Sylvia (2)
Chers lecteurs et lectrices : Lors de la publication de la première partie de ma 1ère histoire, il y manque la fin ! Probablement une erreur de manipulation de ma part. Je vous prie de men excuser, et vous présente la partie de texte manquante, qui reprend à partir de la dernière phrase. Merci de votre compréhension, Voilà donc ce qui manquait !
********
««« Ce sexe de ma presque belle-fille, dont je rêvais décarter les grandes lèvres et den déguster les sécrétions est un une grosse et longue bite, une queue raide quelle enfonçait à grands coups de reins dans le fondement de mon fils, à genoux, pris comme une femelle !! Sa petite amie
sa maîtresse, est un transsexuel
Jaurais dû me sentir honteuse, eh bien non ! Jai aimé ce que je voyais. Cette sodomie un peu violente accompagnée de grandes claques sur les fesses ma achevée
Elle/ Il sest retiré, la retourné, la saisi par les cheveux dune main, et de lautre sest masturbé jusquà lui décharger sur la figure. Cest en voyant les giclées de sperme sécraser sur le beau visage de mon fils chéri, que jai joui, comme jamais, vraiment comme jamais !!
je lenviais !!
Jai compris que ce que javais pris le matin pour une dégustation de chatte était en réalité une fellation
il lui taillait une pipe
sûrement quil a avalé
là aussi jaurais aimé être à sa place !!!
Ils sont repartis le lendemain matin. En les embrassant, la tête pleine des images de la veille au soir, jai appuyé mes baisers, mon Sacha, rasé de près, le visage bien lisse, sentait le parfum
Dommage
ce nétait pas le bon !!
Sylvia ou
?
son souvenir ne me quittera pas. En la voyant séloigner, je me suis rappelée une chanson de Barbara
Dis, quand reviendras-tu ?
En regagnant la maison, avant que mon mari ne laperçoive, je suis allée récupérer ma culotte restée accrochée au bas dun troène
je ne la laverai pas
odeurs
souvenir
envies !!
Fin
pour aujourdhui »»»
Sylvia (1)
NAT-LM 05/2013
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Suite, Sylvia (2)
Il y a déjà une semaine que jai fait la connaissance de Sylvia.
Jai déjà connu cette espèce de vertige
cette sensation de glissade vers le vice, vers une dépravation sexuelle qui mattirait, et que je redoutais parce que je savais que je ne pourrais plus men passer. Vous vous rappelez
quand je me suis offerte en levrette à mon mari et quil a préféré finir en « pose pépère »
quand je rêvais de lengloutir dans ma bouche
de le sentir heureux, de boire son plaisir
que jétais obligée de prendre sur moi avec mes doigts et les lécher pour avoir le goût de nos sexes
Cest à ce moment-là quun minuscule germe de limmoralité sest implanté en moi, insidieusement
et y a trouvé un terrain propice pour se développer .
Jai commencé à regarder les hommes autrement. Je nen avais jamais connu sexuellement parlant, dautre que le mien. Adolescente puis jeune fille, introvertie, super timide, seule la masturbation apaisait mes envies, pas souvent et maladroitement, Je me croyais frigide. Le mariage
plus par convenance que par sentiment, et puis quand-même, il était beau, alors je me suis dit
autant franchir le pas avec lui !
Je me suis rendu compte que je nétais pas frigide.
Après un arrivé assez vite, (je lai déjà dit), des conversations entre femmes mont
ouvert les yeux
je devrais plutôt dire lesprit, mais si vous avez lu le début, vous savez déjà!
Donc, je me suis mise à mintéresser aux mâles en général, pas à un ou deux en particulier, et les visages nétaient pas mon principal point dintérêt. Au début, cétait lété, le temps des shorts, courts, longs, serrés ou très amples. Les premiers moulaient joliment le paquet que les hommes ont entre les cuisses, la plupart du temps au repos mais quelquefois certains devaient se sentir bien à létroit tellement le tissu était tendu. Assis sur des bancs publics, les bras en arrière autour du dossier, jambes allongées un peu écartées, ils exhibaient sans pudeur leurs érections, dont quelques- unes paraissaient de fort calibre. Jai vu deux bonnes surs, pas en cornettes, mais quand-même ça se voyait, jeter un regard hypocrite, la bouche en « O »
réflexe naturel denvie, ou marque de surprise ?
et se parler tout bas la main devant la bouche
- Sur Adèle, vous avez vu lhomme au bout du banc ?
