Le Soir Où Je Suis Devenu Une Vraie Petite Pute

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je vais de nouveau vous raconter l’une de mes nombreuses soirées de soumis, faites de débauche et de sexe comme nous les aimons si bien.

Cette histoire remonte au mois de novembre dernier. Etant tous deux du même signe astral, ma Maîtresse et moi avions décidé de fêter nos anniversaires ensemble, rien que pour nous, à une date entre les deux fêtes.

Ma Maîtresse, Sandra, a toujours le chic pour avoir de bonnes idées. Donc, sans me soucier le moins du monde et sans prévoir quoi que ce soit, je me laissai aller entre ses mains expertes.

Côté organisation, elle n’a pas son pareil. Elle aime tout contrôler, et surtout me contrôler. En bon soumis que je suis, je ne lui refuse jamais rien, car le simple fait d’être puni me calme aussitôt.

Je vous raconterai évidement dans un autre récit mes punitions, pour le moment revenons à notre récit du jour.

Nous étions le 12 novembre. Tout étant arrangé du côté familial, je pus me consacrer uniquement à ma Maîtresse.

Arriva le soir. Vers 17 heures 30, à la fin de ma journée de travail, je me dépêchai de me préparer afin de la rejoindre.

Toute la journée, je n’avais cessé de penser à ce qui m’attendait le soir, une soirée uniquement tous les deux aux ordres de ma Maîtresse. Moi, en bon chien, j’obéirai et ferai tout ce qu’elle veut.

Je me garai devant chez elle. Il était 19h, je n’en pouvais plus, je bandais déjà très dur. Pendant tout le trajet, je n’avais pensé qu’à notre soirée et à notre nuit ensemble ; je m’étais imaginé plein de choses et j’avais hâte qu’elles se réalisent.

Je n’avais cessé un seul instant de penser au plaisir de ma Maîtresse. J’avais envie de lui lécher les pieds et le corps, et de lui faire l’amour. Je montai les marches deux par deux pour arriver plus vite chez elle.

Je frappai à la porte. Elle m’ouvrit, elle était magnifique, vêtue d’une petite robe moulante noire avec un soutien-gorge push up qui faisait encore plus ressortir sa magnifique poitrine, des bas résille noirs qui laissaient entrevoir un petit porte-jarretelle noir à tomber, le tout avec un maquillage discret mais sensuel.



Mon excitation était à son comble. J’avais mal tellement je bandai et tellement elle était désirable.

Alors que j’entrais chez elle, elle attrapa un petit gilet transparent noir, un sac opaque bien rempli et me dit :
« Ne t’assois pas, on y va, on va dîner dehors ».

J’avais déjà le sexe tendu, et elle me faisait encore plus attendre. Quel supplice, pensai-je…

Je lui demandai d’attendre car je bandais si dur que j’avais mal. Elle me donna une petite tape sur la bite et me dit : « Puisque tu veux attendre, très bien, eh bien va te changer tout de suite alors. Tant pis pour toi, je ne voulais pas perdre de temps, c’est trop tard. »

Je ne compris pas sa remarque jusqu’à ce qu’elle me donne le sac en disant : « Enfile ce qu’il y a dedans ! »

J’ouvris le sac et y découvris :

- une trousse de maquillage
- une mini-jupe,
- des bas blancs,
- un porte-jarretelle blanc,
- un string blanc,
- un soutien-gorge blanc,
- une paire de talons,
- un petit débardeur transparent,
- une perruque brune,
- nos sex-toys (mes boules anales, mon plug, mon gode, du gel lubrifiant),
- mon collier de chien et ma laisse.

Bref, tout l’attirail pour me travestir.

Je la regardai et, sans rien dire car j’avais compris rien que par son regard ce que je devais faire, je me déshabillai, je quittai mon costume pour me travestir et m’habiller selon les désirs de ma Maîtresse.

Elle m’annonça que normalement cela était prévu pour plus tard dans la soirée mais, vu que j’avais voulu contredire ses plans, j’étais puni.

Je m’habillai comme elle le souhaitait, je passai même au maquillage avec elle. Elle me regarda et me sourit puis me dit : « Tu fais vraiment penser à une petite pute des bas quartiers (normal, je n’étais pas passé par la case épilation et esthétique) ; ça ira comme ça ».

