Mon Grand Chef
Evidemment, je lui avais demandé des explications... Et il m'avait dans un sens remise en place !
- On couche ensemble presque tous les jours, on dort ensemble presque aussi souvent ! On se faisais tous le temps des messages, c'est comme si on était ensemble ! Lui dis-je sur un ton énervée.
- Tu m'avais fais comprendre que tu ne voulais pas te mettre sérieuse, mais que tu étais d'accord pour que l'on se fasse des corps à corps, moi tout ce que je voulais c'était être en couple, tranquillement, posé et tu ne m'offrais pas cette possibilités, ma copine, elle, bien... Et maintenant tu me dis que l'on était presque en couple ? C'est trop tard.
La suite sont des phrases qui reviennent toujours à ceci, en bref j'étais détruite, en fait, j'étais tombée amoureuse et je suis certaine que lui aussi ! Mais il avait quelqu'un.
Au travail, cela se vit, je sortais souvent pour aller aux toilettes et pleurée, je me "laissais allée". La secretaire qui connaissais ma relation, ayant elle-même une relation avec un autre ouvrier me parlait souvent, me consolais... Mais un jour je fus convoquée au bureau.
- Bonjour, Mademoiselle, asseyez-vous.
- Bonjour, oui...
- Dites moi, actuellement avez vous des problèmes au travail ou des problèmes personnelles ?
- Des problèmes personnelles, monsieur. Répondis-je.
- Ceci ne me regarde pas, mais j'aimerais autant pour vous que pour votre travail que vous vous ressaissisiez...
- J'y tacherais monsieur... Dis-je les larmes qui commençèrent à monter.
- Vous êtes un bon élément et j'aimerais sous peu vous faire signer un contrat, essayez de vous ressaisir svp.
- Bien monsieur, je vais essayer.
- Vous êtes libre ce soir ?
- Oui, pourquoi ?
- Seriez-vous tentez de discuter autour de repas avec un vieil homme ?
- Ne dites pas de bétises, vous n'êtes pas si vieux ! Oui, pourquoi pas ?
- Très bien, que diriez-vous que je passes vous chercher à 20 heures ?
- C'est parfait pour moi.
- Vous pouvez disposez et svp souriez ça vous va beaucoup mieux !
Je sortis du bureau et retournais au mien, j'avais du mal à me concentrée, toujours perdue dans mes pensées, la journée se terminais et je rentrais chez moi, arrivée chez moi, j'ai encore versée quelques larmes... Je suis partie me laver et puis me reposer un peu dans le divan, je finis ensuite par aller m'appreter et il arrivait.
Je sortis et rentrait dans sa voiture et il démarrais, sur la route, nous discutions de tout et de rien, nous arrivâmes au restaurant, un restaurant chic, j'étais peut-être pas spécialement habillée en conséquence, enfin tant pis, il ne m'avais pas prévenue !
On commandait à manger, il commandait un "bon" vin et on discutait de tout et de rien, je finis par lui dire que j'étais restée 3 mois 1/2 avec un garçon et qu'il m'avait quittée pour une autre, sans lui dire qu'il travaillait chez nous...
Je finis saoul et il décidait de me ramener.
- Et bien bonne soirée Mademoiselle, merci d'avoir accepté de diner avec moi !
- Oh, ben, de rien ! Vous voulez boire un dernier verre ?
- Oh non, demain je dois me lever tôt et vous aussi !
- Aie, oui, c'est vrai ... Mince !
- Allais je vous dispense de la matinée, je pense que vous n'allez pas trop être en état !
- Merci, allais venez boire un dernier verre ! Je vous l'offre !
- Bon, puisque tu insistes ?
On montait alors chez moi, j'ai vu qu'il regardait tout et il me complimenta sur mon appartement, je lui servis un verre d'eau, je lui avais bien proposé autre chose mais il ne voulu rien d'autre, assis chacun sur un divan, je me mis à parler un peu de trop !
Ca donnais :
"On baisais comme des bêtes tous les jours !" etc etc... Bref, pas les sujets que l'on raconte à un chef !
