Le Lendemain Matin De L'Apéro Au Bord De La Piscine

Au petit matin, c'est à dire vers 9h30, nous nous réveillons Myrice et moi après avoir passé une nuit plutôt agitée. Car, l'apéritif, sur les bords de la piscine d’hier soir, nous avait mis en appétit. Je passe sur les détails. Ma tendre partenaire se tourne vers moi pour me dire bonjour et, à sa surprise constate que mon sexe est encore à la verticale, dur comme un morceau de bois.

Bonjour mon chéri. Tu as une de ces formes ce matin. Comment fais tu pour bander comme ça tout le temps ?
Et bien, à vrai dire, je n'en sais rien. Je pense quand même que tu y es pour quelque chose... Mais bonjour quand même. Tu as bien dormi ?
Oui, mais pas beaucoup. Tu n'as pas arrêter de me harceler. Tu te rends compte. On a fait l'amour trois fois cette nuit.
Ok, tu vas pas me dire que tu n'as pas apprécié quand même ?
Si mon chéri, c'était super bon, et j'ai bien envie de recommencer. Et a voir ta belle banane dure comme ça, je crois même que tu vas encore me faire jouir de bon matin.
Tu en es sûre ? Tu voudrais pas prendre le petit déjeuner plutôt avant ?
Oui, on verra plus tard pour le petit déjeuner.

A ces mots ma belle sœur, se jette sur la banane rose toute chaude et, commence à la sucer avec une telle envie que j'ai cru, un moment, qu'elle allait me l'avaler toute entière. Moi, pendant ce temps, j'en profite pour lui caresser sa fente, déjà, humidifiée par le désir et, lui titiller son bouton d'amour. Puis un de mes doigts s'aventurant sur les bords de ses lèvres finit par glisser à l'intérieur de la vallée d'amour de ma petite amie. Là, je m'aperçois qu'elle est déjà passablement mouillée. A ce moment là, je lui dis en riant.

Attend Mimi, vas y doucement. Elle va pas fondre. On a tout le temps. Il n'y a pas d's à conduire à l'école que je sache.
Je sais. Mais c'est tellement délicieux. Même au réveil c'est bon.
Alors attend, mets toi à califourchon sur moi. Comme ça, je pourrai, aussi, partager ton bonheur.

Je vais te déguster ton bel abricot bien mûr et bien juteux.

Myrice se retourne pour se mettre en position, m'offre ses belles fesses et sa délicieuse fente que je m'empresse de lécher avec ardeur et application.
Dans les minutes qui suivent, ma belle sœur préférée, tout en suçant le bâton à la crème de vanille, commence à soupirer puis, à gémir de plus en plus.

Soudainement, elle relâche le bâton et me dit.

Oui vas y. Ne t'arrête pas. Je jouis.
Déjà !!!
Oui. Et c'est bon, tu peux pas savoir.

Bref, l'un comme l'autre, nous reprenons le travail pour que la jouissance de ma partenaire ne retombe pas trop vite. Quelques instants plus tard, Mimi chantonne de plus en plus et, sa chatte brûlante me déverse, dans la bouche, son délicieux liquide qui m'enivre.
Là, je lui demande si elle est prête à recevoir l'assaut de son guerrier qu'elle aime par dessus tout. Sans attendre, elle me répond.

Oui.
Alors moi aussi.

Comme j'étais couché sur le dos, elle se retourne pour venir m'enfourcher, se met à genoux sur mes cuisses. Avec délicatesse, elle prend dans sa main droite ma verge et la dirige vers sa fente. Une fois en face, elle se laisse redescendre lentement jusqu'à l'engloutir totalement au fond de sa fournaise.

Ça va bien comme ça. Maintenant, je ne bouge plus. Je reste immobile.
Si tu veux. Comme ça, nous serons pas trop fatigués... !
Non, je vais pas te faire ça. Et puis, si je reste comme ça, comment je vais faire pour jouir, moi ?
Ça, c'est vrai.

Et, à ces mots, ma belle partenaire commence à monter et à redescendre lentement sur ma verge en feu. Car, après la fellation qu'elle m'avait faite auparavant, elle m'y avait mis le feu. Petit à petit, elle accélère les mouvements. Et bien sûr, une bonne dizaine de minutes après, ma belle sœur est parti pour son second orgasme de la matinée.
Connaissant parfaitement Mimi, je savais très bien que nous n'allions pas en rester là.
Donc, après cette position d'Andromaque que j'aime bien aussi, car peu fatigante pour l'homme, ma partenaire se relève et me demande.