Elle attacha elle-même mon collier de chien et ma laisse puis me tira hors de l’appartement.
Dans sa cage d’escalier comme sur le parking de son immeuble, heureusement nous ne croisâmes personne. Elle sortit le GPS, y entra l’adresse et me dit de suivre l’itinéraire.

Sur le trajet, heureusement je ne croisai personne que je connaissais. Nous fîmes une demi-heure de route et arrivâmes sur une place dans un tout petit village rustique. En moi-même, me dis-je, coup de bol, je ne connais personne ici.

Sortie de la voiture, elle me rattacha la laisse qu’elle avait défaite le temps du trajet, puis elle m’exhiba dans le village en me traînant par la laisse. Durant cette promenade, je titubai car je n’avais pas l’habitude de porter des talons, ce qui me valut quelques tapes sur la bite ou de petites fessées gentilles.

Nous croisâmes quelques personnes, des couples, des femmes seules, des hommes seuls. Leurs regards de dédain, leurs insultes, leurs crachats sur moi, et même jusqu’aux fessées que je reçus me prouvèrent leur dégoût ou leur amusement, mais je remarquai tout autant l’excitation de certains hommes à me voir habillé en pute et à me faire traîner comme un chien.

Après avoir fait un petit tour dans le village, une fois que ma Maîtresse eut jugée suffisante cette humiliation, nous rentrâmes dans la cour d’un pavillon simple mais joli. L’allée en gravier menait soit au garage, soit à la maison. J’observai l’endroit mais ma Maîtresse me tira en disant : « Allez, avance, ma petite pute, et puis un chien n’a pas besoin de regarder. »

En me regardant de plus près, elle vit que je n’avais pas essuyé les crachats des trois hommes croisés auparavant. Elle me fixa du regard, me lança un mouchoir, me claqua violemment le cul et me dit : « Essuie-toi, tu fais vraiment pute négligée ». J’obéis immédiatement. La fessée qu’elle me donna me brûla les fesses, j’étais sûr qu’elles étaient rouges.

Une fois arrivée devant la porte, elle sonna et l’on vint ouvrir. Une charmante jeune femme blonde nous accueilla, elle aussi vraiment belle et bien proportionnée, habillé sexy mais pas trop.
Elle fit la bise à ma
Maîtresse, me regarda et rigola. Elle dit à ma Maîtresse : « C’est qui ça ? »

Ma Maîtresse répondit que j’étais son soumis, sa petite pute perso, son petit chien, son jouet et pour le prouver, elle tira ma laisse et m’ordonna de me mettre à quatre pattes, ce que je fis immédiatement.

La jeune femme resta sans voix puis la félicita, car c’était la première fois qu’elle voyait un soumis en pute aussi docile. Ma Maîtresse m’ordonna de lui baiser les pieds ainsi que ceux de son amie. Je m’exécutai et c’est dans cette position que le mari de la jeune femme et un de leurs amis me découvrirent.

Inutile de vous dire la honte que je ressentis, mais cette humiliation fut source aussi de plaisir.

Ma Maîtresse les embrassa et leur expliqua la situation, du coup je me retrouvai tiré par ma laisse à baiser les pieds des deux hommes.

Pendant ces explications, elle leur annonça que la fête de ce soir était pour notre soirée d’anniversaire. Nous entrâmes au salon où l’apéro trônait déjà sur la table basse. Du coup, j’eus le droit de me relever. J’en profitai pour rajuster ma mini-jupe qui était remontée à cause de ma position de quadrupède.

Ma Maîtresse s’approcha de moi et m’embrassa tendrement en me félicitant pour ce que je venais de faire.

Tout le monde me regardait maintenant. On me servit une coupe de champagne. Nous bûmes ensemble ce verre et trinquâmes à l’anniversaire de ma Maîtresse et du mien. En moi-même, je me demandai si tout était bien terminé...

La réalité vint vite reprendre le dessus quand on me posa la question du pourquoi j’étais habillé en femme.
Ma Maîtresse répondit avant même que j’eu ouvert la bouche, et rétorqua que c’était uniquement parce qu’elle l’avait décidé. Puis elle renchérit en disant qu’elle avait envie de me voir travesti, habillé en pute, traité comme une pute.