- Veuillez m'excusez !
Je partis vers la toilette pour vômir mais trop tard, à peine levée pour y aller ça sortis et j'en ai sur moi... Je me mis à pleurer comme une , c'était l'alcool.
- Allez vous changer je vais essuyez cela...
Je partis sans rien dire, toute triste et me rendant plus trop compte que c'était un chef, je partis dans la salle de bain, ma tête tournais et j'avais du mal à marcher, une fois dedans je retirais mes vêtements, en sous-vêtements je me rendis compte que ma nuisette était dans la chambre. "Pfff"
Je sortis de la salle de bain et dit à mon chef :
- Désolée !
- Mademoiselle ! Dit-il.
Il vint vers moi et me dirigea vers ma chambre, il me couchait dans le lit et mit 11heures en alarme à mon réveil.
- Allais, dormez il est plus que temps.
Et il partit, je l'entendis fermer la porte... Je m'endormis aussi vite qu'il était partit !
Le lendemain, j'arrivais vers 13 heures au travail, l'alcool ne m'avais malheureusement pas donné de trou noir ! J'allais au bureau de mon chef et après avoir frappé il m'invita à rentrer, je m'excusais pour le comportement que j'avais adopté la veille, il en rit et me dit que si il m'invitait à manger, il m'offrirais un verre d'eau, je lui proposais de remettre cela le soir même afin que je puisse m'excusez, il acceptait.
Et le soir, on remit cela, évidemment je ne buvais plus d'alcool, je m'excusais encore quelques fois, et il me ramenait.
- Vous ne me proposez pas un verre aujourd'hui ? Dit-il en rigolant.
- Si bien sur, venez !
Et on rentrait donc chez moi, chacun sur un divan, nous parlions de tout et de rien, je revoyais la scène de la veille comme si j'y étais toujours !
- Bon, je vais devoir y aller, demain va être une longue journée !
- Bien, je vais aller me coucher moi. Répondis-je.
- Je vais aller vous coucher comme hier, histoire d'être sur ! Dit-il.
Je me sentis honteuse mais je vis qu'il était sérieux lorsqu'il me dit.
- Allais, aller mettre votre pijama et vous brossez les dents !
Ce que je fis, sans savoir pourquoi, sans discuter !
Lorsque je revins, je vis qu'il fut étonné !
- Vous ne portiez pas ce pijama là hier !
- Mais hier j'étais saoule ! Dit-il.
- Je pensais donner un avertissement à votre copain.
- Svp ?
- Vous m'avez raconter avec Pierre qui travail chez nous... Je pourrais lui donner un avertissement pour ses arrivées tardives.
- Non, svp !
- Alors mettez vous dans la même tenue qu'hier, j'aimerais aller vous coucher.
Je retirais donc mon haut et bas de pijama, j'étais en soutien gorge et string devant mon chef, toute gênée...
- Allais maintenant au lit ! Conduisez moi à votre chambre.
Evidemment, comme je le "conduisais" il pouvait voir mes fesses, je rentrais dans le lit et il s'assit à coté de moi, il me parlait, me disais que je méritais mieux que ce que je subissais, alors qu'il me parlait, je vis qu'il bandait et il vit, que je le vis...
- Excusez-moi, vous savez, ça fais quelques années que je n'ai plus eu de rapport et que je n'ai plus vu de femme en sous vêtements...
- Ce, ce n'est rien... Je suppose que c'est une sorte de compliment !
Il prit ma main et la mit sur son pantalon, là où il y avait sa bosse...
- Vous n'imaginez pas ma frustration ! Est-ce que vous seriez assez gentille pour la caresser ?
Je le regardais, abasourdie et il ajouta.
- Voilà ce que je vous proposes, je vous apprécie vraiment et vous faites du bon boulot, si vous acceptez de vous en occupez alors demain, première heure votre contrat est sur mon bureau et vous le signez.
- Mais ce n'est pas très ... Catholique...
- Vous ferez plaisir à un vieillard.
- Enh vous n'êtes pas si vieux !