- Oh oui sur Marthe, justement, je me demandais si
..
- Si quoi ?
- Si elle était plus grosse que celle du jardinier
- Ça je ne suis pas sûre, mais que celle de notre vicaire
cest certain
et un rire secoua leurs épaules
le rire était vrai
les mots sont ceux que jaurais aimé entendre.
Jaimais aller me promener dans les allées du Bois de Boulogne qui était proche de nos bureaux. Un jour jai remarqué un homme sur un banc, avec un short genre bermuda en coton léger, aux jambes trois fois trop larges, et sûrement quil lavait fait exprès, étaient remontées assez haut
assez pour laisser voir à lintérieur, ramolli et pas très gros, mais long, un pénis circoncis reposer sur le haut de la cuisse près de testicules quil fallait presque deviner dans une broussaille de poils blonds .
Cette pensée embrasa lintérieur de ma petite culotte qui devint toute humide .
En quelques secondes, jeus la vision dentrer avec lui dans le bois, comme les putes qui en arpentent les allées ( peut-être quil me prenait pour lune delles) quil me demanderait combien ça coûte pour une pipe
de me baisser, même me mettre à genoux pour prendre dans ma bouche sa queue qui devait sentir et goûter la sueur et le sexe, peut-être aussi le pipi, et le sucer jusquà recevoir les giclées de sperme au fond de la gorge, car je savais que les putes, dans le bois, elles ne baisent pas
elles ne font que sucer
sauf des fois, la nuit tombée, penchées en avant, se tenant des deux mains à un tronc darbre, elles se font mettre comme ça , par en arrière
Mais voilà, même si jen aurais crié denvie, je nétais pas une fille du bois
et puis quand ces filles- là se font baiser, elles ne jouissent pas, et moi je voulais jouir et que ça sentende. Jai été prise de panique, réalisant dun coup que je nétais pas capable dassumer mon délire
jétais éveillée mais je butais sur un rêve
un rêve douloureux qui me vrillait le ventre
un rêve de perversion qui me torturait de lenvie dêtre ce que je nétais pas
une PUTE, mais pas une pute qui se ferait payer
une pute genre salope, gratuite, ouverte pour qui en voudrait
Ce jour- là, un homme a dû me prendre pour une folle.
étiré les jambes de son short en bas de ses genoux, au- dessus de ses mollets poilus, et sest dirigé vers moi, aucune marque dérection apparente, comme prise de panique, je me suis sauvée, presque en courant, jusquà lallée principale où je me suis fondue dans le flot des promeneurs. Avais-je été victime de mon imagination débordante
de mon envie obsédante de sexe différent de la routine habituelle, toujours est-il que je nai retrouvé mon calme quassise sur le siège de la toilette du premier café rencontré en me rafraîchissant lentre cuisse avec leau de la cuvette, sans même me poser la question, à savoir si la chasse deau avait été actionnée après le dernier usage !
Je my suis rafraîchie longtemps, tant et tant que je my suis réchauffée, que mes doigts nont cessé, les uns en caresses circulaires saccadées, les autres dans un va et vient pénétrant, de sagiter dans mon sexe jusquà me faire jouir violemment
Jamais je navais eu autant de plaisir à me masturber
avec des images en tête
celles dune obsédée qui me ressemblait
à genoux devant un homme inconnu assis sur un banc
heureuse de déguster ce sexe long et dur qui je le savais ne demandait quà me remplir la bouche de ce que mon mari me refusait .