La jeune femme, jusqu’à présent si gentille, si accueillante, s’approcha de moi et me gifla, disant à ma Maîtresse qu’elle avait horreur des putes, surtout négligées.
Les deux hommes approuvèrent ses réflexions et précisèrent surtout le coté négligé. Le plus jeune des deux me cracha à la figure.

Il regarda ma Maîtresse et lui dit : « Jamais je ne paierai pour une pute comme ça ».

Mon répit fut de courte durée. Ma Maîtresse leur dit : « Attendez, regardez au moins comment il s’est habillé rien que pour vous », et elle leva ma mini-jupe en laissant voir mon string, mon porte-jarretelle et mon sexe droit par l’excitation d’être humilié comme ça.

Ils se mirent tous à rire. Mon sexe dépassait du string !

La jeune femme revint vers moi, s’arrêta de rire et me regifla puis me dit : « Tu aurais pu te raser pour nous, quand même ». Ma Maîtresse la regarda et sourit en lui disant : « Mais voyons, ma chérie, si tu veux qu’il soit rasé, je te laisse faire, avec plaisir même ».

Ni une ni deux, elle partit chercher ce qu’il fallait. Je regardai ma Maîtresse, qui me fit bien comprendre de ne pas broncher surtout, de me taire, car ma punition serait terrible dans le cas contraire. Je ne dis plus rien par peur de la punition.

Les deux hommes en rirent. Celui qui m’avait craché au visage sortit, en plaisantant que je ferais bien d’être remaquillé aussi. Ma Maîtresse approuva mais leur demanda un peu de patience, chaque chose en son temps.

La jeune femme revint avec tout ce qu’il fallait. Ma Maîtresse sortit de son sac une paire de menottes qu’elle me passa au poignet presqu’immédiatement.

Et me voilà menotté, les mains dans le dos, devant eux, à leur merci; mais dans cette position, habillé, je ne pouvais pas être rasé. Le plus vieux des deux hommes sortit de son silence et dit aux autres : « Défaites-lui les menottes, qu’il se déshabille et qu’on l’attache dehors à la branche de l’arbre ».

Sa femme le félicita pour sa merveilleuse idée, et tout le monde accepta. Moi, je n’avais rien à dire, j’obéis comme le voulait ma Maîtresse. Elle me libéra de mes menottes, me rattacha à la laisse et me traîna vers la terrasse derrière la maison.

Derrière le pavillon, dans un grand jardin sans haie avec deux arbres au milieu, ma Maîtresse me dit : « Vu que tu n’es pas une pute qui se monnaie, tu seras peut-être un bon chien de garde. ».

Ils se mirent tous de nouveau à rire, mais l’idée de me raser ne fut pas oubliée pour autant par la jeune femme. Elle rétorqua à ma Maîtresse que « même les chiens, on les tond ! »

Ma Maîtresse en réponse lui dit qu’elle n’avait aucunement oublié et que, chose promise, chose dûe, elle aurait le droit de me raser.

On me tira par la laisse jusqu’à l’arbre.

Ma Maîtresse m’ayant ordonné de me mettre nu, j’obéis tout en regardant autour de moi. Sur la gauche, le voisin avait une vue directe sur la scène, sur la droite, la route sans haie laissait tout le champ libre à quiconque passait, et, derrière, une forêt se dessinait mais sans épais feuillage, ce qui laissait à tout promeneur la vision de moi nu.

Quand je fus entièrement nu, le plus vieux des hommes me rattacha avec les menottes à une branche. Je me retrouvai donc dans ce grand jardin, à la vue des voisins, des passants, et des promeneurs.

La blonde avec son petit sourire en coin voulut immédiatement me raser. Voyant cela, ma Maîtresse commença à me claquer la bite et à me donner une belle fessée sur chaque globe.

Les trois compères se mirent à pouffer de rire et, dans cet élan, ma Maîtresse leur dit de le faire aussi s’ils en avaient envie.

Evidemment ils en avaient envie et, sans plus attendre, chacun à leur tour ils me donnèrent le même traitement. Ma bite me faisait mal mais je bandais, mon cul était sans doute rouge car il me brûlait, et le frais de l’air me faisait du bien.