- Vous êtes d'accord ?
Je ne lui répondis pas, je détachais son bouton avec ma main et abaissa sa braguette, je pris son sexe sous son slip et le retirait, je commençais les va et viens.
- Hum quelque chose ne va pas...
- Quoi ?
- Je préférais sentir votre bouche.
- Svp...
- Elle est si jolie...
Dit il en mettant sa main derrière ma tête pour l'approcher de son sexe et je le suçais...
Il se relevait une fois qu'il eu assez et se ratachais et partit.
Le lendemain, arrivée au boulot je l'évitais, jusqu'à temps qu'il m'appelle.
- Bonjour, comment allez vous ?
- Bien, merci et vous ?
- Bien aussi, voici votre contrat.
Je vis le contrat sous mes yeux et il déposait ... Un autre contrat ?
- Qu'est-ce donc ?
- A vous de voir, c'est un contrat ou vous vous engagez à me satisfaire lorsque j'en ressent le besoin.
- ...
- Vous n'êtes pas obligée de le signer, mais ça me ferais plaisir.
Je ne sais pourquoi, je l'ai signée, pourtant il n'avait rien en cet homme qui m'attirait, peut-être avais-je la pression ?
Je retournais donc à mon poste et repris ma journée.
Les jours passèrent et il ne m'avait jamais appelée pour le satisfaire jusqu'au mardi de la semaine d'après ou le matin à 8 heures, il me téléphona.
- Bonjour, vous allez bien ?
- Oui et vous ? Puis-je vous aidée ?
- Oui, merci, oui, j'aimerais que vous portiez une jupe aujourd'hui. A tout à l'heure.
Et il raccrochait.
A 10 heures il m'appela dans son bureau.
- Veuillez mettre les mains sur le bureau, vous penchez et relever votre jupe.
Je m'appliquais et il dit :
- Hier, vous êtes arrivée en retard.
- 4 minutes.
- Et bien vous allez être punie.
Il me gifla plus d'une vingtaine de fois les fesses.
- Bon, j'ai un dossier à faire, pouvez-vous passez sous le bureau.
Je passais sous le bureau, à genoux, et je me mis à le sucer... J'eu le coeur qui battais à 2000 à l'heure lorsque j'entendis un de mes collègues rentrer dans le bureau, mon chef ne fit mine de rien, et moi je m'arrêtais me sentant trop mal.
Il finira par me dire que même dans ce cas là je dois continuer.
Les jours passèrent, voir les semaines et j'étais appelée de plus en plus dans le bureau, je le suçais parfois plusieurs fois par jour ! Il prétextait qu'il voulait me former pour seconder son assistante.
Lorsqu'un jour, il me fit une invitation pour manger avec les grands patrons, je devais être bien habillée, il me suggéra une robe qu'il avait vu dans ma garde robe et je devais passer chez lui avant d'y aller, il avait un cadeau.
Arriver chez lui, il était toujours habillé comme au travail, moi avec ma petite robe rouge méga décolleté et super courte, je devais avoir l'air maline.
- Retire ta robe ma petite et suis moi.
Je retirais donc ma robe et le suivis.
Nous allions dans la salle de bain, il allait dans l'armoire et ouvrit une petite boite et en sortit un vibromasseur, "non pas ça" me dis-je.
- Tiens, insére le toi sous ton string.
Je le fis et il ajouta.
- Maintenant, tu restes à genoux les mains derrière la tête pendant que je me lave.
Je sais que à ce moment je me dis que pour un vieux, il savait encore être autoritaire ! Il se déshabillais donc et rentrait dans sa douche, j'étais face à lui, je le regardais, je commençais à mouillée... Et bien ! Je voyais sa queue que je suçais chaque jour et que j'avais sucée deux fois aujourd'hui pendre, je n'aimais pas les mecs agés, et qui ne se rasait pas le sexe... Bref, je restais là et j'attendais.
Il était fou que depuis toutes ces semaines, il ne m'aie jamais fais enlever mes sous vêtements et qu'il ne m'avais jamais touchée à part pour les fessées...