Dis moi mon chéri, tu me fais la levrette ? Tu sais combien j'aime ça... !
Il n'y a pas de problème. Tu sais que, comme je le dis souvent, ce que femme veut, homme ne peut refuser.

Donc, voilà ma belle sœur qui s'installe à quatre pattes les jambes largement écartées et ainsi, m'invite à venir la rejoindre.

Je suis prête, si Monsieur veut bien venir visiter l'intérieur de mon minou tout chaud...
Et aussi bien mouillé...
Allez, dépêche toi, j'ai envie. Ne me laisse pas trop refroidir.
Oui Madame. Le marteau piqueur est prêt. Il arrive avec sa grosse banane rose.

Je me présente derrière elle, la verge à la main puis, d'un seul coup de rein, je pousse et me retrouve tout au fond de son cratère en feu. On aurait dit un volcan en éruption. Je commence par de petits va et vient lents, histoire de remettre la machine à faire jouir en route. Mais, la demoiselle n'est pas satisfaite de ce tempo. Elle trouve ça bien trop lent. Elle commence à accélérer d'elle même pour donner plus de vigueur au mouvement. Bien sûr, avec un tel rythme, ma belle sœur entame très vite sa chansonnette. Et, au plus le rythme s'accélère, plus les gémissements et les petits cris s'accentuent, jusqu'au point ou ma belle sœur s'est envolée pour un nouveau périple dans les étoiles.

Pour ma part, je peux vous dire que je suis aux anges aussi et, que cette position, ma préférée, me fait à chaque fois fantasmer du fait de garde en point de mire sa petite rondelle plissée que je vais, plus ou moins tard, lui perforer. Car, je sais, aussi, qu'elle va me le demander.

Une dizaine de minutes plus tard, après avoir bien joui comme une dingue, Mimi me dit d'une voix encore haletante.

Tu sais régis, tu es un Dieu. Tu me fais jouir comme personne ne l'a jamais fait.
Merci Mimi.
C'est flatteur pour moi. Mais tu sais, je ne suis pas meilleur qu'un autre. Je n'ai ni un sexe plus volumineux, ni plus long ou quoi que ce soit d'autre.
Bon, maintenant que ça va un peu mieux. Je peux te demander quelque chose.
Oui bien sûr. Mais, je crois savoir quand même ce que tu vas me dire.
C'est pas gentil. Mais, je te le demande quand même. Prends moi ma petite rondelle. J'en ai envie.
Tu vois ma chérie, j'avais deviné juste. Car, si tu ne me l'avais pas demandé, je te l'aurai proposé. Depuis tout à l'heure, je l'observe et à force, l'envie de te la prendre est venue comme une obsession.
Alors, on y va. Me fais pas attendre.
D'accord.

Restant à quatre pattes et les fesses toujours aussi ouvertes, ma belle partenaire m'attend en silence. Je prends le tube de gel anal. J'en prends une bonne dose et, lui enduit le pourtour de son petit trou. A tant qu'à faire pour faire comme il faut, je lui fais bien pénétrer le gel à l'intérieur de son orifice tout d'abord avec un puis, deux doigts. La petite rondelle plissée commence à s'ouvrir de plus en plus et, une fois bien dilatée, je présente à l'entrée ma grosse banane plantain rose qui est toujours aussi raide.
Deux ou trois petites poussées suffisent pour me retrouver à l'intérieur de ce fourreau étroit, mais tellement exquis. Mimi, pousse un petit gémissement de satisfaction et, me demande d'y aller.

C'est lentement que je commence cette sodomie que je vais essayer de la faire durer le plus longtemps possible. Mais ma douce partenaire, elle, avait envie que je la fasse jouir le plus rapidement possible. Alors, comme tout à l'heure, elle prends, à nouveau, les commandes des opérations. Elle accélère les va et vient à sa guise. Comme ça ne suffisait pas comme ça, elle se masturbe joyeusement son bouton d'amour et là, j'ai retrouvé ma belle sœur chantant, cette fois sans retenue aucune, sa chanson dont les paroles sont communes à toutes les femmes en jouissance, mais sans mots vulgaires.


Notre joute dura un gros quart d'heure et peut être même plus. Et finalement, au bord de effondrement mutuel, je lui décharge, tout au fond de son petit trou, une abondante giclée de sperme chaud.