Avant d’entreprendre mon rasage, la blonde me passa de la mousse à raser partout. Partant des aisselles, elle descendit au torse, puis sur mon pubis pour finir par mes jambes.

Ma Maîtresse lui fit remarquer qu’elle avait oublié l’envers, car je suis poilu un peu sur le dos et sur les fesses. Donc son amie reprit la bombe et appliqua la mousse aux endroits oubliés.

J’étais humilié et entièrement à leur merci, tel un pantin, un jouet. Malgré cela, tout me plaisait, je me mettais même à bander de nouveau, ce qui ne passa inaperçu à aucun d’eux d’ailleurs.

La jeune femme blonde se mit à me raser intégralement pour son plus grand plaisir, sans me couper. Elle devait avoir une grande habitude, pas possible autrement. Et c’est une fois entièrement rasé que l’on m’arrosa avec le tuyau d’arrosage.

La froideur de l’eau et la surprise de ce jet me firent débander immédiatement.

Sans poils, nu, attaché à cette branche tel un cochon pendu, complètement trempé après cette douche froide, je restai là, immobile, en regardant ma Maîtresse et ses amis, et en attendant la suite.

Me laissant dehors dans cette position, seul, pendant au moins vingt minutes, ils rentrèrent boire de nouveau un verre. Sandra ressortit me faire boire une coupe de champagne. Elle me fit un baiser dans le cou en me chuchotant qu’elle était fière de moi, de ce que j’acceptais ce soir pour elle, et que le remerciement serait à la hauteur.

Ces simples paroles me firent immédiatement rebander. Voyant cela, elle me prit le gland entre ses lèvres et joua de sa langue. Elle me titillait le bout et me donnai envie. Quand elle eut en bouche le goût de mon liquide séminal, elle s’arrêta et me laissa sur ma faim tout en m’envoyant un baiser en partant rejoindre les autres.

Il se faisait tard, quand j’entendis du bruit. Le voisin d’à côté venait de rentrer chez lui. D’abord, il ne me vit pas. C’est en fermant les volets qu’il m’aperçut. Il sortit de sa maison et se rendit chez son voisin. A ce moment-là, toute la bande ressortait de la maison.

Les menottes commençaient à me faire mal, le froid me saisissait. Je fus heureux et joyeux de les voir revenir. Le vieux me détacha. Une bande de jeunes passa, les commentaires fusèrent à grande vitesse. Les plus gais me traitaient de petite bite, certains de PD, de tapette, d’autres me sifflaient ou m’insultaient.

Le voisin me rendit mes affaires. Alors, ma Maîtresse et ses amis me félicitèrent car, enfin, pour eux, j’étais présentable. Ma Maîtresse expliqua au voisin que j’étais une petite pute qui avait une grosse envie. Il répondit que, vu l’occasion, il n’était pas pour une petite récompense personnelle.

Inutile de préciser que, dans ma tête, sachant que tout se sait dans ces petits villages, les soirées entre voisins devaient être plus qu’animées.

Pendant ce temps, j’avais eu le temps de me rhabiller intégralement. Le plus jeune des hommes me remit une couche de maquillage. Ma Maîtresse me replaça mon collier et ma laisse, puis elle et son amie m’emmenèrent traîner comme une chienne que j’étais devenu, dans la salle de bains pour me « refaire une beauté », dirent-elles.

J’en ressortis au bout de quinze minutes, remaquillé comme une véritable petite pute. Le voisin, n’ayant toujours pas obtenu sa récompense pour m’avoir libéré, revint à la charge.

Ma Maîtresse se tourna vers moi et m’ordonna de le sucer. Je la regardai en lui demandant : « Là ?
Maintenant, tout de suite, dehors, à la vue de tout le monde ? »

Comme simple réponse je reçus une fessée claquante qui me brûla le cul. Sans en attendre une autre je me dirigeai vers le voisin, me mis à genoux, enlevai sa ceinture, déboutonnai son pantalon, baissai son caleçon, et découvris une belle bite mi-molle que je pris en bouche immédiatement sous les applaudissements des trois compères.

Après avoir été nu dans le jardin, et au point où j’en étais, ce n’était pas une fellation qui allait me gêner.