Il sortit de la douche, il était debout devant moi, sa queue qui pendait sous mes yeux... Il la prit en main et l'approchais de ma bouche, je l'ouvris et il me mis un coup de son sexe au visage, je fus surprise.
- Tu as le réflexe de l'ouvrir lorsque je l'approche ! Dit-il en rigolant.
Il s'essuyait et s'apprêtait, moi je restais là sans bougée, j'étais vraiment obéissante... Ça en étais gênant... Il partit plusieurs fois de la salle de bain, moi je n'en pouvais plus avec mon cadeau entre mes jambes et il revint et me dit.
- Tu retiras tes sous vêtements et remettras ta robe, tu peux enlever ton jouet mais tu ne peux t'essuyer.
Je mexécuta et lorsque j'étais prête je sortis, nous partîmes donc rejoindre les grands patrons, restaurant de luxe etc, tout était de luxe ! Ils me saluèrent et me complimentèrent sur ma tenue. Evidemment, ils voyaient presque mes fesses et mes seins ils devaient apprécier !
La soirée passait, j'étais toujours chaude comme la braise ! Prête à explosée, j'avais une seule envie, rentrée, me caresser et dormir.
Et nous partîmes, mon chef me ramena.
- Bon et bien je vais te coucher ! Me dit-il.
Je partis donc dans la salle de bain me changer et revint en sous vêtements.
- Retire les, j'aimerais voir tout ce soir.
Je retirais donc mes sous vêtements j'étais entièrement nue, face à lui, il vint près de moi et pris mes seins comme pour les peser.
- Ils sont mignons. Me dit-il.
Il s'accroupit et je sentis ses doigts sur mon entre jambe, il écartait mes lèvres et y déposait un bisou.
- C'est tout mignon, tout lisse ! Et tout chaud ! Dit-il avec un grand sourire. Allais dodo maintenant. Ajouta-t-il.
Il me conduisit dans mon lit, une fois que je fus couchée dedans, debout à côté de moi il détacha son pantalon et l'abaissa, ainsi que son slip. Mon téléphone vibra, j'avais reçu un texto mais ne le regardais pas.
Il retirait sa chemise et son Marcel, il était nu face à moi, avec ses chaussettes.
- Allais, fais moi une pipe du tonnerre !
Je me redressais et le suçais du mieux que je pouvais, il crachait tout dans ma bouche et me fit avaler.
- Tu m'as sucer combien de fois aujourd'hui ma petite salope ?
"Ma petite salope ?" me dis-je.
- 3 fois monsieur.
- Tu es vraiment une bonne pompeuse ! J'aurais du t'engager pour ça, tu en aurais fais des heureux au travail.
Il s'assit sur le bord du lit et me fit venir vers lui, me fis m'asseoir sur ses genoux, il écartait mes jambes avec l'une de ses mains et commençait à caresser, ses doigts vinrent très vite à l'intérieur et je prennais sur moi pour pas me laisser allée...
- Que j'aime cette chaleur en toi ! Me dit-il.
Il finit par me retourner sur ses genoux, j'étais mon ventre sur ceux-ci... Ses doigts jouèrent avec mon anus, il força l'entrée sans trop de douceur, m'arrachant un cri et puis fit quelques va et viens dedans, il allait dans la poche de son pantalon et me le plaçais dans l'anus m'arrachant à nouveau un cri...
- Qu'est-ce que c'est ? Dis-je inquiète.
- Je vais élargir un peu ton cul ma petite salope...
- Mais...
- Tu ne discutes pas. Dit-il lâchant une claque sur mes fesses.
Il eut un silence et dit.
- Tu as vraiment des fesses à claques !
Et il commençait une belle série, à partir d'un moment je criais à chaque claque et plus je criais plus il avait l'air d'aimer !
Il me couchait dans le lit et me dit :
- Caresse toi, chauffe moi !
