito tellement gonflé qu’il est sorti de son capuchon, le frottement m’électrise et me fait faire des bonds incontrôlés

- Je t’en supplie plante moi ta queue je ne tiens plus !

- Tu la veux ? Tiiiieeeeennnnnnnnns !!!!! ça fait des jours que j’ai envie de te la mettre au cul

- HAAAAAAAAAAAAAAOUUUUUIIIII !!!!!

- Tu t’es bien exhibée hier hein salope ???

- Oui, je voulais te faire bander comme lorsque tu te branlais devant ma photo sur ton ordinateur

- Tu m’espionne en plus ????

- Et toi tu me mate quand je me fais bronzer ?

- Je voyais ta chatte en gros plan espèce de pute tu m’excite TIENS- TIENS -TIENNNNNNNNNNNS

- OUI –OUI- OUI –OUI- ENCORE- ENCORE !!!!!!

Il me pilonne a outrance son ventre claque sur mon cul, ma chatte éclatée par son membre n’est plus étanche ma mouille suinte le long de mes cuisses, je plante mes doigts dans la terre meuble en gueulant

- JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!!!

- MOI AUSSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! HOOOOOUUUUUUUUUUAAAAAAAAAAA

Les contractions de ma chatte répondent à celles de sa queue qui libère sa semence au plus profond de ma féminité, vaincue par l’orgasme je me suis affalée désaccouplant notre union adultère, j’espérais qu’il allait partir en me laissant savourer les bienfaits de son foutre qui bouillonnait en moi

- Tourne la tête et nettoie ma queue

Comme une conne je me suis mise de coté, la verge maculée de sécrétions toujours aussi raide s’est posée sur mes lèvres, il s’est enfilé sans que je ne proteste, après tout je l’ai bien cherché …j’ai pompé mon beau père avec avidité j’aimais son goût suave, ma main lui pressait les couilles comme pour en faire jaillir leurs jus

- Enfile-moi un doigt dans le cul...

- HUUUUUMMMMMM

- Vas-y fourre moi ça va me faire jouir !

Mon majeur manucuré est entré jusqu'à la dernière phalange, il s’est mis à râler longuement, j’ai tout avalé …….