J’entrepris de le sucer pour lui montrer ma gratitude de m’avoir libéré. A l’entendre, je lui fis une fellation mémorable. Il râla je de plaisir, son souffle s’accéléra. Je me déchaînai sur sa queue. Je voulais lui rendre ma gratitude, être à la hauteur de ma délivrance. Je léchai, suçai, alternai jeux de langue et succion, sur la hampe ou sur le gland. Je voulais lui faire plaisir en bouffant sa queue.

Dans un ultime va-et-vient, il se crispa et déchargea son sperme dans ma bouche.

Il était vidé, heureux et taillait des éloges sur ma prestation. Les autres restèrent sans voix.

J’étais fier de moi. Je gardai son jus en bouche, le montrai à tout le monde et je finis par l’avaler à genoux devant ma Maîtresse, dont les yeux brillaient de fierté.

Il me félicita et remercia ses voisins pour ce moment, en se congratulant de m’avoir « porté assistance », comme il disait.

Ma Maîtresse vint vers moi et me donna un tendre baiser pour me montrer sa joie et sa fierté. Enfin, aux yeux des autres, j’étais devenu une vraie petite pute, baisable, comme ils le souhaitaient.

A partir de ce moment de la soirée, plus rien ne fut pareil. Ce ne fut plus à quatre pattes ou à genoux - enfin pour le moment - mais debout, que je rentrai avec eux et fis connaissance du groupe : Julie, la blonde, Marc, son mari (le plus vieux) et Christophe, son beau-frère (par ailleurs son amant, détail que j’appris en fin de soirée).

Heureux de me voir enfin en petite pute, ma Maîtresse me félicitait et de sa fierté naissaient des compliments.

Nous passâmes à table pour un repas copieux et excellent, préparé uniquement par Julie. Les hommes, eux, s’étaient occupés autrement, comme ils disaient, en « faisant des sourires » à ma Maîtresse. Dans ma tête, pas de doute, elle avait eu droit à son tour dans le salon avec eux.

Au dessert, ma Maîtresse me raconta ce qui s’était passé pendant mon interlude dehors. J’appris que Julie et elle avaient gratifié les deux hommes d’un petit strip-tease érotique, que Julie avait léché ma Maîtresse pour exciter son homme et son amant, et que chacun à leur tour les hommes avaient pénétré les deux femmes.

Après cette confession, ma Maîtresse m’ordonna d’aller sous la table et de lui lécher le minou, afin de boire leurs spermes, la coquine ayant serré les cuisses tout ce temps pour me faire goûter leurs jus.

Sans plus attendre, je me glissai sous la table, découvris qu’elle ne portait plus rien dessous, et lui léchai son abricot, buvant sa liqueur, goutant en même temps aux spermes des deux hommes.

Alors que je m’appliquai à lui lécher le clito, à jouer avec les lèvres de son sexe, à happer son jus et le mélange qu’il y avait à l’intérieur, elle me plaqua la tête dans son sexe et se mit à hurler son orgasme.

Sous le regard des autres, je réapparus au-dessus de la table. Au vu de mes talents et de l’orgasme que je venais de donner à ma Maîtresse, ils devinrent tous jaloux et demandèrent leur part.

Me connaissant, et voyant dans mon regard mon envie de me soumettre au moindre de ses désirs, ma Maîtresse me guida de chaise en chaise, et c’est ainsi que je découvris les sexes qui avaient déjà pris l’air auparavant, mais pas pour moi.

Ma Maîtresse me fit commencer par celui de Julie, et c’est dans une même frénésie que, pour ma Maîtresse, je me plaçai entre ses jambes et que je m’attelai à lui donner du plaisir comme jamais.

Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir vu ma Maîtresse prendre son pied et avoir eu un orgasme, mais Julie partit comme ma Maîtresse à hurler.

Elle criait, je lui bouffais la chatte, mon nez rentrait dans son vagin avec ma langue, et c’est d’ailleurs comme cela qu’elle éjacula et me fit boire son jus, sa cyprine, son nectar.

Je la laissai reprendre ses esprits, toujours en regardant ma Maîtresse et en lisant la fierté dans ses yeux.