Une fois retiré de ce fourreau qui donne tant de plaisir, Myrice vient se blottir contre moi, m’enlaçant de toutes les forces qui lui restaient pour me donner un sublime baiser auquel je ne pouvais que répondre avec le peu d'ardeur que j'avais encore après cet exercice que je qualifierais de sportif de très haut niveau. Car, faire l'amour avec elle n'est pas une sinécure.

Quelques minutes passèrent. Nous prenons une bonne douche pour nous revigorer, puis nous descendons prendre notre petit déjeuner avec nos amis Stéphanie, Marie, André et Didier, qui nous ont un peu raconter leurs histoires. Car, pour eux aussi, la nuit fut aussi étoilée que la notre.

Bien qu'André soit plutôt réservé, il nous a confié que la bien charmante Marie n'avait aucun point commun avec la mère de Jésus. Tout au contraire, elle est plutôt experte en matière de sexe.

Suite à l'apéritif, hier soir, au bord de la piscine où ça a déjà bien commencé, lorsque nous sommes arrivés dans la chambre, après une petite douche, Marie est venue me retrouvée sur le lit avec la ferme intention de remettre le couvert, comme on dit chez nous et, c'est bien ce qu'elle a fait.
Elle s'est jetée sur mon sexe qui a mit moins de temps à se raidir qu'il n'en faut pour un poulet... Bref, je n'ai pas eu le temps de me retourner qu'elle m'avait déjà coller son minou sur le nez que je me suis empresser de brouter. Vous me connaissez. Je ne suis pas un gougeât. Et la suite, là, est incroyable. Vous allez me dire que je fabule. Pas du tout. C'est pas compliqué, elle a pris la direction des opérations et, je n'ai eu qu'à effec ce qu'elle désirait. Elle m'a fait faire toutes les positions qu'on puisse imaginer. C'est vraiment le pied de faire l'amour avec une fille comme Marie. Elle m'a mis sur les rotules. Vous savez, je ne regrette pas d'être venue au Cameroun pour ces quelques jours de vacances.

Donc, pour toi ça a roulé comme tu as voulu ?
Ah oui. Et je lui ai donné, même, rendez-vous après midi.
C'est bien ça André. Ma copine te plaît bien alors.
Oui. Elle est super. Et en plus, tu sais, elle est très sympa.

Et toi Didier, comment ça a marché avec Stéphanie ?

Si je vous dis bof, vous allez me dire que je suis un menteur et, vous aurez raison. Non, au contraire. Comme vient de vous raconter André, avec Stéphanie ça a été peut être pire.

Déjà, lorsque nous sommes rentrés dans la chambre, nous avons remis ça tout de suite. Elle m'a fait remonter le moral en deux temps trois mouvements. Je vous raconte pas comment elle suce. C'est phénoménal. Elle a un coup de langue qui ferait même bander un mort.

Pour que les choses soient équitables, je lui ai rendu la pareille. Je lui ai léché sa fente, et son clitoris qui c'est mis à gonfler. Même que j'en ai été surpris. Elle a un de ces boutons d'amour qui ressemble, presque, à petit pénis. Je vous le jure. Je peux vous dire que c'est délicieux à sucer.
Bien sûr, nous avons fait comme tout le monde. En matière de sexe, il y a longtemps qu'on a plus rien inventé. Mais, je dois vous dire que le demoiselle a un appétit d'ogre malgré sa petite taille. Par contre, dans la nuit, elle m'a réveillé pour me redemander de lui faire à nouveau l'amour. Ce que j'ai bien sûr accepté avec beaucoup d’enthousiasme et cette fois, je lui ai proposé de la sodomiser. Et bien, vous n'allez pas me croire. Elle m'a dit oui. Ça à été un truc fantastique. Même si pour elle, c'était la première fois, elle a pris son pied et, moi aussi. Une jeune femme qu'on connaît que depuis quelques heures qui vous offre son intimité à ce point. C'est vraiment incroyable.

Myrice, tu as une copine super sympa. Je crois même que je vais revenir plus souvent au Cameroun quand j'aurai passé mon brevet de pilote.
En attendant, elle m'a dit qu'elle revenait, cet après midi, pour nous faire découvrir la région. Je pense que c'est une très bonne idée.

En conclusion : Voilà comment une rencontre furtive peut se révéler aussi une bonne partie de fesses et, finir, qui sait, en une histoire de bons copains complices.

Zizoulabellequeue

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