Javais dû être un peu bruyante, ce qui a attiré lattention
quand je suis sortie, la porte de la cabine voisine sest ouverte et jai entendu
psitt psitt
je me suis retournée et vu un homme à poil, petit, mais avec une queue énorme en train de se branler dune main, en se tenant les couilles de lautre . Jai eu envie de rester
jusquau bout, pour voir le sperme gicler
ça non plus, je navais jamais vu autrement quen photo ! Jai failli écouter mon envie, mais il savançait vers moi
allait-il me demander de le sucer ? allait-il décharger sur moi
sur ma figure
dans mes cheveux ? jai réalisé que là, ce nétait plus un fantasme, et pour la deuxième fois en peu de temps, jai eu peur et me suis sauvée sans me retourner. Je nai même pas remarqué si jétais entrée par erreur côté « hommes » ou si cétait lui qui aimait sexciter et sexhiber côté « femmes
Les semaines
les mois qui suivirent, je ne pensais quà ça. Le matin à 7h, après le départ de Daniel mon mari
après un baiser furtif, presque banal, celui que jaurais voulu amant impulsif, inventif et gourmand, me laissait sur ma faim de caresses. Un jour, surmontant ma gêne
visite chez la coiffeuse, et jai osé, je suis allée dans un sex- shop, teinte en blonde et coiffée différemment, à peine reconnaissable. Je savais ce que je voulais. Sur le catalogue que mavait donné mon amie Louise avec un petit sourire complice, javais fait le choix dun gode vibrant, de la taille de la queue de mon mari, et dun autre jouet plutôt fin, dune dizaine de cm de long
une souris anale que cétait marqué
ce serait meilleur que mon doigt un peu court !
Moi, je ne travaillais quen après-midi , alors le matin, une fois mon petit Sacha conduit à la maternelle, je me remettais dans le lit et moffrait une séance de baise solitaire qui diminuait ma frustration, malheureusement sans le sperme dont lenvie me faisait toujours saliver, mais au moins je jouissais, et puis je pouvais embrasser, lécher et sucer autant que je voulais mes jouets-amants pleins de mes odeurs et de mes liquides
je me sentais vicieuse, je me traitais de salope, jaimais ça !
Bien sûr je nen parlais à personne. Puis en blonde, je ne maimais pas
quand je me caressais, cuisses écartées devant mon grand miroir, mes cheveux étaient une tâche trop claire, qui me faisait une tête ridicule à côté de labondante toison foncée qui garnissait mon ventre et me remontait jusque dans la raie
je suis redevenue brune . Mon « cher » mari lui, avait lair de sen foutre complètement ! Mon jeune fils, du haut de ses 3 ans1/2 a déclaré dun ton convaincu que jétais belle comme ça, quen « jaune», il ne maimait pas!
Il avait de la graine de séducteur
enfin, cest ce que je croyais !!
Un samedi matin, Sacha étant chez une de ses grand-mère pour le week-end, et Daniel pour un voyage de pêche de deux jours, Louise est venue prendre le petit déjeuner avec moi.
À un moment, elle ma demandé :
- Et puis ma belle, depuis le temps, tu mas pas dit
le catalogue, ça ta plu, as-tu trouvé quelque chose à ton goût ?
Cétait vrai que je ne lui en avais jamais reparlé , jai été surprise et jai un peu bafouillé
- Bien
cest que
- Allez, fais pas ta timide. tu sais, je connais ça, je men sers depuis longtemps
jaime toujours autant
- Oui
cest vrai ?
- Bien sûr ma belle que cest vrai, jen ai plusieurs, un jour si tu veux, je te montrerais mais là, tout de suite
en as-tu acheté ?
hein ?
- Oui, deux
tu veux voir ?
- Ben voyons, certainement
Un peu gênée quand-même jai sorti la petite boite de sa cachette et lai posée sur le divan où elle est venue me rejoindre.
- Tiens
- Oh quils sont mignons
et est-ce que tu ten sers toute seule ou Daniel participe ?
Là, jai vraiment failli m ! Mêler Daniel à ça !!!
Encore plus mal à laise, jaurais voulu disparaître, je narrivais pas à sortir un son, à articuler le moindre mot, javais chaud, je respirais avec peine, puis dun seul coup, comme si la pression devenait insoutenable, jai éclaté, je me suis libérée et jai étalé ma frustration accumulée depuis trop longtemps. Jai parlé
parlé, racontant sans marrêter,
en termes vrais et crus (que je pensais souvent mais que je nexprimais jamais à haute voix devant quelquun), la sécheresse de ma vie sexuelle
disant mes envies de sexe cochon, comme ce que je lisais dans des livres pornos
mes envies de me faire demander, même imposer toutes sortes de choses
lenvie que mon mari devienne un partenaire plein de fantaisie
un amant inventif, vicieux, qui se servirait de moi pour assouvir ses désirs les plus pervers
et me faire jouir comme ça !!