Sandra ne me laissa pas souffler. Elle me guida en premier vers Marc, pour y découvrir une bite pas longue mais grosse, qui me fit mal à la mâchoire. Au bout d’un moment, il sortit sa bite de ma bouche. Son plaisir, à lui, c’était l’éjaculation faciale. Il m’aspergea de cinq jets bien épais sur le visage. Du sperme riche, à en croire l’épaisseur.

Quand il eut finit de bien m’asperger, je lui léchai le gland pour en aspirer jusqu’à la dernière goutte. Une fois le gland propre, je ramassai avec les doigts son sperme sur mon visage, et les léchai en le regardant fixement dans les yeux, comme pour lui dire que son sperme était délicieux.

Toujours habillé en pute - je prenais maintenant cela au sérieux, je voulais en devenir une, et une bonne, rien que pour le plaisir de ma Maîtresse, et aussi pour le mien - j’avais envie qu’on se souvienne de moi.

Marc regarda ma Maîtresse et fit le compliment que j’attendais : « Putain, elle est bonne, ta pute; si elle baise comme elle suce, quel numéro ! » Ses paroles m’électrisèrent.

Fonçant sans attendre comme une chienne en rut sur Christophe, j’avalai sa bite d’un coup. Je la voulais. Elle était plus petite en épaisseur mais plus longue. J’avais envie d’entendre Christophe me traiter de pute et de bonne petite pute.

Je ne sais pas si c’est sa jeunesse, mais il fut plus difficile à faire jouir. Pourtant, je m’appliquai à lui donner une fellation digne des meilleurs films pornos. Et c’est à force de lui bouffer la bite qu’il me maintint la tête et partit par de petits jets au fond de ma gorge.

Quand j’eus finis d’avaler tout son sperme, et que je tirai la langue pour lui montrer ma gorge propre, il dit à ma Maîtresse qu’effectivement j’étais une sacrée petite pute, et une bonne en plus.

Voilà, enfin, j’arrivai à recevoir les compliments que j’attendais. Julie, ayant repris ses esprits, félicita son amie pour avoir trouvé une sacrée putain. Elle me regarda et me dit même : « Avec toi en petite pute, tu me fais changer d’avis sur elles ».

Je pus voir en elle son plaisir quand elle me lança ces mots. Ca y est, dans ma tête enfin j’étais une petite pute, et « une bonne petite pute », comme ils disaient. J’étais ravi de leur avoir donné du plaisir et d’être enfin reconnu comme pute.

Ma Maîtresse regarda Marc et Christophe. Elle leur chuchota : « Eh, les gars, c’est tout ? Après le plaisir que ma petite pute vous a donné, vous allez la laisser là comme ça sans reconnaissance ? »

Elle sortit un tube de lubrifiant anal et le donna à Julie. Un sourire apparut sur tous les visages. Ma Maîtresse avait trouvé le petit détail pour remettre tout le monde en appétit...

Elle me regarda, mais elle savait qu’elle pouvait déjà dire oui. Je lui souris comme pour la remercier, ce soir en plus, de devenir une pute pour les fellations. Et j’allais recevoir comme une pute dans mon cul.

Elle m’enleva mon string pour signifier le départ des festivités.

Julie me titilla la rondelle et commença à me préparer mon petit cul. Un, deux, puis trois doigts vinrent élargir mon trou. Elle avait des doigts fins qui me faisaient du bien. Elle fut d’ailleurs à deux doigts de me faire jouir (petit jeu de mots).

Quand Julie et ma Maîtresse furent toutes les deux d’accord sur la préparation de mon cul, Christophe commença.

Sa longue queue entra en moi pour mon plus grand plaisir. Il me ramona le cul en me tenant par les hanches.
Il m’asséna des coups brusques, comme pour mettre sa bite au plus profond de moi, et il y parvint, le salaud.

Dans un dernier va-et-vient où j’entendis son bassin claquer contre mon cul, je sentis son sperme chaud en moi. Je ne pus me retenir plus longtemps, je me mis à éjaculer sur ma mini-jupe et sur la moquette. Je me déversai comme lui se déversait en moi. Je sentis son sperme chaud à l’intérieur de moi, c’était bon, j’étais à quatre pattes, le cul relevé, offert, ouvert par cette queue qui m’avait défoncé et qui s’était répandue en moi.