J'écartais donc les jambes et me caressais, il me regardait, m'inspectant de tout les cotés et puis se jetais sur moi et se mit entre mes jambes, il se mit à lécher sans retenue et vraiment mal puis il relevait la tête et me dit tout sérieusement :
- Tu ne regardes pas ton message ?
Je pris donc mon téléphone et vit que ... C'était Pierre. Je re déposais le téléphone, il voulait me parler, je n'étais pas en position de parler et il me dit :
- C'était qui ?
- Pierre...
- Et il voulait quoi ?
- Me parler...
- Sonne lui !
- Non...
- Tu lui sonne pendant que je vais te baiser !
Je repris donc le téléphone et lui téléphonais, mon chef lui continuais de me lécher.
- Salut, qu'y à t'il ça avait l'air important ?
- Coralie, je veux te voir, je peux passer ?
- Non, désolée...
- Pourquoi ? Tu fais quoi ? T'es avec un mec ?
- Ca te regarde pas ! Dis-je alors que mon chef se redressais menant son sexe vers le mien.
- Tu me manques... Me dit-il.
- ...
Mon chef venait de rentrer son sexe dans le mien, mettre mes jambes sur ses épaules et me prendre par les fesses.
- Réponds moi !
- Je saurais pas !
- Tu voulais du sérieux avec moi, non?
- Oui...
- Je me suis rendus compte que tu me manques terriblement, que je penses à toi non stop...
Mon chef continuait à faire des va et viens, j'avais du mal à parler normalement au téléphone et de plus, j'avais bon...
- Pierre...
- Laisse moi venir !
- Non tu viens pas !
- Si j'arrive. Dis tout bas mon chef, s'amusant.
Il me retournait, je lui fis signe que non de la tête, il me fit signe que oui de la sienne, il me retirait l'élargisseur de mon cul, m'arrachant un mini cri.
- Mais tu fais quoi bordel ? Dit Pierre s'énervant.
- Je me touchais ! Voilà, je me touchais tu sais tout ! Pendant que toi tu couchais avec ta copine, moi je me touchais le soir, dans mes larmes !
Et mon chef s'inséra dans mon cul, m'arrachant des cris qui fit que Pierre compris que je n'étais pas seul, des râles et des "oh oui" que je ne pu retenir suivèrent.
- J'arrive ! Dit-il en raccrochant.
Mon chef me tenant par les hanches ne tarda pas à venir et à remplir mon cul de son sperme... Il se retirait et essuyait son sexe sur mes fesses toujours en l'air et me dit :
- Je ne sais pas si tu as lu tout le contrat, mais, si tu te remets avec Pierre, nos relations s'arrêtent et tu es à nouveau "libre" et travaille toujours pour nous.
Effectivement je ne l'avais pas tout lu... Je me retournais vers lui et lui dit : "J'ai mal..."
Il s'assit à coté de moi et me dit :
- Merci, merci car il y avait longtemps que je n'avais plus eu de rapport, merci d'avoir été gentille avec un homme de mon âge, je suppose que ça n'a pas du être agréable de sucer une vieille queue, mais moi j'ai trouvé agréable, j'ai bien fais de décider de te baiser aujourd'hui, car ça sera la seule fois et au moins je sais que je peux le faire avec d'autres femmes et toujours aimer la mienne.
Toujours les fesses en l'air, je le regardais, je trouvais que ce qu'il disait vis à vis de sa femme était beau et il ajouta.
- Tu te remettras avec lui ?
- Oui... J'aimerais...
- Alors file te laver, je vais aérer ta chambre et partir aussi vite. Merci.
Et je partis me laver, je restais sous la douche et j'entendis la sonnette, je sortis de la douche enfilant juste un drap de bain autour de moi et il a du monté les marches 4 par 4 car il frappait très vite à la porte, j'ouvris, il me regardait, de la tristesse dans les yeux.
- Tu as quelqu'un ?
- Non, je suis célibataire depuis toi, enfin... Depuis qu'on se cotoi...
- Je t'aime, je veux que l'on se mette ensemble...
- ...
Je le pris dans mes bras et déposait ma tête dessus, il me fit un bisou sur le front et me serra fort contre lui...
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