Javais conscience que je devais donner limage dune obsédée surexcitée, mais jai été jusquau bout, il fallait que je me vide. Une fois vidée, redevenue sans voix, jai réalisé la portée de ce que je venais de dire et toutes les pensées affreuses que Louise aurait sur moi, et jai éclaté en sanglots. Jai vu dabord son petit sourire, plein de douceur et dans ses yeux beaucoup de compréhension. Je me suis sentie mieux.
Elle a ôté la boite, sest approchée, dun bras, ma affectueusement entouré les épaules et cest sur la sienne que je me suis détendue pendant quelle me caressait les cheveux. Je me sentais bien, elle me parlait doucement, elle aussi avait connu des moments difficiles, elle sest mise à me raconter
doucement, calmement. Entre deux confidences, elle me donnait des baisers dans les cheveux, sa main me caressait lépaule, puis la joue
le cou, puis elle na plus parlé, elle me serrait contre elle, je mabandonnais à sa pression, je me sentais bizarre, je frissonnais et javais chaud. Je pressentais que quelque chose allait arriver
bien sûr je savais quoi et je navais pas envie de lutter
seulement de me laisser guider
Quand de son autre main elle ma caressé la joue, je me suis tournée vers elle et ai fixé mes yeux dans les siens pour quelle y lise bien que jétais prête à aller jusquau bout. Je navais jamais imaginé avant, quelle avait le goût des femmes, et même à ce moment- là je nen étais pas certaine
mais jaurais été malheureuse de mêtre trompée.
Doucement elle ma pris le menton, et lentement
trop lentement, a approché son visage
jattendais bouche entrouverte mon premier baiser dune femme. sa bouche à la recherche de la mienne, jai cru défaillir. Un baiser comme jen rêvais, à pleine bouche, nos langues senroulant dans le bain de nos salives qui coulaient sur nos mentons, une de ses mains mappuyant sur larrière de la tête et jautre passant sous mon tee-shirt pour me prendre les seins et pincer les tétons. Puis, sentant sa main descendre et relever ma jupe, jai écarté les cuisses le plus que je pouvais, regrettant davoir mis une culotte. Ce ne fut pas un grand obstacle, elle la écartée et a tout de suite pris mon bouton entre deux doigts
jétais mouillée comme je ne me rappelais pas lavoir déjà été autant. jai jouis presque tout de suite
mais ce nétait pas fini .
Elle me pénétra dun doigt, puis de deux, tournant
vrillant, son pouce massant mon clito dur à en être douloureux
mais que cétait bon
je voulais quelle sache tout le plaisir quelle me donnait
oh oui
oh oui
que cest bon
cest tout ce que jarrivais péniblement à dire, la bouche collée à la sienne
Et ce fut le coup de grâce, elle retira ses doigts de ma chatte et y introduisit le pouce et accentua son va et vient, profond, viril, et jai joui en criant mon plaisir quand son grand doigt est venu entre mes fesses, et quelle me la enfoncé dans le cul, Jai cru défaillir tellement cétait fort
elle me caressait en me mordillant doucement tout le tour de la bouche
sa main est remontée, elle la approchée de mon visage, elle était toute luisante du liquide de mon sexe, Je lai embrassée
jai ouvert la bouche
elle ma donné ses doigt à sucer, toute sa main à lécher
je me sentais
je me goûtais
je me demandais
si je ne rêvais pas
Elle me prit dans ses bras et un baiser me rassura
cétait vrai !
Elle me berçait comme un gros bébé, mes sens apaisés, comblée, jai senti mes yeux se fermer sur la vision de son visage avec ses taches de rousseur, illuminé par ses brillants yeux verts, et encadré de ses magnifiques cheveux roux, avec des mèches collées sur son front
elle avait eu chaud
elle mavait donné du plaisir
je saurai le lui rendre!!
Je voulais parler de Sylvia, mais je ne pouvais quy penser
alors jai préféré attendre
et puis les souvenirs, des fois
ça fait aussi du bien
.
Elle va revenir
Il faut quelle revienne
!
Je vous raconterai
Sylvia (2)
NAT-LM 05/2013
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