Et c’est ainsi, à moitié remis, que je sentis Marc approcher son gland. J’eus un peu peur et fis un mouvement de recul. Il m’attrapa par les hanches et me dit : « Ne t’inquiète pas, ma petite putain, je ne vais pas te faire de mal, je veux juste ton cul ! »

J’étais fébrile, j’avais peur en revoyant dans ma tête la fellation, ce gland énorme qui m’avait fait mal à la mâchoire. Julie comprit ma peur, elle se plaça devant moi pour m’occuper l’esprit avec son minou.

Ma Maîtresse se posta aussi de dos devant moi, et m’ordonna de lui titiller le cul.

Dès que je commençai à lécher Julie, Marc en profita. Il m’arracha le cul. Je ressentis une douleur énorme en moi. Il était trop gros.

Il m’avait défoncé l’entrée du cul. J’en pleurais.

Peu à peu la douleur s’estompa. Marc continua à me labourer le cul, jusqu’au moment où il n’en put plus, et où il laissa aller la purée, comme l’avait fait son frère auparavant. Son sperme m’inonda le cul, se mêlant à celui de son frère.

Ce soir, j’étais devenu le réceptacle à foutre de la fratrie. J’étais la putain de la famille, celle qu’on baise entre frères et qu’on se partage. Je saignais du cul mais j’étais fier. J’avais prouvé à ma Maîtresse que je faisais ce qu’elle voulait, que j’étais son jouet, son soumis.

Elle se mit à genoux devant moi, m’embrassa pour me montrer toute sa fierté. Je lui rendis ce baiser langoureux.

Je m’allongeai comme pour me reposer, tout en regardant devant moi. Ma Maîtresse voulut à son tour me faire plaisir en se donnant aussi. Elle fut prise par tous les trous par Marc et Christophe. Elle eut droit en plus à un double vaginal devant moi.

J’eus même une surprise, en guise de cadeau d’anniversaire : un show lesbien entre elle et Julie, et le droit de les pénétrer toutes les deux. Bien évidement, je suis passé en dernier, donc mon sperme baignait dans celui de Marc et Christophe.

Bien habillé en pute, ce soir j’avais eu la permission de ma Maîtresse de donner du plaisir comme une femme.
Je regardai ma Maîtresse en la remerciant du regard.

Je pensais la soirée terminée quand on sonna à la porte. Tout le monde reprit rapidement ses esprits quand Christophe annonça qu’il s’en occupait, ce qui permit à tous de replonger en douceur dans un état second.

Mais, en fait, Christophe avait téléphoné au voisin et à deux de ses copains pour qu’ils viennent s’occuper de moi.
Sans attendre, j’eus trois bites à sucer, une que je connaissais déjà, et deux autres plutôt calibrées dans la normale.

Et quand Christophe eut vanté mes talents de pute, je me suis lâché sur eux. J’ai de nouveau sucé, branlé.
Quel bonheur de sentir leurs lavements dans mon cul, de sentir les giclées de jus inonder mon petit trou et mes entrailles.

Quand le dernier se fut vidé en moi, je demandai un bol, le mis sous mon cul, attendis que le sperme coule et je bus tout devant eux.

Ils m’applaudirent ! Ma Maîtresse, au départ sans voix, m’envoya un baiser et un clin d’œil.

Toute la soirée, je fus vraiment une sacrée bonne petite pute. Chacun leur tour, ils m’éjaculèrent sur le visage, dans la bouche et dans mon cul.

Christophe m’en remit même une fournée.

Toute la soirée, j’ai bu leur sperme, je me suis régalé. J’ai vraiment été une gorge à foutre. Ils m’ont traité de putain, de sac à foutre, de bouffe sperme, de réceptacle à foutre. Eh bien oui, ce soir-là, après avoir entendu leurs compliments et leurs cris de plaisir, j’étais vraiment devenu une salope de pute, une bonne pute à baiser, comme on dit.

Ils ont tous été contents, satisfaits !

Moi aussi, d’ailleurs, j’ai été content et satisfait.

Ma Maîtresse a été fort fière et heureuse de m’avoir vu comme cela.

Une fois rentrés, elle m’a avoué que tout avait été planifié, et qu’elle s’était assurée des tests, car on reste quand même vigilants.

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